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- Le support de l’insuffisance rénale chez le chat
- Le support diététique et médical de l’insuffisance rénale chez le chat
- Support diététique de l’insuffisance rénale du chat
- Support médical de l’insuffisance rénale du chat
- Facebook
- Des médicaments humains inadaptés
- Inhibiteur calcique d’action lente
- Des essais sur six mois pour Amodip°
- L’effet » blouse blanche «
- Hyperthyroïdie et hypertension
- Un demi à un comprimé par jour
- Une élimination hépatique lente.
- Effets indésirables
- Bénéfique avec le bénazépril ?
- Sur prescription vétérinaire
- Concurrence sur l’amlodipine…
- Insuffisance rénale chronique (IRC).
- Gestion des récidives d’urolithiase à oxalate de calcium chez le chat dont la fonction rénale est diminuée.
- Encéphalose hépatique.
- Gestion des récidives d’urolithiase nécessitant d’alcaliniser le pH urinaire : calculs d’urate, de cystine…
- Gestation, lactation, croissance.
- Lors d’insuffisance rénale chronique (IRC), le phosphore n’est plus éliminé correctement par le rein. La limitation d’apport de phosphore est une mesure essentielle pour freiner le développement de l’insuffisance rénale.
- Le complexe synergique d’antioxydants (vitamines E et C, taurine, lutéine) limite la dégradation de l’ADN cellulaire, renforce l’immunité et ralentit les effets du vieillissement.
- Les acides gras poly-insaturés Oméga-3 à longues chaînes comme l’EPA peuvent contribuer à maintenir la filtration glomérulaire, à améliorer la perfusion rénale et à minimiser l’inflammation cellulaire.
- L’urémie peut provoquer des ulcères de l’estomac et de la muqueuse intestinale. La zéolite et les FOS ont pour objectif de limiter le risque associé de troubles digestifs.
Ipakitine : Poudre contre l’insuffisance rénale
L’insuffisance rénale est une affection dégénérative majeure retrouvée chez les chiens et les chats prenant de l’âge. Les reins étant des organes de filtration essentiels pour l’organisme, leur défaillance entraine une accumulation rapide et délétère de déchets du métabolisme. Ces déchets à haute dose sont toxiques pour de nombreux groupes cellulaires comme les neurones, les cellules de la muqueuse digestive. L’atteinte de ces cellules peut provoquer des signes cliniques sévères comme des convulsions, des diarrhées ± hémorragiques, des ulcères buccaux, etc.…
La découverte clinique d’une insuffisance rénale conduira le clinicien à la mise en place de traitements médicaux à vie nécessitant des réévaluations régulières. Ces traitements auront une action directe sur la fonction rénale comme une modulation du débit sanguin ou de la sécrétion hormonale rénale, d’autre auront une action de réduction des déchets non filtrés par les reins.
Les déchets urémiques ainsi que le phosphore sont deux composés s’accumulant rapidement lors de l’émergence d’une insuffisance rénale. Outre leur utilité pour diagnostiquer et évaluer cette insuffisance, ils auront des conséquences délétères majeures sur l’organisme. L’ipakitine® contient deux molécules permettant la réduction de ces composés. Le chitosan est un composé permettant l’absorption intestinal des toxines urémiques produites par les bactéries lors de la digestion du bol alimentaire ainsi que des ions phosphores présent dans la ration. Le carbonate de calcium est lui aussi un chélateur des ions phosphores.
Sa formulation permet un dosage précis selon le poids des sujets. Son innocuité au niveau de l’organisme permet une utilisation sans risque et son appétence garantit une prise quotidienne facilitée.
Ce complément alimentaire Ipakitine doit cependant être mis en place en association avec une thérapeutique adaptée ainsi qu’un suivi régulier. Le soutien de la fonction rénale assurera une amélioration de la qualité de vie de votre animal de compagnie insuffisant rénal.
En complément de l’Ipakitine, il existe aussi une gamme d’aliment spécifique pour les chiens souffrant d’insuffisance rénale. Ces aliments sont formulés pour aller au maximum le travail du rein et de limiter son vieillissement.
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Table des matières
Le support de l’insuffisance rénale chez le chat
Le support diététique et médical de l’insuffisance rénale chez le chat
Support diététique de l’insuffisance rénale du chat
L’ipakitine
Cette préparation améliore la qualité de vie et la longévité en cas d’insuffisance rénale chronique.
Sa composition est la suivante :
– Ingrédients : Carbonate de calcium, Chitosan, (Lactose).
– Constituants analytiques : Cendres brutes 9,9%, Protéines brutes 4%, Calcium 3,7%, Humidité 1%, Matières grasses brutes 0,55%,
Cellulose brutes.
Le chitosan est un polysaccharide naturel produit à partir de la chitine des carapaces de crabes, qui absorbe les toxines urémiques au niveau du tube digestif .
Le carbonate de calcium est un chélateur de phosphore alimentaire.
Ce traitement est indiqué chez le chat et le chien en cas d ‘insuffisance rénale chronique. De l « eau fraiche doit être disponible en permanence. Avant utilisation, il est recommandé de demander l’avis d’un vétérinaire.Il est conseillé de procéder à un bilan sanguin et à une évaluation de la fonction rénale avant le début du traitement. Les bilans sanguins suivants vous donneront une idée des résultats du traitement entrepris.
Royal canin rénal
Les indications sont les suivantes :
Les contre indications sont :
Le traitement diététique est prescrit pour une durée d’au moins 6 mois, au terme desquels un nouveau bilan vétérinaire sera indispensable. Lors du diagnostic de l’IRC les 3/4 des reins sont détruits et la maladie étant irréversible, la thérapie diététique devra être impérativement maintenue pendant toute la vie du chat.
Support médical de l’insuffisance rénale du chat
SEMINTRA
Dans quel cas utiliser le semintra ?
Son utilisation est prévue avec l’objectif d’une réduction de la protéinurie associée à l’insuffisance rénale chronique (IRC) chez le chat. L’insuffisance rénale a en effet pour conséquences d’induire secondairement une fonte musculaire généralisée dans son stade avancé.
Ce médicament est un bon support en accompagnement d’une alimentation adaptée.
Il se présente sous forme liquide à administrer quotidiennement à votre chat.
FORTEKOR
Dans quel cas utiliser le fortekor ?
FORTEKOR est indiqué pour le traitement de l’insuffisance cardiaque chez le chien et de la néphropathie chronique chez le chien et le chat. Dans l’organisme, le principe actif (bénazépril) est hydrolysé en bénazéprilate qui est un inhibiteur extrêmement efficace de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC).
Il empêche la transformation de l’angiotensine I en angiotensine II. Il prévient ainsi tous les effets de cette dernière: vasoconstriction et synthèse d’aldostérone et, de ce fait, la réabsorption d’eau et de sodium dans les tubules rénaux.
Chez le chat atteint de néphropathie chronique, FORTEKOR permet de normaliser une pression de filtration glomérulaire augmentée et d’abaisser la pression sanguine systémique. La progression de la néphropathie chronique se trouve en outre retardée par l’effet néphroprotecteur de FORTEKOR .La protéinurie diminue. Fortekor améliore notablement le bien-être et l’appétit de l’animal malade et prolonge sa durée de vie.
Ingrédient actif:
Telmisartan
Description du médicament:
Le telmisartan est un inhibiteur des récepteurs de l’angiotensine.
Indications :
Ce produit est utilisé pour réduire la perte de protéines dans l’urine chez les animaux souffrant de maladie rénale chronique.
Contre-indications :
À moins d’avis contraire d’un vétérinaire, il ne faut pas utiliser ce médicament chez les femelles gestantes ou allaitantes, chez les animaux âgés de moins de 9 mois, ceux qui sont allergiques aux inhibiteurs des récepteurs de l’angiotensine ni chez ceux qui souffrent de maladie rénale aigue, d’une diminution du volume sanguin, de déshydratation, de diabète ou de maladie cardiaque ou hépatique.
Veuillez discuter avec un vétérinaire ou consulter la monographie qui accompagne le produit pour avoir plus d’informations concernant les contreindications.
Effets secondaires :
Ce produit peut causer une baisse de pression sanguine temporaire, de l’anémie, un peu de régurgitations, des vomissements, de la diarrhée, des selles molles, des ulcères au niveau du système digestif ou un problème au niveau du foie qui se résorbe habituellement suite à l’arrêt du traitement.
Veuillez consulter la monographie qui accompagne le produit pour en savoir plus sur les autres effets secondaires possibles.
Suivi recommandé :
S’assurer que l’état de l’animal s’améliore et qu’il ne souffre pas d’effets secondaires.
De plus, il faut évaluer régulièrement les paramètres suivants : les fonctions rénale et hépatique, la présence de protéines dans l’urine, la pression sanguine, le volume sanguin et le niveau de globules rouges.
Interactions avec d’autres médicaments :
Le telmisartan peut interagir avec la digoxine.
Il est important d’aviser le vétérinaire si l’animal reçoit déjà cette médication au moment de commencer le Semintra®.
Entreposage :
À la température de la pièce, dans son contenant original fermé hermétiquement entre chaque utilisation. Les excès de chaleur ou de froid sont à éviter.
Ce médicament doit être utilisé dans les 6 mois suivant la première ouverture du flacon ou, s’il expire avant cette date, jusqu’à la date d’expiration.
Avertissement :
On peut mélanger le produit dans une petite quantité de nourriture si c’est impossible de l’administrer directement dans la gueule de l’animal. Il faut, bien-sûr, s’assurer qu’il mange toute la portion d’un coup.
Pour éviter toute contamination, il faut toujours utiliser la seringue fournie avec le contenant.
Communiquer immédiatement avec un centre antipoison en cas d’ingestion accidentelle.
Rincez les yeux abondamment avec de l’eau claire s’ils entrent en contact avec le produit.
Les femmes enceintes devraient porter des gants pour le manipuler et se laver les mains après.
Gardez hors de la portée des enfants et des animaux.
Communiquez avec un vétérinaire dans les plus brefs délais si les effets secondaires sont sévères, qu’ils s’aggravent ou qu’ils persistent.
Quand nous sommes arrivés au village pour une première visite de la …maison, pas un humain dans les rues. Mais un groupe de chats tenait réunion sur la place du village avec à sa tête une belle petite tigrée. Après la signature chez le notaire en janvier, cela va faire 12 ans, petit tour rapide dans notre nouvelle maison. Qui nous a accueillis? Une belle petite tigrée. Quelque chose de positif se dégageait de cette maison. Était elle déjà habitée par des âmes félines?La place du village était toujours occupée par la même bande de chats du quartier à laquelle les miens se sont joints. A l’été suivant, nous revoyons la petite tigrée avec un chaton. Tous les deux mis dehors car les propriétaires étaient partis en vacances. Nous avons pris en charge la petite famille en grand danger. La petite tigrée s’appellera Chaussette.Son chaton est resté mais elle, craignait notre autre femelle. C’est une amie en face de chez moi qui la prendra en charge. Les réunions publiques se tenaient maintenant dans sa propriété où une bande de chats tenaient conseil en permanence. Nous ne savions plus lequel appartenait à qui. C’était un grand bonheur. Les années ont passé. Beaucoup de chats ont disparu, d’autres sont morts de maladie ou d’accident. Mes chats ne sortent plus. Plus de conseil de quartier chez la voisine. Mais Chaussette a bien choisi sa famille. Elle sera rebaptisée Poupounette et y vivra entourée d’amour. Jusqu’à hier, où elle s’est endormie pour toujours. Elle est partie rejoindre tous les copains et ses chatons dans les étoiles. Nous sommes dévastés. See More
Consensus et controverses.
Consensus. L’amlodipine est le traitement de choix de l’hypertension artérielle (HTA) des chats. De plus en plus souvent diagnostiquée, l’affection atteint surtout des chats âgés de plus de dix ans, voire quinze ans.
Controverses. L’Agence européenne du médicament a donné un avis défavorable à un comprimé dosé à 1 mg d’amlodipine (Lodipressin°) développé par le laboratoire néerlandais Le Vet. Simultanément, l’Agence nationale du médicament vétérinaire (Anses-ANMV) donne, à l’inverse, une AMM au laboratoire français Ceva-Sogeval pour un comprimé, Amodip°, dosé à 1,25 mg d’amlodipine dans cette même indication.
Des médicaments humains inadaptés
Jusqu’à présent, seuls des médicaments humains (Amlor° ou génériques) pouvaient être prescrits dans le cadre de la cascade avec, toutefois, une galénique en gélules et des dosages inadaptés à la taille des chats.
Inhibiteur calcique d’action lente
L’amlodipine est un inhibiteur calcique de la famille des dihydropyridines. Il agit en se liant aux canaux calciques de type L et en provoquant une vasodilatation des artères et artérioles (sans action sur la circulation veineuse).
L’intensité et la durée de l’effet hypotenseur sont dose-dépendantes. Son action lente permet d’éviter une tachycardie réflexe qui pourrait être provoquée par une chute trop brutale de la tension artérielle.
Son action sur le muscle cardiaque pourrait aussi provoquer une bradycardie et un effet inotrope négatif. Ces effets n’ont pas été observés chez les chats dans les études de tolérance sur 26 semaines.
Des essais sur six mois pour Amodip°
L’amlodipine se présente sous la forme de deux énantiomères R (à droite) et S (à gauche).
Les comprimés Amodip°, appétents et sécables en deux, contiennent 1,25 mg d’amlodipine (sous forme de bésilate). Il s’agit d’un traitement long de l’hypertension artérielle chez les chats, sur plusieurs mois, voire à vie. Dans le cadre du dossier d’AMM, les essais cliniques et de tolérance ont été réalisés sur six mois. Les présentations autorisées vont de la boîte de trente comprimés, soit un mois de traitement pour les chats pesant entre 5 et 10 kg, jusqu’à des boîtes de 100 ou 200 comprimés.
Ceva n’a pas encore annoncé de date de lancement de cette spécialité.
L’effet » blouse blanche «
» Avant d’initier le traitement « , le RCP (résumé officiel des caractéristiques du produit) » recommande de confirmer l’hypertension par une mesure de la pression artérielle systolique « . En clinique vétérinaire, c’est plus facile à dire qu’à faire. Car, » l’effet blouse blanche » peut conduire à un surdiagnostic. Il est donc conseillé » d’acclimater l’animal en présence du propriétaire et de faire cinq à dix mesures successives par Doppler, et, en cas de doute, de répéter ses mesures une à deux semaines plus tard « .
Hyperthyroïdie et hypertension
En outre, l’hypertension n’est parfois qu’un signe d’autres affections concomitantes, comme fréquemment une hyperthyroïdie, une insuffisance rénale chronique ou un diabète. Ces causes primaires devraient donc » être identifiées et traitées « . Souvent, le traitement de ces causes primaires, notamment de l’hyperthyroïdie, suffit à normaliser la pression artérielle sans recourir à un antihypertenseur.
Un demi à un comprimé par jour
Chez les chats hypertendus, la dose est de 0,125 à 0,25 mg/kg d’amlodipine en une prise par jour (avec ou sans nourriture), soit un comprimé pour les chats pesant entre 5 et 10 kg, un demi-comprimé entre 2,5 et 5 kg et deux comprimés au-delà de 10 kg.
Si nécessaire, après 14 jours de traitement, les doses peuvent être augmentées jusqu’à 0,5 mg/kg au maximum. La pression artérielle du chat traite est suivie toutes les 6 à 8 semaines.
Une élimination hépatique lente.
La biodisponibilité de l’amlodipine est de 74 % avec un pic plasmatique à 25 ng/ml à la dose de 0,25 mg/kg. Le fort volume de distribution de 10 L/kg signe une forte diffusion tissulaire.
L’amlodipine est métabolisée par le foie. Son élimination est lente avec une demi-vie de 53 heures. L’état d’équilibre est donc atteint seulement en deux semaines à la dose de 0,125 mg/ml.
Cette lente élimination hépatique justifie que l’amlodipine soit contre-indiquée en cas » d’insuffisance hépatique grave « , ou, à utiliser avec précaution lors de » trouble hépatique » ainsi que lors » d’insuffisance cardiaque ou sur des animaux légers de moins de 2,5 kg « .
Effets indésirables
Dans l’essai clinique, des vomissements transitoires et modérés ont été observés dans 13 % des cas. D’autres effets » légers et transitoires » sont signalés dans le RCP : troubles digestifs (anorexie, diarrhée), léthargie, déshydratation.
A 0,25 mg/kg, une hyperplasie gingivale modérée avec une augmentation des nœuds lymphatiques sous-mandibulaires est fréquente chez les jeunes chats sains inclus dans l’essai de tolérance. Mais elle n’a pas été observée chez les chats âges hypertendus.
En surdosage à 0,75 mg/kg/j et 1,25 mg/kg/j sur 6 mois sur des jeunes chats sains, l’effet est plus marqué avec une gingivite et une hyperplasie lymphoïde des nœuds lymphatiques mandibulaires, associées à une diminution de la kaliémie et des concentrations en chlorures plasmatiques.
Bénéfique avec le bénazépril ?
Le RCP met en garde sur des interactions théoriques avec d’autres médicaments hypotenseurs : les diurétiques, les IECA (bénazépril), un sartan (telmisartan) ou d’autres inhibiteurs du système rénine-angiotensine-aldostérone, les bêtabloquants, les alpha2agonistes (médétomidine), et d’autres vasodilatateurs ou inhibiteurs calciques…
L’essai clinique n’a toutefois pas mis en évidence de cas d’hypotension lors d’association avec le bénazépril. À l’inverse le RCP mentionne que » l’association d’un IECA et d’un inhibiteur des canaux calciques pourrait être bénéfique aux chats hypertendus présentant une protéinurie « .
Sur le muscle cardiaque, l’amlodipine a un effet reconnu inotrope ou chronotrope négatif (bradycardie). Cela conduit aussi le RCP à mentionner une mise en garde (théorique) avec les autres agents inotropes ou chronotropes négatifs : les bêtabloquants, les inhibiteurs calciques cardiosélectifs, les antifongiques imidazolés (itraconazole).
Sur prescription vétérinaire
L’amlodipine est inscrite en liste I des substances vénéneuses. Amodip° ne pourra donc être vendu que sur ordonnance avec un renouvellement implicitement interdit sauf indication contraire du prescripteur. La délivrance est limitée à un mois de traitement en une seule fois sauf en cas de vente d’un conditionnement adapté à une durée plus longue, comme la boîte de 100 comprimés par exemple.
Concurrence sur l’amlodipine…
Suite à l’avis défavorable de l’Agence européenne du médicament contre les comprimés Lodipressin° dosés à 1 mg d’amlodipine, le laboratoire néerlandais Le Vet a déposé un recours qui est en cours d’examen. Si l’Agence européenne accepte finalement de revenir sur son premier avis défavorable, deux comprimés d’amlodipine dosés à 1 mg (Lodipressin°, Le Vet) et 1,25 mg (Amodip°, Ceva) seront donc autorisés à quelques mois d’intervalle.