Premiere saillie chien male

Pour assurer une bonne saillie, il est également indispensable de bien se renseigner au préalable sur toutes les conditions requises que ce soit pour bien choisir le partenaire ou pour avoir connaissance de l’ensemble de ses droits et devoirs sur le plan administratif.

Tout ce qu’il faut savoir pour une saillie

Dès l’âge de 12 mois minimum, en fonction des races, un chien est en capacité de se reproduire, les races de petite taille étant plus précoces que les autres. La saillie s’effectue lors des périodes de chaleur de la femelle, qui ont lieu deux fois par an pendant trois semaines. Durant cette période, il est conseillé de faire trois saillies à 48 heures d’intervalle. Sa gestation dure de 57 à 63 jours et l’échographie peut être réalisée dès le 21e jour. On compte généralement entre 8 et 10 chiots par portée. De son côté, le mâle n’a pas de cycle sexuel particulier, mais il faut savoir que sa fertilité est optimale dès l’âge de 10 à 15 mois pour la première saillie.

Les critères incontournables d’une bonne saillie

Pour une bonne saillie, un certain nombre de critères doivent être pris en compte, notamment au niveau de la race : aucun lien de parenté, un bon état de santé, un carnet de vaccinations à jour, et un caractère sociable et inoffensif. De même, en fonction de vos objectifs, d’autres facteurs peuvent s’avérer importants. C’est notamment le cas du physique du chien, de la couleur de sa robe et des compétences acquises.

Les démarches nécessaires

Faire reproduire son chien implique également des démarches administratives. Ainsi, dès que vous avez effectué votre choix de partenaire pour votre chien, il convient de formuler une demande de certificat de saillie auprès de la SCC. Le propriétaire du chien en question dispose d’un délai de 4 semaines pour y répondre. Une fois la saillie achevée, le mâle est considéré simplement comme le géniteur et son propriétaire reçoit un dédommagement, préalablement fixé avant l’accouplement, voire la remise d’un chiot en compensation. Plus globalement, le propriétaire de la chienne se doit de répondre à l’ensemble des frais induits dans le cadre d’une gestation. Il devra en outre fournir les différents documents attendus (déclaration de saillie, de naissance…). Quel que soit l’accord conclu, celui-ci doit être confirmé par écrit pour reprendre l’ensemble des conditions.

Sur le même sujet

• La période idéale pour l’accouplement canin
• Le guide de la contraception canine

Mon chien est en âge de se reproduire

Pour que les chiens puissent se reproduire, il faut suivre le cycle sexuel de la chienne avec attention afin de connaître la période idéale d’accouplement. Toutefois, des troubles de la reproduction peuvent survenir chez le mâle comme chez la femelle.

Votre chien ou votre chienne est en âge de se reproduire. Si le mâle n’a pas de cycle sexuel précis, la chienne peut être saillie durant les deux périodes de chaleurs annuelles. Il existe toutefois des troubles de la reproduction chez le chien comme chez la femelle.

Cycle sexuel chez le chien

Le cycle sexuel de la chienne

Le cycle sexuel de la chienne correspond à deux périodes de chaleurs par an. Les premières chaleurs ont lieu entre six et quinze mois. La chienne a une ovulation spontanée ce qui signifie que l’ovulation a lieu, qu’il y ait saillie ou pas. Le cycle se déroule en quatre phases. La première est le pro-œstrus qui dure en moyenne neuf jours. C’est le début des chaleurs et les premières pertes de sang : la femelle attire les mâles mais n’accepte pas l’accouplement. Vient ensuite l’œstrus qui dure de cinq à dix jours. Le mâle est accepté, l’ovulation a lieu durant cette période entre le 11e et le 15e jour après le début des chaleurs. La fécondation sera possible dans les deux-trois jours après la fécondation. Le metœstrus dure de 57 à 67 jours avec gestation ou repos sexuel. Enfin, l’anœstrus précède les nouvelles chaleurs : de deux à neuf mois.

Le cycle sexuel du chien

Le mâle n’a pas de cycle sexuel précis. Il est en rut lorsqu’il y a une chienne en chaleurs. La fertilité du mâle n’est pas optimale avant l’âge de 10 à 15 mois.

Période idéale pour l’accouplement canin

La période idéale pour l’accouplement canin est difficile à détecter. L’ovulation a lieu entre le 11e et le 15e jour des chaleurs et c’est à ce moment qu’il doit y avoir accouplement. L’idéal est de procéder à deux à trois saillies. Votre vétérinaire peut pratiquer des frottis vaginaux ou un dosage de progestérone qui permettent de savoir exactement quand l’ovulation va avoir lieu. Les frottis permettent de suivre l’évolution des cellules vaginales. La progestérone est une hormone sécrétée juste avant l’ovulation. Lorsqu’un certain seuil est atteint, l’ovulation est certaine et la saillie doit avoir lieu dans les 48 heures.

Troubles de la reproduction

Les troubles de la reproduction chez la chienne

Les troubles de la reproduction chez la chienne peuvent être dus à des affections, à des tumeurs ou à des inflammations. La chienne peut être atteinte de vaginite. C’est assez fréquent et cette affection peut entraîner l’infertilité. Les infections utérines déclenchent des écoulements au niveau de la vulve et la chienne est très abattue. Elle peut aussi souffrir de tumeurs à la vulve, au vagin ou à l’ovaire.

Les troubles de la reproduction chez le chien

Les troubles de la reproduction chez le chien peuvent venir de tumeurs aux testicules, d’une fracture de l’os pénien, de l’eczéma des bourses mais aussi d’une ectopie.

À quel âge les chiens peuvent-ils se reproduire ?
Il est recommandé d’attendre au moins un an pour le mâle et deux ans pour la femelle.
Dr Elisabeth Tané, vétérinaire.

Ecrit par:

La rédaction de Doctissimo

Relecture et validation : Dr Jesus Cardenas, Directeur médical de Doctissimo, 27 janvier 2017

Créé le 10 septembre 2015

La reproduction du chien côté mâle

Quel est le meilleur moment pour faire se reproduire mon chien ?

Il est conseillé d’attendre les 2 ans du chien pour le faire se reproduire, pour une meilleure fertilité. Trop jeune, ses spermatozoïdes sont en moindre quantité et il arrive qu’ils soient anormaux.

De bonnes conditions pour la reproduction

La femelle

Si votre chien est ce que l’on appelle un étalon, issu d’une lignée irréprochable et possédant tous les standards de la race, vous n’aurez pas besoin de chercher une femelle pour le faire se reproduire, il vous faudra au contraire réaliser une sélection stricte des chiennes elles-mêmes de belle lignée et de nombreux propriétaires s’adresseront à vous. Dans le cas d’un chien non inscrit au LOF, votre choix sera plus vaste mais il vous faudra quand même prêter beaucoup d’attention à la santé de la chienne proposée. Vous pouvez également souhaiter, au lieu de facturer la saillie, recueillir un des chiots de la portée, le choix de la mère étant dans ce cas également important pour vous.

• La femelle doit avoir entre 2 et 6 ans, être en bonne santé, et le propriétaire doit vous présenter des examens adaptés si elle appartient à une race prédisposée à des problèmes génétiques. Pour des chiots montrant les standards de la race, les parents doivent eux-mêmes les posséder. Une chienne légèrement plus grande ou de même taille que votre chien sera à préférer, pour une saillie plus “simple” et pour éviter tout souci à la mise bas.
• La chienne est vaccinée, traitée contre les parasites et sans trace de MST. Vous pouvez demander à ce qu’un examen soit réalisé la veille de la saillie.
• Prévenez au préalable le propriétaire de la chienne, que vous préfériez être rémunéré ou obtenir un chiot. Certaines chiennes ne sont pas fécondées à la première saillie, vous pouvez accorder 2 ou 3 saillies durant les quelques jours d’ovulation de la chienne, ainsi que de recommencer gratuitement au prochain cycle s’il n’y a pas eu fécondation. Quoiqu’il en soit, mettez vos accords par écrit.

Quelques obligations administratives

Lorsque les 2 parents sont de race, il est logique de vouloir un pedigree pour les chiots. Il faut dans ce cas que l’un ou l’autre des propriétaires demande à la S.C.C. une déclaration de saillie. La Société Centrale Canine fera parvenir les déclarations nécessaires pour les chiots et la portée, une fois qu’elle recevra cette déclaration signée par les propriétaires des chiens dans les 4 semaines après la saillie.

La saillie

Arrangez vous avec le propriétaire de la chienne pour que ce soit lui qui se déplace, votre chien sera plus apte s’il est chez lui. Lors de la saillie se produit généralement un verrouillage qui est dû à une caractéristique du pénis du chien, les deux animaux se retrouvent donc soudés l’un à l’autre durant quelques minutes. N’essayez pas de les séparer et surveillez les afin qu’ils n’essaient pas eux-mêmes, la chienne pourrait subir de graves lésions.

Reproduction : accouplement (copulation ou coït) chez le chien
Saillie et comportement postcopulatoire

Sommaire

Le comportement sexuel comporte plusieurs phases :

• la recherche du partenaire,
• le comportement précopulatoire ou comportement de cour ou de parade nuptiale,
• l’accouplement proprement dit, appelé également saillie ou copulation,
• le comportement postcopulatoire.

L’accouplement nécessite, chez nos carnivores domestiques (chien et chat), que la femelle soit en oestrus et réceptive.

Saillie ou copulation chez le chien

Coït du chien (1)
© Prof John Parrish (avec son autorisation)
L’oestrus (rut, femelle en chaleur, en chasse ou même en folie) est caractérisé par l’acceptation active du mâle correspondant au pic de LH.

• le volume de la vulve est multiplié par 2 ;
• les écoulements vulvaires sanguinolents ont fait place à des pertes claires plus discrètes (cycle vaginal et vulvaire).
• C’est la période de maturation folliculaire suivie de l’ovulation.

La chienne se laisse alors saillir.

• La chienne s’immobilise.
• Elle étend le rachis (position de lordose), ce qui a pour effet de relever la croupe.
• Elle porte la queue sur le côté (réflexe d’Amanthéa ou signe de Liebenberger, à ne pas confondre avec celui des prodromes de la gestation) et présente sa vulve oedématiée, les lèvres vulvaire ouvertes.

Ce comportement est lié à la chute du taux d’oestrogènes plasmatique et à l’augmentation de la concentration en progestérone dans le sang.

• Elle accepte le chevauchement.

Coït du chien (2)
© Prof John Parrish (avec son autorisation)

Le mâle entre alors en érection et effectue des tentatives de monte pour introduire son pénis dans le vagin de la femelle.

• S’il est expérimenté, il saisit les flancs de la femelle entre ses antérieurs et éventuellement lui agrippe la peau du cou avec les dents, puis monte par l’arrière. La pénétration se fait alors en moins d’une minute.
• S’il est novice, les premières montes ont lieu au hasard par devant, sur le côté ou par derrière et ses tentatives peuvent durer des heures.

L’accouplement est accompagné de mouvements saccadés du bassin du mâle et, quelquefois, de la femelle.

Le mâle a une complète érection que lorsque le pénis est introduit dans les voies génitales femelles.

Le début de la pénétration est facilité par la présence de l’os pénien.

• Puis, le bulbe du gland entre en érection (corps spongieux du gland) après l’intromission: il peut se dilater jusqu’à 8 cm environ et est, en grande partie, à l’origine du  » nouage  » du mâle à la femelle pendant l’accouplement.
• Cette érection  » complète  » provoque une contraction des muscles vaginaux (constricteur du vagin, constricteur du vestibule), ce qui empêche toute séparation des deux animaux accouplés ( » nouage  » du mâle à la femelle).

Nouage chez le chien
(Photo : creativecommons.org/m-louis)

Le phénomène de  » nouage  » dure entre 5 et 30 minutes (14 minutes en moyenne).

• Le mâle peut rester dans la position de monte ou descendre en plaçant les antérieurs au sol et un des postérieurs sur le dos de la femelle.
• Il peut aussi faire demi-tour de telle sorte les chiens se retrouvent alors dos à dos (possible par la flexion du corps du pénis à 180°), peut-être pour pouvoir se défendre des prédateurs dans cette situation plutôt dangereuse pour eux.

La chienne cherche parfois à s’éloigner du chien lorsqu’ils sont  » noués  » ; celui-ci est alors traîné ou jeté sur le sol.

La stimulation tactile du pénis dans le vagin de la femelle provoque des contractions des voies génitales permettant la progression plus rapide des spermatozoïdes (voyage vers l’ovule).

Essai de  » dénouage  » (à éviter absolument)
N’essayez surtout pas de les  » dénouer  » !

Vous pourriez provoquer une déchirure vaginale accompagnée de graves hémorragies ou une fracture de l’os pénien. Leur jeter un seau d’eau (?) ne sert à rien !

L’éjaculation, de type vaginale, commence dès la pénétration. Cet éjaculat est émis en trois phases espacées de plusieurs minutes :

• la fraction urétrale (glandes urétrales de littré), émise en quelques secondes, de couleur claire, ne contient pratiquement pas de spermatozoïdes et sert surtout de lubrifiant ;
• la fraction spermatique (spermatozoïdes et sécrétion épididymaire), de couleur blanche, apparaît ensuite en moins d’une minute ;
• la fraction prostatique enfin, la plus abondante (10 à 20 ml, environ 90% de l’éjaculat), s’écoule durant 5 à 30 minutes, pendant la phase de  » nouage « .

Quand l’érection du mâle s’achève, le spasme vaginal de la femelle disparaît et les animaux se détachent.

Le fait que les animaux ne restent pas  » collés  » n’est pas forcément le signe que la saillie a échouée puisque le  » nouage  » ne concerne que la partie prostatique de l’éjaculat : toutefois, la portée sera moins nombreuse.

Comportement postcopulatoire chez le chien

Les animaux se lèchent brièvement les régions génitales.

Paraphimosis du chien
(Photo : © hungarovet.com)

Le mâle se recalotte et reste réfractaire à tout comportement sexuel pendant un certain temps.

Attention au chien qui se recalotte difficilement – paraphimosis – dont la cause la plus fréquente est la présence de poils du fourreau qui restent collés au pénis, surtout chez les races à poils longs.

On peut observer jusqu’à cinq accouplements par jour.

La chienne doit être laissée au calme les jours suivants en l’absence d’autres mâles.

En effet, il peut y avoir une fécondation par plusieurs mâles différents (appelée superfécondation), expliquée par la survie des spermatozoïdes et des ovules.

La superfétation n’existe pas chez la chienne, contrairement à la chatte.

Facteurs influençant la copulation chez le chien

ReproductionAnatomie du système génitalReproduction du chienPuberté du chien
Cycle oestral de la chienneComportement reproducteur du chien : coït ou copulationComportement sexuelGestationParturitionLactationReproduction du chat
Que faire devant un problème de reproduction ?

Bibliographie

Faire des bébés à son chien

Quoi de plus beau que de donner la vie ? Et de voir sa chienne donner naissance à des petits chiots, la voir s’en occuper, les lécher, c’est vraiment un moment merveilleux.
Oui, c’est un peu égoïste, il y a déjà trop de chiens et de chats dans les fourrières, pourquoi en faire plus ?
Déjà, on peut en garder pour soi, cela nous permettra d’avoir toujours un petit bout de notre chien préféré avec nous tout au long de notre vie. Le clonage ne fonctionne pas encore ou c’est bien trop cher alors on garde notre animal avec nous de cette manière.
Ensuite, les chiots trouveront forcément de nouveaux maîtres prêts à leur donner tout l’amour qu’il faut.

N’oubliez pas de dresser vos chiots, ils seront plus facilement adoptés.

Mais comment faire des bébés à son chien ?

Tout d’abord, il est important de connaître les cycles d’une chienne non stérilisée.

En terme d’ovulation, les chiennes sont différentes des chattes. Elles ont des ovulations spontanées, à l’instar des femmes, contrairement aux chattes qui ont des ovulations provoquées par la saillie.
Dans une année, les chiennes ont en moyenne deux périodes de chaleurs, tous les 6 mois, qui durent chacune 2 à 3 semaines. Des chaleurs plus espacées ou plus rapprochées d’un mois ne sont cependant pas anormales. Ce qui est assez extraordinaire c’est que si plusieurs femelles vivent ensemble, elles synchronisent souvent leurs cycles les unes sur les autres et peuvent avoir leurs chaleurs en même temps !
Les premières chaleurs d’une chienne peuvent avoir lieu entre 6 et 15 mois. Dès les premières chaleurs, la chienne peut faire des bébés mais il est fortement déconseillé de la laisser faire. Il faut savoir que les premières chaleurs sont plus tardives chez les chiennes de races et de grande taille qui ont une croissance plus longue.

La durée du cycle varie selon la chienne et selon la race mais elle reste comprise entre 150 et 300 jours.
Au début des chaleurs, la chienne perd du sang et a une augmentation de la vulve mais refuse les saillies. Cela dure environ 1 semaine. Puis elle accepte le mâle. L’ovulation a lieu en général 2 à 3 jours après cette acceptation.

En ce qui concerne la saillie, les 2 chiens se débrouillent très bien ensemble et savent quoi faire. Elle doit avoir lieu entre le 11 e et le 13 e jour après le début des chaleurs. Le mâle renifle la femelle, la monte et se retourne. Cela prend environ une vingtaine de minutes. Il faut juste faire attention à ce que les assauts ne soient pas trop brutaux et que les chiens ne se débattent pas à la fin du coït si jamais le chien est coincé quand ils se retrouvent dos à dos. Cela risquerait de fracturer son pénis.
Pour les chiens de race, il est possible de faire une insémination artificielle après avoir récupéré le sperme du chien qu’il soit frais ou congelé. Le mâle, comme bon nombre de mâles, n’a pas de cycle. Il est prêt à s’accoupler dès que l’occasion s’en présente. Par contre, un mâle jeune (moins de 10 mois) présentera moins de spermatozoïdes et plus d’anomalies.

Si la femelle a été fécondée, la gestation dure environ 63 jours (entre 58 et 68 jours). Sinon, la femelle entre en repos sexuel.
Vers le 35 e jour, les connaisseurs pourront palper les petits dans l’abdomen de la chienne.
Durant la période de gestation, il est conseillé de rendre visite à un vétérinaire qui pourra faire une échographie permettant de voir le nombre de chiots et si le bassin de la mère est suffisant grand pour laisser passer les petits, pour vous conseiller une alimentation adaptée à son état, pour vérifier si tout se passe bien.

La mise base se passe généralement sans problème pendant 2 à 12 h. La chienne recherche un coin calme et se lèche régulièrement. Il y a un écoulement vaginal qui devient de plus en plus foncé, c’est le signe que le placenta se détache. Les petits sortent généralement la tête la première, les pattes avant le long de la tête. Entre chaque petit, il peut s’écouler entre 10 min et 1h. Après chaque petit, le placenta est expulsé. Si un petit arrive les fesses en premier, vous devez aider la chienne à faire sortir le chiot. Sinon, il peut mourir asphyxié. Il faut ainsi tirer le petit très doucement.