Bonjour,
Depuis le 10juillet un chat vie dans ma cours, au depart je lui donné quelque caresse puis voyant qu il restait dans ma cours plus de 22h sur 24h j ai finis par céder et lui donner à manger.
J ai recherché ses proprietaire en metant une annonce sur les reseaux. Lorsque je les ai retrouvé la dame ma dit qu elle etait enceinte de 2mois, quelle avait mis ses 5chats dehors (un seul viens chez moi) quelle nen voulait plus dans la maison quelle les reprendrait surrement apres avoir acouché… donc jusque en mars (il passera l hiver dehors) en attendant ils avaient une litiere et une gamelle dans un cabanon au fond de sa cour. (Pour 5chat)
Debut aout je suis parti en congés pendant 15jour, je nai donc pas nourrit le chat et suis parti. Lorsque je suis revenu de vacances celui ci mattendais devant ma porte en miaulant. Je l ai fait rentré. Depuis il rentre et sors a sa guise mais ne quitte jamais ma cour plus de 30min 2fois par jour. Il dors chez moi. Si je ne laisse pas entré il gratte la porte ou le volet.
Ce chat n est ni vacciné ni pucé par contre il est castré d apres les dire de sa proprietaire.
J ai joint mon veterinaire en lui demandant quoi faire. En lui disant que je ne souhaiter pas le laisser passer un hiver dehors et lui ai raconté toute lhistoire. Je lui ai indiqué que je pensais garder ce chat. Celui ci ma alors dis que s il n etait pas pucé pour la loi il n appartenait a personne. Le premier a pucé le chat en n est le proprietaire. Ce chat a 3ans. D apres lui si je le puce j en deviens la proprietaire légale et la personne ne pourra rien ny faire. Ce chat ayant en plus elu domicile chez moi et ses proprio l ayant mis dehors. Des que j arrive il me suit partout viens me cherché a ma voiture etc etc. Qu en pensé vous? Mon veto a t il raison? Je ne voudrais pas etre en tord.
Merci
Table des matières
- Le chat de ma voisine vient chez moi.Comprendre son chat
- Charente : six mois avec sursis pour l’homme qui épiait sa voisine à la fenêtre
- Elle le trouve derrière la porte
- » Je n’avais pas le choix «
- Pourquoi est-ce qu’on aime espionner ses voisins ?
- « Harcelée par ses voisins, ma maman vit un véritable calvaire depuis plus de 13 ans », déplore Vanessa: que faire face à un conflit de voisinage ?
Le chat de ma voisine vient chez moi.Comprendre son chat
Bonjour, je suis venue sur votre site afin de comprendre et rassurer, peut-etre, les personnes dont les chats vont chez le voisin.
Je ne voulais pas de chat car je vis dans une maison prés d’une route et pourtant j’aime les chats
J’ai de nouveaux voisins depuis 8 mois et très vite j’ai vu un chat dans mon petit jardin. Mais il était impossible de l’approcher donc je l’évitais pour ne pas le surprendre et qu’il aille sur la route. Il s’est rapproché de la maison, et s’est mis à à nous observer si j’étais dans la cuisine il me regardait par la fenêtre, si nous étions dans il salon , il nous regardait le nez collé à la porte fenêtre j’ai pensé qu’il était abandonné. Puis il est entré dans la maison (au bout de 6 mois). Le matin lorsque j’ouvrais les volets, il se faufilait dans la maison. Le moindre bruit l’effraie. Il a passé quelques apres midi a dormir sur le canapé et il partait.
J’ai laissé un petit mot à mes voisins, lui demandant si c’était son chat.
Et ce chat est à elle depuis 8 ans, je lui ai demandé ce que je devais faire ?
Elle m’a expliqué qu’elle avait eu un bébé , qu’il y avait eu le déménagement, et qu’il venait de prendre un jeune chien. (un beauceron). Son mari et elle travaillent tous les jours.
J’ai craint qu’elle ne pense que je lui volais son chat. Elle m’a expliqué que son chat ne trouvait pas sa place et qu’au contraire elle savait qu’il était là et que si je l’avais repoussé il serait allé plus loin. Nos maisons sont mitoyennes.
Il retourne de temps en temps chez eux, chez lui puis vient se reposer chez moi !
Il y a rarement de malveillance dans le fait de s’occuper d’un chat qui vient te chercher plus que tu n’essaies de l’attirer. Si je n’avais pas eu cette tête qui nous regardait le museau plaqué aux vitres pendant des heures, même quand il pleuvait, je n’aurais pas ouvert ma porte. Ce n’est pas mon chat, je sais que mes voisins l’aiment, mais que pour l’instant il ne trouve pas ses marques.
C’était juste un témoignage, parce qu’au final il n’a pas fuit très loin ! Il faut juste dialoguer ce que nous avons fait !
Bonne Année à tous !
Charente : six mois avec sursis pour l’homme qui épiait sa voisine à la fenêtre
» Il passe sa vie à la fenêtre, je me demande même s’il dort… C’est pour ça que je n’habite plus chez moi. » Devant le tribunal correctionnel, cette jeune femme a la gorge nouée. Près d’elle, à la barre, comparaît son voisin, un homme de 47 ans, ouvrier viticole. Tous deux habitent à Châteauneuf-sur-Charente. Elle, réside dans un appartement d’un côté de la rue. Lui, vit en face, avec une vue plongeante sur la chambre et le séjour de la jeune femme. Dès son arrivée dans l’appartement avec son colocataire, elle remarque que le voisin a tendance à s’éterniser à la fenêtre et la regarde avec insistance. Même le matin, lorsqu’elle se lève.
Elle le trouve derrière la porte
Elle prévient alors son propriétaire, qui installe des brise-vues au rez-de-chaussée. » Là, ça c’est un peu calmé « , explique-t-elle à la barre. Quand son colocataire déménage, elle aperçoit de nouveau son voisin à la fenêtre. Un jour, elle le surprend même derrière sa porte d’entrée. Lui, explique qu’il voulait venir lui parler. Mais à la suite de cet épisode, il l’insulte dans des termes fleuris. Elle prend peur. Et vit même les volets fermés. » Combien de fois par jour le voyiez-vous à la fenêtre ? « , lui demande le procureur Cyril Vidalie.
» C’était constamment. » Et ce, même à 4 heures du matin, lorsqu’elle part embaucher. En décembre 2016, la jeune femme finit par aller porter plainte à la gendarmerie de Châteauneuf. Elle présente un état anxio-dépressif nécessitant un traitement médicamenteux pendant deux semaines.
Comme devant le tribunal, le quadragénaire explique aux gendarmes que sa voisine se promène en petite tenue. Il fait aussi comprendre qu’elle aurait une vie sexuelle débridée. » Je n’ai pas le choix de la voir. Le voisin du dessous a exactement le même problème que moi. » C’est un peu gros pour les juges du tribunal : » Mais si ça vous gêne, pourquoi allez-vous à la fenêtre pour voir ?, lui demande une assesseur. On dirait que c’est votre obsession. Dès que vous êtes chez vous, vous regardez chez elle. «
Lassée, la jeune femme a même fini par délaisser son logement. » Cela fait cinq mois que je paie mon loyer pour rien. Je vais devoir prendre un appartement à Angoulême, alors que j’habitais à Châteauneuf pour être plus près de mon travail. » Face à ce » voyeurisme très actif et très répété « , le procureur Cyril Vidalie a requis quatre à six mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve. » Oui, il est à sa fenêtre, il la voit, mais c’est la seule vue qu’il a « , explique son avocate, qui a plaidé la relaxe. » Je ne pense pas qu’il ait eu une intention de lui porter préjudice « , a-t-elle ajouté.
Le tribunal l’a finalement condamné à six mois de prison avec sursis.
Pourquoi est-ce qu’on aime espionner ses voisins ?
Dorothée fait partie de celles et ceux qui espionnent par ennui. “Je suis célibataire et j’ai parfois des soirées un peu monotones. Alors j’ai l’impression d’avoir une vie un peu excitante quand j’écoute mes voisins. J’ai su comme ça que ma voisine s’était faite plaquer, et qu’elle a ensuite déménagé. C’est un peu comme un feuilleton grandeur réelle.”
Voilà une des raisons pour laquelle la mamie d’en face passe son temps à vous épier derrière son rideau.
Espionner, c’est faire jouer son imagination
Dans notre société narcissique, de spectacle, on mise beaucoup sur l’apparence, rapporte l’experte. “Notre rapport à l’autre passe beaucoup par l’image, l’imagination, et le regard”, ajoute Hélène L’Heuillet.
Cela explique pourquoi Medhi, dans un demi-sourire, avoue regarder de temps en temps par les fenêtres de l’hôtel voisin, le regard désireux d’apercevoir une jolie jeune fille.
Et d’après Hélène L’Heuillet, pas de question de genre ou de statut social : plus on est en vis-à-vis, plus on va avoir tendance à espionner ses voisins. Et même dans des zones pavillonnaires, tant que l’on peut voir chez l’autre, on sera tenté.
Espionner, c’est être voyeur ?
Forcément, quand on pense espionnage, on pense un peu voyeurisme. “En regardant de l’autre côté, on cherche le détail croustillant, on observe comme l’autre est habillé, s’il est habillé, et je ne parle même pas de chercher à revivre une scène primitive par fenêtre interposée”, expose la psychanalyste.
Marine* l’assume plus ou moins : elle aime regarder le spectacle que lui offrent ses voisins en fin de soirée ou le samedi après-midi, quand ils oublient de fermer les volets.
“Le pervers regarde juste. Le voyeur à tendance à se cacher et il y a un moment où il a besoin de se montrer”, note l’experte.
Dans le fameux podcast Transfert proposé par Slate, Hugo, un jeune trentenaire, raconte avec une incroyable variété de détails l’engrenage dans lequel il s’est retrouvé : alors que ses nouveaux voisins viennent d’emménager, il commence à les épier de temps en temps, jusqu’à tenter l’impossible pour devenir ami avec eux. Il les espionne, s’immisce de plus en plus dans leur vie, et finit par s’inviter à leur mariage sans y avoir été convié.
Un comportement extrême qui s’explique aussi par l’envie d’être découvert, d’être interrompu et remis à sa place. “Dans un comportement voyeuriste, ça n’est pas marrant d’espionner ses voisins s’il n’y a pas un moment où ils se sentent gênés d’être observés”, décrypte Hélène L’Heuillet.
Vous l’aurez compris, entre espionner et jeter un coup d’œil, il y a quand même une sacrée différence. Entre intérêt pour l’autre, fascination, jeu pervers… à vous de respecter quand même les bonnes règles de savoir vivre.
D’ailleurs, faut-il être ami avec ses voisins ? La réponse ici !
*Les prénoms ont été modifiés
« Harcelée par ses voisins, ma maman vit un véritable calvaire depuis plus de 13 ans », déplore Vanessa: que faire face à un conflit de voisinage ?
L’intérêt de la médiation est de construire un accord équilibré entre les deux parties ou du moins restaurer le relationnel détérioré. C’est une démarche volontaire. « Cette femme parle de harcèlement. Le terme n’est peut-être pas approprié mais c’est une traduction de ce qu’elle vit. Elle mériterait donc d’être entendue et, si elle le souhaite, nous pourrions prendre rendez-vous chez cette dame à sa meilleure convenance », indique le chef de projet. « Elle parle d’une souffrance issue d’une impasse. En fait, elle ne sait plus comment retrouver les ressources nécessaires pour aborder la situation et du coup elle crie au secours. Et le processus qui va ramener la personne à gérer le problème de manière rationnelle et non émotionnelle, c’est tout un travail qui est confié au médiateur », explique-t-il.
Finalement si vous regardez ce qui a déclenché la querelle, parfois c’est une futilité
La première démarche du médiateur sera d’établir une relation de confiance basée sur la proximité et l’écoute. Il va également analyser le conflit d’une manière objective et tenter de restaurer un espace de dialogue. « Les gens ne l’entrevoient pas dès le départ. Généralement, quand on est en conflit, on n’écoute plus l’autre parler, on construit une image négative de lui, on vampirise le voisin alors que finalement si vous regardez ce qui a déclenché la querelle, parfois c’est une futilité », souligne Franco Gizzi. « J’ai vu des gens qui avaient comme un énorme caillou devant les yeux, ils ne voyaient plus rien car ce caillou avait grossi avec le conflit, mais on peut le casser petit à petit en essayant de relativiser les choses. »
Un accompagnement qui peut prendre deux ou trois ans
Pour que la médiation puisse fonctionner, il faut ensuite que les personnes s’engagent dans un pacte de non-agression. « Les gens perdent alors en général l’habitude de poser leurs actes. Ce qui permet de pouvoir se rencontrer et dialoguer dans un cadre plus sain. »
Ce processus peut durer un certain temps. « On accompagne les gens le temps nécessaire. Cela peut prendre 2-3 ans. Entre-temps, le conflit est temporisé et on cherche des solutions qui sont parfois compliquées. » Certaines tentatives de médiation sont également un échec. D’après Franco Gizzi, le taux de réussite de son service est de 60% par an. « Cela veut dire que le conflit est au moins temporisé et l’escalade arrêtée », précise-t-il.
L’intervention d’un juge de paix: peut-il imposer une décision ?
Quand un accord est trouvé à l’amiable, notamment grâce à une médiation, les deux parties peuvent se présenter devant un juge de paix en conciliation. Cette démarche rapide et gratuite permet de rendre l’accord obligatoire. Le juge est alors en retrait. Il ne prend pas position. « Nous sommes notamment compétents pour toutes les contestations liées aux servitudes et pour les demandes de dommages et intérêts ne dépassant pas 5.000 euros », indique Jules Malaise, juge de paix au 2e canton à Charleroi.
Par contre, si la conciliation est impossible, vous pouvez entamer une procédure judiciaire. Pour cela, il faut faire appel à un huissier qui va citer les deux parties à comparaître à une audience publique du juge de paix. Dans ce cas, c’est lui qui tranche le litige. « Sur base de la demande du plaignant, nous prenons une décision qui est imposée unilatéralement. Même si l’une des parties n’est pas présente », souligne Géry De Walque, juge de paix au canton de Woluwe-Saint-Pierre à Bruxelles. « On peut par exemple exiger l’éloignement de chiens qui aboient de manière intempestive », précise Jules Malaise. Le plaignant doit alors avancer les frais de justice qui seront ensuite à charge de la partie qui perd. « Souvent on demande de partager ces frais pour apaiser les tensions », indique Jules Malaise, juge de paix au 2e canton à Charleroi.
Evidemment, cette décision imposée ne permet pas de régler tous les conflits. Parfois, cela ne fait qu’empirer la situation. « La solution n’est alors pas construite avec les gens et du coup il y a moins de chance qu’elle soit acceptée », souligne le médiateur Franco Gizzi. « Si on veut restaurer un lien sur le long terme, la meilleure façon de trouver un terrain d’entente est la médiation volontaire. Quand une solution est contraignante, le conflit risque de ressurgir sur un autre problème », confirme Géry De Walque.
Et la police ?
Et la police ? Quand intervient-elle ? Vous pouvez contacter votre agent de quartier pour qu’il vienne constater les faits et tente d’apaiser les choses en discutant avec chaque partie. Il endosse alors le rôle de médiateur. Mais pour qu’un policier puisse réellement agir, il faut que votre voisin commette une infraction à la loi ou au règlement communal, comme du tapage nocturne.
« La police est parfaitement au courant des faits mais ils ne peuvent apparemment rien faire car absence de coups et blessures », souffle Vanessa.
« L’agent de quartier, au-delà de sa mission d’agent de proximité, il lui faut une base légale pour pouvoir intervenir. La voisine va sûrement lui raconter autant d’événements contre la personne qui se plaint. Alors, à part dire, maintenant cela suffit, qu’est-ce qu’il peut faire ? Selon moi rien, sauf s’il y a une infraction pénale. Une agression ayant entraîné une incapacité de travail par exemple », indique Franco Gizzi.
D’après le juge Malaise, les policiers se sentent en effet souvent impuissants face à ce genre de conflits pour lesquels ils ne sont pas forcément compétents. Et quand un procès-verbal est dressé sur base d’une infraction, il y a peu de chance qu’il aboutisse à un jugement. « Dans pas mal de cas, le parquet ne va pas poursuivre et va classer le dossier sans suite car il est déjà débordé », assure le juge De Walque. Sans oublier qu’une procédure devant un tribunal peut durer de longues années.
Les plaintes sont-elles alors vraiment utiles ? D’après Vanessa, le dépôt de plusieurs plaintes n’a pas permis de changer la situation. « Cela reste un réflexe sain de déposer plainte auprès de la police car cela permet de constituer un dossier. En tant que plaignant, vous pourrez alors amener des éléments devant un juge de paix », rappelle le juge De Walque.
Pour tenter de retrouver une paix tant espérée, la mère de Vanessa ne devrait donc pas se limiter à déposer plainte. Demander de l’aide auprès d’un médiateur serait la piste à privilégier dans un premier temps. Et si aucune solution à l’amiable n’est envisageable, elle pourra décider de faire appel à un juge de paix.
Dernière possibilité: déménager. Car malheureusement aucune mesure d’éloignement n’existe pour les conflits de voisinage. Impossible donc de forcer son voisin à faire ses valises.