Odeur qui attire les chats

Huile Essentielle de Valériane

L’huile essentielle de Valériane

L’huile essentielle de Valériane est utilisée pour réduire les difficultés à se concentrer, se calmer, pour aider à trouver le sommeil, lutter contre la fatigue, réguler son rythme, diminuer la sensation de jambes lourdes et diminuer les problèmes digestifs.

La Valériane pousse principalement en région méditerranéenne dans les endroits frais et humides. L’huile essentielle de Valériane est employée depuis des siècles pour la relaxation.

Propriétés connues

Mieux digérer

• Antispasmodique

Mieux réguler son rythme

• Aide à diminuer la sensation de jambes lourdes
• Aide à soulager les hémorroïdes

Sommeil et Energie

• Apaisante
• Calmante
• Aide à l’endormissement
• Favorise la concentration
• Baisse la fièvre

Exemples d’utilisations

Diffusion : Quelques gouttes dans un diffuseur électrique pour se relaxer, à mélanger avec d’autres huiles pour améliorer le parfum de la diffusion.
Autres exemples d’utilisations :
Inhalation : 1 goutte sur l’oreiller pour aider à l’endormissement, ou sur un mouchoir à respirer pour retrouver le calme.

Bain : 2 gouttes dans 20ml d’huile végétale à mélanger dans l’eau du bain contre la sensation de jambes lourdes.

Voies d’administrations

Voie interne : non
Voie cutanée : à diluer dans une huile végétale
Diffusion : oui
Inhalation : oui

Indications techniques

Nom botanique : Valeriana Officinalis

Partie de la plante : Racine
Méthode d’extraction : Distillation à la vapeur
Composition chimique : Alpha pinene, camphène, acetate de bornyle, beta pinene, limonene
Origine : Inde
Culture : Conventionnelle
Couleur : Sombre

Conservation : à l’abri de la lumière.

Précautions d’utilisation

Ne pas utiliser pure sur la peau, à mélanger avec une huile végétale.

Se laver les mains avant et après avoir utilisé des huiles essentielles.

Ne pas utiliser chez la femme enceinte pendant tout le temps de la grossesse.

Ne pas utiliser chez la femme allaitante.

Ne pas utiliser chez les bébés et les enfants de moins de 7 ans.
Ne pas laisser les flacons d’huiles essentielles à la portée des enfants.

Respecter les précautions d’emploi des huiles essentielles. Pour tout usage des huiles essentielles dans un but thérapeutique, consultez un médecin. Les informations données sur le site ne font pas office de prescription, elles restent des données à titre informatif, elles n’engagent en rien notre responsabilité. Le texte, les propriétés connues, les exemples d’utilisations et les voies d’administrations qui suivent sont des informations générales tirées de bibliographies faisant autorité dans le milieu des huiles essentielles et de l’aromathérapie.

Petscool diffuseur : Les avis de nos clients (25)

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satisfait

Commentaire par H. PHILIPPE / (Testé le 29-01-2020 – publié le 29/01/2020 )

satisfait

Commentaire par H. PHILIPPE / (Testé le 18-12-2019 – publié le 18/12/2019 )

Il endort tout le monde à la maison

Commentaire par D. Aurore / (Testé le 15-11-2019 – publié le 15/11/2019 )

recharge du diffuseur tout à fait normal et conforme

Commentaire par D. Aurore / (Testé le 15-11-2019 – publié le 15/11/2019 )

Efficace

Commentaire par D. Dominique / (Testé le 08-11-2019 – publié le 08/11/2019 )

Très efficace pour les chats stressés. Une de nos chattes qui s’isolait, a recommencé à jouer.

Commentaire par F. Sophie / (Testé le 08-11-2019 – publié le 08/11/2019 )

Un effet apaisant sur les animaux,aussi bien que sur les humains.

Commentaire par V. / (Testé le 29-10-2019 – publié le 29/10/2019 )

Je recommande se produit car très efficace avec 3 chats surtout dans les mauvais jours , évite les conflits et très économe , je le branche tout les soir , acheté au mois de Février et seulement à moitié vide . Très satisfaite .

Commentaire par K. Sylvie / (Testé le 12-10-2019 – publié le 12/10/2019 )

Bon produit qui permet une diffusion en continue. Mes animaux sont plus calmes. Testé et ravie de l’achat. J’en recommande pour toujours en avoir à la maison.

Commentaire par A. Christelle / (Testé le 28-08-2019 – publié le 28/08/2019 )

Très efficace , pas déçu du tout .

Commentaire par K. Sylvie / (Testé le 13-07-2019 – publié le 13/07/2019 )

trés bien

Commentaire par C. Jocelyne / (Testé le 19-05-2019 – publié le 20/05/2019 )

recharge conforme à celle achetée avec le diffuseur

Commentaire par L. Anne-Lise / (Testé le 11-05-2019 – publié le 11/05/2019 )

service client déplorable

Commentaire par B. Lucille / (Testé le 16-04-2019 – publié le 16/04/2019 )

Recommandé par mon vétérinaire pour « zénifier » Salem qui est un grand stressé.

Commentaire par G. / (Testé le 09-04-2019 – publié le 09/04/2019 )

Parfait pour relaxer un chat stressé

Commentaire par C. VANESSA / (Testé le 22-01-2019 – publié le 23/01/2019 )

Efficacité remarquable sur mon chat particulièrement anxieuse. Elle avait enlevé de grandes touffes de poils par anxiété, le petscool a totalement arrêté ce comportement.

Commentaire par W. Serena / (Testé le 10-01-2019 – publié le 22/01/2019 )

Bien mais l’odesur est trop forte pour rester en continu

Commentaire par R. PATRICIA / (Testé le 10-01-2019 – publié le 22/01/2019 )

Cléo est plus  » zen  » …

Commentaire par F. Tania / (Testé le 10-01-2019 – publié le 22/01/2019 )

Vraiment satisfaite du produit,il apaise vraiment les tensions ..

Commentaire par C. Christine / (Testé le 09-08-2017 – publié le 04/07/2018 )

Super produit mes chats sont plus calme et il n’y a plus de marquage urinaire

Commentaire par B. Sarah / (Testé le 17-10-2017 – publié le 04/07/2018 )

Efficace

Commentaire par V. Jocelyne / (Testé le 25-10-2018 – publié le 22/01/2019 )

Le meilleur produit naturel apaisant pour nos 4 pattes et 2 pattes,nous humains y compris !!!

Commentaire par C. Christine / (Testé le 10-10-2018 – publié le 22/01/2019 )

Vraiment très efficace sur mon chat, a tester en fonction de chaque individu

petscool aromatherapie diffuseur avec sa recharge

PETSCOOL DIFFUSEUR, l’aromathérapie anti-stress pour chien, chat et cheval

Aromathérapie apaisante à base d’huiles essentielles pures et naturelles pour la diminution dus stress des chiens,c bats et chevaux

L’aromathérapie Petscool utilise les propriétés des huiles essentielles pures.
l’huile essentielle de valériane (associée à des huiles essentielles de vétiver, basilic et sauge)
L’acide valérénique est choisi pour ses effets sédatifs et relaxants. Il a notamment une action agoniste partielle du récepteur GABA. Plusieurs études ont été menées dans ce cadre et on montré les effets apaisants de ce complexe d’aromathérapie sur tous les mammifères : chiens, chats, Nacs (lapin, cobaye), chevaux.

• la valériane : sa principale molécule active, l’acide valérénique est choisi pour ses effets sédatifs et relaxants.
• le vétiver : participe au maintien de la cognition, tempère l’arôme puissant de la valériane
• le basilic : gestion du stress, de l’anxiété, de l’hyperactivité
• la sauge : régulateur de l’humeur, masque l’odeur forte de la valériane

• tous les animaux : chien, chat, furet, lapin, cocon d’inde, oiseaux

utiliser dans toutes situations de stress potentiel : orage, fêtes, feux d’artifice, soit en spray pour une action immédiate (sur un support type couverture, vêtements , toute les 1 à 2 heures), soit en diffuseur pour une action prolongée (jusque 8 semaines)

• chez le Cheval : à utiliser dans le cas de situation de stress se manifestant par de la stéréotypie comportementale, hyperactivité ou encore lésions cutanées par frottements; ballades, transport, hospitalisation, débourrage, sevrage, visite (maréchal-ferrant, vétérinaire )
  Son utilisation est simple : déposer un jet de spray sur l’habit de la personne manipulant le cheval, sa couverture, la barre du poitrail pour le transport, ou un diffuseur dans les écuries

par précaution, éviter toute pulvérisation directe sur l’animal

disponible sous forme de spray ou de diffuseur.

Question de Carine

Bonjour,

J’ai 2 questions. Premièrement, j’utilise, comme répulsif à chat, de la lavande vraie. Mon petit chaton de 8 mois urine sur mon lit et je mets quelques gouttes pures de cette huile essentielle. Une fois, j’en ai mis un peu trop et ça me prenait à la gorge. Il fait toujours pipi sur mon lit et pourtant il a été castré à 6 mois. (Ma vétérinaire a fait une analyse d’urine, il n’y a rien, c’est un problème de comportement.) Est-ce toxique pour mon chat?

Deuxièmement, en rentrant du bureau, mon jeune chat avait mâchouillé du papier adhésif brun (celui que l’on met autour des cartons pour les fermer). Il collait encore un peu. J’espère qu’il n’en a pas avalé. Si toutefois il l’avait avalé, ça pourrait être dangereux pour lui? Qu’est-ce qu’il pourrait avoir?

Merci pour votre réponse, car je me tracasse très fort pour lui.

Réponse de la vétérinaire

Bonjour Carine,

Comme votre tentative avec la lavande n’a pas fonctionné de toute façon, je vous suggère d’en arrêter l’utilisation. La lavande n’est pas répertoriée parmi les plantes toxiques à proprement parler, mais certaines huiles essentielles ont un potentiel toxique pour les félins. Dans le doute, vaut mieux s’abstenir!

Je vous suggère de vérifier l’entretien de la litière, le problème se situe très souvent à ce niveau s’il n’y a pas de problème de santé.

Pour ce qui est du ruban adhésif, je ne crois pas qu’il ait causé de tort à votre chat. Vous avez raison de penser que la colle sur le ruban adhésif peut être toxique, mais il ne l’a fort probablement pas ingérée en quantité suffisante pour être dommageable, rassurez-vous.

Les signes de toxicité que vous pouvez observer chez votre animal sont souvent digestifs : vomissements, diarrhée, perte d’appétit.

Vous pouvez parfois observer des symptômes neurologiques comme un état mental altéré, des tremblements ou des convulsions, selon les poisons.

Par contre, lorsque vous êtes inquiète pour votre animal, le mieux est de consulter votre vétérinaire avant que ces symptômes apparaissent si vous en avez la chance.

La lavande est-elle sans danger pour les chats?

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Des études ont montré, grâce à la science, que la lavande diminue l’anxiété chez l’homme. Alors, la lavande est-elle sans danger pour les chats? Malheureusement pour les chats, la lavande est toxique. Bummer, non? Cette belle plante aux fleurs pourpres lumineuses couvre le sud de la France et sent le vrai paradis floral, mais c’est un grand no-no pour les félins, en particulier sous forme d’huile essentielle. C’est ce que vous devez savoir sur toute lavande domestique si vous avez un félin à quatre pattes vivant avec vous. La forme de lavande la plus dangereuse pour votre chat Les humains aiment tellement la lavande qu’elle a probablement plus d’une forme à la maison et que certaines formes de plantes sont plus dangereuses que d’autres pour votre chat. En fait, l’huile essentielle de lavande est peut-être pire pour un chat que la simple plante. Les huiles essentielles se vaporisent facilement (c’est pourquoi nous aimons aussi les utiliser dans des diffuseurs), ce qui signifie qu’elles sont rapidement absorbées si elles sont ingérées ou frottées dans la peau. Cette absorption rapide s’applique aux humains et aux animaux. Selon la ligne d’assistance aux animaux domestiques, le problème des chats est que leur foie ne contient pas l’enzyme nécessaire pour métaboliser l’huile essentielle (les humains en ont). Les foies détoxifient le corps, et quand le foie d’un chat est envahi par quelque chose qu’il ne peut pas traiter, ses systèmes deviennent fous. La Société américaine pour la prévention de la cruauté envers les animaux indique que le lavandier commun (Lavandula angustifolia) contient du linoléum et de l’acétate de linalyle, deux composés toxiques pour les chats (et présents dans d’autres fleurs comme la bergamote). À la base, sous quelque forme que ce soit, la lavande peut rendre votre chaton malade. La bonne nouvelle est qu’il n’est généralement pas mortel et peut être traité efficacement. Symptômes de l’intoxication à la lavande Les symptômes de l’intoxication à la lavande correspondent à ce à quoi on peut s’attendre avec n’importe quel type de toxine: vomissements, léthargie, diarrhée et refus de manger. Au-delà de ces signes externes, les chats peuvent présenter des vertiges, des nausées, une faible fréquence cardiaque ou une détresse respiratoire. Le problème, c’est qu’il est souvent difficile de savoir quand un chat vit cela, principalement parce qu’il aime garder ce genre de détresse interne secret. (« Ne montre jamais de faiblesse » pourrait bien être ton mantra). Rechercher des signes de bave ou de léchage excessif autour de vos lèvres. Cela peut indiquer qu’un chat est sur le point de vomir ou a le sentiment qu’il pourrait vomir. Si vous tenez votre chaton et que votre respiration ou votre rythme cardiaque semble irrégulier, vous pourriez avoir des problèmes pulmonaires. Surveillez votre poitrine et votre estomac pour respirer rapidement. Enfin, de nombreux éternuements ou sifflements peuvent indiquer que vous avez ingéré de la lavande. Causes de l’intoxication à la lavande Évidemment, si votre chat mange de la lavande, il peut tomber malade. Nous vous recommandons de ne pas laisser de brins de lavande, en attendant d’être consommés dans toute votre maison. Les chats peuvent également tomber malades en léchant des bâtons de diffuseur d’huile essentielle de lavande ou en se léchant la main s’ils frottent simplement de l’huile essentielle de lavande sur quelque chose. Les diffuseurs d’aromathérapie électroniques et les humidificateurs sont difficiles car, bien que la concentration de lavande qui en est expulsée soit assez faible, elle peut néanmoins provoquer une détresse ou une irritation des voies respiratoires, en fonction du degré de proximité entre votre chat et l’appareil. En outre, si les gouttes tombent sur le chat et qu’il commence à se préparer, vous pouvez ingérer accidentellement de l’huile de lavande de cette façon. Il est plus sûr d’éviter d’utiliser l’huile essentielle de lavande dans ces diffuseurs si vous en avez un. Assurez-vous de suivre les huiles essentielles à base de plantes qui ne sont pas toxiques pour les félins. Et vous ne pouvez pas placer le diffuseur directement à vos côtés ou à votre portée. Comment traiter l’intoxication à la lavande Le traitement d’un chat souffrant d’intoxication à la lavande dépend entièrement de la quantité de nourriture ingérée (ou absorbée) par le chat et des symptômes qui apparaissent. Si vous avez renversé quelques gouttes sur votre fourrure, baignez-la doucement dans de l’eau tiède avec du shampoing pour chat. Surveillez tout changement de comportement. Si vous remarquez des éternuements ou des tremblements, assurez-vous de ne pas avoir de diffuseurs ou que vous n’avez pas exposé le chaton à la lavande de manière supplémentaire. Habituellement, une légère irritation peut être résolue en séparant pour toujours la lavande et le chat. Si vous avez léché une énorme quantité d’huile essentielle de lavande ou mordu beaucoup de brins de lavande, il est préférable de contacter le Centre de contrôle des poisons pour animaux ASPCA ou votre vétérinaire le plus tôt possible. Quoi que vous fassiez, ne faites pas vomir et n’administrez pas de médicament avant de parler à un vétérinaire ou à un employé du centre anti-poison. Vous devrez peut-être forcer votre chat à vomir en administrant des médicaments à un moment donné, mais ne tirez pas de conclusions hâtives. Autres plantes à éviter Nous avons déjà mentionné la bergamote, mais n’oubliez pas d’ajouter l’huile de théier, l’aloès, la camomille, l’huile de cannelle, la ciboulette, l’huile de pin, l’huile de menthe poivrée, l’huile d’agrumes, l’eucalyptus et le millepertuis à la liste des plantes toxiques pour les chats En fait, il y en a tellement qui peuvent causer des dommages que vous voudrez peut-être consulter cette liste de plantes sans danger pour les chats. Vous n’avez pas à éviter les fleurs tout à fait! Juste certains d’entre eux. LIÉS: Qu’est-ce que cela signifie quand mon chat miaule?

J’ai été formé aux huiles essentielles et je peux donc en toute légitimité vous dire que l’utilisation de lavande sur le chat est hautement neurotoxique ! Comme votre tentative avec la lavande n’a pas fonctionné de toute façon, je vous suggère d’en arrêter l’utilisation. La lavande n’est pas répertoriée parmi les plantes toxiques à proprement parler, mais certaines huiles essentielles ont un potentiel toxique pour les félins. Dans le doute, vaut mieux s’abstenir! Une réaction allergique à la lavande dans votre chat peut inclure des démangeaisons, ce qui pourrait conduire à la perte de cheveux et des plaies ouvertes. Vous pouvez alors utilisez de l’huile essentielle de ravintsara, de lavande , de bigaradier, d’ylang-ylang, de tea tree, d’eucalyptus radié ou mentholé.

Le chat n’est en revanche pas déficitaire en glucuronyltransférases des alcools, des acides, des amines. Le chat se lèche pour faire sa toilette, donc tout produit pulvérisé sur le poil va en partie être ingéré. Si la dose administrée est importante, non seulement il risque de baver ou de vomir, mais encore une fois, son foie risque.

Après quelques jours de soin oral, on peut déjà arriver à des seuils hépatiques très toxiques, qui mettent véritablement la vie de l’animal en danger. Donc, pour un chat , il faut éviter le plus possible l’ingestion d’huiles essentielles, D’autre part, l’. Huile essentielle de lavande contre les puces.

L’odorat du chat – Un système olfactif de pointe. Le chat possède pas moins de millions de terminaux olfactifs soit fois plus que les humains. Grâce l’organe de Jacobson, il peut détecter des phéromones et des. Le chat n’aime pas qu’on lui pulvérise des produits, à moins d’un chat très conciliant, il est préférable de les appliquer sur ses mains et ensuite de le caresser pour les appliquer sur le poil. Une autre technique serait d’imbiber avec quelques gouttes d’HE diluées son collier ou un petit bandana enroulé autour de son cou.

Ils n’ont pas les mêmes moyens de se detoxifier que l’être humain. Lese HE comme le Tea Tree sont sans danger pour les humains, mais peuvent-être mortelles pour certains animaux notamment chez le chat. En vente libre, elles sont proposées pour traiter divers maux tels que rhume (huile d’eucalyptus), stress (huile de lavande ), eczéma (huile de camomille) et utilisées en diffuseur, ajoutées à l’eau d’un bain, appliquées sur la peau ou en inhalation.

Mélangez ces ingrédients et conservez les dans un flacon en verre teinté. Vous devrez l’appliquer tous les jours ou le chat est exposé aux tiques, soit à l’aide d’un spray, soit en mettant un peu de ce mélange dans vos mains et en massant le pelage du chat avec. Ces hydrosols sont suffisamment doux pour etre utilisés chez les chatons. Secouez doucement pour bien mélanger. Utilisez ce répulsif naturel pour éloigner le chat de tout endroit que vous voulez protéger.

Ne pas le vaporiser directement sur le chat ni sur les plantes, car l’huile essentielle d’eucalyptus peut s’avérer toxique à forte dose pour ces derniers. Certaines odeurs lui sont particulièrement désagréables.

Le repulsif interieur chat aux huiles essentielles est un produit naturel sans danger pour le chat. Vu sur aromatherapieveterinaire. Par exemple, votre chat a des puces et vous souhaiterez utiliser les huiles essentielles pour tuer ces puces.

Je vous conseille vivement de ne pas vous amuser à concocter vous même une préparation pour votre chat mais plutôt d’utiliser des produits vétérinaires déjà tout fait à base d’huiles essentielles. Huiles essentielles danger pour les chats. Forum sur les chats et chatons. Pour une proposition de.

Ainsi, le recours aux huiles essentielles pour soigner certains mots du quotidien est de plus en plus répandu. On peut par exemple, les utiliser sur une compresse pour calmer une inflammation ou cicatriser de petites blessures. L’huile essentielle doit rester sur les poils, et ne. De ce fait, toutes les huiles essentielles contenant des phénols vont être éliminées très lentement (plusieurs jours chez le chat contre quelques heures chez le chien). Le chat risque ainsi une hépatite toxique pouvant causer la mort.

Par contre, étant prof des écoles, j ai aussi accueilli des petites bêtes indésirables sur la tête. J en mets ds le cou comme.

L’odorat chez le chat : tout savoir, tout comprendre

L’odorat est un sens essentiel à la survie du chat. Utilisé au quotidien, il lui sert à communiquer et à percevoir les informations qui l’entourent. Indissociable du goût, ce sens est particulièrement développé chez le félin, un peu plus que chez le chien et jusqu’à 40 fois plus que chez l’homme ! Découvrez tout ce que vous devez savoir sur l’odorat chez le chat grâce à notre dossier complet.

La truffe du chat : un organe complexe

Si l’on parle de nez pour l’homme, on parle de truffe pour le chat, comme pour le chien. L’odorat du chat est relié au sens du goût. En effet, le chat a besoin de sentir les plats et les objets qui l’entourent pour savoir s’il peut les manger ou s’ils représentent un danger. Il s’agit ainsi d’un dispositif de sécurité qui conforte le chat lorsque l’odeur sentie lui convient. En conséquence, toute odeur qui ne lui plaît pas le pousse à s’éloigner.

La truffe du chat contient une multitude de glandes de Bowman. Celles-ci produisent des sécrétions lorsque cela est nécessaire, à l’instar de nos glandes sudoripares. Le mucus produit humidifie la truffe du chat et l’aide à mieux percevoir les odeurs qui l’entourent. Ainsi, si votre chat a la truffe humide, ce n’est aucunement lié à son état de santé, contrairement à ce que l’on a tendance à croire. Elle est humide lorsqu’il cherche de la nourriture et qu’il est donc en état d’alerte, lorsqu’il a faim ou lorsqu’il détecte une odeur agréable dans son environnement proche. A contrario, lorsque sa truffe est sèche, il est tout de même en bonne santé. Cela signifie juste qu’il dort, qu’il se délasse ou qu’il digère son repas ; il n’est donc pas stimulé de manière olfactive.

L’importance de l’odorat chez le chat

L’odorat est un sens très important pour le chat, dans son quotidien. Sa truffe lui sert en effet à communiquer, à indiquer une préférence, à délimiter son territoire et celui des autres, à déceler le danger, à identifier un ennemi ou une proie, à trouver une femelle en chaleur, etc.

Comment le chat utilise-t-il son sens de l’odorat ?

Le chat a un odorat bien plus développé que celui de l’homme et du chien. Il possède en effet près de 200 millions de cellules olfactives, contre 150 millions pour le chien et seulement 5 millions pour l’homme. Associées aux glandes de Bowman, ces cellules olfactives permettent au chat de percevoir des stimuli olfactifs que nous n’avons pas la capacité de sentir. Grâce au mucus secrété au niveau de sa truffe, il peut ainsi percevoir les odeurs qui l’entourent 50 à 100 fois mieux que nous !

L’organe de Jacobson, ou voméro-nasal, situé dans la voûte du palais, dans le canal naso-palatin du chat, participe également à cette effusion de senteurs ; il concentre en effet les odeurs dans deux petites poches situées au niveau des cavités nasales du chat afin de mieux les analyser, raison pour laquelle votre matou peut parfois retrousser ses babines. Cette action lui permet de diriger les odeurs de son nez vers sa bouche pour mieux les interpréter.

À quoi lui sert son sens de l’odorat ?

Si l’odorat est si développé chez le chat, c’est parce qu’il s’agit d’un sens lié à sa survie. Principal outil de communication et de compréhension du monde qui l’entoure, l’odorat lui permet notamment d’identifier ce qu’il peut manger. En conséquence, un chat qui perd l’odorat, totalement ou partiellement, risque de devenir anorexique, car il ne sera alors plus capable d’identifier sa nourriture.

Les odeurs ont une signification particulière pour le chat. Ainsi, si certaines senteurs ont tendance à l’apaiser ou au contraire à l’irriter ou le pousser à jouer, l’animal est également capable de détecter les changements atmosphériques ou encore la présence d’une maladie ou d’un mal-être chez l’homme.

Les chats qui ont le museau plat sont généralement désavantagés en matière d’odorat et celui-ci est souvent bien moins développé. Il peut même être parfois très atténué. Cependant, ces chats sont tout de même capables de percevoir des stimuli olfactifs et des odeurs qui sont imperceptibles pour l’homme.

Quelles sont les odeurs que le chat apprécie ? Quelles sont celles qui agressent son odorat ?

Comme les humains, les chats apprécient certaines odeurs et n’en aiment pas d’autres. Comme nous l’avons évoqué, les odeurs influent sur le comportement du chat qui peut se sentir tant heureux, calme, serein qu’excité, joueur ou irrité.

Les odeurs appréciées des chats

• Les odeurs de la bonne humeur : les chats odorent particulièrement l’odeur de l’herbe à chat, ou cataire, plus ou moins euphorisante sur leur caractère. Certains sont particulièrement excités rien qu’en la humant quelques instants.
• Les odeurs du jeu et de l’interaction : les chats apprécient généralement les odeurs minérales et végétales. Des senteurs comme celles de l’olivier, de la menthe ou de la muscade ont tendance à lui faire plaisir et à l’inciter à jouer.
• Les odeurs de la sérénité et de la tranquillité : la lavande et la vanille sont connues pour apaiser le chat.
• Les odeurs du marquage de territoire : certaines essences comme le thym ou le romarin incitent le chat à marquer son territoire en griffant les supports ou en mâchouillant les objets à sa portée.
• Les odeurs de la bonne santé : comme chez l’homme, l’eucalyptus est réputé pour ses vertus requinquantes chez le chat. Il l’aide à mieux respirer et à résister aux coups de froid.

Les odeurs détestées des chats

• Les odeurs de l’agressivité : le chat n’apprécie pas les odeurs fortes de l’orange et des agrumes en général. Celles-ci ont en effet tendance à irriter son odorat et à le rendre agressif. Évitez ainsi toutes les huiles essentielles d’agrumes et les produits d’entretien parfumés au citron ou à l’orange. Toutefois, le citron est très pratique pour empêcher votre chat d’uriner là où il ne doit pas faire et d’aller là où il ne doit pas se rendre. Un repoussant naturel bien pratique !
• Les odeurs de la mauvaise humeur : des odeurs fortes ou acidulées comme le vinaigre, ou encore les oignons ou le dentifrice sont peu supportables pour votre animal. Évitez leur contact, car vous risquez de l’éloigner de vous.

Comment prendre soin de la truffe et de l’odorat de son chat ?

L’odorat est un sens essentiel à la survie d’un chat, raison pour laquelle il est important d’en prendre soin, surtout avec l’âge, car il a tendance à se détériorer.

Si le chat effectue seul sa toilette quotidienne, il peut avoir besoin d’aide pour le nettoyage de son museau qui a tendance à s’obstruer facilement. Ses narines ont en effet pour rôle de filtrer l’air qu’il respire et de retenir les poussières et les impuretés présentes dans l’environnement. Les nettoyer régulièrement facilite la bonne respiration du chat et favorise sa bonne santé.

Le nez de votre chat doit être nettoyé en douceur, à l’aide de produits adaptés. Un coton doux et du sérum physiologique suffisent pour retirer les écoulements naturels classiques. En revanche, si vous détectez des écoulements anormaux ou une obstruction des narines, consultez le vétérinaire afin qu’il vous prescrive un traitement adapté.

Dans le cadre du nettoyage classique, n’appliquez aucun produit dans le nez de votre chat et n’y enfoncez aucun coton-tige. Essuyez simplement les salissures qui dépassent dans un geste doux. Habituez-le dès son plus jeune âge, la procédure sera bien plus facile.

L’univers bio et naturel des chiens et des chats

Chez les êtres humains, l’odorat est important et les odeurs perçus peuvent jouer sur notre humeur. Chez le chat cela est identique. Certaines odeurs peuvent l’irriter ou alors le mettre de bonne humeur.

Il est donc utile de savoir ce que les chats aiment ou détestent comme odeur.

Le système olfactif des chats

L’odorat est en fait le 3ème sens le plus important chez le chat, après la vue et l’ouïe. L’odorat reste indispensable aux chats car il lui permet de communiquer avec ses congénères.

Le chat a une perception très fine des odeurs. Sa truffe est riche en glandes particulières qui ne vont s’activer seulement lorsque cela est nécessaire. C’est pourquoi le nez est sec ou humide, cela n’a rien à voir avec l’état de santé mais concerne l’intérêt olfactif que le chat porte à son environnement. Par exemple, si vous lui présentez une gamelle de pâtés, son nez s’humidifiera.

Le chat a un odorat 5 à 7 fois plus développé que nous.

Tout comme nous, les chats apprécient ou détestent certaines odeurs. Certaines odeurs vont exciter votre chat, lui donner envie de jouer, d’autres le calmeront ou encore l’agresseront

Les odeurs qu’ils détestent

Nous achetons de plus en plus de produits bio, qui sont meilleurs pour notre environnement, toutefois les chats les apprécient peu. Ces produits sont souvent à base de citrus ou d’huile essentielle d’orange. Ces odeurs attisent l’agressivité de votre chat et certains urineront même pour masquer cette odeur.

C’est pareil avec des huiles essentielles à base d’agrumes (bergamote, pamplemousse, citron,…). Les pots-pourris sont à proscrire de votre maison si vous ne voulez pas agacer votre chat.

N’oubliez pas non plus, que si vous-même trouvez que l’odeur d’orange est forte, cette odeur est 7 fois plus forte pour votre chat.

Les odeurs qu’ils aiment

Certaines odeurs apaisent les chats. Ils apprécient les odeurs de lavande et de vanille car celles-ci le calme. D’autres comme la menthe ou la muscade lui donne envie de jouer. Le romarin et le thym le font griffer, dans le bon sens du terme, c’est-à-dire que cela entraine le chat à faire ses griffes sur un arbre à chat par exemple.

L’eucalyptus sera également utile pour lutter contre les coups de froids et aider votre chat à mieux respirer.

Les odeurs plus étonnantes que le chat apprécie est par exemple le dentifrice ou la javel.

Si vous avez aimé l’article, merci de nous liker😉

Les odeurs que les chats aiment et celles qu’ils détestent

L’odorat du chat est jusqu’à 7 fois plus développé que le nôtre, ce qui le rend très sensible aux odeurs. Par exemple, il saura faire la différence entre de la nourriture fraîche ou avariée et ne s’aventurera pas près d’un endroit duquel émane une odeur désagréable. A l’inverse, il y a des odeurs qui le rendent complètement fou !

Pour mieux comprendre la réaction d’un chat face à une odeur, voici différentes odeurs qu’ils aiment ou au contraire, qu’ils détestent.

Les odeurs que les chats adorent

L’herbe aux chats, ou cataire

Sans aucun doute, l’odeur préférée des chats est celle de l’herbe aux chats. A ne pas confondre avec  » l’herbe à chat  » constituée de jeunes pousses de céréales et permettant au félin domestique de se purger, l’herbe aux chats (aussi nommée catnip) est une plante aromatique adorée des matous.

Généralement, quand on parle d’herbe aux chats on parle de la cataire, pour l’effet attractif et euphorique qu’elle provoque sur les chats. Mais la valériane est tout aussi réputée pour avoir de nombreux effets sur eux. A l’instar d’une drogue, ces plantes semblent prendre possession de l’esprit de votre chat qui devient totalement dans un état second.

Bien entendu, l’herbe aux chats est sans danger pour eux. Offrir un jouet à base de cataire à son chat est un véritable moyen de l’occuper pendant des heures et de l’apaiser. Dans la même veine, la muscade est une odeur qui attire les chats également.

La javel

Peut-être avez-vous déjà fait le ménage avec un produit à base de javel et remarqué aussitôt votre chat se ruer sur la surface fraîchement nettoyée ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, les chats adorent l’odeur de la javel. Pour expliquer ce phénomène, il faut savoir que le pH de la javel est proche de celui de l’urine de chat, donnant l’impression à votre chat qu’un autre matou est venu conquérir son territoire. En réaction à cela, il va tout faire pour recouvrir cette odeur étrangère.

Cependant, cette attirance envers la javel pourrait causer de sérieux dommages à votre chat car c’est un produit nocif. Il est vivement conseillé de mettre vos bidons de javel dans un lieu inaccessible, voire d’opter pour un autre produit ménager.

L’olivier et les olives

Vous remarquerez qu’il y a beaucoup d’odeur de plantes qui semblent avoir un fort pouvoir attractif sur les chats. L’olivier en fait partie, il possède un pouvoir euphorisant qui donne au chat envie de se frotter dessus et d’interagir avec. Rapportez une branche d’olivier à votre chat d’appartement qui s’ennuie et amusez-vous à le regarder interagir avec ! Un morceau de tronc d’olivier constitue un excellent griffoir pour votre chat. De même, les matous sont très attirés par les produits à base d’olive.

Les odeurs que les chats détestent

De nombreuses odeurs font offices de répulsif pour chat. Trop puissantes pour leur odorat très sensible, elles font grimacer les chats voire les repoussent totalement. Il peut être intéressant de connaître les odeurs que les chats détestent afin de les faire fuir ou les repousser de votre porte d’entrée, l’empêcher d’uriner sur un meuble, etc.

Les agrumes

Orange, citron ou encore pamplemousse, ces fruits suffisent à eux seuls à repousser les chats. Si vous approchez une écorce d’agrume près du nez de votre chat, vous le verrez reculer sa tête ou carrément s’enfuir. Pour repousser un chat, vous pouvez mettre des écorces d’agrumes ou encore des huiles essentielles aux endroits où vous ne souhaitez pas qu’un chat aille. Cela peut être une porte d’entrée, un meuble…

Les odeurs épicées

Toutes les senteurs très épicées ne sont généralement pas appréciées des chats. Que ce soit du piment, de la moutarde, du wasabi, du poivre ou n’importe quelle autre épice forte, toutes ces odeurs sont très agressives pour le chat. De plus, certaines sont même très irritantes pour ses voies respiratoires ou ses coussinets si jamais il se retrouve à patouiller à l’intérieur, c’est notamment le cas du poivre. De plus, les piments contiennent de la capsaïcine, une molécule qui est non seulement irritante mais également toxique pour les chats.

Raffa ::: Le Grand Ménage :::

86. Le 27/05/2012, 11:33 par Méchant phénol

Bonjour,

Ma « réalité » de praticien me rapproche également de ce dernier texte cité. « Le chat est théoriquement sensible à des huiles essentielles toxiques pour lui ». C’est vraiment théorique, et si la seule théorie est celle que vous exposez en haut de page, elle est fausse, ou exagérément simplifiée. Cette théorie ne reflète absolument pas la réalité, que ce soit en alimentation, ou en pharmacie. J’attends encore de voir des accidents répétés avec les mêmes « coupables » pour avancer, mais avec la résurgence des huiles essentielles, qui n’ont jamais cessé d’exister par ailleurs, ce ne sont toujours que quelques cas de « toxicité » qu’on nous ressort en boucle, avec une absence quasi-totale de données permettant de comprendre ce qui a pu se passer.

Je vous assure aussi que le chat, animal très « naturel », est anormalement sensible aux:
– salycilés et autres anti-inflammatoires non stéroïdiens,
– acétaminophène,
– stéroïdes,
– certaines classes d’antibiotiques,
– certains (tous!?) produits biocides de synthèse (herbicides, pesticides, insecticides)
– pollution atmosphérique (y compris, et surtout, pour les chats d’intérieur qui sont dans un environnement qui concentre les polluants, comme une moquette, par exemple, sur laquelle des gens marchent et répandent des hydrocarbures qu’ils ont ramené de dehors sous leurs semelles…)
– les aliments (des cas de diabète nombreux avec l’utilisation de céréales dans leurs croquettes)
– certaines plantes
– et, pour vous faire plaisir, certaines huiles essentielles… et plein d’autres trucs qu’on n’a peut-être pas encore identifiés.

Honnêtement, leur sensibilité aux huiles essentielles me semble anecdotique, autant par sa fréquence, que par son absence quasi totale de létalité ou de morbidité chronique, comparée à l’expression quotidienne des sensibilités à d’autres éléments de la liste, non exhaustive. Il faut vraiment que les propriétaires de chats aient cela en mémoire; c’est important.

Ensuite il s’agit d’un « tout ». Le système de détoxication du chat, en tant qu’individu, va recevoir l’ensemble de ces « toxiques » sans réellement de distinction. Il est très difficile de raisonner en globalité. Les chats ne sont pas tous les mêmes à la base (génétique, hérédité, âge, etc.) et leur environnement perso diffère sur environ 3000 paramètres. Les études fournies sont statistiques, avec des DL50 calculées, etc. Mais cela ne reflètera jamais le cas de « votre » chat dans « son » environnement.

Le cas du chat est tellement « extrême » qu’il vaut mieux privilégier une « auto guérison » qu’une médication forte. On risque vraiment d’augmenter les problèmes. Mais en cas de besoin, il faut quand même choisir ce qu’il faut utiliser. En cas d’infestation de puces, si vous avez le choix entre des fumigations de perméthrine dans votre maison, ou en faire le grand ménage et pulvériser quelques huiles essentielles insectifuge, je vous prie de comparer ce que la science connait aujourd’hui dans ce domaine. Pour moi, il n’y a pas photo…

Merci encore pour vos réponses à mes interrogations… C’est peut-être le titre aussi qui sort dans Google comme: « huiles essentielles et chats: attention danger » qui fait que les gens concluent trop rapidement… D’où les erreurs que je vois répercutées ailleurs…

A bientôt!

87. Le 27/05/2012, 16:17 par Raffa

Re

Je ne doute pas de la sensibilité du chat aux toxiques en général. Et le titre exprimait : il est sensible également aux HE, présentées à l’époque un peu trop facilement comme « naturelles donc sans danger ».

Pour mieux comprendre le contexte, ce blog et ce texte s’adressait à cette époque à des personnes dites « écolos » qui essayaient de changer leur mode de vie sous différents aspects, qui s’intéressaient aux alternatives à et pour certains se détournaient de la médecine classique (y compris vétérinaire), des pesticides, des produits d’entretien et des cosmétiques du commerce, etc. parce qu’ils contiennent des éléments non durables et polluants, issus de la pétrochimie, avec des éléments toxiques ou potentiellement toxiques ou qu’ils financent des industries ou des entreprises « néfastes ». Vous comprendrez donc que je suis d’accord avec vous.

A cette époque les ressources sur ces sujets n’étaient pas aussi accessibles ni développées. Nous étions donc plusieurs sur des forums et des blogs avec ou sans qualifications particulières, a s’informer et chercher des alternatives aux produits du commerce, faire nos essais et erreurs de notre côté et nous présenter nos expériences.

Évidemment les HE sont des alternatives intéressantes dans la plupart de ces domaines, ce blog en parle à plusieurs reprises, notamment pour la bobologie et l’entretien. Les enfants, les femmes enceintes et allaitantes, les personnes souffrant de maladies particulière (ex. dérèglement hormonal) sont particulièrement sensibles aux HE (y compris à d’autres substances évidemment ! mais c’était souvent pour les éviter que l’on se dirigeait vers les huiles essentielles). Il y a également un article à ce sujet sur ce blog. Il était important d’expliquer que si les HE sont fabuleuses, et nous en étions pour beaucoup convaincus, elles n’en sont pas moins dangereuses. Qu’il faut s’informer, beaucoup et ne pas faire n’importe quoi.

Cet article qui ne fait que relater mon expérience (traumatisante), et des lectures, et qui vaut ce qu’il vaut, leur était destiné avant tout pour les alerter, comme d’autres pouvaient relater leur ratage, allergies ou brûlures de peau avec telle recette de tel bouquin. Et il y en a. Les lecteurs de l’époque étaient des gens que je côtoyais quotidiennement sur leur propre blog ou des forums, avec qui on débattait de ces sujets, et qui connaissaient au moins en partie les risques et contrindications « humaines ». Le fait que d’autres composants dans l’environnement soient des toxiques qui peuvent agir en synergie, que les pesticides doivent être évités et qu’il faut limiter les produits pour limiter la pollution intérieure, leur était connu également.

C’est d’ailleurs le propos de plusieurs de ces forums et blogs, et de celui-ci. Je ne pouvais d’un côté encourager la fabrication de produits dont certains à base d’HE pour éviter les produits classiques, sans aborder ces questions de sécurité, ou même un simple doute, afin que chacun fasse ses choix. Le principe de précaution n’est pas à sens unique.

Mais depuis cette époque certains thèmes développés ici, souvent marginaux voire extrême auparavant, sont devenus à la mode, on en a parlé dans les médias, de nombreux livres sont sortis, dont un sur les produits d’entretien tiré de ce blog, le nombre de lecteurs a augmenté, et le public c’est grandement diversifié, internet a changé, les copier coller sauvages avec ou sans citation de source (et donc sans contexte) se sont diffusés un peu partout.

Les « prérequis » évidents à l’arrivée sur une page datée de ce blog ne le sont donc plus. Mais il s’agissait à l’origine d’un blog personnel et souvent militant au sein d’une communauté sensibilisée. Il est devenu dans certains cas un « site de référence ». Ce n’était pas prévu et je trouve cela à la fois inconfortable et intéressant pour les questions et débats que cela soulève, à la fois pour les thèmes développés et de manière générale sur le partage d’information sur internet et la manière dont il se fait.

Merci encore et bon week-end

88. Le 31/05/2012, 14:44 par lyou

Bonjour!
Récemment j’ai acheté le spot on naturel de Clement-Thekan: 1% de géraniol.
Sur mes deux chattounes, il y en a malheureusement une qui a fait une réaction au produit: elle s’est léché à s’en arracher des touffes de poils. L’autre a eu une réaction moindre.
Au début je pensais que c’était l’odeur qui lui avait fortement déplu, mais à voir l’étendu des dégâts je pense que c’était bel et bien une réaction allergique. En parcourant qq forums, j’ai lu que certains animaux (chiens et chats) s’étaient grattés jusqu’au au sang.
Je suis donc revenue sur le collier classique en attendant de trouver une autre solution… que j’ai peut-être trouvée dans les commentaires plus haut
Raffa, tu parlais d’EPP (dans un commentaire dans un autre article sur ton chat), est-ce que c’est l’extrait de pépin de pamplemousse dont tu parles?
Merci pour ton blog et pour ton livret sur le ménage! ^^

89. Le 16/06/2012, 10:46 par Méchant phénol

Bonjour Lyou,

Je repassais voir s’il y avait eu des modifications postées dans cet article, à la lumière de mes « explications ».

Il y a un problème avec les pipettes, d’huiles essentielles ou d’insecticides, vendues en pharmacie, et en supermarché… Il y a des allergies aux excipients, c’est fréquent et peut être relativement grave et coûteux en soins vétérinaires!

Ce problème peut-être évité en n’utilisant que des mélanges d’huiles essentielles pures, qui ne sont pas allergisantes. Cependant, certaines sont irritantes pour la peau. Si vous les utilisez pures, il faut en utiliser très peu, à un endroit où l’animal ne peut se lécher (entre les épaules, très près de la peau, en écartant les poils). Mais si cela incommode l’animal, il faudra penser à des applications diluées en spray ou lors d’un shampoing.

Aussi, je ne comprends pas bien cette utilisation du géraniol seulement. C’est vraiment incomplet et inefficace… Si les géraniums faisaient fuir les puces et tiques, ça se saurait… Il y a des formules anti-puces aux huiles essentielles bien plus élaborées que ça.

90. Le 18/06/2012, 17:27 par akita16

Bonjour, j’ai lu avec attention vos débats et malheureusement cela ne me permet pas de prendre position car je suis à la recherche des HE que je pourrais diffuser via un nébulisateur dans une cage fermée contenant un chat atteint de coryza. Je précise que ces chats sont des chats de refuge qui d’habitude bénéficient de traitements à base de fumigations avec du perubore qui selon sa notice contient des HE de lavande, thym, romarin, thymol et que dans une préparation phyto vétérinaire destinée à faire des fumigations on trouve des HE de girofle et d’eucalyptus. Je souhaite pouvoir remplacer le pérubore par des HE directement, j’ai compris la necessité de procéder par toutes petites quantités mais je ne sais pas quelles HE utiliser de manière à ce que cela soit sécurisé et efficace. Nous n’avons jamais eu de problèmes suite à l’utilisation du pérubore.
Je pensais utiliser max 3 gouttes d’HE différentes pour le volume d’eau nécessaire voire moins selon le volume d’eau car je n’ai pas encore vu l’appareil que nous allons utiliser. Pourrais je avoir votre avis? La petite centaine de chats du refuge et moi même vous remercions Ah au fait on me dit de dire MERCI RAFFA pour ce blog !!!!!!!!!!

91. Le 21/06/2012, 10:56 par Méchant phénol

Bonjour akita16,

Pour ma part, pour les chats, j’utilisais du Calyptol inhalant, moins agressif que le Perubore. Majoritairement de l’Eucalyptus, avec Pin, Thym et Romarin… Aucun chat n’a été malade. C’est un produit utilisé depuis des générations.

Je crois que le pin, le thym et le romarin sont un peu « en trop ». Si je devais faire une formule avec quelques huiles essentielles, je ferais avec Eucalyptus, et avec Tea Tree, ou mieux, Niaouli (même famille mais moins irritant que Tea Tree). Cela donne un large spectre.

Les utilisations traditionnelles de ces huiles pour cette indication sont connues, et efficaces (pas de chat mort non plus)… Et la science récente démontre une activité anti microbienne de ces huiles http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/…

Maintenant, cela sert à éviter les surinfections bactériennes, suite au virus du coriza. C’est un plus, mais je ne crois pas que ce soit un traitement du coryza en lui-même. Il faut que le corps du chat se nettoie de ce virus, et les huiles vont aider à booster son système immunitaire en lui offrant quelque repos, en diminuant le nombre d’agresseurs.

92. Le 26/06/2012, 08:45 par Méchant phénol

Lyou, je repasse pour dire que j’ai trouvé une mention dans Duke’s database qui classe le geraniol comme « allergenic ». Je ne crois pas que ce soit « terrible », mais il ne faut certainement pas l’utiliser seul à cette forte concentration. En plus, je doute que ce soit efficace.

Mais les excipients de pipettes restent aussi des sources d’allergie, parfois graves (choc anaphylactique), et ça, c’est vraiment fréquent, qu’ils soient naturels ou chimiques. Des accidents d’allergie à la citronnelle, à l’état naturel, par exemple, qui contient du géraniol, je n’en ai jamais vus. C’est une science compliquée… Allez savoir comment Duke a établi ce pouvoir allergisant. Aucune référence biblio supplémentaire.

93. Le 06/12/2012, 22:45 par Nini

Moi aussi, j’ai lu avec attention vos débats. Je ne sais plus que penser. J’ai un problème avec Ugo persan de 9 ans. Lors de son vaccin annuel, j’ai fait faire une analyse de sang pour contrôler ses reins et son foie. Malheureusement les marqueurs du foie se sont révélés très mauvais. Ma véto a fait une échographie du foie . Diagnostique : CHOLANGIO-HEPATITE, son foie est apparu strié de blanc. Il est sous antibiotique et corticoïde. J’utilise quotidiennement un soin du visage fait-maison à base d’huile végétale et HE diverses. Comme Ugo est très calin, et que je l’adore, je lui fais de très fréquents bisous. Est-il possible que ce soit ce soin qui l’a rendu malade? Je culpabilise, est-ce ma faute?. Va-t-il guérir?.
Bien amicalement
Nini

94. Le 03/03/2013, 00:46 par stéphane

Pourquoi n’allait vous pas voir simplement un magnétiseur???

95. Le 03/03/2013, 00:53 par stéphane

J’ai moi même un chat : un femelle norvégienne qui a aujourd’hui 23 de nos années et qui se porte a merveille, cette chatte a été trouvée à marcq en bareuil dans un container d’un immeuble enfermé dans un sac en plastique (un éleveur qui l’a jeté à cause d’une imperfection (éruption cutanée à vie) je suis également un jeune magnétiseur (36 ans).

96. Le 19/03/2013, 11:17 par Véto

Bonjour,
Je me permets de venir visiter les sources d’information que me citent mes clients pour m’opposer l’utilisation de méthodes naturelles pour le traitement de leurs compagnons, avec pour leitmotiv « les huiles essentielles sont toxiques chez le Chat », repris sur tous les fora animaliers, vous citant comme source: « Raffa sur Google »! .
J’ai lu beaucoup de commentaires sur cette page, et ai adoré vos discussions avec « Méchant Phénol ». Il est peut être le seul a avoir souligné l’hérésie de votre approche, basée sur des sources qui ne sont pas étayées scientifiquement et vont à l’encontre de toutes nos connaissances actuelles.
En tant que vétérinaire, je ne sais pas vraiment où me situer. Dois-je faire plaisir à mes clients en vous donnant raison, et en oubliant nos expériences des méthodes naturelles? Ou dois-je me battre pour prouver que « tout ce qu’on lit sur internet » est faux.
Après plus de 40 années de métier, je peux quand même vous dire ceci:
– phénols et cétones sont présents partout. Ce sont juste des noms de composés chimiques. Il y en a dans l’air, dans les parfums, dans l’eau, dans l’alimentation, etc. Donc, tous les chats devraient mourir d’hépatites aiguës ou chroniques. Je vous rassure, ces pathologies sont quasi inexistantes chez le Chat. Et si seules les huiles essentielles créaient ces pathologies depuis le début de leur utilisation dans l’Antiquité, la médecine vétérinaire en aurait une trace dans son enseignement et ses bases de données bibliographiques. Ce n’est pas le cas. Nous avons même de très grosses connaissances en toxicologie des plantes, dans la mesure où elles étaient utilisées avant les drogues de synthèse et jamais une huile essentielles n’est apparue suspecte.
– la seule méthode vraiment efficace de lutter contre la propagation du virus du coryza, notamment en chatterie, enseignée depuis des lustres dans les écoles vétérinaires, et encore conseillée dans nos refuges, en absence d’autre solution, sont des fumigations fréquentes avec des produits composés d’huiles essentielles de thym, de romarin et d’eucalyptus. En tout, ce sont des centaines de milliers de chats qui ont été exposés aux inhalations d’huiles essentielles, sans AUCUN signe d’intoxication. Si je compare cela aux cohortes de chats (et chiens) malades et intoxiqués qui débarquent dans mon cabinet chaque fois que la ville répand des biocides dans le quartier, j’arrive à penser que votre combat est biaisé.
– les antiparasitaires (puces, tiques, et moustiques de la leishmaniose) qu’on nous fait vendre à nos clients sont tous retirés du marché après un certain nombre d’années car estimés trop dangereux, ayant entraîné maladies et décès d’animaux, après des traitements coûteux chez le vétérinaire. Le dernier né de cette génération, Scalibor, est « sans aucun effet indésirable » d’après son fabricant et son AMM, alors que la commission nationale de pharmacovigilance vétérinaire le rend responsable d’intoxications et de décès de chiens, sans l’efficacité prônée. Conclusions rapportées sur le site de l’ANSES http://www.anmv.anses.fr/wp-content… . Encore quelques années et il sera retiré pour faire place à un autre poison… C’est une valse permanente.
– A noter une campagne par l’agence de l’environnement américaine contre les dangers des colliers antiparasitaires animaux chez les enfants de ces foyers utilisant ces poisons http://www.epa.gov/pesticides/kids/…
– Cela n’est en aucun cas comparable avec mon expérience des huiles essentielles pour lesquelles je ne peux citer un seul incident!

Dois-je aujourd’hui promouvoir des produits pharmaceutiques polluants et dangereux pour faire plaisir à mes clients instruits par vos soins aux dangers des huiles essentielles?

97. Le 19/03/2013, 18:20 par Raffa

Bonjour,
« En tant que vétérinaire, je ne sais pas vraiment où me situer. Dois-je faire plaisir à mes clients en vous donnant raison, et en oubliant nos expériences des méthodes naturelles? Ou dois-je me battre pour prouver que « tout ce qu’on lit sur internet » est faux. »

Pour ce qui me concerne en tant que professionnel du sujet vous devez faire votre travail d’information basé sur vos connaissances et expériences, argumenter face à vos « clients » (quel beau terme employé dans ces métiers de la santé), quant à vous battre pour prouver que tout ce qu’on dit sur internet est faux je vous laisse seul juge de la pertinence de cette perte d’énergie. Mais permettez moi de ne pas partager votre approche. Tout ce que l’on dit sur internet est à vérifier, recroiser les sources, demander à un « expert » ou plusieurs experts en qui l’on a confiance etc. Et si l’on a quelque que chose de pertinent à dire pour faire avancer une discut, le faire, exactement comme vous venez de le faire. Comme dans la vie au fond.

Mais je n’ai que peu de pouvoir sur la confiance que vos clients vous accordent ou celle qu’ils m’accordent et je n’ai jamais prétendu avoir la vérité. Comme il est précisé au bas de chacun de mes articles « En particulier toute décision concernant un traitement médical devrait toujours se prendre en consultation avec un professionnel de la santé qualifié. » Enfin j’accepte toujours les avis contraires, surtout s’ils sont sourcés ou étayés par l’expérience.

Pour le reste de votre message, que je partage en partie (comme quoi) je me suis déjà largement exprimée et justifiée lors de la discut avec Méchant Phénol, je pourrais copier coller mes com mais l’intégralité de mes réponses répond à votre commentaire. En particulier à « Il est peut être le seul a avoir souligné l’hérésie de votre approche, basée sur des sources qui ne sont pas étayées scientifiquement et vont à l’encontre de toutes nos connaissances actuelles. » Je n’ai rien à ajouter de plus.

Quant à moi, si cette affaire m’aura permis encore une fois de mieux comprendre le processus de diffusion des informations sur internet (et au delà) et donc de la responsabilité et la perte de liberté de ton que cela implique, même quand il ne s’agit au départ que d’un public conscientisé et hyper ciblé que l’on connait bien (autrement dit on ne sait jamais où finira l’info et comment elle aura été comprise surtout 8 ans après multiple copiés-collages et sortie du contexte original), si j’ai pu favoriser ne serait-ce que l’existence de ce papier et ses conséquences, alors je reste totalement convaincue que ma démarche était la bonne (même si des nuances/précisions auraient du être apportées et ne l’ont pas été suffisamment à l’époque pour les raisons expliquée à Méchant Phénol : le « grand public » n’était pas le public cible). Je devrais sans doute faire un article expliquant où l’on en est désormais 8 ans après cet article et il sera sans doute fait (edit. je viens de faire une mise à jour dans le texte prévoyant que Méchant Phénol et vous n’êtes que les premiers…), mais en attendant je n’ai aucun contrôle sur les différents copié collé qui ont eu lieu de cet article au cours du temps. Et en 2005, ce blog était un blog parmi les autres dont rien ne pouvait prédire le succès.

Les personnes réellement concernées devraient remonter à la source et lire tous ces commentaires en particulier la discut avec méchant phénol et celle avec vous et mes réponses (sourcées je le rappelle !) d’où l’on conclu très aisément que s’il vaut mieux toujours faire gaffe à l’utilisation des HE en tant que particulier, on peut aussi écouter ce que le véto a à dire en la matière. Ce qui n’était pas si vrai en 2005 où l’usage de l’aromathérapie était encore le fait de qqs passionnés (dont je suis et à qui je m’adressais à l’origine), les papiers sur le sujet très rares et les alertes de certains (phyto)thérapeutes animaliers anglo-saxons bien réelles (et les mises en garde le sont toujours, cf mes com précédents).
Je n’encourage pas à l’utilisation des produits de synthèse, la majeur partie de ce blog est dédié aux différentes manières de les éviter dans tous les domaines de consommation, l’autre partie dénonce leurs effets.

Bien à vous.

98. Le 20/03/2013, 07:41 par Véto

Bonjour,

Merci pour la rapidité de cette réponse, et l’ajout de ce bémol dans votre texte. Vous avez certainement raison de référer ces décisions à des professionnels, car chaque métier doit s’apprendre.
Le marché des huiles essentielles s’est considérablement ouvert avec internet et il y a des centaines de boutiques sur le net. Cependant, cela est très mal régulé. Il faut savoir que deux résultats de distillation de la même plante peuvent avoir des compositions chimiques très différentes, et généralement, il n’y a aucune garantie quand à la qualité de ce qu’on achète. Cette dérive créera-t-elle des accidents?
Pour ma part, je suis en contact avec un confrère également diplômé de naturothérapie qui réalise des formulations aux huiles essentielles. Il s’applique à vérifier via le laboratoire la composition de chaque huile essentielle qui entre dans ses mélanges. Il s’appuie sur les données d’ethnobotanique, les études cliniques anciennes et récentes, afin de minimiser les risques potentiels posés par des substances actives. Mais qui d’autre fait cela?
Rien n’est simple… Mais mon message reste qu’à mon sens, j’ai des centaines d’expériences d’effets indésirables (y compris décès) créés par des molécules de synthèse, et aucune, en clientèle, d’effets indésirables découlant d’exposition aux huiles essentielles. C’est pour cela que votre article, et surtout son utilisation faite par certains de mes clients (= propriétaires d’animaux qui me confient le soin de leurs compagnons) m’ont un peu « révolté »!
Encore merci pour la correction apportée.

Bonne journée.

99. Le 21/03/2013, 17:41 par Canneberge

Si ton chat a des cystites qui est en fait la cause des pierres et struvites, donne lui de la canneberge, Cranberry en anglais.
Achéte des comprimés de canneberge en pharmacy ou autre, et donne ens au chat environ 20 mg 1 á 3 fois par jour.
Cela guéri les cistites et prévient les struvites et pierres dans la vessie.

C’est le meileurs reméde contre les struvites et cystites.

Si ton chat fait souvent des cystitesd/struvites, regarde si le chat n’est pas aussi constipé ou en voi de l’êtrr. En effet la cosntipation peut résulter en cystite.
Donen de l’eau au chat, du son, des prunes (achéte des pruneaux d’agent en sachet, mets en quelques uns dans de l’eau, qu’il soit copuivert, et laisse pour la nuit, au matin mélange bien le tout que ce soit liquide, et donne le au chat, soit avec une seringue dans la bouche, soit avec sa nouriture si il aime cá.
Tu peux aussi le servir aved du lait ou du yaourt, ce qui facilitera aussi le transit.

Tu peux aussi donner du petit-lait au chat qui est constipée.
Si tu ne sais ou en acheter, achete un yaourt, met le dans un linge, suspendu au dessus d’un bol ou recipient, et laisse passer un jour ou une nuit. le liquide est le petit lait. dans le sachet il n’y aura que du fromage frais.

comme fibre tu peut donner de la citrouile au chat. faire cuire comme pour nous, en puré, donner au chat mélangé á sa nourriture.

Son, citrouille, petit-laiot, pruneaux, contre la cosntipation, et si il peine, 5 ml d’huile de parafine en suspension, mais á donner plusieurs heure avant ou aprés le repas.

Canneberge en comprimé contre les cystite, et vinaigre de cidre. Lorsque le chat ne peut pas pisser, donner: ½cuilléré de vinaigre de cidre avec ½ cuillérée d’eau, toute les 2 heures, 3 fois, pui donner 2 fois par jour matin et soir. Seulement en cas extréme car le chat aime pas ca et c’est pas bon pour son estomac.
L’acidité de l’urine detruit les crystaux et les empeche de se former.

La canneberge rend l’urine acide, et est donc á préférer.

100. Le 28/04/2013, 12:19 par plum’

Bonjour Raffa,

Après tout ce temps de silence, je suis super contente de retrouver des signes de ta présence !

Il y a des années, j’ai beaucoup apprécié ton blog, qui mettait enfin en forme quelques bricoles que je faisais spontanément, et m’a appris beaucoup. J’ai toujours eu très envie de te remercier de ta générosité, morale, humaine, mais aussi matérielle, puisque tu nous as offert tes petits livrets, alors qu’ils étaient par ailleurs en vente. Tu n’étais obligée de rien, et tu as donné beaucoup. Merci !

En parcourant ensuite le reste du blog, j’ai bien aimé aussi les divers thèmes abordés, qui montraient bien la cohérence de ta démarche et de tes engagements.

J’ai aimé l’intelligence avec laquelle tu as tenu ce blog, et l’ouverture au dialogue dont tu faisais preuve.
Ton blog reste une de mes bases, pas comme une bible (^_^) , mais comme une base de réflexion sur une vision non-conventionnelle du monde dans lequel on vit.

Je comprends mal l’acharnement que je lis dans la vingtaine de commentaires précédents.

Il y a pourtant des choses qui me paraissent évidentes, en vrac : les infos datant de 2005 et accessibles au grand public ne sont évidemment pas les mêmes que celles d’aujourd’hui ; l’usage des blogs et d’internet n’est pas le même non plus ; en cas de doute, hier comme aujourd’hui, j’applique le principe de précaution ; le choix n’est pas forcément entre un produit toxique et un autre produit toxique (pourquoi par exemple les autres utilisations des plantes ne sont-elles pas évoquées par les deux vétérinaires ; ou bien pourquoi ne remettent-ils pas en question la conception et la fabrication des produits vétérinaires, en se contentant d’évoquer les toxiques qu’ils contiennent ; ou encore mettent-ils autant de fougue à critiquer l’utilisation que font leurs confrères d’un article d’un blog pour justifier leurs prescriptions) ; comment peut-on en arriver à parler d’ « hérésie », sur un sujet sur lequel personne ne peut toujours rien affirmer aujourd’hui encore (la priorité d’un scientifique n’étant-elle pas par ailleurs de douter et de chercher, et celui d’un soignant de ne pas nuire) ; quant à la remarque « on fait ça depuis longtemps, c’est donc que c’est sans danger » … pas très scientifique, pour le coup.

Liste non exhaustive.

Merci pour tout, Raffa ! J’espère qu’on te reverra passer par là de temps en temps !

101. Le 12/05/2013, 12:59 par Wiloooo

Bonjour,

pour purifier une litière l’utilisation des huiles essentielles est-elle dangereuse ou pas ? J’aimerai testé… D’autant que l’huile ne rpésente aucun danger puisque je ne l’applique pas sur mon chat

102. Le 31/08/2013, 23:17 par momo 103. Le 05/09/2013, 19:46 par momo

Bonjour, Que pensez vous de ce produit à inhaler pour les chats ? merci de votre avis

104. Le 23/09/2013, 17:47 par bestio

Bonjour, pour ma part je n’ai aucune connaissance des huiles essentielles et je ne chercherais pas rentrer dans un débat.
Néanmoins je recherche aujourd’hui la possibilté d’aider ou de soulager une jolie minette.

Suite à un virus(non identifier faute d’examun plus poussé) une chatte de 6 ans n’arrive plus à coordonnées ses mouvements; elle mange et bois normalement, sa vie n’est pas en danger mais elle a de grandes difficultés en terme d’équilibre et de motricité.

Si quelqu’un à une idée en terme de traitement je suis à l’écoute, bien entendu j’aurai besoin d’une posologie détaillée pour ne pas faire plus de mal que de bien.

Merci d’avance.

Aromathérapie, huiles essentielles… pour nos animaux aussi !

Les huiles essentielles sont de plus en plus présentes dans notre vie quotidienne et nous aident à lutter contre les virus, les microbes, contre certaines affections physiques et morales. Pour certains d’entre nous, elles sont indispensables et apportent un complément aux traitements traditionnels. Santé, bien-être, relaxation… pourquoi pas pour nos animaux?

En médecine vétérinaire, les huiles essentielles sont utilisées pour leurs propriétés antibactériennes, antivirales, antifongiques, anti-inflammatoire, sédative, stimulante. Elles ont aussi pour certaines des propriétés répulsives anti-parasitaires. Elles peuvent être préconisées par exemple pour un chien qui se gratte. Mais attention, méfiance! Les huiles essentielles peuvent présenter des risques pour chacune des espèces animales.

Les modes d’application d’huiles essentielles sont les suivantes:

– La diffusion par voie aérienne ou par inhalation directe
– L’application topique (sur la peau)
– L’administration orale mais attention :seulement sur ​​les conseils de professionnels expérimentés.

En général, et en raison de leur concentration, les huiles essentielles ne doivent jamais être utilisées pures (en particulier chez les chats). Certaines huiles ne sont pas recommandées pour une utilisation cutanée ou orale chez les chiens et les chats en raison de leur toxicité potentielle. Il s’agit notamment de: feuille de boldo, girofle (arbre de giroflée), moutarde noire, armoise, menthe pouliot, tanaisie, thuya, calamus, absinthe, amande amère et rue. D’autres comme la gaulthérie, le bouleau, le sassafras, l’origan, le camphre, le basilic et l’hysope doivent être utilisés avec prudence.
En pratique, il est important d’examiner l’étiquette de chaque produit avant d’acheter ou de les utiliser pour votre compagnon. La composition de chaque huile essentielle ne dépend pas seulement de la famille mais aussi de la partie de la plante dont elle est extraite, de sa provenance. L’effet de la lumière, le sol, les températures et les conditions météorologiques provoquent des variations biologiques de la plante et peuvent changer les composants majeurs des huiles essentielles. Les principales composantes de chaque huile essentielle identifiées par chromatographie en phase gazeuse ou la spectrométrie de masse détermine son chémotype. Les informations suivantes doivent être disponibles sur l’étiquette du flacon ou sur le site Web du fournisseur: nom commun, nom scientifique ou botanique, partie de la plante utilisée, origine géographique, chémotype.

Voici les huiles essentielles les plus couramment utilisées en aromathérapie pour les chiens:

Camomille allemande (anti-inflammatoire)
Camomille romaine (calmante, antispasmodique, analgésique)
Cannelle (antibactériens, antifongiques, anti-moustiques)
Citronnelle (insectifuge)
Sauge sclarée (calmant)
Eucalyptus (antiviraux, anti-inflammatoire, expectorant)
Géranium (antifongique, répulsif)
Juniper (arthrite)
Lavande (antibactérien, antiprurigineux, sédatif)
Citronnelle (antiviraux, insectifuge, calmant)
Marjolaine (calmant, spasmolytique, antibactérien)
Niaouli ou Tea tree (antibactérien)
Menthe poivrée (stimule la circulation, insectifuge, réduction des odeurs de bouche)
Rosemary CT cinéol (antibactérien, anti-moustiques, expectorant)
Thym CT thymol (antibactérien, parasiticide,)
Thym CT thujanol (antibactérien, immunostimulant)
Valériane (calmant)

L’utilisation des huiles essentielles n’exclut évidemment pas une consultation chez votre vétérinaire.

N’hésitez pas à partager votre expérience avec nous!