Table des matières
- La prévention pour le chat
- La législation de la rage
- Les animaux mordeurs
- La rage chez les chats
- Reconnaitre les symptômes de la rage chez le chat
- Les précautions pour prévenir la rage
- Comment protéger mon chat contre la rage féline?
- Qu’est-ce que la rage féline ?
- Les conseils pour protéger votre chat de la rage
- Faut-il vacciner votre chat contre la rage afin de pouvoir voyager avec lui ?
- Maladies des chats – Symptômes et traitement
- Quels symptômes pour quelles maladies chez le chat ?
- Les maladies parasitaires
- Les maladies virales chez le chat
- Une assurance santé pour soigner les maladies communes chez votre chat
La prévention pour le chat
La vaccination reste le moyen le plus sûr de prévenir la maladie chez le chat et d’en limiter l’extension. On peut la pratiquer dès l’âge de trois mois. Elle est obligatoire dans certaines conditions (voir ci-dessous la législation).
Il faut aussi savoir que des campagnes de vaccination orale des renards ont été effectuées en France (lâchers d’appâts par hélicoptère), ce qui a fortement contribué à faire régresser la rage dans ces populations.
La législation de la rage
La gravité de la maladie et sa transmission possible à l’homme ont conduit à des mesures strictes. La vaccination et l’identification sont obligatoires :
- Pour se rendre à l’étranger
- Pour l’introduction ou la réintroduction en France de tout carnivore domestique
- Dans certains autres cas: animaux soumis à la loi sur les chiens dangereux.
La France étant indemne de rage, l’obligation de vaccination antirabique des lévriers engagés dans les courses publiques et des carnivores domestiques dans les campings, centres de vacances, exposition ou tout lieu de rassemblement est supprimée. De plus, il n’est plus nécessaire de vacciner contre la rage les chiens et chats voyageant en Corse, en départements d’Outre-Mer (Réunion, Martinique, Guadeloupe) hormis la Guyane. Pour les pensions et chenils, il faut s’adresser directement au professionnel.
On ne peut légalement vacciner que les animaux de plus de trois mois.
A l’issue de la première vaccination, un délai pour la validité de cette vaccination est nécessaire, il est maintenant de 21 jours après l’injection. Le premier rappel se fait un an plus tard, les rappels ultérieurs peuvent être espacés pour certains vaccins. En cas d’oubli du rappel, le protocole devra être repris depuis le début (vaccination valable 21 jours après).
Toutes les vaccinations de l’animal, dont celle de la rage, sont indiqués dans un passeport.
Les animaux mordeurs
Tout animal ayant mordu ou griffé une personne doit être mis sous surveillance » chat mordeur « .
Cette surveillance a pour but d’éviter le développement de la maladie chez la personne mordue en s’assurant que l’animal ne présente pas de symptômes de rage dans les quinze jours suivant la morsure.
- Elle s’effectue chez un vétérinaire, à la diligence et aux frais du propriétaire du chat ou de son détenteur. Si l’animal ne possède pas de propriétaire, c’est la mairie qui le prend en charge par l’intermédiaire d’une fourrière.
- Elle consiste en trois visites chez le vétérinaire: la première au plus tôt après la morsure (moins de 24 heures), la seconde et la troisième respectivement 7 jours et 15 jours après.
La présentation chez un vétérinaire d’un chat mordeur est une obligation légale qui met en jeu la responsabilité pénale du propriétaire (amendes et peines de prison). Le propriétaire est tenu de présenter son animal aux rendez-vous fixés et de déclarer au plus vite, la disparition des signes de maladie (ou la mort de l’animal le cas échéant), au vétérinaire et aux autorités publiques (services de police, mairie). Il ne peut se séparer de son animal sans l’autorisation du directeur départemental des services vétérinaires.
A la suite de chaque visite, le vétérinaire remet au propriétaire un certificat en trois exemplaires, attestant qu’il ne constate pas de symptômes de rage:
- Un certificat pour la personne mordue ou propriétaire de l’animal mordu,
- Un pour lui-même,
- Un pour les services de police.
Le vétérinaire garde aussi un exemplaire pour lui et en fait parvenir un à la Direction Départementale de la cohésion sociale et de la Protection des Populations (DDcsPP).
A l’issue des visites:
- Si l’animal est en vie et ne présente pas de symptômes, il y a impossibilité qu’il ait transmis la maladie suite à la morsure. La procédure est alors terminée (…et la personne mordue peut être rassurée !).
- Si l’animal meurt ou présente des symptômes compatibles avec la rage durant les deux semaines, le médecin du centre anti-rabique pourra prendre la décision de faire un sérum anti-rabique au patient mordu.
- Si l’animal meurt effectivement, il sera autopsié et des prélèvements seront envoyés au laboratoire afin d’avoir un diagnostic de certitude.
La rage chez les chats
Plus souvent attribué au chien et au renard, on oublie souvent qu’un chat peut également contracter la rage et le transmettre à l’homme. Bien que rare en France, les risques existent et en cas d’infection, la situation doit être prise très au sérieux.
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Reconnaitre les symptômes de la rage chez le chat
Un chat est infecté après avoir été mordu par un autre animal déjà malade et cela, même s’il ne présente pas encore les symptômes. Toute morsure doit être prise au sérieux car la période d’incubation, c’est-à-dire la période entre la morsure et l’apparition des premiers symptômes, est de 2 à 4 semaines.
La rage chez le chat se manifeste sous deux formes :
- La forme « muette » ;
- La forme « furieuse ».
La forme « muette », qui représente 4 cas infectés sur 5, est la forme la plus répandue et présente des symptômes les plus graves. Le chat souffre d’une paralysie immédiate des muscles et de la mâchoire entraînant une bave excessive. Le chat meurt alors quelques jours après l’apparition des symptômes.
La forme dite « furieuse » est moins fréquente chez les félins car elle concerne seulement 1 cas infecté sur 5. Les signes apparents se manifestent par une bave excessive, des difficultés à se déplacer, voire une paralysie progressive, un changement dans le son du miaulement. Le chat affichera un changement de comportement radical, s’il est d’habitude câlin et joueur, il deviendra agressif. Il cherchera à vous fuir et le moindre bruit l’affolera. Le décès surviendra imparablement 4 à 5 jours après l’apparition des symptômes.
Les précautions pour prévenir la rage
La rage est une maladie mortelle et irréversible pour votre chat. Pour protéger votre chat, surtout si celui-ci se promène dehors, il faut le faire vacciner dès ses 3 mois. Le vaccin n’est efficace qu’après les 21 jours suivant l’injection. Un rappel est à faire chaque année car c’est le meilleur moyen de protéger votre chat et vous-même.
Il est à noter que la vaccination du chat est obligatoire si vous l’emmenez au camping ou en centre de vacances mais également si vous comptez voyager à l’étranger avec lui.
Pour protéger votre petite boule de poils et lui assurer des soins quand il est malade, vous pouvez lui souscrire une assurance pour chats en comparant les différentes offres sur le site du comparateur de mutuelles pour chats LeLynx.fr.
Comment protéger mon chat contre la rage féline?
Qu’est-ce que la rage féline ?
La rage est une maladie virale mortelle qui se transmet le plus souvent par morsure d’un animal porteur du virus. Le diagnostic est très difficile à établir car, dans la plupart des cas, l’animal mordeur n’en manifeste pas encore les symptômes.
C’est pourquoi il est interdit d’euthanasier un chat qui a mordu un être humain avant un délai de quinze jours. Le garder en observation est le seul moyen de savoir s’il est infecté et s’il a pu transmettre la maladie.
Mais la rage ne touche pas uniquement les chats. En effet, elle est très contagieuse et peut contaminer tous les mammifères, y compris l’homme. Chez les animaux elle peut se transmettre d’une espèce à l’autre. Elle risque d’entraîner la mort de votre chat s’il n’est pas traité à temps.
Certes, la vaccination n’est plus obligatoire en France ; mais il convient toutefois de rester vigilant et d’observer certaines règles quel que soit le cas de figure : chat mordu ou chat mordeur.
Les conseils pour protéger votre chat de la rage
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Que faire si votre chat a été mordu ?
Rincer la blessure avec de l’eau et du savon et appliquer une solution antiseptique. Consulter sans tarder un vétérinaire qui décidera du traitement adéquat.
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Que faire si votre chat a mordu ou griffé ?
Tout animal ayant mordu ou griffé une personne doit, même sans être suspect de rage, être présenté à un vétérinaire dans les 24 h suivant la blessure. L’animal fait alors l’objet d’une surveillance sanitaire de 15 jours.
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Comment se prémunir de la rage féline?
La vaccination reste le moyen le plus sûr de prévenir la maladie chez l’animal et d’en limiter l’extension. On peut l’effectuer dès l’âge de trois mois en même temps que les rappels des autres vaccins. ?Elle se pratique en une seule injection, avec un rappel annuel.
Elle est obligatoire dans certains cas :
– pour voyager dans les DOM TOM et dans tous les pays étrangers ;
– pour les chats inscrits dans un rassemblement ou une exposition et ne provenant pas de pays non indemnes de rage depuis au moins trois ans.
Elle est fortement conseillée dans d’autres cas:
– pour pouvoir emmener votre chat dans des centres de vacances, campings, chenils, regroupements d’animaux, lieux de ventes et de cessions d’animaux familiers.
Faut-il vacciner votre chat contre la rage afin de pouvoir voyager avec lui ?
Si vous souhaitez voyager dans l’Union Européenne avec votre chat, celui-ci devra impérativement être vacciné contre la rage. Pour les autres pays, renseignez-vous auprès de votre vétérinaire. Pensez à effectuer la vaccination au moins deux mois avant votre départ.
Maladies des chats – Symptômes et traitement
Cette section du guide d’Omlet des chats se concentre sur les maladies contre lesquelles votre chat peut être vacciné. Les vaccins contre le Typhus félin, le Coryza, le Calcivirus félin, le Virus leucémogène félin* sont recommandés pour tous les chats, mais contre quoi exactement ? Poursuivez votre lecture pour le découvrir.
*Remarque : La vaccination contre cette maladie est surtout recommandée si le chat a accès à l’extérieur.
Typhus félin (ou panleucopénie féline)
Le typhus félin est un type de virus appelé parvovirus parfois nommé panleucopénie féline. Cette maladie hautement contagieuse peut provoquer la mort de l’animal. Le nom panleucopénie se doit à la diminution des leucocytes qui est l’un des symptômes de la maladie.
Transmission
La maladie peut être transmise par les puces ou par voie orale, au contact direct avec les fluides corporels d’un chat infecté. Le virus peut rester actif sur toutes sortes d’objets, comme les gamelles de nourriture, le lit ou même les vêtements. Cela facilite la propagation rapide et démographique de la maladie, c’est pourquoi le vaccin est hautement recommandé.
Symptômes
La maladie affecte les intestins du chat en provoquant l’ulcération qui finit par tuer les cellules des parois intestinales. Les symptômes incluent des diarrhées extrêmement sanglantes, la malnutrition, la déshydratation, l’anémie, la leucopénie et la mort. La gravité de cette maladie justifie l’usage hautement recommandé de traitement de prévention sous la forme de vaccin.
Traitement
Si vous suspectez que votre chat est atteint du typhus félin, emmenez-le sur-le-champ chez le vétérinaire, car la maladie peut le tuer en 24 heures. Le traitement implique un médicament antiviral agressif, des antibiotiques ainsi qu’un soluté de réhydratation. Pour plus d’informations concernant les vaccins pour chats, consultez notre section dédiée à ce sujet.
Coryza (Herpès virose félin)
Le coryza est le virus le plus répandu qui affecte les voies respiratoires supérieures des chats. La maladie est hautement contagieuse et les chats infectés garderont souvent une souche dormante de la maladie (sans montrer de symptômes), ce qui en fait des porteurs du virus toute leur vie. Heureusement, il est rare que des chats porteurs d’une souche dormante transmettent le virus. Le virus peut refaire surface chez un chat infecté, à cause du stress ou d’un autre problème de santé qui fragilise l’organisme.
La maladie peut être transmise entre les chats par contact direct avec les fluides corporels. En partageant les mêmes gamelles ou lits, en étant manipulés par un humain qui a touché un chat infecté ou suite à des morsures, par exemple.
Le coryza du chat provoque une infection aiguë des voies respiratoires supérieures. Cela se traduit par exemple par des conjonctivites, des éternuements, de la fièvre, de la toux, une léthargie, de la salivation ou des sécrétions nasales. Les symptômes peuvent durer entre quelques jours à quelques semaines, et le chat reste contagieux pendant environ 3 semaines. Dans de rares occasions, les cas d’infection chronique au coryza peuvent se développer en dermatite. Cela provoque l’apparition de lésions croûteuses, d’ulcères et de croûtes autour de la tête, du visage et parfois des pattes avant du chat.
Le meilleur remède est un traitement de prévention sous forme de vaccin. Le vaccin est vivement conseillé pour tous les chats. Si vous pensez que votre chat est atteint de coryza, vous devriez l’emmener immédiatement chez le vétérinaire. Celui-ci lui prescrira sans doute des antibiotiques pour traiter le risque d’une deuxième infection bactérienne, ainsi qu’une thérapie antivirale pour traiter le virus. Pour plus d’informations concernant les vaccins pour chats, consultez notre section dédiée à ce sujet.
Calcivirus félin (FCV)
Le calcivirus félin est le second virus le plus répandu qui affecte les voies respiratoires supérieures des chats. La maladie s’adapte rapidement, ce qui la rend difficile à traiter. Le virus peut en effet évoluer rapidement et devenir plus résistant aux antiviraux et/ou au système immunitaire du chat. Le vaccin contre le calcivirus félin n’empêche pas toujours la maladie, mais il reste néanmoins fortement conseillé, car les chats vaccinés qui attrapent quand même la maladie ont des symptômes plus légers que les individus non vaccinés. Une forme de calcivirus félin très contagieuse et résistante est connue sous le nom de calcivirus félin hypervirulent, qui peut être fatal.
Tout comme le typhus félin et le coryza, le calcivirus félin peut se transmettre entre les chats par contact direct avec les fluides corporels. Cela inclut en partageant les gamelles ou lits, en étant manipulés par un humain qui a touché un chat infecté ou suite à des morsures, par exemple. Heureusement pour nous, le virus ne peut être transmis aux humains et affecte uniquement les chats domestiques et les guépards.
Le calcivirus félin provoque une infection aiguë des voies respiratoires supérieures. Les symptômes incluent des sécrétions oculaires et nasales, de la fièvre, les ulcères autour de la bouche, du visage et des pattes, de la léthargie, la perte d’appétit et la pneumonie. Le calcivirus félin hypervirulent cause de l’arthrite, la boiterie, la fièvre et la défaillance de multiples organes.
Qu’il ait reçu un vaccin ou non, si vous pensez que votre chat a été infecté par un calcivirus félin, emmenez-le immédiatement chez le vétérinaire. En fonction des symptômes, le traitement se compose généralement d’antibiotiques, d’immunomodulateurs (qui renforcent le système immunitaire du chat), de corticoïdes, et d’un soluté de réhydratation. Pour plus d’informations concernant les vaccins pour chats, consultez notre section dédiée à ce sujet.
Virus leucémogène félin
Le virus leucémogène félin est une cause fréquente de mortalité chez les chats domestiques, avec la vieillesse, les accidents liés aux véhicules et les insuffisances rénales. Le VLF peut causer une maladie de type cancer appelée leucémie, d’où son nom. Les vaccins contre le Virus leucémogène félin est fortement conseillé pour les chats qui sont autorisés à sortir dehors mais pas systématiquement proposé pour ceux qui restent à l’intérieur. En effet, les chats d’intérieur ont bien peu de chances d’entrer en contact avec le virus.
Le virus se transmet par les fluides corporels comme le sang ou les selles, mais il ne survit pas longtemps hors du corps. Heureusement pour nous, le virus affecte seulement nos amis félins, et il n’y a aucun risque de contagion pour vous ou vos autres animaux. Le Virus leucémogène félin est surtout répandu parmi les chats errants ou férals. Ces individus peuvent ensuite le transmettre à nos chats domestiques quand ils se rencontrent dans la rue ou qu’ils se bagarrent. Le virus peut facilement se transmettre dans une maisonnée à plusieurs chats, à cause de la promiscuité et des gamelles et lits communs. Une mère chatte peut également passer le virus à ses chatons.
Quand il infecte un chat, le virus réduit considérablement l’efficacité de son système immunitaire. Cela ouvre donc la voie à toutes sortes d’infections et d’autres maladies qui peuvent prospérer dans un système immunitaire déficient (comme une leucémie). Les symptômes qui peuvent indiquer une infection au virus leucémogène incluent la diarrhée, la fièvre, des gencives pâles, une perte de poids, la stérilité, la jaunisse, l’anémie, des glandes enflées et une inflammation de la bouche et du visage.
Les chats qui sont plus à risque de contracter le virus leucémogène félin doivent être vaccinés. Si vous pensez que votre chat est atteint de virus (qu’il soit vacciné ou non), vous devez l’emmener immédiatement chez le vétérinaire. Celui-ci lui prescrira alors des immunomodulateurs pour assister le système immunitaire de votre chat, ainsi que d’autres médicaments qui traiteront les symptômes visibles tels que les antibiotiques ou solutés de réhydratation. Pour plus d’informations concernant les vaccins pour chats, consultez notre section dédiée à ce sujet.
Bordetellose féline
La Bordetellose féline est causée par une bactérie, et non un virus. Il s’agit d’une infection des voies respiratoires supérieures, souvent appelée la » toux du chenil » à cause de ses symptômes associés et du fait qu’elle est davantage observée dans les maisons à plusieurs animaux et les chatteries. Si votre chat est infecté, la maladie se traitera facilement avec des antibiotiques prescrits par le vétérinaire. La bactérie est plutôt rare chez les chats, c’est pourquoi le vaccin n’est pas autant recommandé que les autres.
Le vaccin n’est pas systématiquement conseillé, mais il reste disponible et est parfois nécessaire pour voyager dans d’autres pays.
La bactérie Bordetella peut se transmettre entre les chats, les chiens et même les humains. Elle peut se retrouver dans l’air par les éternuements et la toux, et une nouvelle victime peut être infectée en l’inhalant. Cette transmission rapide par la toux ou les éternuements facilite la propagation de la bactérie, c’est pourquoi une épidémie est vite arrivée dans les chatteries ou les maisons à plusieurs chats.
La toux et les éternuements sont les symptômes principaux. D’autres symptômes moins communs incluent de la fièvre, des écoulements nasaux, des yeux sales, la pneumonie, la perte de poids et des difficultés respiratoires.
Un vaccin contre la bordetellose est disponible pour les chats, mais comme les chats ne sont généralement pas infectés, il n’est pas toujours recommandé. Un chat infecté n’aura pas forcément besoin de traitement car son système immunitaire se chargera de combattre l’infection. Néanmoins, si vous suspectez que votre chat est atteint de bordetellose, il vaut mieux l’emmener se faire examiner par un vétérinaire rapidement. Celui-ci lui prescrira sans doute des antibiotiques pour se débarrasser de l’infection rapidement. Pour plus d’informations concernant les vaccins pour chats, consultez notre section dédiée à ce sujet.
Chlamydiose du chat
La chlamydiose est causée par une bactérie qui infecte les voies respiratoires supérieures. D’habitude, les bactéries colonisent les zones à l’extérieur des cellules, comme la gorge ou les poumons, mais celle qui cause le Chlamydiose féline réside à l’intérieur des cellules. Malheureusement, les chats peuvent nous transmettre la bactérie, qui peut alors se développer en une conjonctivite.
Le vaccin n’est pas systématiquement conseillé, mais il reste disponible et est parfois nécessaire pour voyager dans d’autres pays.
La bactérie qui cause la chlamydiose ne peut pas survivre longtemps hors du corps, mais elle peut se transmettre par contact avec la bouche, le nez ou les sécrétions oculaires d’un chat infecté ou en touchant des zones contaminées (tant que la bactérie est encore en vie).
La bactérie infecte principalement la conjonctive (la muqueuse de l’œil) qui provoque un gonflement et une inflammation autour de l’œil. On observe aussi souvent une sécrétion des yeux ou un larmoiement excessif. D’autres symptômes incluent des difficultés respiratoires, un écoulement nasal, une perte de poids, une perte d’appétit, de la toux et de la fièvre.
Le vaccin contre la chlamydiose féline est uniquement recommandé pour les chatteries ou bien les zones de prévalence de la maladie. Elle est facile à traiter et ne se propage pas facilement. Si vous pensez que votre chat est atteint de chlamydiose, vous devriez l’emmener immédiatement chez le vétérinaire. Le système immunitaire du chat ne peut atteindre les bactéries intracellulaires. Le vétérinaire pourra prescrire un traitement aux antibiotiques, conçus pour pénétrer dans les cellules et éliminer la bactérie. Pour plus d’informations concernant les vaccins pour chats, consultez notre section dédiée à ce sujet.
Rage
Les derniers cas de rage sur humains déclarés remontent en France à 1924, la maladie est considérée comme disparue depuis le début des années 2001, et le vaccin n’est donc plus obligatoirement administré aux animaux. Néanmoins, si vous voyagez avec votre chat, vous devrez le vacciner contre la rage. La rage est une maladie virale qui provoque une encéphalite (inflammation de l’encéphale). Elle est surtout répandue chez les chiens mais toutes les espèces à sang chaud y sont vulnérables.
Le vaccin n’est pas systématiquement conseillé, mais il reste disponible et est parfois nécessaire pour voyager dans d’autres pays.
Le virus est généralement présent dans les cellules nerveuses et la salive d’un animal infecté. Cela signifie qu’il peut se transmettre par contact rapproché, en partageant une gamelle, en se toilettant mutuellement ou si le chat est mordu ou qu’il mange un animal infecté.
Les symptômes les plus reconnaissables de la rage sont sans doute la bave abondante et l’agressivité augmentée, mais la fièvre, la léthargie, les crises épileptiques, les paralysies, le manque de coordination et l’incapacité à avaler sont tous des indicateurs de la rage.
Comme précédemment mentionné, le vaccin contre la rage existe mais il n’est plus obligatoire. Si votre chat présente le moindre de ces symptômes, il faut l’emmener chez le vétérinaire sur-le-champ, il sera surveillé à plusieurs fréquences afin de déterminer s’il présente les symptômes de la rage. Les autorités sanitaires doivent également être averties. Malheureusement, la rage est mortelle pour les chats, il est donc important d’empêcher que la maladie se propage et réapparaisse sur le territoire.
Vacciné ou non, il peut arriver que votre chat souffre de certaines pathologies et maladies. Elles peuvent être virales (causées par des virus), parasitaires ou physiologiques. Face à une maladie, les chats présentent différents symptômes. En tant que propriétaire d’un animal de compagnie, vous devez pouvoir les reconnaître avant d’aller consulter un vétérinaire. Pour cela, vous pouvez retrouver les différentes maladies à partir des symptômes présents chez votre chat.
Lorsque vous adoptez un chat, il est judicieux de s’informer de son état de santé. Prenez quelques instants pour voir s’il n’a pas un des symptômes de maladie décrits ci-dessous. Pensez aussi à demander le bilan de son dernier check up chez le vétérinaire pour vérifier les éventuelles pathologies. Dans ce cas-là, vous pouvez en savoir plus sur la pathologie en question dans la deuxième partie de cet article. Vous pourrez aussi vérifier ses vaccins, sa puce électronique, s’il est stérilisé ou non…
Quoi qu’il en soit, vous voulez en savoir plus sur une pathologie ou une maladie que votre chat pourrait avoir, ou vous souhaitez savoir si votre chat est malade, car il présente des symptômes étranges, retrouvez en détail toutes les informations que vous recherchez dans cet article.
Le Mammouth Déchaîné vous informe sur les pathologies et maladies fréquentes chez le chat, leurs symptômes et les soins à administrer.
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Quels symptômes pour quelles maladies chez le chat ?
Symptômes physiques
Si votre chat boite, c’est souvent le résultat d’une entorse, d’une foulure ou d’une fracture. Mais l’arthrose également peut en être la cause s’il est âgé. De même, une dysplasie de la hanche, une luxation ou même une tumeur osseuse peuvent le faire boiter.
S’il cligne trop des yeux, ce qui est assez rare chez le chat, alors il souffre peut-être d’une conjonctivite, un ulcère de la cornée ou même une d’immunodéficience acquise.
S’il convulse, alors c’est très grave. Les convulsions sont les symptômes d’affections comme une encéphalite, une carence en taurine et en arginine, une épilepsie, un empoisonnement ou une tumeur de l’encéphale.
Des taches sur la peau au niveau de la bouche peuvent être tout simplement de l’acné. Cela est assez courant et demande à être traité si les boutons persistent.
Symptômes digestifs
Outre cela, on peut citer les cas de constipation. Si la constipation est passagère alors, pas d’alerte. Néanmoins, si elle s’installe, alors, elle résulte de la présence de corps étrangers, d’une maladie du colon, d’une sédentarisationou d’un régime pauvre en fibres. Cela peut aussi être la conséquence d’une tumeur intestinale.
Tout cela peut déboucher à force sur une diarrhée simple ou hémorragique. Quand elle est sans traces de sang, alors on peut penser à une colique, une insuffisance cardiaque ou rénale chronique, un FIV, un FELV, des parasites intestinaux, des pathologies hépatiques ou une hépatite.
Quand il y a traces de sang, il peut s’agit d’un empoisonnement, d’un ulcère gastrique ou d’une tumeur intestinale. Il faut ajouter que le terme diarrhée s’applique en fonction de la couleur, des modes d’évacuation, de la consistance et du moment où se manifestent les selles de votre chat.
En cas de vomissements exagérés, il souffre peut-être d’hyperthyroïdie, d’un diabète sucré ou d’insuffisance rénale aiguë et chronique. Si les vomissements sont hémorragiques, alors il a peut-être des corps étrangers dans son estomac, il peut souffrir de gastrite, d’ulcère ou de tumeur. N’écartez surtout pas qu’il peut s’empoisonner avec une quelconque substance toxique ou même un médicament.
Symptômes respiratoires
Votre chat peut souffrir aussi de difficultés respiratoires. S’il garde sa gueule ouverte, s’il a une respiration bruyante et sifflante, c’est sûrement grave. L’asthme félin, une bronchite ou une pneumonie, une tumeur ou une insuffisance cardiaque peuvent en être la cause. Il faut alors y apporter un traitement très rapidement.
S’il éternue de manière constante, cela peut être une rhinite.
La toux peut induire une laryngite, pharyngite ou bronchite. Si c’est plutôt son nez qui coule, il faut écarter le coryza qui est une maladie infectieuse. Cela fait, on pensera à une rhinite ou une pneumonie.
Autres symptômes
Le tartre ou une gastrite peuvent lui donner la mauvaise haleine. S’il bave, ce qui est déjà inhabituel, il faut soupçonner une maladie de la cavité buccale, une gastrite, une épilepsie ou un empoisonnement. Un avis vétérinaire est primordial.
La fréquence à laquelle votre chat urine peut induire plusieurs affections. S’il s’abreuve abondamment et urine de même, il faut vous mettre en alerte parce que c’est souvent très grave. Il peut s’agir d’un diabète sucré ou insipide, d’infection d’utérus ou hépathopathies.
Mais si au contraire, il n’arrive pas à uriner, une obstruction de l’urètre ou une cystite peuvent en être la cause.
Enfin, une pathologie qui est assez gênante, c’est lorsque votre chat souffre de prurit. N’essayez surtout pas de le soigner par vous-même, car cela aggraverait la véritable cause du mal. Mal qui peut être une otite bactérienne ou parasitaire, une dermatite allergique ou auto-immune.
Attention, cette liste n’est pas exhaustive et vous devez être très vigilant sur les changements de comportement de votre chat comme un manque d’appétit ou un changement d’état du pelage. Cela peut être les symptômes de maladies comme la maladie de lyme (qui n’est pas mortelle, mais qui doit être traitée immédiatement). D’autre part, chaque pathologie doit faire l’objet d’une consultation vétérinaire.
Les maladies parasitaires
Les puces chez le chat
Les puces sont les parasites les plus courants chez le chat. Ces minuscules insectes se nourrissent du sang de leur hôte. Non pas une fois, mais à de très nombreuses reprises.
D’autre part, les puces se reproduisent très rapidement et finissent par infester l’ensemble du pelage de votre chat. À noter que les puces sont très actives par temps chaud et sec. Elles sont donc nombreuses au printemps et en été, mais également en hiver dans les maisons surchauffées.
D’autre part, les puces provoquent au niveau du cou, de la croupe et de l’abdomen, des lésions qui deviendront des croûtes. Des allergies peuvent se déclarer. Elles entraînent également des rougeurs de la peau ainsi que des démangeaisons persistantes et violentes. S’en suivra une dépilation assez importante de votre animal.
De plus, les puces transmettent aussi le ténia quand ils sont avalés ou lapés lors de la toilette.
Enfin, attention à la transmission de puces entre animaux. Si vous possédez un autre animal de compagnie, tel qu’un chien, les puces de votre chat sauteront sur votre chien et viendront infester son pelage.
Les ascaris chez le chat
Ce sont des verts ronds, assez fins et longs. Ils vivent dans l’intestin grêle du chat et se nourrissent des aliments digérés. Malheureusement, ils peuvent se transmettre de la mère à l’enfant par le placenta ou par le lait.
Ce n’est que par les selles ou des vomissements qu’on peut constater leur présence dans l’organisme du chat. Quand le chaton est infecté dès sa naissance, il n’arrive pas à grossir malgré une bonne alimentation. Il arbore un ventre ballonné.
Pour parer à tout problème, mieux vaut déparasiter la mère régulièrement en lui donnant du vermifuge. Sur le site Wamiz, il est recommandé de déparasiter aussi bien la mère que le chaton une fois né.
Le ténia du chat
Le ténia est souvent de la taille d’un grain de riz, plat et court et se transmet par les puces. De même que l’ascaris, on le détecte dans les selles ou alors il se suspend à l’anus du chat en formant des ronds blancs. La meilleure façon de protéger votre chat est de le vermifuger contre les puces pour lui éviter le ténia et les ascaris. Et ce, dès les premiers mois de son existence.
Une fois le ténia installé, consultez votre vétérinaire qui vous prescrira un vermifuge ainsi qu’un traitement complémentaire si jugé nécessaire.
La toxoplasmose
Les toxoplasmes sont minuscules et ne créent pas d’importants dégâts. Mais ce sont des parasites qui peuvent se transmettre à l’homme. Le risque est encore plus grand chez la femme enceinte qui peut le transmettre à son fœtus.
Pour éviter cette transmission, traitez régulièrement votre chat. Pour cela, consultez votre vétérinaire pour qu’il pose un diagnostic et vous prescrive les médicaments adaptés.
À part la rage, les chats ne se transmettent les virus qu’entre eux. Ils ne peuvent pas les passer aux chiens ou aux humains. Toutefois, les maladies dont ils sont à l’origine sont très dangereuses, voire mortelles.
Le Typhus du chat
L’une des maladies les plus virulentes est le typhus. C’est une maladie très grave bien souvent mortelle. Les chats la contractent à n’importe quel âge et ne s’en sortent que grâce à un traitement intensif et débuté assez tôt.
La maladie se manifeste par des vomissements, de la fièvre, une fatigue intense de l’animal, des diarrhées hémorragiques et une forte déshydratation.
Le Coryza du chat
Une autre maladie virale est le coryza. Souvent causé par un groupe de microbes, on l’appelle aussi la grippe du chat. Très difficile à guérir, le traitement du coryza est long. Même s’il est couronné de succès, le chat devient porteur à vie du virus et peut récidiver plus tard.
Malheureusement, le coryza est contagieux. Il infecte les voies respiratoires et entraîne d’autres complications pulmonaires. Le coryza provoque des éternuements, et des écoulements du nez et des yeux. Le chat fera de la fièvre, s’en suivra une ulcération de la bouche.
La leucose féline
La leucose féline ou FELV, ou FIV selon la race touchée n’est pas transmissible à l’homme. Néanmoins, elle est très contagieuse entre les animaux et de plus en plus fréquente en France. C’est une maladie peu connue et pourtant assez complexe. Les chats se la transmettent par les urines, les selles, les larmes ou autres liquides physiologiques (sang et salive). Quand il est infecté, le chat fait de l’anémie et souffre d’affections chroniques. Des cancers peuvent survenir vu que ses défenses immunitaires chutent drastiquement. Quand on voit ces symptômes, on comprend que c’est l’exacte réplique du SIDA chez l’homme. Ainsi, on la nomme le sida du chat. Toutefois, il y a un vaccin efficace à 90 % des cas.
Mon chat a la rage
Un autre virus qui peut être transmis du chat à l’homme, la rage. Elle existe sous deux formes. La rage est furieuse ou paralytique.
Quand elle est furieuse, les animaux de compagnie présentent un comportement agressif. Ils sont anormalement excités. Ils sont aussi pris de panique. Les brusques changements du comportement de l’animal évoluent jusqu’à l’hypersensibilité. À la fin, il bave énormément, se paralyse. Moins de 10 jours après le début de ses symptômes, il meurt. C’est le type de rage la plus connue, mais la moins fréquente.
La rage paralytique (aussi appelée muette) est la plus fréquente. Au début, la paralysie s’installe progressivement par la mâchoire et le chat salive de manière excessive. Mais d’autres affections produisent le même effet, mieux vaut consulter un vétérinaire pour en avoir le cœur net.
Panleucopénie et parvovirose
Dans le même sillage, la panleucopénie ou parvovirose féline se caractérise par une très grande contagion. L’animal fait des diarrhées abondantes et hémorragiques. Malheureusement, la forme aiguë de cette maladie aboutit toujours au décès.
Calicivirose féline
La calicivirose féline, elle, se transmet entre chats par les liquides physiologiques. Il s’agit de la salive, des sécrétions nasales et des excréments. Ce mal crée un abattement, de la fièvre ou un écoulement nasal. Si l’animal est vacciné, alors il est à l’abri. On parle de l’immunodéficience féline parce que l’animal est exposé aux mêmes risques que le SIDA. Elle se transmet par les morsures et les blessures et est plus fréquente chez les mâles. C’est plutôt par la gorge, le nez et les yeux que votre chat peut attraper une rhinotrachéite virale. C’est le virus de l’herpès qui en est la cause.
Enfin, la leucémie virale féline peut être évitée par une vaccination. Dans le cas contraire, si des précautions ne sont pas prises contre celle-ci, la mort de votre chat est imminente. Et ce serait vraiment déplorable que votre compagnon perde la vie. À plus forte raison si vous aviez les moyens de le protéger (le vaccin). Les cas de rage ne sont pas à négliger non plus.
Une assurance santé pour soigner les maladies communes chez votre chat
Pour toutes ces maladies, virales ou parasitaires, il existe un remède (soit un vaccin, soit un vermifuge). Un remède qui coûte cher selon les maladies à soigner.
Ces remèdes sont peuvent être pris en charge par une assurance santé spéciale chat. Il existe aujourd’hui de très nombreuses mutuelles qui proposent également de nombreuses offres de couverture santé.
Quand on possède un animal de compagnie, il peut être utile de souscrire à une assurance santé spéciale animaux. Cela vous permettra de parer à toute éventualité.
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N’hésitez plus un instant à protéger votre chat contre les maladies communes félines.
Une maladie qui peut avoir des conséquences graves
Le CDC (Center for Disease Control) estime qu’environ 40% des chats sont vecteurs de la bactérie appelée Bartonella henselae, la bactérie responsable de la maladie. Cette bactérie est inoffensive pour les félins mais peut causer des maladies chez l’homme.
Elle peut être transmise quand un chat infecté mord, griffe, ou encore lèche une blessure ouverte. Les symptômes de la maladie des griffes du chat sont des gonflements de la zone ayant été en contact avec l’animal, des rougeurs, voire l’apparition de pustules. Mais ils peuvent aussi être plus généraux tels qu’une perte d’appétit, des maux de tête ou des douleurs.
Si elle n’est pas traitée, l’infection peut causer à terme de sérieuses complications comme une méningite ou une encéphalite. Les personnes les plus susceptibles d’être atteintes par cette maladie sont les individus de moins de 20 ans et ceux présentant une immunodépression.
D’après les estimations, quelque 20.000 cas de maladie des griffes du chat seraient enregistrés chaque année aux États-Unis.
Quelques conseils d’usage
» Tout ce qui est exposé à la gueule du chat, y compris une plaie que le chat lécherait, peut être contaminé « , explique-t-il. Le Dr Kris Brickman prodigue d’ailleurs quelques conseils d’usage : » Quand vous jouez avec vos chats, lavez-vous les mains après. Ne les laissez lécher aucune blessure ouverte et évitez d’être mordu « , souligne-t-il.
Pour l’heure, les médecins ne sont pas en mesure d’affirmer que Janese Walters retrouvera un jour l’usage de son œil. Toutefois, cette femme qui n’avait auparavant jamais entendu parler de la maladie souhaite servir d’exemple.