Table des matières
- Comment se faire comprendre par son chien par la parole ?
- Parler à son chien : pourquoi ?
- Comment s’adresser à son animal ?
- Parler à son chien : comment se faire comprendre ?
- MILBACTOR® 12,5 mg/125 mg Comprimés pour chiens pesant au moins 5 kg
- Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens Actions
- Actions of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) in details
- How should I take Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens)?
- Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) administration
- Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) pharmacology
- Reviews
- Chien qui a mal : que donner à mon chien s’il se sent mal ?
- Comment reconnaître la douleur avant qu’elle ne s’aggrave ?
- Comment réagir à des signes inhabituels ?
- Aspirines : faut-il en donner à un chien ou pas ?
- Médicaments spécifiques contre la douleur à donner au chien
- Quels sont les produits nutraceutiques et quels sont leurs avantages ?
- Comment administrer des médicaments contre la douleur au chien ?
- Pack chaud et pack froid contre la souffrance
- Quoi que vous fassiez – Réagissez contre la souffrance !
- Bien gérer l’arthrose de votre chien
- Comment donner un médicament à un chien ?
- Camoufler le médicament dans de la nourriture
- Administrer un comprimé ou une gélule à la main
- Administrer un médicament liquide ou en gouttes
- Administrer un médicament en pâte
- Comment donner un médicament à son chien ?
- Donner un comprimé à son chien
- Donner un liquide à son chien
- Les sucres
- Comment faire un lavement à son chien ?
- Comment mettre un suppositoire à son chien ?
- Les conseils du vétérinaire pour bien donner un comprimé à son chien
Comment se faire comprendre par son chien par la parole ?
Se faire comprendre par son chien n’est pas évident. L’homme et l’animal ne parlent pas le même langage et la communication ne peut s’instaurer naturellement, sans adopter les bons gestes. Pourtant, parler à son chien est important pour instaurer une relation de confiance et pour apprendre à se comprendre mutuellement. L’animal décrypte peu à peu votre intention à travers vos mots, vos gestes et vos intonations de voix. À vous d’apprendre à être clair, concis, doux, constant et surtout très patient. Découvrez les bonnes pratiques pour vous faire comprendre par votre animal par la parole.
Parler à son chien : pourquoi ?
Le langage oral est un excellent moyen de communiquer entre humains, mais également avec son chien. Les animaux communiquent bien plus avec leur corps, mais ils perçoivent le message à travers votre voix.
En communiquant chaque jour avec son animal, le maître lui apprend à comprendre ; le chien s’habitue et apprend à nous comprendre par nos intonations, nos mots, nos types de phrases et il peut y associer notre comportement corporel et nos expressions faciales pour être sûr de bien décrypter le message. Il en va de même pour le maître qui cherche à comprendre son chien selon ses aboiements, les mouvements de sa queue ou la position de ses oreilles par exemple. C’est un véritable langage unique qui s’instaure entre l’animal et son maître au fil du temps.
Comment s’adresser à son animal ?
Pour bien se faire comprendre, il ne faut pas parler n’importe comment à son animal. Commencez tout d’abord par capter son attention en l’appelant par son nom et en le regardant. C’est ainsi qu’il comprend que vous avez quelque chose à lui dire. S’il vous fixe attentivement, c’est qu’il est prêt à vous écouter.
Ne soyez pas étonné que votre animal ne vous comprenne pas au début de votre relation. Vous ne parlez pas le même langage. Soyez patient et surtout très indulgent ; le langage humain n’est pas inscrit dans les gènes du chien, il s’apprend. Guidez votre animal dans son apprentissage en jouant sur les intonations et votre attitude corporelle. Ce sont avant tout les sons et intonations que le chien perçoit et interprète.
Avec le temps, votre animal saura comprendre ce que vous avez à lui dire. Il saura que « non » est un interdit, que « balade » ou « promenade » signifient que vous allez sortir, ou encore que « manger » ou « gamelle » sont synonymes de repas. Vous constaterez alors que votre animal vous écoute, qu’il va lui-même chercher sa laisse pour la promenade, qu’il vous attend devant la porte ou encore devant sa gamelle. Pour le chien, la parole est également un synonyme de confiance ; adressez-vous à lui et il sera ravi d’apprendre à vous faire plaisir et à vous être utile.
Parler à son chien : comment se faire comprendre ?
Se faire comprendre de son chien n’est pas évident et demande de la patience. N’imaginez pas que votre animal saura vous comprendre sans effort. Pour qu’une relation s’installe et que le dialogue se fasse, il est impératif d’adopter les bonnes méthodes pour se faire bien entendre.
Soyez concis
Ne faites pas de longues phrases lorsque vous parlez à votre chien, il ne vous comprendra pas. Soyez concis et allez à l’essentiel tant dans les mots que dans l’intonation. Il en va de même pour son nom ; s’il est trop long et complexe, il aura plus de difficultés à le reconnaître.
Lorsque vous lui parlez, soyez efficace, mais sans être agressif. Il n’est pas utile de donner un ordre sur un ton sec et autoritaire. Parlez avec douceur à votre animal pour mieux vous faire comprendre : « viens », « assis », « calme », « vas chercher », « on joue ? », etc. En revanche, s’il se montre désobéissant, dites-lui « non » fermement, mais sans violence. Un index menaçant peut suffire à le faire obéir ou à souligner qu’il a mal agi.
Soyez doux et patient
La douceur et la patience sont essentielles dans le cadre de votre relation avec votre animal, mais également dans le dialogue ! Si vous êtes doux, votre animal saura vous faire confiance et bien agir. S’il fait une bêtise, il n’est pas utile de lui crier dessus, car il vous percevra comme un agresseur ; parlez-lui comme à un enfant qui aurait mal agi, avec douceur et diplomatie. Votre animal perçoit nettement votre intention dans vos intonations ; ainsi, si vous êtes agressif, il mettra de la distance entre vous et pourra percevoir votre agressivité comme une injustice.
Soyez constant dans vos ordres
Lorsque vous lui parlez, faites l’effort d’utiliser toujours le même langage. Votre chien vous comprendra bien mieux avec un ordre court et clair, qui emploie les mêmes mots. Si vous diversifiez trop votre vocabulaire pour exprimer un seul et unique ordre, vous risquez de le perturber et il ne sera pas capable de percevoir votre intention. Choisissez un mot pour chaque ordre et faites en sorte que tous les membres de la famille s’y tiennent.
Utilisez votre corps
Pour que votre chien vous comprenne, alliez la parole aux mouvements du corps. Votre animal doit repérer votre intention très vite également grâce à vos gestes. L’index dressé peut être un « non », la caresse peut être une récompense, etc. Associez un geste à chaque ordre pour bien vous faire comprendre et surtout pour faciliter l’apprentissage de votre chien.
Pensez au contact
Le contact est essentiel dans votre relation et votre communication avec votre animal. Caressez votre chien, grattez-le, touchez-le pour instaurer une certaine confiance. Vous lui montrez ainsi que vous êtes disponible pour lui. Les flancs, le poitrail et le ventre sont des endroits privilégiés pour exprimer votre amitié. En revanche, la tête est un endroit de soumission alors caressez-la-lui avec bienveillance.
MILBACTOR® 12,5 mg/125 mg Comprimés pour chiens pesant au moins 5 kg
Propriétés
Propriétés pharmacodynamiques :
– La milbémycine oxime appartient à la classe des lactones macrocycliques, isolées par la fermentation de Streptomyces hygroscopicus var. aureolacrimosus. Elle est active contre les acariens, les stades larvaire et adulte des nématodes et les larves de Dirofilaria immitis.
L’activité de la milbémycine est liée à son action sur la neurotransmission chez les invertébrés : la milbémycine oxime, comme les avermectines et autres milbémycines, augmente la perméabilité des membranes des nématodes et des insectes aux ions chlorures via les canaux glutamate-chlorures (en relation avec les récepteurs GABAA et glycine des vertébrés). Il en résulte une hyperpolarisation de la membrane neuromusculaire et une paralysie flasque et la mort du parasite.
– Le praziquantel est un dérivé acétylé de la pyrazino-isoquinoléine. Le praziquantel est actif contre les cestodes et les trématodes. Il modifie la perméabilité des membranes du parasite au calcium (influx de Ca2+) chez le parasite, ce qui provoque un déséquilibre des structures membranaires et conduit à une dépolarisation de la membrane, suivie de contractions musculaires quasi instantanées (tétanie) et d’une vacuolisation rapide du syncitium tégumentaire, responsables de la désintégration du tégument (formation d’ampoules). Ces symptômes facilitent l’excrétion du parasite à travers le tractus gastro-intestinal ou conduisent à la mort du parasite.
Propriétés pharmacocinétiques :
– Après administration orale de praziquantel chez le chien, après la prise d’une petite quantité de nourriture, les concentrations plasmatiques maximales de la substance mère sont rapidement atteintes (Tmax environ 0,25-2,5 heures) et diminuent en peu de temps (t1/2 après environ 1 heure). L’effet de premier passage hépatique est important, avec une biotransformation hépatique très rapide et quasi complète, principalement en dérivés monohydroxylés (mais également certains dérivés di- et tri-hydroxylés), la plupart étant glucurono- et/ou sulfoconjugués avant l’excrétion. La liaison plasmatique est d’environ 80 %. L’excrétion est rapide et complète (environ 90 % en 2 jours) ; la principale voie d’élimination est rénale.
– Après administration orale de milbémycine oxime chez les chiens, après la prise d’une petite quantité de nourriture, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes après environ 0,75-3,5 heures puis diminuent, la demi-vie de la milbémycine oxime non métabolisée étant de 1 à 4 jour(s). La biodisponibilité est d’environ 80 %.
Chez le rat, le métabolisme semble complet (bien que lent), puisqu’aucune trace de milbémycine oxime sous forme inchangée n’est retrouvée ni dans l’urine ni dans les fèces. Les principaux métabolites chez le rat sont des dérivés monohydroxylés, résultant de la biotransformation hépatique. En plus des concentrations relativement élevées dans le foie, on les retrouve également dans la graisse, du fait de leur propriété lipophile.
Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens Actions
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- Actions of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) in details
- Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) administration
- Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) pharmacology
- Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens reviews
Consists of Milbemycin Oxime, Praziquantel
Actions of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) in details
The action of the drug on the human body is called Pharmacodynamics in Medical terminology. To produce its effect and to change the pathological process that is happening the body and to reduce the symptom or cure the disease, the medicine has to function in a specific way. The changes it does to the body at cellular level gives the desired result of treating a disease. Drugs act by stimulating or inhibiting a receptor or an enzyme or a protein most of the times. Medications are produced in such a way that the ingredients target the specific site and bring about chemical changes in the body that can stop or reverse the chemical reaction which is causing the disease. sponsored
Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) works by causing severe spasms and paralysis of the worms’ muscles. This paralysis is accompanied – and probably caused – by a rapid Ca 2+ influx inside the schistosome. Morphological alterations are another early effect of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens). These morphological alterations are accompanied by an increased exposure of schistosome antigens at the parasite surface. The worms are then either completely destroyed in the intestine or passed in the stool. An interesting quirk of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) is that it is relatively ineffective against juvenile schistosomes. While initially effective, effectiveness against schistosomes decreases until it reaches a minimum at 3-4 weeks. Effectiveness then increases again until it is once again fully effective at 6-7 weeks. Glutathione S-transferase (GST), an essential detoxification enzyme in parasitic helminths, is a major vaccine target and a drug target against schistosomiasis. Schistosome calcium ion channels are currently the only known target of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens).
How should I take Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens)?
Take Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) exactly as directed by your doctor. Do not take more of it, do not take it more often, and do not take it for a longer time than your doctor ordered. To do so may increase the chance of side effects.
No special preparations (for example, special diets, fasting, other medicines, laxatives, or enemas) are necessary before, during, or immediately after taking Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens).
Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) has a bitter taste that may cause gagging or vomiting. The bitter taste may be more noticeable if the tablets are held in the mouth or chewed. Therefore, do not chew Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) tablets. Swallow the tablets whole with a small amount of liquid during meals.
Do not break the tablet unless your doctor tells you to. If you have been told to break your tablet, you can break off a part by pressing the notch with your thumbnails. If one-fourth of a tablet is required, break the tablet from the outer end.
Keep using Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) for the full treatment time, even if you feel better after the first few doses. Your infection may not clear up if you stop using the medicine too soon.
Dosing
The dose of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) will be different for different patients. Follow your doctor’s orders or the directions on the label. The following information includes only the average doses of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens). If your dose is different, do not change it unless your doctor tells you to do so.
The amount of medicine that you take depends on the strength of the medicine. Also, the number of doses you take each day, the time allowed between doses, and the length of time you take the medicine depend on the medical problem for which you are using the medicine.
- For oral dosage form (tablets):
- For the treatment of schistosomiasis:
- Adults, teenagers, and children 4 years of age and older—Dose is based on body weight and must be determined by your doctor. The dose is 20 milligrams (mg) per kilogram (kg) of body weight taken three times a day for 1 day. Each dose should be at least 4 hours apart and not more than 6 hours apart.
- Children younger than 4 years of age—Use and dose must be determined by the doctor.
- For the treatment of clonorchiasis (Chinese or Oriental liver fluke) and opisthorchiasis (liver flukes):
- Adults, teenagers, and children 4 years of age and older—Dose is based on body weight and must be determined by your doctor. The dose is 25 milligrams (mg) per kilogram (kg) of body weight taken three times a day for 1 day. Each dose should be at least 4 hours apart and not more than 6 hours apart.
- Children younger than 4 years of age—Dose must be determined by the doctor.
- For the treatment of schistosomiasis:
Missed Dose
If you miss a dose of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens), take it as soon as possible. However, if it is almost time for your next dose, skip the missed dose and go back to your regular dosing schedule. Do not double doses.
Storage
Store the medicine in a closed container at room temperature, away from heat, moisture, and direct light. Keep from freezing.
Keep out of the reach of children.
Do not keep outdated medicine or medicine no longer needed.
Ask your healthcare professional how you should dispose of any medicine you do not use.
Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) administration
Administration of drug is important to know because the drug absorption and action varies depending on the route and time of administration of the drug. A medicine is prescribed before meals or after meals or along with meals. The specific timing of the drug intake about food is to increase its absorption and thus its efficacy. Few work well when taken in empty stomach and few medications need to be taken 1 or 2 hrs after the meal. A drug can be in the form of a tablet, a capsule which is the oral route of administration and the same can be in IV form which is used in specific cases. Other forms of drug administration can be a suppository in anal route or an inhalation route. sponsored
Take exactly as prescribed by your doctor. Do not take in larger or smaller amounts or for longer than recommended. Follow the directions on your prescription label.
Take this medication with a full glass (8 ounces) of water.
Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) is usually taken 3 times in one day. Your doses should be taken 4 to 6 hours apart on that day.
Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) should be taken with a meal.
You may need to break a Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) tablet in order to get the correct dose. Follow your doctor’s instructions.
Do not crush or chew the Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) tablet or portion of a tablet. Swallow the pill whole.
Store at room temperature away from moisture and heat.
Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) pharmacology
Pharmacokinetics of a drug can be defined as what body does to the drug after it is taken. The therapeutic result of the medicine depends upon the Pharmacokinetics of the drug. It deals with the time taken for the drug to be absorbed, metabolized, the process and chemical reactions involved in metabolism and about the excretion of the drug. All these factors are essential to deciding on the efficacy of the drug. Based on these pharmacokinetic principles, the ingredients, the Pharmaceutical company decides dose and route of administration. The concentration of the drug at the site of action which is proportional to therapeutic result inside the body depends on various pharmacokinetic reactions that occur in the body.
Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) induces a rapid contraction of schistosomes by a specific effect on the permeability of the cell membrane. The drug further causes vacuolization and disintegration of the schistosome tegument.
After oral administration Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) (Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens)) is rapidly absorbed (80%), subjected to a first pass effect, metabolized and eliminated by the kidneys. Maximal serum concentration is achieved 1-3 hours after dosing. The half-life of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) in serum is 0.8-1.5 hours.
Special Populations
The pharmacokinetics of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) were studied in 40 patients with Schistosoma mansoni infections with varying degrees of hepatic dysfunction. In patients with schistosomiasis, the pharmacokinetic parameters did not differ significantly between those with normal hepatic function (Group 1) and those with mild (Child-Pugh class A) hepatic impairment. However, in patients with moderate-to-severe hepatic dysfunction (Child-Pugh class B and C), Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) half-life, Cmax, and AUC increased progressively with the degree of hepatic impairment. In Child-Pugh class B, the increases in mean half-life, Cmax, and AUC relative to Group 1 were 1.58-fold, 1.76-fold, and 3.55-fold, respectively. The corresponding increases in Child-Pugh class C patients were 2.82-fold, 4.29-fold, and 15-fold for half-life, Cmax, and AUC.
Table 1: Pharmacokinetic parameters of Praziquantel (Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens) in four groups of patients with varying degrees of liver function following administration of 40 mg/kg under fasting conditions.
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Reviews
The results of a survey conducted on ndrugs.com for Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens are given in detail below. The results of the survey conducted are based on the impressions and views of the website users and consumers taking Milbactor 2.5 mg/25 mg pour chiens. We implore you to kindly base your medical condition or therapeutic choices on the result or test conducted by a physician or licensed medical practitioners.
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Consumer reported administration
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Information checked by Dr. Sachin Kumar, MD Pharmacology
Chien qui a mal : que donner à mon chien s’il se sent mal ?
Il n’y a rien de plus frustrant pour les propriétaires de chien que de voir leur animal à quatre pattes souffrir d’une douleur. Quelle procédure suivre et que donner à son chien en cas de douleur ?
Comment reconnaître la douleur avant qu’elle ne s’aggrave ?
Mieux communiquer avec le chien est le désir de tout maître surtout quand il se sent mal. Bien entendu, ce n’est pas toujours évident de savoir ce qui se passe à l’intérieur de la tête ou du corps de l’animal.
Pourtant, le chien peut montrer et faire comprendre qu’il ne se sent pas bien de différentes manières. De plus, certains signes se manifesteront si la douleur est très grave.
Si le chien se met à pleurnicher, à lécher sans arrêt une zone précise, à boiter, à se sentir agité, à être agressif, à manquer d’appétit et à manquer de sommeil, c’est qu’il ressent une douleur quelque part.
Comment réagir à des signes inhabituels ?
Si l’on voit que le chien présente des symptômes de douleur, il est nécessaire de ne pas paniquer. Car si l’animal voit des signes extérieurs de nervosité, il se sentira encore plus mal. Le mieux est d’appeler le vétérinaire aussi vite que possible et prendre un rendez-vous.
Le vétérinaire sera en mesure de faire une analyse approfondie du chien et déterminer la cause de la douleur, qu’il s’agisse d’une entorse ou de quelque chose de plus grave. Il ou elle pourra ensuite effectuer un diagnostic et établir une prescription pour soigner le chien.
Aspirines : faut-il en donner à un chien ou pas ?
S’il y a une chose qu’il faut toujours se rappeler, c’est de ne jamais donner de l’aspirine à un chien quand il se blesse. Il ne faut jamais donner d’aspirine, de l’aspirine pour bébé ou de l’acétaminophène (Tylenol) car cela rendra l’animal encore plus malade ou pire encore.
Donner directement l’aspirine avec de l’eau au chien serait du surdosage et pourrait être néfaste à sa santé. En cas de surdosage, le tube digestif sera touché et causera encore plus de problèmes et ira jusqu’à entrainer la mort de l’animal.
Cependant, une petite dose d’aspirine peut être un analgésique efficace à condition qu’il ait été prescrit par le vétérinaire uniquement.
Médicaments spécifiques contre la douleur à donner au chien
Plusieurs analgésiques spécialement formulés pour les chiens ont été approuvés par la FDA pour les cas de douleur ou d’autres maladies. Les plus répandus sur le marché sont le Rimadyl et le Previcox, qui peuvent être pris soit par voie orale, soit par injection.
Ils sont indiqués pour contrôler la douleur et réduire l’inflammation des os, des muscles et des tissus. On peut également donner des médicaments plus forts au chien si la douleur est plus intense ou s’il s’agit d’une maladie spécifique.
Par exemple, l’Amantadine, qui est prescrit pour les chiens souffrant de discopathie, d’arthrite et de cancer.
Puis, il y a un second médicament plus lourd tel que le Gabapentine qui aide à soigner les nerfs endommagés. Ce médicament est souvent prescrit sur ordonnance en association avec d’autres médicaments.
Enfin, le Tramadol, qui est un opioïde doux que le vétérinaire prescrit à un vieux chien inconfortable avec la douleur.
Quels sont les produits nutraceutiques et quels sont leurs avantages ?
Le terme nutraceutique décrit un aliment ou une partie d’un aliment qui offre des soins médicaux et des bénéfices pour la santé. Il est estimé que 40% de la population utilise des nutraceutiques pour leurs animaux de compagnie.
L’une des catégories de ces produits se présente par des aliments fonctionnels qui contribuent à améliorer la nutrition du chien. Et une autre catégorie se compose de compléments alimentaires conçus pour fournir des boosts en diverses vitamines et minéraux.
Comment administrer des médicaments contre la douleur au chien ?
Il est primordial de toujours suivre les instructions prescrites par le vétérinaire. En cas de doute ou de problèmes, contacter immédiatement le vétérinaire. En général, le médicament sera donné au chien durant son repas, généralement avant ou après sa nourriture.
Pack chaud et pack froid contre la souffrance
Parfois, le bon traitement contre la douleur est le traitement le plus simple. Utiliser une compresse froide ou un coussin chauffant peut être un bon moyen de lutter contre la douleur du chien.
Dans les deux cas, il est important de consulter le vétérinaire avant d’utiliser l’une ou l’autre de ces deux méthodes.
Quoi que vous fassiez – Réagissez contre la souffrance !
Quand le chien a une douleur, toujours trouver un moyen de le soulager et ne pas oublier d’appeler le vétérinaire pour suivre des instructions précises afin de le soigner.
Contre-indications
TRAMADOL ACTAVIS est contre-indiqué :
· en cas d’hypersensibilité au chlorhydrate de tramadol ou à l’un des excipients (voir rubrique Composition),
· en cas d’intoxication aiguë à l’alcool, aux hypnotiques, aux analgésiques, aux opioïdes, ou aux médicaments psychotropes,
· chez les patients qui sont traités simultanément ou qui ont été traités dans les 14 jours précédents par des inhibiteurs de la MAO (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions),
· chez les patients souffrant d’épilepsie non contrôlée par un traitement,
· dans le traitement du sevrage des toxicomanes.
Grossesse et allaitement
Grossesse
Les études animales, utilisant le tramadol, ont montré à des doses très élevées des effets sur le développement des organes, l’ossification et la mortalité néonatale. Des effets tératogènes n’ont pas été mis en évidence. Le tramadol traverse la barrière placentaire. On ne dispose pas de preuves suffisantes, concernant la sécurité d’emploi du tramadol pendant la grossesse dans l’espèce humaine. TRAMADOL ACTAVIS ne doit donc pas être utilisé chez les femmes enceintes.
Administré avant ou pendant l’accouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Le tramadol peut provoquer chez les nouveau-nés des modifications de la fréquence respiratoire, qui sont généralement sans conséquences cliniques préjudiciables. Une utilisation prolongée pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
Allaitement
Lors de l’allaitement, environ 0,1 % de la dose maternelle est sécrétée dans le lait. Le tramadol n’est pas recommandé pendant l’allaitement. Il n’est généralement pas nécessaire d’arrêter l’allaitement après une seule administration de tramadol.
Mise en garde et précautions d’emploi
TRAMADOL ACTAVIS devra être utilisé avec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un choc, une altération de l’état de conscience sans cause évidente, des troubles du centre ou de la fonction respiratoire ou une élévation de la pression intracrânienne.
Chez les patients sensibles aux opioïdes, le produit ne devra être utilisé qu’avec prudence.
TRAMADOL ACTAVIS devra être utilisé avec prudence lors du traitement de patients souffrant de dépression respiratoire, en cas d’administration concomitante de médicaments dépresseurs du SNC (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions), ou en cas de dépassement de la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg) (voir rubrique Surdosage) car la survenue d’une dépression respiratoire ne peut être exclue dans ces situations.
Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Le tramadol peut en outre accroître le risque de convulsions chez les patients prenant d’autres produits qui abaissent le seuil épileptogène (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu’en cas de nécessité absolue.
Le tramadol présente un faible potentiel de dépendance. Une tolérance et une dépendance psychique et physique peuvent se développer lors d’une utilisation au long cours. Chez les patients qui présentent une tendance à la toxicomanie ou à la dépendance, le traitement par TRAMADOL ACTAVIS ne devra être réalisé que pendant des durées brèves, sous surveillance médicale stricte.
Le tramadol n’est pas approprié au traitement de substitution chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu’agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine.
Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
Ne pas associer ACTAVIS aux inhibiteurs de la MAO (voir rubrique Contre-indications).
Lors de l’utilisation de la péthidine durant les 14 jours qui suivent l’arrêt des IMAO, des interactions pouvant mettre en jeu le pronostic vital ont été observées : effet sur le système nerveux central et les fonctions respiratoires et cardio-vasculaires.
Par extrapolation, ces interactions ne peuvent pas être exclues lors de l’utilisation des IMAO et du tramadol.
L’administration concomitante du tramadol avec d’autres dépresseurs centraux, y compris l’alcool, peut potentialiser les effets sur le système nerveux central (voir rubrique Effets indésirables).
Les études pharmacocinétiques, réalisées à ce jour, ont montré que l’administration concomitante ou antérieure de cimétidine (inhibiteur enzymatique) est peu susceptible de provoquer des interactions cliniquement pertinentes.
L’administration simultanée ou antérieure de carbamazépine (inducteur enzymatique) peut réduire les effets analgésiques et raccourcir la durée d’action du tramadol.
Il n’est pas conseillé d’associer des agonistes-antagonistes mixtes (par exemple la buprénorphine, la nalbuphine, la pentazocine) au tramadol, étant donné que les effets analgésiques d’un agoniste pur peuvent théoriquement être réduits dans de telles circonstances.
Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d’autres produits abaissant le seuil épileptogène.
Dans quelques cas isolés, un syndrome sérotoninergique a été rapporté lors de l’utilisation thérapeutique du tramadol en association avec d’autres médicaments sérotoninergiques tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou avec les inhibiteurs de la MAO. Le syndrome sérotoninergique se manifeste entre autres par des signes de confusion, d’agitation, de fièvre, de sueur, d’ataxie, d’hyperréflexie, de myoclonies et de diarrhées. L’arrêt des médicaments sérotoninergiques permet habituellement d’obtenir une amélioration rapide. Le traitement médicamenteux dépend de la nature et de la sévérité des symptômes.
Prendre en compte l’association avec les dérivés de la coumarine (warfarine) en raison de l’augmentation de l’INR et de l’apparition d’ecchymoses chez certains patients.
D’autres médicaments, connus pour inhiber le CYP3A4 tels que le kétoconazole et l’érythromycine, pourraient inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L’importance clinique d’une telle interaction n’a pas fait l’objet d’études (voir rubrique Effets indésirables).
Dans un nombre limité d’études, l’utilisation en pré ou post-opératoire de l’anti-émétique antagoniste des récepteurs 5HT3 (ondansétron) a nécessité l’augmentation des doses de tramadol chez les patients traités pour des douleurs post-opératoires
Bien gérer l’arthrose de votre chien
L’Arthrite ou arthrose du chien âgé est une maladie chronique qui est malheureusement incurable. Néanmoins des traitements existent et peuvent soulager considérablement votre animal. Une fois que le bon diagnostic a été établi par votre vétérinaire, votre rôle est alors très important : mettre en œuvre le traitement le plus efficace en partenariat avec votre vétérinaire. Les principaux objectifs thérapeutiques dans la gestion de l’arthrite de votre chien sont les suivants:
-Fonctions vitales améliorées et optimisées
-Limiter la progression de la maladie
-Faciliter le processus de consolidation des articulations
-Gestion de la douleur
Un traitement efficace peut améliorer considérablement la vie de votre chien, le rendre plus actif. Pour que votre chien puisse atteindre un niveau optimum de confort, il faut impérativement prendre en compte la gestion de la douleur, la perte de poids et l’exercice physique.
Gestion de la douleur :
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont généralement les premiers médicaments prescrits par un vétérinaire. Ils comportent des avantages importants, mais les risques d’effets secondaires sont élevés. Ils doivent donc être utilisés sous surveillance appropriée et contrôle vétérinaire.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent provoquer des effets secondaires indésirables tels que : saignements gastro-intestinaux (ulcères), maladies rénales, maladies du foie et destruction du cartilage articulaire. Chez les chiens âgés, leur capacité à métaboliser et à excréter les médicaments de leur corps est amoindrie. Par conséquent, il est important de trouver la dose minimale efficace d’AINS pour éviter au maximum leurs effets indésirables. Les compléments alimentaires tels que les oméga-3 (acides gras) peuvent aider à diminuer la dose d’AINS nécessaire.
Pour les animaux qui ne tolèrent pas les AINS, d’autres traitements sont possibles pour la gestion de la douleur comme les opioïdes (butorphanol), opiacés synthétiques (tramadol), la gabapentine ou l’amantadine.
Perte de poids:
L’obésité provoque de graves problèmes pour les chiens souffrant d’arthrite. Deux raisons principales à cela : tout d’abord, le surpoids fait subir une pression sur les articulations qui sont déjà sensibilisées par l’arthrose. Ensuite, les tissus adipeux (graisses) sont pro-inflammatoires dû à un mécanisme de synthèse des cytokines (comme l’IL-6 et le TNF) qui contribue à un état d’inflammation chronique et affecte la santé des articulations. Diète et réduction de poids permettront de soulager les symptômes de l’arthrite et améliorer la mobilité de votre chien.
Activité physique:
Il est important de mettre en place une activité physique régulière et efficace à faible impact. Un programme de marche régulière (même seulement de courtes promenades) est très bénéfique pour les chiens atteints d’arthrose. Emmener votre chien dans un centre de réadaptation physique est également une bonne forme d’exercice.
D’autres traitements doivent être pris en compte pour une bonne gestion de l’arthrite du chien. Des agents chondroprotecteurs tels que la glucosamine et la chondroïtine sulfate peuvent être utilisés, ainsi que des omégas-3 riches en DHA, anti-inflammatoires naturels, qui agissent significativement dans le cas de l’arthrose. L’acupuncture est aussi une méthode douce qui apporte souvent des bienfaits pour les chiens en souffrance.
Comment donner un médicament à un chien ?
Faire avaler un médicament à son chien peut s’avérer compliqué, surtout si le comprimé en question n’est pas fait pour être appétent ! Il existe également des médicaments liquides à donner à la pipette ou en gouttes, ou encore sous forme de pâte, pas forcément plus faciles à administrer selon la réticence du chien.
Dans tous les cas, garder son calme est la meilleure attitude à avoir sans oublier de récompenser après avoir donné le traitement. Voici quelques astuces pour vous faciliter la tâche.
Camoufler le médicament dans de la nourriture
De plus en plus de comprimés pour chien sont proposés en version appétente, c’est-à-dire qu’ils ont une odeur et un goût agréables pour l’animal ce qui facilite grandement leur administration. Si vous avez cette chance, il suffit de présenter le comprimé directement à la main à votre chien ou dans une poignée de croquettes. En revanche, s’il s’agit d’un médicament classique il pourrait vous donner du fil à retordre : il faut alors se montrer plus malin que lui afin de déjouer son formidable odorat !
La technique la plus efficace reste de camoufler le comprimé dans un morceau de viande, de fromage, une boulette de pâtée, ou encore mieux, dans son mets favori. Le chien est un animal très gourmand qui tombera dans le panneau la plupart du temps, du moins tant qu’il n’a pas la possibilité de trier ; ainsi, dissimuler le médicament dans une gamelle de croquettes ne fonctionnera généralement pas. Une autre astuce consiste à broyer le cachet et mélanger la poudre ainsi obtenue à de la nourriture.
Administrer un comprimé ou une gélule à la main
C’est la méthode pratiquée par les vétérinaires, facile à mettre en œuvre une fois le geste maîtrisé. Il s’agit de faire avaler directement le médicament et provoquer une déglutition, en le faisant tomber dans la gorge ou en le plaçant à l’arrière de la langue. Attention toutefois aux fausses routes, le chien pourrait s’étouffer ou encore vous faire croire qu’il a avalé pour recracher dès que vous aurez le dos tourné !
Pour cette raison, maintenez son museau vers le haut durant l’opération, ouvrez doucement la mâchoire inférieure avec l’autre main (une pression sur les commissures aide à ouvrir la gueule), placez le comprimé au fond de la gorge puis refermez la bouche tout en la gardant fermée, toujours museau vers le haut. Massez doucement la gorge pour déclencher la déglutition. Dès qu’il semble avoir avalé, vérifiez à l’intérieur de la bouche si la pilule n’est pas restée dans un coin et gardez un œil sur le petit malin pour vous assurer qu’il ne recrache pas dans les minutes qui suivent ! Notez que l’aide d’une tierce personne peut être utile pour le maintenir durant l’opération.
Administrer un médicament liquide ou en gouttes
Si certains médicaments sont conditionnés sous forme de pipette, il peut aussi s’agir d’un dernier recours pour les chiens les plus réticents à avaler un comprimé : demandez à votre vétérinaire de vous prescrire la version liquide du traitement si elle existe. Autrement, il vous suffira de le réduire en poudre et de le dissoudre dans un peu d’eau avant de l’administrer à l’aide d’une pipette propre ou d’une seringue sans aiguille. Aspirez le mélange à la seringue puis, comme pour l’administration d’un comprimé, maintenez la tête du chien en arrière et glissez l’embout à la commissure des lèvres.
En sentant le liquide tomber dans sa gorge, votre chien devrait déglutir automatiquement ; gardez bien son museau vers le haut tout en lui massant le gosier pour l’encourager à avaler correctement. Pour un traitement en gouttes, la procédure est la même mais vous devrez ouvrir la bouche en grand et viser l’arrière de la langue. Vous pouvez aussi mélanger le médicament liquide ou en gouttes à son alimentation, mais certains chiens bouderont leur gamelle s’ils détectent la présence du produit !
Administrer un médicament en pâte
Les traitements sous forme de pâte sont généralement conçus pour être appétents et ainsi avalés spontanément par le chien. Conditionnés dans une grosse seringue graduée qui permet leur dosage, ces médicaments sont à donner directement dans la gueule en glissant l’embout au coin des lèvres derrière les molaires. Poussez progressivement le piston pour qu’il avale le produit petit à petit. Vous pouvez aussi tenter de lui présenter la pâte dans sa gamelle mélangée à un peu de nourriture.
Comment donner un médicament à son chien ?
N’essayez pas de surprendre votre chien pour lui administrer un médicament car il ne se fera pas prendre deux fois. Il faut, ou bien que vous le teniez d’une main ferme par la peau du cou comme si vous souhaitiez le soulever, ou bien simplement que vous souleviez la babine, en maintenant dans les deux cas, la tête du chien un peu en arrière.
Il est préférable de trouver la formule qui convient le mieux à votre chien : sucre, poudre, gouttes, pâte, comprimés. Respectez toujours les doses des médicaments en fonction du poids de votre chien ainsi que la durée du traitement. Ne forcez pas votre chien à avaler un médicament, il pourrait faire une fausse déglutition. Mélangez-le à son mets préféré. S’il salive un peu après l’ingestion d’un produit, il ne faut pas vous inquiéter.
Donner un comprimé à son chien
Tenez-le entre le pouce et l’index, ouvrez la gueule du chien par une pression au niveau des commissures des lèvres et mettez le comprimé au fond de la gorge, refermez la gueule et massez la gorge. Les comprimés peuvent aussi être glissés dans un morceau de viande ou de fromage. Vérifiez qu’il n’a pas gardé le comprimé dans la bouche.
Donner un liquide à son chien
Mettez une seringue sans aiguille aux commissures des lèvres afin que le chien ne morde pas la seringue. Renversez un peu la tête du chien en arrière en le tenant par la peau du cou. Il ouvre alors automatiquement la bouche. Versez doucement le produit. Faites le boire à la seringue pour lui faire avaler le produit.
Pour les chiots, il est préférable de choisir un produit sous forme de gouttes. Elles peuvent aussi aisément être mélangées à l’alimentation.
Les sucres
C’est une présentation très utile pour les chiens un peu difficiles. Ils ne font alors aucune difficulté pour avaler les médicaments prescrits. Vous trouverez, par exemple, des vermifuges, des contraceptifs, des produits digestifs, etc., sous forme de sucres.
Le terme de » sucre » ne définit que la présentation, ces produits ne sont pas composés de sucre à proprement parler et ne sont donc pas dangereux pour la santé du chien.
Comment faire un lavement à son chien ?
Après avoir introduit la canule (bien huilée) d’une poire dans le rectum du chien, videz-en le contenu lentement dans l’intestin. Après l’avoir extraite, tenez la queue de l’animal bien serrée entre les pattes, pendant une dizaine de minutes.
Comment mettre un suppositoire à son chien ?
Introduisez-le dans le rectum du chien, et serrez bien la queue du chien entre les pattes pendant quelques minutes.
Les conseils du vétérinaire pour bien donner un comprimé à son chien
Le Docteur Noémie Tommasini, Directrice et Formatrice à l’école supérieure d’aides vétérinaires – Institut Bonaparte à Paris, vous explique comment donner un comprimé à mon chien :
1) Certains comprimés sont dit appétants, c’est-à-dire qu’ils sont pris spontanément par les chiens parce qu’ils ont bon goût. Ce sont les plus faciles à administrer ! Mettez le comprimé avec une petite dose de croquettes ou directement à la main. Malheureusement, tous les comprimés n’existent pas en version appétante !
2) Autre technique pour administrer un comprimé, en l’enrobant dans un aliment qu’il apprécie, comme le fromage fondu, une boulette de viande. Il faut préparer une petite boulette suffisamment grosse pour dissimuler le comprimé mais suffisamment petite pour être avalée en une seule bouchée. Evitez d’écraser le comprimé ce qui répand souvent le goût amer et dissuade le chien d’y goûter.
3) Vous pouvez aussi placer directement le comprimé dans le fond de la bouche de votre chien. En arrivant à le placer suffisamment loin, sur la base de la langue, votre chien n’aura que la possibilité de l’avaler d’un coup. Très efficace cette méthode, peut vous être enseignée par l’aide-soignante de votre clinique vétérinaire.
4) Quelle que soit la technique choisie, soyez positif, calme et ne vous énervez pas. Votre chien ne doit pas garder une mauvaise expérience de cette administration.
En conclusion : comprimés appétants pris spontanément, dissimulés dans une bouchée de nourriture ou administrés directement dans la bouche, il existe plusieurs technique, à vous de trouver celle qui convient à votre chien et n’oubliez pas de le féliciter une fois le comprimé avalé.
COMMENT FAIRE AVALER UN COMPRIME A MON
CHIEN ?
Points forts :
. Il est généralement beaucoup plus simple de faire avaler un comprimé à un chien qu’à un chat, surtout s’il s’agit d’un traitement court, avec une seule prise quotidienne. Malgré tout, certains chiens peuvent se montrer récalcitrants, surtout parmi les petites races, et pour peu qu’il y ait plusieurs comprimés à administrer tous les jours pendant toute la vie du toutou, la situation peut virer rapidement au cauchemar, et le traitement ne pas être respecté.
. La meilleure solution est la méthode douce : en général, pas de problème s’il s’agit de comprimés appétents, ou en cachant le comprimé dans un bout de fromage ou dans une pâte appétente prévue à cet effet. Si ça ne marche pas… c’est là que les ennuis commencent !
. S’il n’y a pas moyen de faire autrement, on utilise la contrainte – avec autant de modération que possible ! le lance-pilule est la solution la plus simple. Sinon, il ne reste plus qu’à aller mettre le comprimé avec ses doigts, au fond de la gorge de l’animal !
Faire avaler un comprimé à un chien est relativement facile… dans la plupart des cas ! Un gros berger allemand perpétuellement affamé va vous gober vos comprimés avant même que vous les ayez posés dans sa gamelle. Avec un mini Chi hua hua qui ne consent à goûter du bout des lèvres son blanc de poulet qu’un jour sur deux, ça risque d’être plus compliqué.
Quand il s’agit de faire prendre un vermifuge deux fois par an, pas de problème ; même avec le Chi hua hua, on finit par y arriver. Mais si l’on doit faire avaler trois, quatre ou cinq comprimés matin et soir pendant toute la vie du chien, (cas relativement banal pour un insuffisant cardiaque, par exemple), là, les choses deviennent beaucoup plus compliquées, surtout avec un vieux chien qui n’a pas faim à cause de sa maladie. Sans compter que Youki va peut-être se faire avoir une fois mais pas deux, que le matin, on a souvent autre chose à faire que d’ouvrir de force la gueule d’un chien qui s’aplatit dans un coin en tournant la tête de l’autre côté – voire grogne et/ou montre les dents, et que si l’opération se termine avec des mains toute bleues avec quatre trous de crocs au milieu, les comprimés ne seront pas donnés bien longtemps.
Le résultat, c’est que les traitements ne sont pas pris, ou pris les deux premiers jours seulement, après quoi tout le monde baisse les bras, et on se demande lors des contrôles pourquoi la pneumonie de ce satané chien ne guérit pas, alors qu’il vient de prendre, (ou qu’il est supposé avoir pris !), un mois d’un antibiotique adapté à la bactérie que l’on a trouvée dans ses poumons.
Certains chiens sont gloutons, d’autres sont dociles, et/ou ont été habitués très jeunes à la prise de comprimés, (« on le lui met au fond de la gorge, comme ça, on est sûrs qu’il l’a avalé ! »). Dans ce cas tout va bien, et aucune astuce n’est nécessaire. C’est pour les autres que la question se pose. Quelques éléments de réponse :
1 – Les formulations appétentes :
Par empathie pour les maîtres qui se font mordre ou qui doivent courir après leur chien tous les matins à l’heure de partir travailler, par intérêt pour la santé des chiens qui ne prennent pas correctement leur traitement, ou pour que leurs médicaments se vendent mieux que ceux de la concurrence, (ou peut-être pour les trois raisons à la fois, allez savoir), les laboratoires ont compris que des gélules qui collent au palais, ou de gros comprimés pelliculés qui n’ont goût à rien, seront beaucoup moins faciles à administrer qu’un comprimé en forme de croquette, dont on sent l’odeur (de viande ?) jusqu’à l’autre bout du couloir. Depuis quelques années, on voit donc se développer de plus en plus de formulations appétentes : on pose le comprimé devant le chien, au pire on le lui présente dans le creux de la main en insistant un peu, et il le mange. Bon nombre d’anti-parasitaires, antibiotiques et anti-inflammatoire bénéficient aujourd’hui de cette formulation adaptée. Dans le même genre, il existe aussi des médicaments sous forme liquide, au goût agréable, que l’on aspire avec une pipette graduée, et pouf ! que l’on injecte dans la bouche du chien. On peut aussi les déposer sur les aliments dans la gamelle, et comme ces liquides ont bon goût, (goût de miel, par exemple), Médor les avale avec plaisir. Attention quand même au sucre dans ces formulations : pas de problème pour un chien « normal », mais on a vu des diabétiques dont le traitement était sévèrement déséquilibré par la prise d’un médicament liquide au goût sucré.
Donc, le comprimé ou le liquide appétent, quand ça marche, c’est le nirvana, parce que répétons-le, avec la manière forte, et même en utilisant les recettes données ci-dessous, on se lasse assez vite. On voit même certains chiens qui viennent attendre leur comprimé du soir alors que le traitement est terminé depuis plusieurs jours, et qui sont tout déçus de voir que rien n’arrive. Attention quand même : il y a des chiens qui ont tellement envie de leur médicament qu’ils n’attendent pas qu’on le leur donne : ils montent sur la table, et engloutissent le contenu de la boîte si celle-ci était restée ouverte. On en a même vu qui avalaient le blister en plastique, avec ses comprimés à l’intérieurde leurs petites alvéoles. Cela peut être très très très embêtant, par exemple pour un chien sous anti-inflammatoire qui devait prendre un demi comprimé par jour, et qui en engloutit une vingtaine d’un coup ! (ça s’est vu). Avec un risque de toxicité pour l’estomac et les reins, Rex se retrouve donc sous perfusion pour plusieurs jours, à avaler des protecteurs gastriques.
Vermifugation du chien par un comprimé appétent, juste posé devant lui : Ran Tan Plan se méfie quand même un peu, mais le vermifuge est tellement bon qu’après l’avoir finalement avalé, il renifle partout après, pour voir s’il n’en reste pas un peu, ou si par hasard il n’y en aurait pas un autre ! mmmmmmm !
2 – On va acheter de la Vache qui rit !
Bon, alors vous avez posé votre comprimé appétent sous le nez de Chanel, ou dans sa gamelle, en le lui montrant du doigt joyeusement et en lui faisant des papouilles sur la chienne, mais ça n’a vraiment pas eu l’effet escompté : cette imbécile de chienne vous toise d’un air hautain, jette un coup d’œil à sa gamelle avec un air dégoûté, puis vous tourne le dos et s’éloigne avec dédain, vous laissant planté là, tout seul devant votre comprimé appétent. Et pourtant, on veut encore essayer de s’en tirer par la ruse, d’obtenir une prise spontanée et de ne pas avoir à se bagarrer matin et soir.
Il faut alors passer à la deuxième étape : camoufler le comprimé, qu’il soit appétent ou non, dans quelque chose que Chanel consent à manger. (Si elle en raffolle, c’est encore mieux).
« Oui, mais elle est maligne, elle trie et elle nous laisse le comprimé », nous répond-on souvent. « Vous ne croyez pas qu’on peut l’avoir comme ça ? Elle renifle, elle sent le comprimé, et du coup, elle ne touche pas à sa gamelle, et elle ne mange plus rien. »
Ben oui, c’est compliqué. Mais avec un peu d’imagination, on a encore des chances de s’en sortir avant d’en arriver à la manière forte.
Donc, qu’est-ce qui marche ? beaucoup plus de choses pour un chien que pour un chat, en gros, tout ce dans quoi on peut fourrer un comprimé, (une bouchée de steak hâché, un petit bout de poulet…), le grand classique étant le morceau de fromage. (« Ah, il va falloir lui donner des comprimés ? alors on va retourner acheter de la Vache qui rit ! »)
Tout cela avec modération, bien entendu, attention aux calories. Enfin, il faut ce qu’il faut, et ce n’est (officiellement), que pour la durée du traitement.
Ne négligeons pas les aliments humides. Si Gucci mange déjà des boîtes, vous pouvez évidemment cacher le comprimé dans sa pâtée. Si vous n’avez pas d’aliment humide à la maison, vous pouvez demander à votre vétérinaire, en même temps que les médicaments prescrits, des pâtées dans lesquelles cacher les petites pilules (voir la vidéo ci-dessous). L’intérêt, c’est que ces aliments seront, en plus, adaptés à la maladie dont souffre votre chien : aliment pour insuffisant rénal, pour convalescent, etc.
Prise de comprimés anti-diarrhéiques, dissimulés dans un peu de pâtée : le médicament ne fait pas long feu ! évidemment, faire avaler des comprimés de cette manière est plus facile avec un jeune Berger Allemand qui engloutit tout, qu’avec une petite Gucci qui chipote. Mais bon, même avec une mini-York ou une Chi hua hua, ça a des chances de marcher.
Enfin, il existe des pâtes très appétissantes, ressemblant à de la pâte à modeler, et destinées à favoriser l’observance. (C’est d’ailleurs comme ça que ça s’appelle – Observence ; depuis peu, il existe aussi Vet’snack, pas mal non plus). On enfonce bien le comprimé à l’intérieur, on malaxe le tout, et on met ça sous le nez du chien. Le chien trouve que ça sent tellement bon, (son maître ou sa maîtresse un peu moins, mais il faut ce qu’il faut), que le comprimé est généralement avalé en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. (Photo et vidéo ci-dessous).
Revoilà notre BA, pour la prise des comprimés du soir, (la pâtée, c’était le matin), cette fois en utilisant l’Observence. Alors là, c’est bon ! on ramasse toutes les miettes qui tombent, et on en grimpe sur la table. Bon, d’accord, comme indiqué plus haut, ce n’est pas une mini-York, donc la démonstration est moins probante. Mais au moment où cet article a été écrit et cette vidéo réalisée, nous n’avions pas de Chanel sous la main. Par rapport au début de la vidéo, notons qu’enfouir un comprimé dans une boulette de pâte avec une seule main pendant que l’autre filme, n’est pas très facile. Quand on a ses deux mains, ça va tout seul !
Alors par contre, le truc à ne pas faire, c’est de dissoudre le comprimé dans de l’eau ou dans le lait. Et pourtant, c’est quelque chose que l’on entend souvent : « on va le dissoudre dans son eau ! » A moins que le chien ne lèche goulûment jusqu’à la dernière goutte, (ce qui est peu fréquent avec la gamelle d’eau), il y a toutes les chances pour que les débris du comprimé broyé se retrouvent à la fin au fond du bol, et que seule une toute petite partie du traitement ait été prise.
3 – La méthode (plus ou moins) forte :
Toutes les méthodes douces ont échoué. Gucci reste imperturbable devant son assiette avec ses petits mordeaux de steak, sa Vache qui rit, son reste de yaourt, sa boulette d’Observence, et elle hésite entre vous montrer les dents qui lui restent, ou courir se cacher sous le lit. Il ne reste alors plus d’autre option que de lui faire ingurgiter son traitement de force. On prend son courage à deux mains, et on y va.
– Les doigts dans la bouche ! (aïe aïe aïe !) :
Pour ceux qui aiment prendre des risques… mesurés, tout dépend du caractère de la bête, et de la taille de sa mâchoire. On se place plus ou moins en arrière du chien, on attrape sa tête de la main gauche, (si l’on est droitier, of course, sinon, on inverse – et si sa tête tient dans la main), le pouce à droite de la mâchoire, l’index (et les autres doigts avec), à gauche. On lui met la tête un peu en arrière, ce qui fait que la bouche à tendance à s’entrouvrir toute seule. De la main droite qui tient le comprimé entre pouce et index, on finit d’ouvrir la bouche avec le majeur, et pouf ! on va déposer le comprimé le plus loin possible au fond de la gorge. Après, on masse sous le cou, on fait boire un coup d’eau à la seringue, on fait tout ce qu’on veut, l’essentiel, c’est d’inciter le chien à avaler. Si ces explications ne vous semblent pas bien claires, jetez un coup d’œil à la vidéo ci-dessous.
Par ordre d’apparition, une petite Beagle atteinte d’une infection respiratoire sévère, qui devait avaler ses antibiotiques matin et soir. En numéro deux, le chien de l’un des vétérinaires de la clinique, lui aussi sous antibiotique pour un ongle arraché qui aurait pu provoquer une infection du doigt, et qui regarde la caméra avec un air de martyr !
Bon, après, c’est vous qui voyez. Un York ou un caniche, ça peut quand même vous entailler un doigt sévèrement, et si en plus il/elle a une bouche bien pourrie avec une grosse suppuration entre tartre et gencive, (ce qui est fréquent chez les chiens de petit format), vous penserez très fort à votre petit trésor pendant les quelques nuits qui suivront l’événement. S’il s’agit d’un gros Rottweiler, là, il pourra juste vous arracher la main s’il referme la bouche pendant que vous avez les doigts au fond. (Bon, heureusement, ça n’arrive pas tous les jours). Procurez-vous plutôt un lance-pilule.
– La pince à épiler :
A moins de disposer d’une longue (mais alors vraiment très longue) pince, cette méthode est adaptée à Daisy, Caline ou Gucci plutôt qu’à Kaizer ou Killer. Bon, finalement, c’est à peu près la même manœuvre que ci-dessus, à part qu’au lieu d’aller mettre le comprimé au fond de la bouche avec le pouce et l’index, on le fait avec une petite pince, style pince à épiler. La seule chose, c’est qu’il faut lâcher le comprimé juste au bon moment, et vite ressortir la pince de la bouche du chien. Comme indiqué ci-dessus, pour un Rott ou un Berger allemand, non seulement la pince sera trop petite, mais on risquera tout autant de se faire croquer que quand on y va directement avec les doigts ! Passons donc à l’instrument suivant.
– Le lance-pilules :
Il s’agit d’une sorte de tube avec un piston à l’intérieur (photo ci-dessous) : on coince le comprimé au bout du tube, et quand on pousse le piston, pouf ! ça expulse le comprimé. C’est facile, c’est pas cher, et ça peut rapporter gros. Enfin, ça évite surtout de se faire mordre les doigts pendant qu’on les enfonce bien profond dans la gorge de la mini York (ou du Pit qui commence à rouspéter !), pour faire descendre le comprimé !
Donc, comme ci-dessus, on prend la tête du chien de la main gauche, (toujours si l’on est droitier), et on la bascule en arrière pour faire s’entrouvrir la bouche. On a préalablement inséré le comprimé dans le petit embout de caoutchouc, à l’extrémité du lance-pilule. Avec la main droite, on glisse l’embout dans la bouche du chien, dirigé vers le fond, et pouf ! on pousse sur la tige, ce qui envoie la pilule dans la gorge du chien, qui n’a plus qu’à l’avaler. (Comme ci-dessus, on peut l’aider à avaler en le massant sous le cou, ou en utilisant une seringue préparée à l’avance pour lui envoyer un peu d’eau dans la bouche, et l’obliger ainsi à déglutir). Et après, on lui fait de grosses papouilles. S’il ne s’agit pas d’une petite Gucci, mais d’un Kaiser ou d’un Tyson, il sera un peu plus compliqué de lui amener la tête en arrière en utilisant le pouce et l’index de la main gauche ! dans ce cas, on se contente de lui glisser le lance-pilule entre les babines, on l’enfonce le plus loin possible, et on envoie ! Rassurez-vous, une vidéo arrive pour vous montrer tout ça en live, mais il faut encore que nous la tournions.
Voilà voilà, avec tout ça, vous devez y arriver, je crois en vous !
Quoi qu’il en soit, vous aurez toujours plus de chances d’aller au bout du traitement de votre chien si vous trouvez un moyen de lui faire avaler ses comprimés spontanément, sans avoir à vous bagarrer. Et sinon, pensez au lance-pilules !