Table des matières
- bihebdomadaire
- Français
- Allaitement : durée et fréquence des tétées
- Fréquence des tétées : combien de fois par jour ?
- Quelle est la durée moyenne d’une tétée ?
- Allaitement : les tétées de nuit
- 1. Distrayez-la
- 2. Utilisez une serviette humide
- 3. Déclenchez l’ovulation
- 4. Donnez-lui des produits apaisants
- 5. Optez pour la stérilisation
bihebdomadaire
Voir aussi : bi-hebdomadaire
Français
Étymologie
(1867) D’hebdomadaire, avec le préfixe bi-.
Adjectif
Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
bihebdomadaire | bihebdomadaires |
\bi.ɛb.dɔ.ma.dɛʁ\ |
bihebdomadaire \bi.ɛb.dɔ.ma.dɛʁ\ masculin et féminin identiques
- Qui revient, qui paraît deux fois par semaine.
- Revue bihebdomadaire.
- Les jours de publication de l’édition bihebdomadaire furent, quant à eux, régulièrement modifiés. — (Michel Brix, Nerval journaliste (1826-1851): Problématique. Méthodes d’attribution, 1986)
- (Vieilli) Qui se fait, qui paraît toutes les deux semaines.
- Un quinzomadaire est un bihebdomadaire.
Notes
Selon Littré, le sens de » qui paraît deux fois par semaine » doit être accordé à semi-hebdomadaire.
Variantes orthographiques
- bi-hebdomadaire
Synonymes
qui paraît toutes les deux semaines
- quinzomadaire
Apparentés étymologiques
- bihebdomadairement
- hebdomadaire (à la semaine)
- journalier (chaque jour)
- semaine
Vocabulaire apparenté par le sens
- bimensuel
- mensuel
Traductions
Deux fois par semaine (1) Une fois toutes les deux semaines (2)
Nom commun
Singulier | Pluriel |
---|---|
bihebdomadaire | bihebdomadaires |
\bi.ɛb.dɔ.ma.dɛʁ\ |
bihebdomadaire \bi.ɛb.dɔ.ma.dɛʁ\ masculin
- Journal qui paraît deux fois par semaine.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Journal qui paraît deux fois par semaine (1)
- Anglais : semi-weekly (en)
- Tchèque : dvoutýdeník (cs)
Allaitement : durée et fréquence des tétées
Nourrir au sein ne va pas forcément de soi. Faut-il allaiter à heures fixes ou à la demande ? Quelle est la durée d’une tétée ? Bébé a-t-il obligatoirement faim la nuit ? Guide pratique de l’allaitement et de la tétée.
Fréquence des tétées : combien de fois par jour ?
Il faut nourrir l’enfant lorsqu’il a faim, c’est-à-dire allaiter à la demande : il n’y a pas de limite au nombre de tétées, ni d’intervalle fixe à respecter ! S’adapter avec souplesse à ses besoins sans être rigide est essentiel car chaque bébé est différent.
En moyenne, un bébé peut téter :
- de 8 à 12 fois par 24 heures (y compris la nuit pendant les premiers mois car le nouveau-né ne supporte pas le jeûne prolongé).
L’essentiel est de l’allaiter dès les signes d’éveil : mouvements des yeux, des lèvres, de la tête, agitation, main à la bouche… indiquent que votre enfant est prêt à téter, c’est sa façon de signaler qu’il a de nouveau faim. Soyez attentive si votre enfant est peu demandeur : observez-le pour repérer ses signes et sollicitez-le en le mettant contre vous en peau à peau.
Toutefois, cette règle est une affaire de bon sens. Si la mère veut sortir, elle ne doit pas hésiter à réveiller le nourrisson. A l’opposé, elle peut ne pas interrompre brutalement toute activité sous prétexte que l’enfant s’est mis à pleurer. La mère et son bébé ont chacun leurs droits et toute décision est un compromis. Si la mère trouve plus facile, plus pratique d’allaiter à heures fixes, pourquoi pas ? Si elle préfère se mettre « à l’écoute » de son enfant et ne l’allaiter que lorsqu’il le réclame, c’est son droit le plus strict. L’important est que la mère se sente bien dans le choix qu’elle aura fait.
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Allaitement à horaires fixes : les cas particuliers
Lorsqu’il s’agit d’un nourrisson malade, prématuré, hypotrophique, somnolent ou traumatisé à la suite d’un accouchement difficile… l’allaitement à la demande n’est pas recommandé. L’enfant est en effet incapable, provisoirement ou définitivement, d’établir lui-même ses horaires.
Il convient de l’alimenter à horaires fixes, toutes les 2 heures par exemple. Demandez toujours l’avis d’un professionnel de santé.
Quelle est la durée moyenne d’une tétée ?
Cela dépend encore de votre enfant, mais aussi de sa façon de téter qui peut être plus ou moins vigoureuse. Il y a aussi des laits qui coulent vite et d’autres plus lentement. Il y a des mamelons complaisants et d’autres moins abordables Il y a des bébés sérieux et disciplinés et d’autres plus voraces et capricieux !
- Les très actifs téteront de façon très efficace sans jamais s’arrêter : la tétée sera très courte ;
- Ceux qui aiment prendre leur temps, les tout-petits ou les bébés prématurés feront beaucoup d’arrêts, de câlins et de » tétouillage » (succion non nutritive) : la tétée sera beaucoup plus longue.
Laissez votre enfant au sein tant qu’il tète de façon « efficace ».
Vous voulez vraiment une durée ?
- Une tétée de moins de 10 minutes est un peu courte ;
- Une de 3/4 d’heure à 1 heure est un peu longue.
Avoir l’œil sur la pendule n’est pas une bonne solution. Le plus simple est de mettre son enfant au sein et de le laisser téter jusqu’à ce qu’il ralentisse brusquement son rythme de succion. La mère propose ensuite le deuxième sein 10 ou 15 minutes jusqu’à ce que bébé s’endorme ou cesse de téter.
Si, après la tétée, l’enfant s’endort calmement pour 2 heures ou plus, c’est qu’il a bien bu. Toutefois, s’il pleure, il ne faut pas en conclure qu’il a faim. Un moyen simple permet de se rendre compte que bébé a eu sa ration :
- On observe normalement trois ou quatre mouvements de succion pour un mouvement de déglutition. S’il y a plus de mouvements de succion, c’est que la quantité de lait excrété est faible et que c’est le moment de passer au sein d’à côté…
- Un autre moyen est de compter les couches mouillées (5-6 couches lourdes par 24 heures).
Allaitement : les tétées de nuit
Le risque de donner de « mauvaises habitudes » au nouveau-né qui réclame la nuit est absurde : la périodicité du sommeil et de la vigilance apparaît vers la troisième semaine de vie et s’organise à partir du deuxième mois sous l’influence de la lumière et de l’obscurité en alternance. La proximité physique de la mère pendant les premières semaines rassure le nourrisson et contribue à lui faire mieux accepter la séparation ultérieure. Alors, lorsqu’il s’agit d’un nouveau-né qui se réveille en pleurant la nuit, il faut lui donner le sein.
La tétée de nuit (vers 2 heures du matin…) est un sujet de plainte très fréquent. Pourtant, jusqu’à 2 ou 3 mois, ce repas de nuit doit être satisfait. Jusqu’à 2 mois, la plupart des bébés réclament toutes les 3 heures. Certains bébés vont se manifester toutes les 2 heures et il est naturel de leur donner le sein à ce rythme. Ces tétées fréquentes et rapprochées vont en quelques jours augmenter la sécrétion lactée et le bébé s’équilibrera ensuite à un repas toutes les 3 heures.
Certaines mères tentent de retarder la dernière tétée de la soirée (22, 23 ou 24 heures) dans l’espoir de repousser ce fameux réveil de 2 heures. En pratique, bien que cette tentative puisse être essayée, elle échoue le plus souvent…
Chez le nourrisson un peu plus âgé, en cas de pleurs nocturnes, il faut vérifier que bébé n’a pas d’autres motifs de crier. Un nourrisson qui pleure n’a pas obligatoirement faim. Il peut souffrir de coliques, avoir soif, trop chaud ou trop froid, il peut être incommodé par ses couches souillées, un bruit désagréable, etc. Il suffit de lui offrir le sein s’il a soif et trop chaud. S’il cesse de pleurer lorsqu’on le prend dans les bras c’est qu’il a simplement besoin d’être câliné…
A partir de 3 mois, la plupart des bébés dormant toute la nuit, on peut en conclure arbitrairement que le repas de 2 heures du matin n’est plus indispensable…
Ecrit par:
Dr Lyonel Rossant
Pédiatre
Ecrit par:
Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso
Médecin généraliste
Mis à jour le 18 septembre 2018
Votre chatte est en chaleur depuis plusieurs jours et vous ne supportez plus ses miaulements intempestifs au beau milieu de la nuit et ses marques d’affection excessives ? Alors voici 5 solutions pour la calmer et faire en sorte que votre quotidien à ses côtés redevienne vivable !
Bon à savoir : les premières chaleurs apparaissent chez les femelles à l’âge de la maturité sexuelle, qui correspond à la puberté, vers l’âge de 6 mois. Ensuite, si elles ne s’accouplent pas, les chaleurs reviennent toutes les deux à trois semaines et durent 4 à 10 jours. En revanche, s’il y a accouplement et fécondation, elles rentrent alors en gestation pour une période de 60 jours environ.
Sommaire
1. Distrayez-la
Afin d’empêcher votre chatte de penser à ses envies de reproduction, tentez de la distraire. Pour cela, accordez-lui énormément d’attention en jouant avec elle, en la brossant et en la câlinant.
Proposez-lui de nouveaux jouets chaque jour et achetez-lui un arbre à chat afin de la divertir et de la fatiguer un peu. Plus elle sera épuisée à la fin de la journée, plus elle vous laissera tranquille !
2. Utilisez une serviette humide
Cela peut paraître étrange mais une serviette humide ou un coussin tiède peuvent contribuer à apaiser votre chatte en chaleur. Encouragez-la à aller se coucher dessus et l’effet sera immédiat.
De plus, s’il fait chaud et que vous êtes en période de canicule, cela permettra de la rafraîchir et d’éviter le coup de chaleur. En effet, les chats sont incapables de transpirer puisqu’ils ne possèdent que très peu de glandes sudoripares, qui sont essentiellement situées au niveau des pattes. En comparaison, l’homme possède des glandes sudoripares sur tout le corps.
3. Déclenchez l’ovulation
Chez la chatte, l’ovulation se déclenche au moment de l’accouplement. Si vous n’avez pas du tout l’intention de laisser un mâle toucher le moindre poil de votre femelle mais que vous voulez tout de même faire cesser ses chaleurs, rendez-vous chez votre vétérinaire. Ce dernier lui fera une injection d’hormones pour provoquer l’ovulation et en finir avec cette période de chaleurs.
Crédits : iStock
4. Donnez-lui des produits apaisants
Des produits homéopathique ou phytosanitaires existent dans le commerce pour calmer les ardeurs des chattes en chaleur. Demandez conseil à votre vétérinaire afin qu’il puisse vous orienter vers le bon produit en fonction de l’état de santé de votre boule de poils.
5. Optez pour la stérilisation
Si vous ne souhaitez pas que votre chatte ait des chatons, le plus sage est d’opter pour la stérilisation. Cette opération qui doit être réalisée à partir de l’âge de 6 mois consiste en une ablation des ovaires. Elle permet également de protéger l’animal de graves problèmes de santé (tumeurs mammaires, infections utérines…).
À noter qu’il existe une pilule contraceptive conçue spécialement pour les chattes non stérilisées qui veulent continuer à pouvoir avoir des portées. Mais son utilisation est vivement déconseillée. En effet, une utilisation prolongée de cette méthode de contraception pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé de votre petite chatte.