Table des matières
- Le Turc de Van, beau chat au poil doux et soyeux
- Descriptif et caractéristiques du Turc de Van
- Origine du Turc de Van
- Caractère et comportement du Turc de Van – À qui s’adresse-t-il ?
- Comment prendre soin de son Turc de Van : ses besoins
- L’alimentation du Turc de Van
- La santé du Turc de Van
- Prix d’un chaton Turc de Van
- Le Devon Rex, le chat aux oreilles triangulaires
- Caractéristiques du Devon Rex
- Historique de la race Devon Rex
- Conditions de vie nécessaires et comportement du Devon Rex
- Alimentation et principaux problèmes de santé du Devon Rex
- Prix d’un chat ou d’un chaton de race Devon Rex
- Abyssin
- American curl
- Angora turc
- Bleu russe
- Bobtail japonais
- Bombay
- Burmese
- Chartreux
- Chat turc du lac de Van
- Devon rex
- Européen
- Exotic shorthair
- Havana
- Korat
- Maine coon
- Manx
- Mau égyptien
- Munchkin cat
- Norvégien
- Ocicat
- Oriental
- Persan
- Scottish fold
- Siamois
- Somali
- Sphynx
- Tonkinois
- Once
- Once (Schreber 1775) – Panthera uncia
- Description de l’once
- Habitat de l’once
- Comportement de l’once
- Reproduction de l’once
- Régime alimentaire de l’once
- Menaces sur l’once
Le Turc de Van, beau chat au poil doux et soyeux
Intelligent, vif, affectueux, voire possessif, sociable, le Turc de Van est aussi un très beau chat au poil doux et soyeux. Il possède un caractère bien trempé mais s’avère docile quand il a accordé sa confiance à son maître. Il constitue un excellent chat de compagnie.
- Taille : 25 cm à 30 cm
- Poids : 4 kg à 8 kg
- Poil : long l’hiver, court l’été
- Couleur : bicolore avec une base blanche
- Espérance de vie : 15 ans
- Durée de gestation : 60 à 63 jours
Descriptif et caractéristiques du Turc de Van
Le Turc de Van est un gros chat à l’allure lourde et musclée tout en étant très agile. Sa tête en forme de triangle, son museau arrondi et ses joues proéminentes sont reconnaissables. Il porte ses oreilles bien dressées sur sa tête, ou parfois légèrement orientées vers le bas. Le Turc de Van a des yeux très expressifs, le plus souvent de couleur ambre ou bleue. Il a la particularité, comme certaines autres races de chats, d’avoir ses pattes arrière un peu plus longues que celles de devant.
Sa principale caractéristique physique est la mue qu’il subit quand les beaux jours arrivent. Ses poils doux et mi-longs d’hiver tombent en effet en masse à cette période, sauf ceux de sa queue. À la belle saison, le Turc de Van a ainsi des poils courts. Sa queue, marquée par des sortes d’anneaux roux, reste elle en forme de panache, quel que soit le moment de l’année. Sa robe est bicolore : blanche sur tout le corps et des taches de couleur plus foncée, souvent brunes ou rousses, sur sa queue et sa tête.
Origine du Turc de Van
On trouve des traces très anciennes du Turc de Van, à l’époque romaine. Géographiquement, ce chat est originaire de territoires situés près du lac Van au sud-est de la Turquie, tout près de l’Arménie, des hauts plateaux aux conditions climatiques très difficiles. Au milieu des années 1950, le Turc de Van a été exporté en Grande-Bretagne où sa race a été améliorée. Personne n’est vraiment sûr de ses ancêtres mais certains pensent qu’il pourrait descendre de l’Angora turc.
Caractère et comportement du Turc de Van – À qui s’adresse-t-il ?
Le Turc de Van a la particularité d’être un chat dynamique et très turbulent. Il adore jouer et trouver des activités nouvelles pour satisfaire sa curiosité. C’est un chat qui aime aussi beaucoup l’eau et qui s’avère même être un bon nageur. Indépendant, le Turc de Van est cependant très affectueux et il peut se montrer très possessif vis-à-vis de ses maîtres. C’est également un chat sociable, autant avec les autres animaux, qu’avec les personnes étrangères à sa famille.
Comment prendre soin de son Turc de Van : ses besoins
En raison de sa grande activité, le Turc de Van n’est pas fait pour vivre renfermé dans un appartement. Il lui faut au minimum un balcon pour se sentir bien. Le mieux est de pouvoir lui proposer un jardin avec des arbres pour qu’il puisse grimper à loisir, l’une des ses occupations préférées. Côté entretien, le Turc de Van ne demande aucun soin particulier hormis un brossage régulier de son poil.
L’alimentation du Turc de Van
Le Turc de Van ne nécessite pas une alimentation particulière. Ce peut être au choix, de la nourriture maison comme des croquettes de bonne qualité. Il faut simplement veiller à équilibrer sa nourriture en fonction de l’âge, de l’état de santé et de l’exercice physique du Turc de Van.
La santé du Turc de Van
On ne connaît pas de maladies particulières à la race du Turc de Van. Comme tous les chats, il convient de le vacciner régulièrement et de le faire contrôler en matière de parasites. De la même manière, des visites régulières chez le vétérinaire permettent de détecter éventuellement chez ce chat une maladie cardiaque (la cardiomyopathie hypertrophique) dont il peut être sujet.
Prix d’un chaton Turc de Van
Le prix d’un chaton Turc de Van va dépendre du sexe, du pedigree des parents, de la conformité aux standards de la race, etc.
- Prix d’un mâle Turc de Van : 750 à 1 050€
- Prix d’une femelle Turc de Van : 750 à 1 050€
Le Devon Rex, le chat aux oreilles triangulaires
On le confondrait volontiers avec le sphynx à la différence que le Devon Rex est pourvu de poils. Son apparence très singulière a fait de lui la chasse gardée de quelques vrais férus de chats. Cette race débordante d’énergie a besoin d’être correctement éduquée, sans quoi, l’animal risque de tout saccager chez vous.
Caractéristiques du Devon Rex
De type semi-tobby, le corps développe une certaine musculature et de la fermeté. Le chat n’est pas très grand et est plutôt fin. Son ossature tout comme ses pattes et sa queue sont fines. Les pieds ovales sont également petits. Le Devon Rex possède un faciès atypique qui fait toute sa particularité. Sa tête est conique et n’est pas du tout proportionnelle par rapport au corps puisqu’elle est petite mais ses pommettes proéminentes ne passent pas inaperçues. Cela contraste avec les oreilles et les yeux qui sont grands. A propos des oreilles justement, elles sont triangulaires et ouvertes à la base.
Un autre trait distinctif du Devon Rex est sa fourrure peu fournie en poils. Ces derniers doivent être ondulés ou former des vagues. La poitrine ou le ventre notamment affichent des poils fins mais qui sont plus épais sur la queue, le dos ou la tête. En ce qui concerne la couleur, à part l’ambre, le standard accepte toutes les teintes. Attention néanmoins aux parties trop dénudées qui sont sanctionnées.
Historique de la race Devon Rex
Le Devon Rex est une race récente. Son histoire commence en 1960 lorsque Beryl Cox a croisé un chat des rues avec une chatte domestique. Elle obtint un chaton très singulier baptisé Kirlee qui avait de grandes oreilles et des poils ondulés. Ce dernier sera remis à un éleveur de cornish rex pour développer une nouvelle race. Le résultat n’a pas été celui escompté puisque les chatons issus des croisements avaient un poil normal et non frisé. Le programme continua jusqu’à la découverte d’un gène, celui du Devon Rex. Cette race sera reconnue en 1968 par la Fédération internationale féline.
Conditions de vie nécessaires et comportement du Devon Rex
Malgré son air timide, le Devon Rex est en fait un chat coquin, espiègle et très joueur. Il est également très sociable et peut apprécier quelqu’un très rapidement. Il ne se fera pas prier pour venir sauter sur vos épaules car il est très joueur. Il aime énormément la présence de ses maîtres et d’ailleurs, c’est un vrai câlineur. Il ne ratera pas une occasion de se blottir dans les bras de ses propriétaires et d’y rester. La solitude lui fait donc peur. Il n’est pas non plus difficile pour ce qui est de l’environnement dans lequel il évolue. Il peut vivre autant dans un appartement qu’une maison.
Alimentation et principaux problèmes de santé du Devon Rex
Le Devon Rex peut vivre jusqu’à 16 ans. Mais comme c’est une race récente et que la consanguinité a été très pratiquée dans le développement de celle-ci, le Devon Rex est victime de maladies héréditaires comme la myasthénie ou la luxation de la rotule.
Côté alimentation, faites attention car ce grand gourmand est insatiable ce qui peut lui jouer des mauvais tours et faire apparaître des troubles intestinaux.
Prix d’un chat ou d’un chaton de race Devon Rex
- Prix Devon Rex mâle : 1 100 €
- Prix Devon Rex femelle : 1 300 €
Crédits photos : Nickolas Titkov n°1, n°2 et n°4 – Pathfinder Linden n°3
Abyssin
De gabarit moyen, l’abyssin est un chat mince et élégant qui se meut avec l’élasticité et le sens de l’équilibre propres aux grands félins. Doté d’une forte personnalité, il demeure malgré secret et pudique tout par moments.
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American curl
L’originalité de l’American curl réside dans la forme de ses oreilles. Placées haut, garnies de petites touffes de poils, elles s’enroulent à l’envers vers le sommet de son crâne et lui donnent une drôle de frimousse.
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Angora turc
Originaire de Turquie, il s’agit du premier chat à poil long introduit en Europe par un voyageur italien au 16e siècle. Eclipsé par le persan, il est sauvé de l’oubli total par des éleveurs américains qui en importent du zoo d’Ankara.
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Bleu russe
De ce chat aux yeux verts se dégage un charme auquel on ne peut rester insensible très longtemps. Longiligne et gracieux, il porte une robe d’un bleu gris clair avec des reflets argent, semblables à de la neige.
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Bobtail japonais
A première vue, c’est un chat sans grande originalité. En y regardant de plus près, on se rend compte qu’il possède une queue bizarre repliée sur elle-même. Au Japon, on la compare à une fleur de chrysanthème.
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Bombay
Avec sa robe de jais et ses yeux de cuivre, le chat Bombay ressemble à une réplique miniature de ce mystérieux animal sauvage. Une beauté à faire douter les superstitieux qui croient encore que les chats noirs portent malheur.
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Burmese
Originaire de Birmanie, sa reconnaissance officielle a lieu en 1936 aux Etats-Unis. S’il est encore peu connu en France, à chacune de ses apparitions dans une exposition féline, il suscite l’admiration des visiteurs.
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Chartreux
Même s’il ne doit pas grand chose à l’ordre des Chartreux, ce superbe chat gris à la robe laineuse, très populaire dans l’Hexagone, est typiquement français. L’élevage a commencé vraiment au début du 20e siècle grâce à deux éleveuses bretonnes, les demoiselles Léger.
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Chat turc du lac de Van
Pour distinguer un chat turc d’un autre chat, c’est très facile : jetez-le à l’eau… gentiment s’entend ! S’il semble aussi à l’aise qu’un poisson, il s’agit bien d’un chat turc du lac de Van, seul chat aimant l’eau au point de nager volontiers.
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Devon rex
Anglais, original et sophistiqué, le devon rex est, comme les autres chats de type rex, couvert d’un pelage ras et frisé. Encore peu répandu en France, il y rencontre cependant un beau succès de curiosité dans les expositions félines.
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Européen
Reconnue comme une race à part entière en 1982, certains voient même en lui le gouttière » idéal « . Il a conquis ses quartiers de noblesse et figure aujourd’hui dans toutes les expositions félines sous le nom d’européen.
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Exotic shorthair
Doublure parfaite du persan mais à poil court, l’exotic shorthair en possède la corpulence robuste. Très répandue aux Etats-Unis, cette race trouve de plus en plus d’adeptes en Europe.
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Havana
Originaire d’Asie du Sud-Est, l’apparition du havana, appelé aussi havana brown ou chestnut havana, remonte au début du 20e siècle. Certains pensent que son nom lui vient de sa couleur qui évoque un bon cigare cubain.
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Korat
Le korat vient de Thaïlande et c’est une race très ancienne. Son nom d’origine, « Si Sah-waht », signifie prospérité. Ce magnifique chat bleu-gris est rare en France.
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Maine coon
Tout chez le maine coon peut être qualifié d’exceptionnel. A commencer par son histoire entourée de légendes ; son physique tout à fait particulier ; son caractère d’une gentillesse exemplaire… bref, ce chat vaut réellement le détour !
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Manx
Un chat qui ne possède pas de queue, c’est déjà très étrange. Mais, quand en plus il se déplace comme un lapin, cela devient franchement bizarre ! Excepté ces particularités, le manx mène une vie de chat, somme toute bien ordinaire.
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Mau égyptien
Le mau égyptien est la seule race de chat domestique naturellement tachetée. Son nom vient de l’égyptien » mau » qui signifie » chat « .
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Munchkin cat
En France, la première apparition de ce chat d’origine américaine remonte à une quinzaine d’années. Le munchkin cat est issu d’une mutation génétique spontanée. Les premiers chatons à pattes courtes sont apparus de manière naturelle dans une portée.
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Norvégien
Rustique, solide et protégé par une opulente fourrure, le » skogkatt « , autrement dit » le chat des bois » est bâti pour affronter les froids les plus coupants. Inconnu en France jusqu’en 1986, ce magnifique félin à la personnalité très affirmée connaît une popularité croissante.
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Ocicat
Le nom d’ocicat est né de la contraction des mots ocelot, un grand félin sauvage, et cat. Il est apparu suite à un croisement délibéré entre un siamois et une chatte mi-siamois mi- abyssin.
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Oriental
Elégant, longiligne, l’oriental est un séducteur. Cependant, si pour vous, un chat doit incarner le calme et la tranquillité, tournez la page ! Sinon laissez-vous charmer par ce joli matou : il a de quoi faire “craquer” même les plus réticents.
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Persan
Plus qu’une race féline, les persans sont devenus une “confédération” de races persanes. En effet, il existe aujourd’hui plus de 200 variétés. Son physique enchante ou déplaît, mais ne laisse personne indifférent.
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Scottish fold
Mais non, le scottish fold n’est pas plus malheureux qu’un autre ! Ce petit air triste, il le doit à la forme de ses oreilles. Une façon comme une autre d’obtenir tout ce que l’on veut sans rien demander …
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Siamois
En vérité, les siamois ne font pas toujours l’unanimité : on les aime ou on ne les aime pas ! Très beaux, très “bavards” et très prolifiques, ces chats sont excessifs et ne font rien comme les autres.
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Somali
C’est le chat d’une seule famille. Pire, d’un seul maître ! Doué d’une intelligence fine et d’une grande sensibilité, le somali s’avère être un compagnon très attachant.
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Sphynx
Sans le succès du film E.T., le sphynx n’aurait probablement jamais suscité l’intérêt que nous lui portons aujourd’hui. Comme toute créature étrange, ce chat inspire à la fois l’amour et la répulsion. Mais sous son apparence extraordinaire, se cache un animal doux et affectueux.
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Tonkinois
Moitié siamoise, moitié burmese, sa silhouette se situe entre ces deux races. De taille moyenne et élancée, il a des airs de siamois avec des formes un peu plus arrondies. Quant à ses yeux, telles deux aigues-marines, ils comptent parmi les beaux de la gent féline.
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Once
Photo d’une once. © Aaron Logan, Commons Attribution 2.0 Generic license
Once (Schreber 1775) – Panthera uncia
- Ordre : Carnivora
- Famille : Felidae
- Sous famille : Pantherinae
- Genre : Panthera
- Taille : 0,90 à 1,30 m (hauteur au garrot 0,60 à 0,70 m et longueur de la queue 0,90 m)
- Poids : 35 à 55 kg
- Longévité : 15 ans
Statut de conservation UICN : EN en danger
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Description de l’once
Également appelée » irbis « , l’once est un Félin au pelage long et épais, tacheté de rosettes sur la partie supérieure, dont la teinte varie du gris clair au crème. Le dessous du corps est blanchâtre. Ses pattes sont épaisses et permettent ainsi une meilleure distribution du poids pour marcher dans la neige. Ses oreilles sont petites et rondes pour minimiser les déperditions de chaleur corporelle. La queue est longue, touffue et constitue une réserve de graisse. Le museau est court, le front bombé et les cavités nasales de petite taille afin de pouvoir inspirer sans problème l’air glacé des montagnes. Sa taille est un peu inférieure à celle des autres Félins de la famille.
Once. © Patrick Straub
Habitat de l’once
On trouve l’once dans un environnement de montagne où on peut l’apercevoir jusqu’à 6.000 mètres d’altitude. En général il vit au-dessus de la limite des arbres sur les prairies de montagnes et les zones rocheuses. Sa distribution s’étend de l’Indu Kush en Afghanistan et du Syr Daria à travers les montagnes du Pamir, du Tian Shan, du Karakoram, au Cachemire, dans l’Himalaya au sud de la Sibérie, et dans le désert du Gobi en Mongolie.
Comportement de l’once
L’animal est solitaire sauf lors de la période de reproduction. Il n’est pas territorial et accepte que d’autres membres de son espèce franchissent son domaine vital dont la superficie varie en fonction des quantités de nourriture disponibles. Le félin est extrêmement discret et est plus actif à l’aube et au crépuscule. À l’instar des autres grands chats, il utilise les marques olfactives pour délimiter son territoire.
Reproduction de l’once
Le cycle de reproduction commence à la fin de l’hiver. L’œstrus ne durant que de cinq à huit jours, les mâles n’ont pas tendance à chercher d’autres partenaires et restent avec la femelle pendant cette période. Ils peuvent avoir de 12 à 36 rapports journaliers. La gestation est de 90 à 100 jours, ce qui amène la naissance des petits au printemps, en avril ou en mai. Les petits naissent aveugles dans la tanière choisie par la mère. Ils voient la lumière du jour au terme d’une semaine et commencent à marcher au bout de cinq semaines. Ils sont totalement sevrés à 10 semaines. Les jeunes commencent à quitter la tanière vers 2 mois et restent avec leur mère qui leur enseigne les techniques de la chasse, jusqu’à un an et demi environ. La maturité sexuelle est atteinte au terme de deux ou trois ans.
Once. © Bernard Landgraf, GNU Free Documentation License, Version 1.2
Régime alimentaire de l’once
L’once est un prédateur opportuniste et se nourrit de ce qu’il trouve : produit de sa chasse, charognes mais aussi bétail. Généralement ils abattent des bharals, des markhors, des urials, des thars, des bouquetins et autres mouflons ou chèvres de montagne, mais consomment également des marmottes, des rongeurs tels que les pikas ou les lièvres, et des oiseaux. Il chasse à l’affût et se met en embuscade jusqu’à ce que sa victime soit à portée. L’animal est capable de faire des bonds de 14 mètres de longueur et de poursuivre sa proie sur près de 300 mètres dans des conditions de terrain très difficiles.
Once. © Aaron Logan, Creative Commons Attribution 2.0 Generic license
Menaces sur l’once
La population sauvage a été estimée à 6.500 individus dans sa zone de répartition en 2003, mais le chiffre est très certainement en dessous de la réalité. Certains pensent moins de 5.000… L’espèce a été classée en liste rouge des animaux en danger de disparition depuis 1972. Bien que de gros efforts soient réalisés par les gouvernements concernés pour tenter de maintenir la panthère des neiges dans son milieu naturel, et que de nombreux zoos contribuent à la préservation de l’espèce, celle-ci est menacée par le braconnage, aussi bien pour sa peau que pour ses autres organes qui entrent dans de nombreuses compositions de la médecine chinoise traditionnelle. Les félins sont également capturés pour entrer dans des collections animalières privées en Asie Centrale.
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