Refuge de thiernay

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DPA Refuge de Thiernay

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La DPA (Défense et Protection des Animaux) de la Nièvre et du Centre est une association Loi 1901 à but non lucratif, reconnue d’utilité publique depuis 1982. La DPA a été fondée par la Princesse Elisabeth de Croÿ, une femme en avance sur son temps, une visionnaire qui a consacré la majeure partie de sa vie à la protection animale et qui nous a malheureusement quittés en mai 2009.
Nous avons pour objectif de défendre et de protéger les animaux. Parmi nos missions : informer, conseiller et éduquer afin d’aider à mieux connaître et comprendre les animaux pour une meilleure protection animale et une meilleure défense.
La DPA assure le service fourrière du département de la Nièvre (302 communes).
En effet, lorsqu’une municipalité se trouve confrontée à un problème de chien ou de chat errant, c’est la DPA qu’elle appelle. Lorsque nous ne retrouvons pas le propriétaire d’un animal, il est mis à l’adoption.
Pour plus d’informations, retrouvez nous sur notre site internet :

Autres refuges pour animaux à proximité :


  • Association Ron’rhône

    69800 Saint-Priest


  • Association PATOU’S

    18360 Vesdun


  • Refuge SPA « La Loue » – Montluçon

    03100 Montluçon


  • Association Pauline

    03100 Montluçon


  • Association Résilience et Attachement

    42640 Saint-Germain-Lespinasse


  • Refuge L’ARPA 47

    47550 Boé

Confédération Nationale
Défense de l’Animal – Réseau des refuges indépendants

11 mars 2019

Suite au décès de leur éleveuse, une soixantaine de chiens ont été sauvés en moins de 24h par la Confédération Nationale Défense de l’Animal et 4 refuges qui ont répondu à son appel.

L’affaire remonte à vendredi 8 mars dernier. Le corps d’une éleveuse est retrouvé par les gendarmes dans son élevage, à Couleuvre (Allier). Contactée par le Maire de la commune, la Confédération Nationale Défense de l’Animal a obtenu, dans la soirée, de la part de la famille, que les chiens et chiots berger allemand, cocker et setter gordon soient placés dans des refuges en urgence.

Alors que la vie de ces animaux était en sursis, la Confédération Nationale Défense de l’Animal a fait appel à son réseau de refuges de proximité afin que les animaux soient pris en charge et soignés. La SPA de Montceau les Mines, Les Amis des Bêtes à Autun, la DPA Refuge de Thiernay et la SPA de Lusigny ont immédiatement répondu présents. C’est ainsi que, dès le samedi, soit moins de 24h après l’alerte, en présence de la Confédération Nationale que les quelques 60 chiens, dont certains très affaiblis ont fait l’objet de soins d’urgence et ont été pris en charge par les refuges de Montceau les Mines, Autun et Thiernay.

L’ensemble des animaux ont ainsi pu être sauvés en moins de 24h. Les frais de transport et de soins vétérinaires sont pris en charge par la Confédération Nationale Défense de l’Animal. Une fois que les soins d’urgence seront prodigués et les animaux stérilisés, l’ensemble des chiens et des chiots seront placés à l’adoption.

Refuge de Thiernay, November 2019

What is interesting at this rescue centre is that they have found that disease is significantly reduced when the dogs are kept in small groups on natural ground / grass, as opposed to concrete.

Now back from the Refuge de Thiernay in France where we met wonderful dogs to work with. This lovely boy came into the class because of blood in the stools, which was thought to be due to worms. He was given a strong wormer, however, his condition did not improve. The refuge therefore wanted to see what he would select to help himself get better. My first thought was whether he might have IBS, so offered him remedies such as peppermint and German chamomile which are often selected for this condition, but he wasn’t really interested. Only when he was offered essential oils that are known to help certain cancers did we see huge reactions from him. It was not long before he fell to sleep. When he woke, he rolled and stretched with his tail wagging : ) Some of his key oils included lemon, lime and thuja.

In addition to the dogs, the refuge houses about 30 cats, a pony, rabbits and a donkey.

The property also includes 16 indoor kennels for sick animals and three small kennels for Guinea pigs, rabbits and wounded birds.

Animals come here from as far away as Paris and Spain, either brought to the refuge by owners who must give them up or rescued by the Princess herself. Anyone can drop by to adopt an animal. The Princess charges $70 for dogs and $60 for cats (the money pays for the animals’ vaccinations, neutering and tattooing). The animals can be returned within a one-month trial period.

All cats, except new arrivals or those that are convalescing, are free to go where they please, which is most often the Princess’s living room-cum-crisis center. There, much of the floor space is covered with cat and dog baskets and cartons of cat litter. Cats lounge on documents that dot the tables, and a thick layer of cat hair covers orange velvet chairs where Chopin sat when he called on the Princess’s great-grandmother in Paris.

 »Andre Malraux’s cats, Fourrure and Lustre, lived here after he died, » the Princess said. More recently, she provided a stray kitten for the family of Jean-Marie Le Pen, the leader of the National Front. Her formal title notwithstanding, Elisabeth de Croy is anything but serene.  »Close that door! » she ordered one helper.  »No cats in the kitchen! »

To the dogs in a gentler tone:  »Somebody has wee-weed here. Who is the culprit? » The telephone rings constantly.  »You waited a week to report this dog missing? » she chided a caller.  »Was he tattooed? Et bien, that was a bad mistake, monsieur. I am a mere volunteer here. Call during office hours tomorrow. » But she will answer genuine distress calls, and often drives off in her van in the middle of the night to pick up a dog injured in a road accident.

This independence seems of a piece with her life. As a girl, the Princess fled a strict family ( »We were drilled like soldiers ») to become a airline flight attendant. Later, she did relief work in Biafra during a time of famine. She has visited Mother Teresa’s charity in Calcutta, India, to which she and her sisters contribute clothes and medicine.

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