Spa maine et loire, refuge animaux 49

Table des matières

Top Spas & Wellness Centers in Maine et Loire, France
Issue 49 – Stray Dogs and Cats
Angers : le Refuge va expérimenter un dispositif d’accueil pour de jeunes réfugiés victimes de violences homophobes
« Un lieu et un accompagnement spécifiques »
« Un parc multiplié par 7 en 4 ans »

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Issue 49 – Stray Dogs and Cats

Accessing the Companion Animals Register

The Office of Local Government is encouraging vets to become Approved Persons. Approved Persons are able to carry out online searches of the Companion Animals Register 24 hours a day, 7 days a week specifically for the purpose of re-uniting cats and dogs with their owners.

For people working in veterinary practices becoming an Approved Person is voluntary and the potential costs and benefits should be carefully considered.

If you choose to become an Approved Person you must submit an Application Form and once approved you must comply with the Guidelines for Approved Persons to Access the Register. The Application and Guidelines are available from our website.

Seized dogs and cats

The Companion Animals Act 1998 (Act) does not define a dog or cat as stray but provides for circumstances in which dogs and cats can be seized by any person.

Under the Act, dogs can be seized under a number of circumstances including when in a public place and not under the effective control of a competent person (s 13), when present in a prohibited public place (s 14), when the dog is present on the property of the person seizing the animal (s 18), or in order to prevent damage to property (s 22).

Under the Act, cats can be seized if present in a prohibited area and the owner is not present or for the cat’s protection (s 30), or for the protection of any person or animal other than vermin (s 32).

What should I do if I am presented with an un-injured seized dog or cat?

If you are an Approved Person you can search the Register to try to find the owner. If you are unable to contact the owner within 72 hours you must contact the council to arrange for delivery of the animal to the Council Pound.

If you are not an Approved Person you need to contact the Council to facilitate the cat or dog being returned with its owner as soon as possible.

The Board is aware from the profession that some councils refuse to accept some seized animals (particularly cats) taken to a veterinarian. Councils are not obliged to take stray animals but many do provide this service. Unfortunately when they refuse there is often a burden on local veterinarians to accept these animals.

Councils are obliged to accept animals that are seized by members of the public and are taken to the council’s pound.

What should I do if I am presented with an injured seized cat or dog?

If the animal is injured the Veterinary practitioners code of professional conduct states that you must provide first aid treatment, timely referral to another veterinarian or euthanasia as appropriate. The latter requires that you seize the animal under the Prevention of Cruelty to Animals Act 1979 (s 26AA) and is only possible if the animal is so severely injured, diseased or in such condition that it is cruel to keep it alive.

If you determine that euthanasia is the best course of treatment it is important to ensure you create and maintain accurate records of the injury/illness to document the reason for your decision.

Should first aid be required the animal could be returned to the council pound when ready.

Again, if you are an Approved Person you can search the Register for the purpose of re-uniting the animal with its owner and then discussing the injuries you have been presented with.

If you cannot establish ownership of the animal or if there is some discrepancy you should notify council as soon as practicable.

If the animal is deceased and has a microchip it would be appropriate to report this to the council as the owners will often call the council looking for their pets.

What should I do if I am presented with a dog or cat that is seized for other reasons?

The Board is aware that animals seized by police may be presented to veterinarians due to various circumstances being faced by their owners such as hospitalisation and incarceration.

You are not obliged to accept these animals. If you would like to assist animals with seeking refuge in these circumstances you may consider discussing such cases with the police, local animal shelters and the local council pound.

Angers : le Refuge va expérimenter un dispositif d’accueil pour de jeunes réfugiés victimes de violences homophobes

C’est une première en France, une expérimentation qui débute le 1er octobre prochain. 30 places seront mises à la disposition de jeunes réfugiés de moins de 30 ans victimes de violences homophobes ou transphobes dans leur pays.
« L’association va pouvoir mettre progressivement à la disposition de ces jeunes (…) 30 places d’hébergement situées dans six appartements à Angers, ainsi qu’un accompagnement personnalisé destiné à leur faire recouvrer une autonomie personnelle, sociale et professionnelle », précise le Refuge.
L’association disposera d’un financement à hauteur de 273 750 euros lui permettant d’assurer ce dispositif national dont « les bénéficiaires seront directement orientés par l’Office Français de l’Intégration et de l’Insertion (OFFI) ».
« Ces jeunes sont déjà placés par l’Etat et c’est lui qui va les orienter vers nous », précise le Refuge, « le budget correspond à 25 euros par jour et par personne ».
Ce projet a reçu le soutien de la région Pays de la Loire par la voix de sa présidente Christelle Morançais mais aussi des préfectures de région et du Maine-et-Loire.
« Il s’agit d’un appel à projet national. Ce département était en zone blanche, c’est à dire avec peu de dispositifs pour les demandeurs d’asile », explique Nicolas Noguier, président du Refuge, « toutes nos autres délégations sont souvent constituées autour d’une grande capitale régionale et sont donc assez bien pourvues ».
La ville d’Angers va donc fournir un « local destiné au personnel éducatif et aux bénévoles, composé de trois bureaux et d’une salle commune d’accueil et de vie, où l’association pourra organiser ses réunions collectives, ses bilans mensuels et ses permanences à destination des jeunes ».
Deux salariés à temps plein dans l’action sociale vont être recrutés par le Refuge ainsi qu’une secrétaire comptable dès le 1er septembre.
Le Refuge est à la recherche de six grands appartements disposant chacun de cinq places.

« Un lieu et un accompagnement spécifiques »

Le Refuge, créé en 2003, lutte contre l’homophobie en apportant soutien et hébergement aux personnes qui en sont victimes.
L’association accueille 30% de demandeurs d’asile. « Depuis 2015, la structure a vu leur effectif fortement augmenter, passant de 30 jeunes à 146 en 2018 », précise l’association.
« Pour garantir l’intégration des jeunes réfugiés, nous devons leur proposer un lieu et un accompagnement spécifiques », explique Richard Renault, délégué régional des Pays de la Loire du Refuge, « d’une part parce que nous les accompagnons plus longtemps que les autres jeunes (de 6 mois minimum à plus d’un an, contre trois mois minimum), d’autre part parce que nous ne pouvons pas les héberger en chambre d’hôtel comme nous le faisons ponctuellement lorsque nos places en appartements ne suffisent pas à la demande ».
Sur les 146 personnes en demande d’asile hébergées par Le Refuge en 2018, 40 ont pu bénéficier d’un statut de protection.

« Un parc multiplié par 7 en 4 ans »

Le gouvernement a lancé en octobre dernier un appel à projet national pour créer 2 000 nouvelles places en centres provisoires d’hébergement pour réfugiés. Un projet qui s’inscrit dans le cadre de sa stratégie nationale pour l’accueil et l’intégration des personnes réfugiées.
« Les centres provisoires d’hébergement permettent aux bénéficiaires de la protection internationale les plus vulnérables de bénéficier d’un hébergement temporaire avec un accompagnement renforcé avant leur accès à un logement pérenne », précise une note du ministère de l’Intérieur, en date d’avril dernier, « pour ce public, caractérisé par une fragilité psychologique et sociale, cette période est nécessaire pour acquérir une autonomie suffisante et parvenir à une intégration durable dans notre société ».
Les 2 000 nouvelles places ainsi créées en 2019 porteront le parc à la fin de l’ année à 8 707 places, « soit un parc multiplié par 7 en 4 ans », précise le gouvernement.

Cyril Petrau, jeune angevin de 25 ans professionnel des services à la personne, souhaite créer une antenne du Refuge dans le Maine-et-Loire. L’association nationale de lutte contre l’homophobie ne compte en effet aucun relais dans la région à ce jour. Il lance donc un appel aux bénévoles désireux de s’engager pour accompagner au quotidien les jeunes gens, garçons et filles, rejetés par leurs proches en raison de leur orientation sexuelle.

La première étape consisterait à créer une permanence du Refuge pour accueillir les jeunes en souffrance et leur apporter un soutien social et psychologique. À moyen terme, la structure pourrait les prendre en charge en leur proposant un logement temporaire dans le département pour les accompagner vers l’autonomie. Cyril Petrau espère donc recevoir le renfort de toutes les bonnes volontés, entre autres de bénévoles issus du secteur social (psychologues, travailleurs sociaux, médecins, juristes…). Enfin, l’apport financier de partenaires publics et privés sera indispensable pour créer une structure pérenne.

à propos du Refuge – Le Refuge est la seule association de lutte contre l’homophobie reconnue d’utilité publique et l’unique structure en France, conventionnée par l’État, à proposer un hébergement temporaire et un accompagnement social, médical et psychologique aux jeunes majeurs, filles et garçons, victimes d’homophobie ou de transphobie. L’association compte 12 délégations et antennes : Montpellier, Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, St Denis de la Réunion, Bordeaux, Perpignan, Narbonne, Avignon, Bastia. Elle compte 3283 adhérents et héberge actuellement 70 jeunes en appartements-relais et structures hôtelières.

Ligne d’appel d’urgence 24h/24 7J/7 : 06 31 59 69 50.

Contact : Cyril Petrau  : [email protected]