Table des matières
- Plaque rouge sur les jambes : l’érysipèle
- Plaque rouge sur les jambes : l’érysipèle
- Plaque rouge sur les jambes, les symptômes de l’érysipèle
- Risques de complication des plaques rouges sur les jambes
- Plaque rouge sans démangeaison
- Traiter les plaques rouges
- Quels sont les symptômes d’une mycose génitale étendue aux cuisses ?
- Comment soulager une mycose génitale qui s’étend entre les cuisses ?
- 10 types de rougeurs et leur signification
- 1. L’eczéma
- 2. Le psoriasis
- 3. La kératose pilaire
- 4. La folliculite
- 5. La rosacée (ou couperose)
- 6. Les angiomes rubis
- 7. L’urticaire
- 8. Les piqûres d’insectes
- 9. La dermatite de contact
- 10. Les réactions aux médicaments
- 1/ Des vêtements d’été bien choisis
- 2/ Pensez à adapter votre garde-robe pour prévenir l’irritation cutanée au niveau des cuisses !
- 3/ La solution de pharmacie
- 4/ Le déodorant contre l’irritation des cuisses
- 5/ Les huiles à la rescousse
- 6/ Le talc, la poudre miracle anti irritation entre les cuisses
- 7/ Le mélange maison sans produits chimiques pour apaiser la peau irritée et éviter les frottements
Plaque rouge sur les jambes : l’érysipèle
Plaque rouge sur les jambes : l’érysipèle
L’érysipèle est une infection de la peau causée par une bactérie appartenant à la famille des streptocoques (dans 85 % des cas) ou des staphylocoques. Il ne s’agit donc pas d’une allergie, l’infection étant due à la pénétration d’une de ces bactéries dans l’organisme via une plaie ou une lésion cutanée (porte d’entrée) telle qu’une piqûre d’insecte, une coupure, des mycoses, etc. Cette affection peut toucher n’importe quelle partie du corps, mais les plus touchées sont les jambes (dans 85 % des cas) et le visage (moins de 10 % des cas).
A lire aussi : Plaque rouge et irritation : si c’était une allergie au nickel ?
En réaction à cette infection, l’organisme déclenche une inflammation qui se traduit par l’apparition d’une plaque rouge (érythème) sur les jambes. Bien que l’érysipèle soit susceptible de concerner des gens de tous les âges, le risque d’infection est plus élevé au-delà des 40 ans et la plupart des personnes touchées ont environ 60 ans.
De même, les personnes consommant beaucoup d’alcool, de tabac ou qui souffrent de diabète ou d’immunodépression sont plus à risque que les autres.
Plaque rouge sur les jambes, les symptômes de l’érysipèle
Les principaux symptômes permettant d’évoquer un érysipèle sont l’apparition brutale d’une fièvre élevée (jusqu’à 40 °C) et de frissons associée à des lésions cutanées sous forme d’une plaque rouge, gonflée et luisante au niveau d’une jambe.
Ces plaques rouges ont pour particularité d’être douloureuses et chaudes et elles s’accompagnent dans 50 % des cas d’une adénopathie (gonflement des ganglions lymphatiques au niveau de l’aine), signe caractéristique d’une infection. Dans les 24 premières heures, l’œdème a tendance à s’étendre progressivement, des lésions superficielles et rouges (comme de petites bulles) pouvant se développer.
Dans 25 % des cas, on peut aussi observer une trace rouge partant de la lésion et remontant aux ganglions (lymphangite). La porte d’entrée doit être systématiquement recherchée (on la retrouve dans deux cas sur trois).
Risques de complication des plaques rouges sur les jambes
En l’absence de traitement, l’infection va se propager et s’étendre en profondeur. À terme, elle va atteindre les reins ou les articulations et provoquer une septicémie (infection généralisée).
Dans certains cas, un érysipèle peut aussi aggraver une pathologie préexistante telle qu’un diabète ou une insuffisance cardiaque, par exemple. De même, chez les personnes à risque, l’érysipèle peut favoriser la formation d’une embolie (caillot qui se développe au niveau des veines).
Par ailleurs, un abcès se développe dans 10 % à 15 % des cas. Il est donc essentiel de traiter rapidement l’érysipèle à l’aide d’antibiotiques. Il faudra également soigner la porte d’entrée de l’infection. Toutefois, les récidives sont fréquentes dans les mois qui suivent.
Bonjour,
Depuis 3 semaines, deux plaques rouges me démangent
légèrement, ou me brûlent si je les frotte.
Elles se localisent au niveau de l’entre-jambe supérieure, près de la zone génitale, où les testicules peuvent avoir un contact avec les cuisses.
Je pensais à de l’eczema, mais je trouve ça très localisé et présent en permanence pour en être.
Détails :
– J’ai une plaque d’environ 6 centimètres d’un côté et symétriquement, une tâche de 3 à 4 cm de l’autre.
– Ces tâches sont rouges sur toute leur surface quand elles sont fortement stimulées, ou bien et temps en temps, seules les extremités sont de couleur rougeâtre laissant le milieu d’apparence normale, la transition entre ces deux états étant quelques tâches éparses avec quelques zones plus denses que d’autres…
– J’ai de grosses cuisses par nature mais depuis peu j’ai pri 7 kilos.
et mes cuisses ont pas mal pri, le contact cuisse-testicule est désormais quasi-constant.
– Je me lave 1 fois tous les 3 jours au minimum.
– Je porte des caleçons sérrés type boxer.
– Je travaille la plupart du temps assis au moins 5 heures par jour, parfois 2 heures sans me lever.
Je ne m’étais pas trop inquiété jusqu’ici, ça fait quelques semaine que j’ai ces tâches rouges, mais surprise,
voilà que ce soir quelqu’un que nous avons recontré avec des amis a avoué être infecté par la gale, et cela après nous avoir tous serré la main ou embrassé sur les joues, sauf moi, donc pas de contact direct avec lui mais j’en ai eu par la suite avec mes amis ( un pétard à tourné et j’ai partagé un verre de bière avec 2 amis). J’imagine que toutes les conditions sont réunies pour que je sois infecté par la gale.
En rentrant je fonce sur le web pour me renseigner sur la gale et en lisant les symptômes j’ai tout de suite fait le rapprochement avec mes tâches entre les cuisses même si je continue à penser que ce n’est pas ça. Et voilà la raison de mon message ici !
J’ai donc besoin de votre avis sur ces 2 questions :
– Mes tâches rouges sont-elles issues de la gale
ou est-ce autrre chose ?
– J’ai été en contact ce soir avec quelqu’un infecté par la gale,
quels sont les premiers réflexes ? Sachant que j’ai une petite fille
de 2 mois, est-ce un gros danger pour elle ?
Voilà, j’espère que je fournis assez d’informations pour que vous m’aidiez à ces deux sujets. Merci d’avance pour vos éclairages.
Plaque rouge sans démangeaison
Une irritation cutanée peut entraîner la formation de plaques rouges qui se distinguent d’une réaction allergique par le fait qu’elles n’entraînent pas de démangeaisons. Diverses origines existent pour ce type de réactions cutanées. Elles peuvent notamment être dues à des frottements excessifs ou à un cosmétique irritant (en effet, de très nombreux cosmétiques contiennent des agents irritants).
Traiter les plaques rouges
En l’absence de démangeaison et donc d’allergie, il reste essentiel de trouver la cause de cette irritation. En attendant d’identifier l’agent responsable de votre plaque rouge, commencez par prendre soin de votre peau en la lavant à l’aide d’un savon doux et de produits adaptés aux peaux sensibles (ce n’est pas nécessairement le cas de tous les produits bio). Pour lutter contre l’inflammation, utilisez également un soin hydratant en vous assurant qu’il ne contient pas lui-même d’agent irritant. Utilisez un produit naturel tel que l’aloe vera par exemple. Pour favoriser la rémission de votre peau, vous pouvez aussi y appliquer une compresse d’argile ou de thé vert. En revanche, si malgré ces soins la plaque rouge ne disparaît pas, n’hésitez pas à prendre rendez-vous chez votre médecin ou un dermatologue. Ils seront les plus à même de vous conseiller sur la marche à suivre.
Quels sont les symptômes d’une mycose génitale étendue aux cuisses ?
La mycose génitale provoque une inflammation de la vulve chez la femme, associée à des démangeaisons intenses. Lorsqu’elle n’est pas traitée, elle peut s’étendre sur la partie interne des cuisses. Elle se manifeste alors par des plaques rouges, qui s’étendent progressivement et qui démangent. Une irritation liée au contact des vêtements peut également être présente. C’est pourquoi il est conseillé de rapidement soigner les mycoses génitales, car plus elles sont étendues, plus le traitement est long et contraignant.
A lire aussi : Mycose vaginale : est-ce héréditaire ?
Comment soulager une mycose génitale qui s’étend entre les cuisses ?
Lorsque la mycose génitale s’est étendue jusque sur les cuisses, il faut associer, au traitement par ovules antifongiques, une crème à appliquer sur les cuisses pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. S’il existe une macération (plus fréquente chez les sujets en surpoids), une poudre à base d’éconazole est alors préférable à la crème. Si ces traitements sont inefficaces, on peut proposer un traitement antifongique par voie orale, pendant une durée de 10 jours à 3 semaines. Une bonne hygiène, avec un savon à pH neutre, et un bon séchage de la peau sont nécessaires à la guérison.
10 types de rougeurs et leur signification
Sous le coup de l’émotion ou suite à un effort physique, le rouge peut nous monter aux joues. Si cette coloration temporaire est charmante, on retrouve aussi d’autres types de rougeurs qui peuvent être liées à des allergies, des irritations ou des maladies de la peau.
Voici 10 types de rougeurs et leur signification.
1. L’eczéma
L’eczéma est un problème de peau très fréquent chez les enfants et qui peut perdurer jusqu’à l’âge adulte. Les gens qui en souffrent ont souvent des plaques rouges, généralement aux plis des coudes et des genoux ainsi qu’aux poignets et aux chevilles. Ces plaques s’accompagnent de démangeaisons et de douleurs.
L’eczéma ne se guérit pas, mais certains traitements peuvent le diminuer et aider à maîtriser les poussées, la douleur et les démangeaisons.
2. Le psoriasis
Tout comme l’eczéma, le psoriasis est une maladie de la peau non contagieuse qui cause des douleurs et des démangeaisons.
Le psoriasis est une maladie auto-immune entraînant une régénération trop rapide des cellules de la peau, avant que les cellules du dessus n’aient le temps d’être éliminées. Il y a donc accumulation de cellules à la surface de la peau qui prennent la forme de plaques rouges couvertes d’écailles.
3. La kératose pilaire
infobarrel.com
Beaucoup plus fréquente qu’on ne le croit, la kératose pilaire est le résultat d’une surproduction de kératine. Elle se traduit par l’apparition d’une multitude de petits boutons rouges à l’arrière des bras et des cuisses, avec inflammation et rougeur. Ce sont souvent de petits boutons secs, mais ils peuvent aussi contenir du pus.
Sans conséquence autre qu’esthétique, on peut atténuer la kératose pilaire en hydratant bien la peau et en exfoliant les régions concernées.
4. La folliculite
La folliculite est une inflammation des follicules pileux causée par des bactéries, une mauvaise technique de rasage, l’épilation ou la friction des vêtements.
On voit alors l’apparition de bosses ou de petits boutons remplis de pus autour des follicules capillaires. On retrouve ces pustules dans les régions où il y a du poil telles que le dos, les épaules, le cuir chevelu ou la région du cou et du visage.
Pour réduire la sensibilité, vous pouvez appliquer une compresse chaude et humide sur la zone enflammée et bien nettoyer la peau.
5. La rosacée (ou couperose)
La rosacée, aussi appelée couperose, est plus fréquente chez les femmes que les hommes et touche surtout la partie centrale du visage : les joues, le nez, le menton et/ou le front. Au départ, on voit l’apparition de rougeurs temporaires qui deviennent de plus en plus persistantes et visibles avec le temps.
La rosacée peut entraîner la présence de bosses et de petits boutons, des sensations de brûlure, de picotement et de démangeaisons. et peut rendre la peau sèche. Les vaisseaux sanguins dilatés sous la surface de la peau peuvent aussi être plus visibles.
Contrairement à la croyance populaire, la rosacée n’est pas causée par la consommation excessive d’alcool, bien que celle-ci puisse aggraver les symptômes déjà présents. La rosacée est plutôt le résultat de facteurs génétiques et environnementaux.
La rosacée ne disparaît pas d’elle-même et peut augmenter avec le temps. Si vous en souffrez, des soins de la peau délicats sont à privilégier et il faut veiller à se protéger du soleil. Un médecin peut également vous conseiller des traitements adaptés à votre type de peau.
6. Les angiomes rubis
Compte Instagram @youthcorridor
Les angiomes rubis sont une accumulation du nombre de vaisseaux sanguins directement sous la surface de la peau, qui prennent la forme de boules rouges de tailles variées. Ils sont bénins et on ne connaît pas la cause exacte de leur apparition.
Les angiomes causent surtout des problèmes de nature esthétique selon leur taille, leur nombre et leur emplacement. Il est possible de les faire enlever.
7. L’urticaire
wisegeek.com
L’urticaire provoque des démangeaisons ainsi que des plaques rouges et gonflées. C’est une réaction qui peut être d’ordre allergique ou chronique. L’urticaire se résorbe généralement d’elle-même lorsque la cause de la réaction est éliminée.
La prise d’antihistaminiques, comme des Benadryl, peut aider à soulager les symptômes. Dans les cas plus graves, il est recommandé de consulter un médecin qui pourra prescrire d’autres traitements.
8. Les piqûres d’insectes
Ce n’est pas une surprise, les piqûres d’insectes entraînent rougeurs, démangeaisons et enflures. Pour ne pas aggraver les symptômes, on évite de se gratter et pour éviter les piqûres, on se prémunit d’un bon chasse-moustique.
9. La dermatite de contact
Les symptômes les plus fréquents de la dermatite de contact sont de la rougeur, de l’enflure et des démangeaisons.
Les mains sont les plus souvent atteintes, mais la dermatite peut survenir sur tout le corps. Elle est soit déclenchée par une réaction allergique ou par un agent irritant, comme par exemple :
10. Les réactions aux médicaments
Certains médicaments ont pour effet secondaire de causer des rougeurs ou des éruptions cutanées. Ils peuvent également rendre la peau sensible au soleil.
Sources : Groupe Proxim, Allure, Association canadienne de dermatologie
À noter
Les informations contenues dans cette article vous sont fournies à titre informatif seulement et vous permettront de poser des questions éclairées à votre médecin. En aucun cas elles ne peuvent remplacer l’avis d’un professionnel de la santé. Notre équipe de rédacteurs et d’experts met tout en oeuvre pour vous fournir de l’information de qualité. Toutefois, Look du jour ne saurait être tenu responsable si le contenu d’un article s’avérait incomplet ou désuet. Nous vous rappelons qu’il est fortement recommandé de consulter un médecin si vous croyez souffrir d’un problème de santé.
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Avec l’été arrive la saison des robes et des jupes… et les problèmes de peau ! Malheureusement, c’est également le moment de l’année ou la plupart des femmes ont un risque d’avoir des irritations au niveau de l’intérieur des cuisses. Parfois, cela s’accompagne de grattage. Avant toute chose, il est important de préciser que ce phénomène ne concerne pas que les femmes rondes. C’est en effet une question de morphologie et non de poids, plus de la moitié des femmes sont sujettes à ce problème. Pour ce qui est de ces irritations, elles sont dues au frottement de vos cuisses associé à la chaleur et la transpiration. Une fois que vos cuisses ont commencé à rougir, la situation devient rapidement invivable ! Comment éviter ces inflammations à votre épiderme ? Découvrez ces quelques astuces et remèdes pour éviter le problème d’irritation aux cuisses ou soulager vos brûlures cutanées.
Sommaire
1/ Des vêtements d’été bien choisis
Le premier conseil que l’on puisse vous apporter, est qu’il est plus approprié de porter des shorts, pantacourts ou pantalons fins plutôt que des jupes ou des robes. Peu importe le vêtement, l’important est que la peau entre vos cuisse ne puisse pas se toucher. Avec un short, votre peau est protégée et vous n’avez pas trop chaud. Ainsi, la transpiration susceptible de se créer ne pourra pas irriter l’intérieur de vos cuisses, vous éviterez ainsi les brûlures et rougeurs. Les démangeaisons liées aux frottements seront aussi moins fortes sur la zone irritée.
Crédits : oneunitymedia /
2/ Pensez à adapter votre garde-robe pour prévenir l’irritation cutanée au niveau des cuisses !
Si vos jupes ou robes vous sont indispensables, il est tout à fait possible de porter des cyclistes ou des bandes de cuisses en dessous. Cela fonctionnera de la même manière qu’un short, en protégeant les parties de vos cuisses qui se touchent. En plus, les bandes de cuisses sont des bandes en dentelles, un peu comme des jarretières, sexy pas vrai ?
Crédits : iStock
3/ La solution de pharmacie
La crème Bepanthen initialement utilisée pour les bébés afin d’éviter les irritations possibles dû aux couches peut être très efficace pour éviter les brûlures vos cuisses. Cet onguent permettra de former une couche protectrice entre vos cuisses en apportant aussi un effet antibactérien. Cela soulagera vos douleurs et va atténuer les irritations si vos cuisses sont déjà abîmées. Par ailleurs, cela permettra également de limiter l’apparition de nouvelles irritations et soulager les démangeaisons. Il est conseillé de massez vos zones concernées par les frictions puis de laisser agir.
Crédits : Mattes / Wikimedia Commons
4/ Le déodorant contre l’irritation des cuisses
Le déodorant est un bon moyen d’éviter les irritations. En effet, appliqué entre les cuisses il limite votre transpiration et donc les brûlures. Les déodorants anti-transpirant sont donc les mieux placés pour vous aider à régler votre problème. Néanmoins, privilégiez toujours malgré tout les produits les plus naturels possibles, c’est toujours mieux lorsqu’il s’agit d’un produit qu’on applique sur sa peau. On ne fait pas mieux pour calmer le feu sur la peau irritée.
Crédits : Wikipédia / Th145
5/ Les huiles à la rescousse
L’huile de coco a également des propriétés antibactériennes et anti-transpirantes. Si vous en appliquez à l’intérieur de vos cuisses régulièrement elle permettra d’éviter les irritations ! Le petit bonus c’est que ça sent également très bon. Et puis votre peau deviendra extrêmement douce grâce à ses propriétés hydratantes. Les peaux sèches adorent ! Pour combattre la sécheresse, hydrater et calmer les irritations, le beurre de karité ou quelques gouttes d’huile végétale nourrissante (avocat, calendula, etc.) conviendront aussi.
Crédits : melati411 /
6/ Le talc, la poudre miracle anti irritation entre les cuisses
Le talc permettant également de limiter la transpiration qui provoque des irritations. Donc c’est un excellent moyen apaisant de soulager vos douleurs causées par les brûlures au niveau des muqueuses ! Il faut cependant en appliquer plusieurs fois dans la journée pour que ce soit parfaitement efficace. En effet, le frottement entre vos cuisses le fera partir. Cependant il maintient votre peau au sec donc tant qu’il y en a, votre peau ne deviendra pas humide et vous ne serez pas irritée. Faites juste attention aux taches ! Les irritations cutanées désagréables n’ont qu’à bien se tenir…
Crédits : iStock
7/ Le mélange maison sans produits chimiques pour apaiser la peau irritée et éviter les frottements
Si vous souhaitez créer vous même votre petit produit magique anti-irritations, il vous suffit de mélanger 60 ml de thé vert, du gel d’aloé vera (hydratant) et de l’huile essentielle de lavande. Il ne vous reste ensuite plus qu’à appliquer le mélange à l’intérieur de vos jambes et ça devrait fonctionner. Il est important que tout soit appliqué de manière uniforme pour une efficacité maximale. En plus, les peaux sensibles adorent la lavande et cela va calmer les démangeaisons et la rougeur !