Table des matières
- Mon chaton de 3 semaines a des puces. Que faire ?
- Mon chat a des puces : pourquoi, comment s’en débarrasser ?
- D’où viennent les puces du chat ?
- Comment détecter la présence de puces ?
- Les méthodes naturelles pour éliminer les puces du chat
- Les anti-puces et anti-parasitaires du commerce
- Mon chat a des puces : traitement et prévention
- Comment protéger son animal préventivement contre les puces ?
- Comment savoir si mon chat a des puces ?
- Comment traiter les puces sur mon chat ?
- Où le chat attrape des puces ?
- Quels sont les dangers liés aux puces ?
- Quel est le cycle de vie d’une puce ?
- Comment agissent les pipettes de traitement anti-puces pour chat ?
Mon chaton de 3 semaines a des puces. Que faire ?
DEET irrite la peau et cause des inflammations et démangeaisons, il peut provoquer de la confusion, une mauvaise élocution et, chez les enfants, des crises.
D’autres chercheurs à l’université, ont prouvé que l’huile de Nepeta cataire protège les chevaux et autres animaux des taons et des mouches. Les chien et chats sont protégés du ver du cœur, des puces, des acariens, et d’autres parasites.
Nepeta cataire est une plante vivace, aromatique, dont la tisane est efficace pour soigner les rhumes, les maux de ventre et des maux de tête.
Il est utile pour mieux contrôler les puces, de connaître leur cycle de vie.
Une puce adulte peut vivre une à deux semaines et rester toute sa vie durant sur votre chat. Ses ooeufs tombent à terre, éclossent en un semaine, les larves se changent en chrysalides qui hibernent deux semaines ou jusqu’à plusieurs mois s’il n’y a plus d’animaux dans son environnement.
Pour une puce qui vit dans la fourrure d’un chat, il y a 99 puces par terre dans leurs chrysalides ! Il est donc essentielle d’aspirer ou balayer bien en faisant attention aux endroits ou peuvent tomber des oeufs.
Il existe des suspensions orals qui contiennent un inhibiteur de croissance d’insectes. Une dose liquide par mois pour le chat et ses puces sont rendu stériles à vie !
N’utilisez pas de collier anti-puce, car ils diffusent de l’insecticide en continu.
Mon chat a des puces : pourquoi, comment s’en débarrasser ?
Que votre chat ait accès ou non à l’extérieur, vous n’êtes pas à l’abri d’une infestation de puces… Mais qui sont ces petits parasites et comment arrivent-ils dans notre maison ? Urticantes et extrêmement invasives, les puces peuvent devenir un véritable fléau une fois installées.
Voici des informations essentielles sur les puces de chat et des conseils pour les détecter et les éliminer ; heureusement, il existe plusieurs remèdes naturels ainsi que des produits vétérinaires très efficaces. Encore faut-il savoir les utiliser et prendre toutes les mesures nécessaires pour en venir à bout.
D’où viennent les puces du chat ?
Les puces sont de la famille des ectoparasites, qui se nourrissent du sang des animaux qu’elles infestent. Elles peuvent également s’attaquer aux humains et sont alors à l’origine de piqûres et de démangeaisons parfois aiguës. Une fois repues, les femelles vont pondre des œufs sur l’animal hôte et ceux-ci vont se répandre rapidement dans l’environnement : literie, vêtements, sols, parquet…
Lorsque les œufs éclosent, les larves colonisent les endroits sombres et humides de la maison, et vont proliférer en se nourrissant de débris organiques, comme le font les acariens. Ces larves peuvent survivre jusqu’à 150 jours avant de s’installer sur un nouvel hôte… Ou de nouveau sur votre chat qui va continuer de les répandre partout où il passe !
De plus, les puces ont la capacité de sauter haut et loin, et ainsi de se déplacer d’hôte en hôte sans aucun effort. De la sorte, si l’on n’éradique pas l’infestation au plus vite, cette dernière peut vite devenir un véritable cercle vicieux. Les puces sont particulièrement virulentes de mars à octobre, et peuvent aussi être transportées par les hommes pour ensuite s’attaquer aux animaux de la maison, d’où la nécessité d’utiliser des produits anti-puces en prévention, et ce, tout au long de l’année pour éliminer le risque de récidive.
Comment détecter la présence de puces ?
À première vue, un animal infesté par les puces ne montre pas forcément de symptômes flagrants, sinon le fait qu’il se gratte mais cela peut aussi passer inaperçu car il ne va pas nécessairement sembler le faire plus que d’habitude. De surcroît, les chats étant des animaux qui se toilettent beaucoup, ils sont capables d’attraper les puces se trouvant dans leur pelage et de les avaler.
Malheureusement, cette technique ne débarrasse pas du tout l’environnement des larves et puces adultes déjà installées, et peuvent se multiplier d’autant plus de par la présence d’œufs qui survivent dans les selles. En outre, la seule manière de vérifier si votre chat est infesté est d’inspecter son pelage minutieusement, au moyen d’un peigne très fin dont les dents doivent être espacées de moins de 2 mm. En passant le peigne, on peut ainsi déceler la présence de puces ou de larves entre les dents. Les crottes de puces, de la taille d’une tête d’épingle et de couleur noire, se voient également dans les poils du chat grâce à une observation fine ; elles se trouvent souvent en plus grand nombre au niveau de la tête, des oreilles, du cou, de la croupe, et à l’intérieur des cuisses de l’animal.
Les méthodes naturelles pour éliminer les puces du chat
Certains produits naturels sont efficaces contre les puces, comme l’huile essentielle de lavande, à utiliser en spray dilué dans de l’eau et un peu de vinaigre. Compter 10 à 20 gouttes d’huile essentielle pour un litre d’eau. On peut également répandre du bicarbonate de soude, du sel ou de la terre de diatomée au sol et notamment entre les lattes de parquet, laisser poser plusieurs jours puis tout aspirer.
Attention, seul le nettoyage à l’aspirateur permet d’éliminer les œufs et larves de puces, car le fait de passer le balai aura plutôt tendance à les éparpiller aux quatre coins de la maison ! Pour les tapis et literie, il est conseillé de recourir à un nettoyeur vapeur de type Karcher. Enfin, le bicarbonate et la terre de diatomée peuvent être utilisés à la manière d’un shampoing sec, en frottant directement le pelage de l’animal avec ; prenez garde à protéger ses yeux ainsi que les vôtres, et portez un masque pour éviter d’inhaler la terre de diatomée, qui est extrêmement asséchante d’où son action sur les puces.
Après quelques jours, lavez l’animal avec un shampooing insecticide naturel à l’huile de Neem (margousier). Méfiez-vous en outre des shampoings insectifuges, préventifs uniquement. Ceux-ci pourront être utilisés une fois les puces éliminées, pour éviter les récidives.
Les anti-puces et anti-parasitaires du commerce
Si de nombreux anti-parasitaires sont proposés dans le commerce, seul un petit nombre d’entre eux est réellement efficace… Le produit doit être capable d’éliminer les puces à tous les stades de leur croissance (œufs, larves, jeunes adultes et adultes) mais aussi être imprégné en permanence sur le poil pour lutter contre l’ensemble de la colonie. Les anti-puces les plus efficaces se trouvent en cabinet vétérinaire, ils représentent donc un certain budget mais leur spectre d’action est le plus large. Ces produits existent sous forme de pipettes, de sprays ou même de comprimés.
Sur le marché, et notamment en grande surface, on trouve une large gamme d’articles anti-parasitaires comme les colliers anti-puces et les shampooings insectifuges, cependant ces derniers sont rarement efficaces et, s’ils le sont, ne permettent pas de lutter véritablement contre une colonie déjà installée. Ainsi, en cas d’infestation sévère, demander conseil à son vétérinaire est la meilleure solution.
En pharmacie, on retrouve certains produits vétérinaires dont l’efficacité est bonne, mais quel que soit le produit choisi, il est impossible de se débarrasser des puces sans traiter également l’ensemble de leur environnement. Votre pharmacien et votre vétérinaire pourront donc vous conseiller un produit pour traiter votre maison, sous forme de spray ou de diffuseur.
Enfin, on ne vient pas à bout d’une infestation par les puces sans laver tous les textiles de la maison à 60°C minimum, à commencer par les affaires de votre chat (coussin, panier…) ainsi que la literie et les canapés tout particulièrement.
Mon chat a des puces : traitement et prévention
Vous pensez que votre chat a des puces ? De mai à novembre, ces insectes tant détestés font leur retour en force, pour le malheur des animaux de compagnie et leurs propriétaires. Si votre matou a l’air de beaucoup de gratter, suivez le guide pour vérifier la présence de puces sur votre chat, faire un traitement efficace et prévenir une nouvelle infestation.
Souvent, lorsqu’un chat se gratte, il est courant de dire » il a la pupuce ! « . Même si la plupart du temps, il se gratte pour une autre raison, l’expression n’existe pas par hasard. Que votre chat sorte dehors ou non, il peut attraper des puces, et savoir les reconnaître et les traiter devient alors utile !
La puce est un parasite particulièrement courant chez nos animaux domestiques, chiens et chats. Elle se nourrit de sang, et se reproduit en pondant des œufs, qui peuvent tomber dans l’environnement proche du chat. C’est donc un parasite qui peut être difficile à éliminer, si on le laisse s’installer suffisamment longtemps.
Comment protéger son animal préventivement contre les puces ?
Souvent, les antiparasitaires pour traiter sont les mêmes que ceux pour protéger préventivement. Leur durée d’efficacité varie, mais se situe souvent autour de 1 mois.
Il convient donc, quand on a identifié un risque ou la présence de puce dans l’environnement du chat, de le protéger en avance, en le traitant pendant la période à risque.
Cela concerne souvent l’été, qui est la période active des puces. Les chats qui sortent notamment, sont confrontés fréquemment à des zones où se trouvent des puces (que ce soit via d’autres animaux domestiques, ou via la faune sauvage). Il y a souvent aussi un pic d’activité au début de l’hiver. La période recommandée pour protéger est alors souvent de mai à novembre, pendant la moitié chaude de l’année.
Personnellement, je préfère utiliser les pipettes plutôt que les colliers, car elles diffusent le principe actif de manière égale sur tous le corps du chat, via le sébum de la peau, en 48h. Avec un collier, on obtient un gradient de concentration qui part du collier, et les extrémités se retrouvent vite non protégées.
Mais fondamentalement, l’important est d’avoir un traitement qui suffit à éliminer les puces, et qui n’entraine pas de réaction sur la peau du chat, cela peut varier en fonction des cas et des chats, il faut savoir s’adapter.
Comment savoir si mon chat a des puces ?
Le fait de le voir se gratter n’est pas la preuve de la présence de puces ! Si vous voyez votre chat se gratter plus que de raison, il peut y avoir plusieurs causes.
Si vous suspectez une ou des puces d’être à l’origine de ces grattages, vous pouvez chercher des traces de leur présence. A l’aide d’un peigne fin, récoltez quelques poils en peignant tout le corps. L’idée est d’avoir des petits grains noirs dans les poils : mettez l’un de ses grains sous une goutte d’eau et attendez de le voir se dissoudre. Si une petite auréole rouge apparait, c’est qu’il s’agit de déjection de puces (ni plus ni moins que du sang digéré), ce qui signe leur présence.
Les déjections de puces ont cette forme caractéristique, en plus de la petite auréole rouge laissé dans l’eau. Il est plus facile de les voir, que de trouver une puce adulte, souvent.
Comment traiter les puces sur mon chat ?
Les antiparasitaires disponibles sur le marché sont nombreux, mais d’efficacité variable. Il faut donc être vigilant et s’adresser au bon professionnel (de préférence un vétérinaire) pour choisir.
Il en existe de plusieurs formes : en spray, en collier, en pipette ou en comprimé. Le choix d’une forme d’administration va dépendre du chat, car certains tolèrent mieux que d’autres telle ou telle forme. L’idéal est que le produit reste à concentration suffisante sur tout le corps de l’animal, suffisamment longtemps pour tuer les puces adultes présentes, et empêcher les nouvelles de piquer.
La majorité des traitements antipuce pour chat sont actifs pendant 3-4 semaines, mais il faut faire attention car il y a de nombreux facteurs de variation : si le produit a été déposé sur le poil et par sur la peau, si l’animal se mouille, etc… cela va affecter l’efficacité et la durée d’efficacité du produit.
Une fois les puces adultes sur le chat éliminées, il faut traiter également son environnement, dans lequel ont pu tomber des œufs. Parallèlement au traitement sur l’animal, qui empêche de nouveaux adultes de monter, on va donc éliminer les œufs et les larves présents potentiellement dans les lieux de couchage et de passage du chat. Cela passe par l’aspirateur, qui élimine déjà beaucoup de cocons, mais aussi des vaporisateurs (attention à bien suivre les instructions liées à ces produits, notamment bien aérer après utilisation).
Certaines pipettes contre les puces ciblent aussi les œufs et les larves, en utilisant les squames de peau pour répandre le principe actif dans les lieux où ils tombent. Il s’agit cependant d’un inhibiteur du cycle, qui bloque la puce dans son stade larvaire sans la tuer : il faut s’assurer du traitement sur le chat pendant la durée de vie des larves (soit environ 6 mois) pour attendre qu’elles meurent sans pouvoir se transformer.
Le protocole est donc à adapter en fonction du niveau d’infestation : un chat qui sort et qui revient avec quelques puces au début de l’été, se verra donner une couverture anti-puce pendant l’été, tandis qu’avec un chat d’appartement qui a déjà eu plusieurs traitements et chez qui les puces reviennent à la fin de la durée d’une pipette, il faudra sans doute traiter la maison, et protéger le chat pendant au moins 6 mois.
Où le chat attrape des puces ?
La première infestation vient de l’extérieur : soit le chat sort et est susceptible d’en récupérer en passant à un endroit infesté, soit nous pouvons nous-même rapporter le parasite au domicile, que ce soit en servant de véhicule à la puce, soit par le biais d’un autre animal. La faune sauvage est aussi souvent infestée par les puces : un hérisson ou un rongeur que le chat approche peut lui transmettre des puces.
Une fois sur l’animal, elles vont pondre et répandre des œufs et des larves dans l’environnement du chat. Le chat se réinfecte alors à chaque fois qu’il va dans un de ses lieux de couchages (canapé, lit, fauteuil, moquette, tapis…), ou qu’il parcourt son domaine de vie.
Dans cette situation, traiter le chat seul ne suffit plus : une fois le traitement terminé, les puces dans l’environnement du chat reviennent immédiatement. Il faut donc également traiter l’environnement du chat, ou agir préventivement pour protéger directement votre chat.
Quels sont les dangers liés aux puces ?
Tout d’abord, les puces peuvent être vectrices de maladies. Chez les chats, on citera l’hémobartonellose féline, une maladie du sang due à une bactérie que les puces transmettent. Les puces peuvent également transmettre le ténia, un parasite digestif connu.
Mais la principale source de désagrément avec les piqures de puce reste la réaction allergique, chez le chat. En effet, cette espèce y est très sensible, et peut développer une Dermatite par Hypersensibilité au Piqures de Puces (DHPP) avec une seule piqure !
Déjà, les piqures nombreuses peuvent provoquer des grattages importants, avec perte de poils et parfois des lésions. Mais en cas d’allergie, les démangeaisons et les rougeurs peuvent devenir impressionnantes, avec un ressenti très négatif pour le chat. En cas de grattages persistants sur l’animal, il faut y penser même si on ne voit pas les puces !
Il est donc recommandé d’aller chez le vétérinaire si de telles lésions sont observées, afin de s’assurer de l’origine des grattages et mettre en place le traitement adapter (avec de quoi soulager l’animal de ses démangeaisons, souvent insupportables).
Quel est le cycle de vie d’une puce ?
Une bonne connaissance du cycle de vie de la puce est importante pour comprendre comment le traitement marche.
La puce en elle-même est la forme adulte de l’insecte. Elle fait partie de la famille des Pulicidés, et l’espèce la plus courante chez le chat est Ctenocephalides felis (les chats peuvent également être parasités par la puce du chien, Ctenocephalides canis).
La forme adulte fait 2 à 4mm, et possède une paire de pattes extrêmement puissantes, capable de réaliser des bonds impressionnants. Elle résiste mal dans l’environnement (1 à 4 jours) et cherche donc au plus vite à monter sur un animal (le chat de préférence).
Ctenocephalides felis
La puce ne cherchera pas à changer d’hôte : tous ses repas se feront sur le même. Seule une très faible proportion des puces présentes sur le chat va changer d’hôte et infester d’autres animaux (nous compris). Il y a donc un risque faible d’attraper des puces en étant à proximité d’un animal infesté.
Les puces adultes se reproduisent très rapidement après leur arrivée (48h), et chaque femelle est capable de pondre jusqu’à 50 œufs par jour pendant 50 à 100 jours, soit entre 1000 et 2000 œufs sur une vie de puce. Les œufs, petits ovales d’un demi-millimètre, tombent au sol, dans les lieux où l’animal se déplace et se repose.
Les larves éclosent en quelques jours (suivant la température et l’humidité), et se déplacent pour fuir la lumière, et chercher l’humidité. Elles se cachent dans les moquettes et les tapis, sous les meubles, entre les lattes de parquet, etc. Il leur faut quelques jours (30 maximum) pour atteindre le dernier stade d’évolution larvaire en se nourrissant de petits débris biologiques (squames de peau, ou les déjections des puces adultes).
Cette phase du cycle est très importante, car c’est là que le traitement les bloque : le stade adulte n’arrive que si des animaux sont présents à proximité. La larve se transforme en cocon, et peut y rester pendant plusieurs mois (jusqu’à 6 mois) en attendant le passage d’animaux. Ces puces non transformées sont la principale source de parasites pour les chats hôtes ; de plus elles résistent aux insecticides courants (le traitement contre les adultes notamment ne marche pas sur les larves et les cocons).
L’émergence des puces à partir des cocons est soumise à divers stimulus. Le passage d’une ombre, des pas sur un sol, des vibrations peuvent induire la sortie des cocons. C’est le cas du passage de l’aspirateur, qui peut donc être très intéressant avant ou juste après un traitement insecticide de l’environnement (en plus d’aspirer mécaniquement les cocons).
Désormais, vous avez toutes les informations nécessaires pour protéger votre chat des puces !
Dr Stéphane Tardif
Docteur vétérinaire et rédacteur pour Wamiz
Comment agissent les pipettes de traitement anti-puces pour chat ?
Tout savoir sur les puces !
Si vous avez détecté des puces sur votre chat, sachez que le problème est vraisemblablement bien plus étendu que vous ne le pensez. Si vous pouvez observer des puces adultes, des œufs minuscules et des larves sont susceptibles d’être déjà éparpillés partout dans votre maison. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les puces adultes présentes sur votre chat ne représentent que 5 % de l’ensemble du problème !
Les chats peuvent attraper des puces de différentes manières, si ces dernières voyagent à votre insu dans vos vêtements ou votre sac, ou si des œufs de puces sont déposés par des animaux qui traversent votre jardin. Les animaux sauvages – renards, lapins, écureuils et hérissons – sont souvent porteurs de puces, et il suffit qu’un animal infesté s’introduise dans votre jardin et y dépose suffisamment d’œufs pour que votre chat soit atteint.
Connaître les risques
En plus de provoquer des démangeaisons, les puces sont susceptibles de propager des maladies d’un animal à un autre. Les piqûres de puces peuvent provoquer de l’anémie, des affections cutanées nommées dermatites par allergie aux piqûres de puces, ainsi que la maladie des griffes du chat. Si votre compagnon ingère une puce infestée en faisant sa toilette, il peut également attraper le ténia.
Savoir faire la différence entre les différents produits
Il est donc préférable d’éviter les puces ! Mais quel est le meilleur moyen de se débarrasser des puces de chat, et surtout de s’assurer qu’elles ne reviennent pas ? Tous les produits de traitement anti-puces n’empêchent pas votre animal d’être piqué : certains produits nécessitent que la puce pique votre chat pour que les ingrédients actifs la neutralisent. Les traitements anti-puces pour chat sous forme de pipettes, tels qu’Advantage®, sont une solution efficace. Ils agissent rapidement et tuent les puces par simple contact, sans qu’elles n’aient à piquer votre animal. Ainsi, les puces ne risquent pas de lui transmettre de maladies potentiellement dangereuses. Le risque de réactions allergiques à la salive de puce est également écarté.
Advantage® est facile à appliquer sur la peau de votre chat. Le produit est inodore, résistant à l’eau, et tue les puces dès son application. La solution se diffuse rapidement à partir du point d’application. Les puces sont tuées un jour après le traitement et prévient toute nouvelle infestation pour une de durée 3 à 4 semaines. Advantage® pour chat est également un traitement anti-puces efficace et bien toléré par les chatons. Vous pouvez traiter votre chaton avec Advantage® dès son sevrage, s’il est âgé de 8 semaines au minimum.
Un allié efficace contre les puces
Advantage® contient de l’imidaclopride, une molécule qui neutralise les œufs et les larves qui entrent en contact avec votre animal. Il permet ainsi de prévenir toute nouvelle infestation. N’oubliez pas cependant que si vous avez une infestation de puces à la maison, il est essentiel de traiter également l’environnement de l’animal traité.
Commet rester protégé ?
Une seule application du traitement anti-puces pour chat Advantage® permettra de débarrasser votre chat de ses puces. Mais si vous ne respectez pas un programme de traitement régulier pendant la période d’infestation des puces, il peut être à nouveau infesté n’importe quand. Traitez votre chat régulièrement avec Advantage®, il pourra dire adieu aux puces et sera heureux et en pleine forme !
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