- Red squirrel with dandelion seeds. Photo: Geert Weggen
- Oh My! Unlike most other marine mammals, sea otters have no blubber and rely on exceptionally thick fur to keep warm. As the ability of the fur to repel water depends on utmost cleanliness, sea otters spend much of their time (while they are not sleeping or eating) grooming, offering photographers an unlimited number of anthropomorphic opportunities. Photo: Harry M. Walker
- Laid Back. On the last day in Gombe Stream National Park, magic happened when a family group of a dozen chimps came down from the trees into a clearing. Photo: Thomas D. Mangelsen
- What are you looking for. Japanese Macaque at Jigokudani Monkey Park. Photo: Pablo Daniel Fernandez
- Hello. Early mornings are a great time to find damselflies warming up on summer days. I found this individual on the yellow iris flower, as it warmed up it would stretch it’s legs giving me the opportunity to capture this image of it seemingly waving at me. Photo: Kevin Sawford
- Deer – What Deer? Shooting the Red Deer rut in Richmond Park, I noticed this deer covered in bracken. It’s not unusual for them to adorn themselves with bracken and grass, but this one’s taken it to extremes. Photo: Mike Rowe
- Bad hair day. It’s hard to find a good hair gel for penguins. You put in all the work to look like Justin Beiber and then a strong wind wrecks your hairdo and makes you look like a fool. Photo: Eric Keller
- One, two, three, four, five … I’m going to find you …. Photo: Valtteri Mulkahainen
- Monday Morning Blues. In Alaska this past summer, we were watching brown bears catching salmon out of a small river. This young juvenile had a very successful morning and walked over next to us and plopped down with a full stomach. Over the next 10 minutes he went through a hilarious range of emotions – from hiding his face from the light of day and completely passing out, to giving us a « diva » look and his overall face of satisfaction. This particular photo is exactly what I look like on a Monday morning. Photo: Eric Fisher
- Family disagreement. Two birds during courtship before nesting. Photo: Vlado Pirsa
- To be or not to be. Photo: Txema Garcia Laseca
- Lion take away. Photo: Willem Kruger
- Lost. Once again, Cecil forgot the map! The caracaras and capybaras have a friendly relationship. Photo: Susan Knowler
- Warning! Territory Marking, follow at your own risk. Photo: TilakRaJ’NagaRaJ
- Space Man. « I’ve got a space suit and a helmet and one day I’ll fly the moon! but only when it’s Banana shaped ». This sweet little Japanese Snow Monkey ran around after he had rolled in the snow. Photo: Roie Galitz
- Grab life by the ….. Photo: Sarah Skinner
- He’s right behind me, isn’t he? Photo: Anthony Petrovich
- « That’s Hilarious Steve. » Photo: Lloyd Durham
- Indecent proposal? Photo: Co Grift
- Hi. These Alaskan sea otters are saying ‘Hi’ to us as we pass by on our boat. Photo: Donna Bourdon
- Is it a bird, is it a plane? I had imagined this photograph for some time but could I be lucky enough to capture the exact moment when the plane is obscured by the bird to give the appearance of a jet-propelled gull? I was lucky enough! Photo: Bob Carter
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Table des matières
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- Dans quels cas pratiquer l’insémination artificielle chez la chienne ?
- Pourquoi pratiquer l’insémination artificielle ?
- Combien coûte une insémination artificielle canine ?
- Existe-il une « saison des amours » chez les humains ?
- Le printemps plus propice au sexe
- Avis d’expert : « L’été , la saison des amours pour tous »
- La période de chaleur du chat : comprendre en neuf points
- Qu’est-ce la période de chaleur chez le chat ?
- Les premières chaleurs chez la chatte
- Combien de temps dure cette période de chaleur ?
- Les changements de comportement pendant la période de chaleur
- Ce qui se passe pendant l’œstrus
- La période de rut chez le mâle
- L’approche du mâle pendant les œstrus
- L’accouplement chez les chats
- Des chatons de différents pères
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Dans quels cas pratiquer l’insémination artificielle chez la chienne ?
Pourquoi pratiquer l’insémination artificielle ?
Le recours à l’insémination artificielle de la chienne peut s’avérer nécessaire pour plusieurs raisons :
- manque de libido ou d’expérience du mâle qui ne parvient pas à saillir la femelle
- saillie rendue physiquement difficile pour des raisons médicales ou de gabarit
- refus de l’accouplement de la part de la femelle en cas de douleurs ou mauvaise expérience
- saillie impossible due à des malformations anatomiques ou contre-indications médicales
- évitement des risques représentés par une saillie naturelle (agressivité entre les animaux, complications médicales comme une fracture de l’os pénien chez le mâle, etc.)
Combien coûte une insémination artificielle canine ?
Sans compter le prix de la semence, extrêmement variable en fonction de la race et des origines du mâle, l’acte vétérinaire pour une insémination canine peut coûter dans les 80 à 100 €. Notez que ce coût est lui-même susceptible de varier selon la méthode utilisée et les praticiens, et n’inclut ni le prix du recueil de semence, ni les examens préalables et le suivi vétérinaire post-intervention.
Existe-il une « saison des amours » chez les humains ?
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Surnommée « saison des amours » car elle correspond à une période de reproduction chez les animaux, le printemps nous pousse-t-il à nous accoupler nous aussi ? Fait-on plus de bébés à ce moment de l’année ? Pas vraiment, selon le Dr. Justine Shuey, sexologue basée à Philadelphie, interrogée par Broadly. Le calendrier peut bien annoncer que l’on est en avril, tous les humains ne vont pas subitement s’accoupler. Une différence avec les animaux qui s’expliquerait par le fait que les bêtes auraient souvent un temps plus limité pour se reproduire. Soit, parce qu’ils ont une durée de vie et de fertilité plus courtes, à l’instar des saumons, comme le souligne la sexologue. Soit parce que comme les pandas, les femelles ne sont fertiles que pendant un très court laps de temps d’où l’importance pour elles d’avoir une saison des amours. Et, en effet, les humains peuvent se reproduire tout au long de l’année car « nous ovulons chaque mois », souligne Megan Stubbs.
Pourtant, au printemps, les arbres fleurissent, les oiseaux font cui-cui et le rosé s’invitent en terrasse. On pourrait donc penser que c’est la saison idéale pour procréer mais non. C’est durant le froid hivernal que nous concevons le plus – et le jour de l’an plus précisément – mais les données montrent que nous copulons du reste tout au long de l’année.
Le printemps plus propice au sexe
Les experts indiquent également que si les humains n’ont pas véritablement de saison fétiche pour concevoir des bébés, ils ont en revanche des moments de l’année où ils ont plus envie de sexe que d’autres. Ainsi, selon une autre étude publiée en 2012, le début de l’été et de l’hiver sont les moments où l’on a le plus envie de faire l’amour. Les chercheurs ont analysé les mots-clés tapés sur Google, en lien avec la pornographie, la prostitution et la quête de partenaires durant une période de cinq ans et ont constaté que les gens étaient nettement plus nombreux à procéder à ce type de recherches durant ces périodes de l’année. Il faut dire que si l’on est célibataire, le froid polaire n’incite pas à sortir le bout de son nez à l’affût d’un partenaire durable. Moins qu’au printemps ou en automne, en tout cas.
Moralité, et c’est une bonne nouvelle, vous pouvez rencontrer quelqu’un toute l’année, que ce soit juste pour s’amuser ou pour passer le reste de votre vie avec. Inutile toutefois d’aller narguer saumons et pandas avec votre découverte, ils ont déjà suffisamment à faire en ce moment !
Avis d’expert : « L’été , la saison des amours pour tous »
Tous les êtres vivants réagissent à la lumière et à la chaleur du soleil. La saison des amours – ou de la reproduction, chez les animaux –, c’est au printemps et cela se poursuit en été. Les oiseaux chantent, c’est joli à écouter de la fenêtre ouverte sur le jardin… Si cela séduit tant d’hommes et de femmes, c’est que ce chant est une parade amoureuse, c’est le mâle rouge-gorge qui invite la femelle à visiter un nid. Et nous, humains, ne pouvons qu’être sensibles aux signaux de l’amour des autres espèces.
Le but de la parade est d’aboutir à une relation sexuelle, pas forcément à l’acte de reproduction. Plus l’espèce a une ovulation silencieuse, plus la parade sera importante, voyante, c’est le seul moyen, autant pour le singe Bonobo que pour l’homme urbain, de voir s’il y a du répondant, soit dit autrement » une fenêtre disponible « . Le monsieur mésange bleue devient encore plus bleu quand il jette ses filets sur une dame mésange. Les femmes, elles, rougissent, forcent sur le maquillage, autant d’attributs supposés les colorer et indiquer leur disponibilité sexuelle. Les hommes répondent à coup d’accessoires de mode ou de cravate extravagante.
En gros, toutes les espèces ont des chaleurs, même si nous, nous contrôlons notre fécondité par la pilule contraceptive et qu’il n’y a plus vraiment de saisonnalité au niveau des naissances. Or souterrainement, qu’on le veuille ou non, ça nous travaille surtout en été, comme le rouge-gorge ou le singe Bonobo. Les phéromones, grandes responsables de l’attirance sexuelle, sont sécrétées dans la sueur et indiquent notre disponibilité, de manière subliminale. On retrouve ces phéromones dans le french kiss.
Plus encore que la lumière, ce qui décuple le désir, c’est la photo-période, soit la différence entre la durée du jour et de la nuit. Plus le jour est long, plus l’énergie vitale se recharge et plus la libido s’exprime. La chaleur que l’on recherche l’hiver sous la couette comme le lièvre dans son terrier ; chaleur bienfaisante que l’on retrouve l’été sur un transat… Le soleil, la chaleur sont les alliés du désir.
Découvrez la suite de notre dossier » La météo du désir » :
Avis d’expert : » La lumière, combustible de la libido «
Avis d’expert : » Oui, la météo a un impact direct sur la libido «
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Les comportements amoureux chez les chats
Par Florence Cailliot-d’Ivernois, comportementaliste
C’est le printemps, la saison des amours, et nos chats adoptent un comportement bien inhabituel. Ils se frottent à nous plus, se roulent à terre, et miaulent à tue tête tant qu’on a pas daigné leur ouvrir les portes leur donnant accès à l’extérieur.
La saison des amours
Saison de renouveau, c’est aussi la saison de tous les risques pour les chats : le taux de mortalité y est particulièrement élevé, surtout chez les mâles. En effet, l’appel de la femelle est si tentant que notre matou – pourtant prudent- est bien moins vigilant aux dangers qui l’entourent. Hypnotisé par les phéromones de la belle, il peut traverser une rue sans regarder et oser pénétrer le territoire interdit du gros matou du coin.
En fait, il y a bien souvent deux saisons des amours pour les chats domestiques (le chat sauvage n’en comptant qu’une) : une au printemps, avec la naissance de petits en mai, et une autre en août avec l’apparition des petits en septembre. Mais il peut aussi arriver que certaines femelles soient aussi en chaleurs en hiver, grâce aux conditions de confort que l’humain leur procure : sécurité, chaleur, nourriture. De quoi élever des chatons en toute quiétude et donc possibilité de se reproduire, même par temps froids.
Il est très fréquent de voir son chat ou sa chatte disparaître pendant plusieurs jours durant cette période, qui peut s’étaler sur minimum quatre jours. C’est le temps nécessaire à la femelle d’ovuler et d’être correctement fécondée.
Les rencontres
Elle part donc aux alentours et appelle les mâles par des cris très spécifiques, longs et plaintifs. Il n’en faut pas beaucoup plus pour que les mâles rappliquent fissa, d’autant qu’elle dégage une odeur particulièrement envoûtante : les phéromones sexuelle dont aucun chat entier ne peut résister.
Tous les matous se retrouvent autour de la belle (qui prend des poses de plus en plus excitantes) et vont se battre pour avoir ses faveurs. Les bagarres sont impitoyables et il n’est pas rare que des chats se retrouvent borgnes ou avec des oreilles déchiquetées après de telles rencontres.
Curieusement, c’est la femelle qui choisi son partenaire. Ce qui est encore plus étrange, c’est comment s’opère son choix. Ce n’est en effet pas forcément le plus gros ou le plus beau chat qui sera choisi pour la féconder en premier. Face à un magnifique Persan bien bâti, madame préfèrera plutôt le chat efflanqué, gringalet avec les poils en bataille…
De toute façon, tous les mâles auront la possibilité de se reproduire avec la femelle. Celle-ci a plusieurs ovules à féconder, elle doit donc multiplier ses chances d’y parvenir et elle doit pouvoir accueillir une multitude de patrimoines génétiques différents. Voilà pourquoi dans une portée de chatons qui est le fruit d’une reproduction non contrôlée, tous ont une tête un peu différente. Il y en aura un blanc, un noir, un à poil long, l’autre à poils ras etc… c’est qu’il ont des pères différents !
Le coït
C’est le premier mâle qui monte la chatte qui déclenche son ovulation. A l’inverse des humaines, la chatte n’ovule pas tous les mois mais uniquement après le premier coït de la saison des chaleurs. Le mâle attrape la dame par le cou durant le rapport, pour éviter de se faire griffer et mordre, car celle-ci ne se laisse pas approcher si facilement malgré ses envies…Son pénis étant recouvert d’épines pointues, lorsqu’il se retire la femelle miaule violemment, sans doute de douleur. Mais c’est manifestement cette douleur qui provoque l’ovulation.
Lorsque la femelle ne ressent plus de » désir « , et que tous les mâles sont comblés, chacun rentre chez soi, (en plus ou moins bon état), et la suite des événements se fera sentir quelques semaines plus tard, à la naissance des chatons. Les chaleurs peuvent reprendre deux à trois semaines seulement après la mise bas, il faut donc rester vigilant si l’on ne veut pas se retrouver surchargé de chatons !
La période de chaleur du chat : comprendre en neuf points
(Mis à jour le: 3 novembre 2019)
On peut croire qu’à un certain moment, notre chatte ne va pas bien avec ses miaulements bruyants et insistants, ses comportements étranges et son affection débordante. Ne vous inquiétez pas, c’est qu’elle peut être en période de chaleur. Il est à préciser que la période de chaleur concerne la femelle et chez le mâle, on parle plutôt de période de rut. Dans les deux cas, c’est la saison des amours.
Dans ce dossier, nous allons plus nous concentrer sur la femelle, notamment sur la période de chaleur.
Qu’est-ce la période de chaleur chez le chat ?
Pour simplifier les termes, on peut définir la période de chaleur chez la chatte comme sa période de reproduction. C’est uniquement pendant ce laps de temps qu’elle est prête à se reproduire et elle part à la recherche du mâle. Cette saison est rythmée par la lumière du jour. Elle se produit dès que les jours se prolongent et ce, une fois tous les six mois. Pour les animaux d’intérieur qui vivent avec les lumières artificielles, les chaleurs ou les œstrus peuvent se produire toute l’année.
Les premières chaleurs chez la chatte
Les premiers cycles de chaleur de la chatte apparaissent dès qu’elle atteint sa puberté. Cette dernière n’arrive pas au même mois chez les individus et les races. Pour certaines chattes, elle peut survenir dès les quatre mois tandis que pour d’autres, elle sera beaucoup plus tardive. Si vous avez une femelle Persan, par exemple, il faudra attendre jusqu’à ses neufs mois.
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Combien de temps dure cette période de chaleur ?
Il faut comprendre que chez la chatte, le cycle œstral est composé des chaleurs ou de l’œstrus et du dioestrus ou la période d’inactivité. Cet ensemble fait en moyenne 18 à 24 jours. La femelle est prête à accoupler et rencontre quelques changements de comportement pendant l’œstrus. Cette dernière peut durer entre quatre et une dizaine de jours, en fonction de l’individu. Si l’accouplement ne se produit pas, le cycle œstral va reprendre et on aura une nouvelle tous les deux à trois semaines.
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Les changements de comportement pendant la période de chaleur
Si vous avez déjà eu un chat, notamment une femelle, vous allez reconnaître facilement cette période, car son comportement change. Aussi agressive que peut être votre animal de compagnie, il sera plus affectif pendant cette période. Il aura tendance à se frotter contre vos jambes ou contre les meubles. La chatte peut également passer plus de temps à sa toilette intime. Pour aucune raison, elle aura des miaulements bruyants et insistants, notamment la nuit, car elle a besoin de sortir. Lorsqu’une chatte est en période de chaleur, elle peut avoir une postule particulière : tête en bas, pattes antérieures fléchies, arrière du corps et queue bien relevées.
Ces changements de comportement ne devront pas pour autant vous inquiéter. Votre chat n’est pas malade et tout ceci est physiologique.
Ce qui se passe pendant l’œstrus
La phase de l’œstrus est marquée par la production de l’œstradiol. C’est l’hormone que produisent les follicules ovariens. L’ovulation ne va pas se produire sans accouplement ou stimulation manuelle. Si pendant cette phase, la chatte ne s’accouple pas, on aura une production maximale des hormones, ce qui va directement arrêter le cycle œstral. Ce dernier va reprendre après deux à trois semaines.
La période de rut chez le mâle
Si chez la chatte, la période de chaleur est bien définie, ce n’est pas vraiment le cas chez le mâle. Il peut se reproduire toute l’année et ce, à partir de ses six mois pour les espèces plus précoces. La phase de rut chez le chat ne s’accompagne pas de signes particuliers. Certains mâles peuvent être plus agressifs et peuvent faire un marquage urinaire plus important. Il peut tout de même avoir plus envie de sortir.
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L’approche du mâle pendant les œstrus
Avec ses gestes, le mâle reconnaîtra la femelle qui est en période de chaleur. Cependant, il n’y aura pas qu’un chat et les chats se battront entre eux. Si vous avez un mâle, vous devez être vigilant, car leurs combats peuvent être très violents et il peut avoir des blessures. Comme leurs dents sont très acérées, une morsure peut former un abcès. Dans ce cas, un pus peut se former au niveau de la plaie et celle-ci lui sera douloureuse. Il faudra alors que votre animal de compagnie consulte un vétérinaire pour avoir un traitement antibiotique. Certaines plaies se pourront se guérir que par intervention chirurgicale.
L’accouplement chez les chats
Si on ne voit pas toujours des chats qui s’accouplent, c’est aussi parce que la durée du coït est aussi courte chez ces espèces. Elle ne dure qu’au maximum 20 secondes. Le mâle monte sur la femelle par l’arrière. Il l’immobilise en la tenant derrière son cou avec ses dents. Cette position d’immobilisation va aussi stimuler une partie du cerveau de la chatte dans le but de provoquer l’ovulation.
Après ce coït, la femelle va pousser un cri et peut même être agressive envers le mâle. Il faudra attendre entre 20 et 50 heures après cet acte pour l’ovulation. La fécondation se passe dans l’oviducte et le passage des œufs fécondés de l’utérus vers la muqueuse utérine peut prendre entre 10 et 12 jours. Le cycle de gestation est de 66 jours en moyenne.
Il est à noter que cet accouplement ne sera pas impérativement fructueux. Dans ce cas, le retour en œstrus peut prendre jusqu’à 36 jours, c’est la phase de pseudo-gestation.
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Des chatons de différents pères
Pendant son cycle œstrus qui est de sept jours en moyenne, la chatte peut rencontrer plus d’un mâle. Dans ce cas, on peut concevoir que sur une même portée, on ait des chatons provenant de différents pères. Lorsqu’on a des chats multicolores, c’est souvent le résultat de plusieurs accouplements.