Table des matières
- Les 4 bienfaits de posséder un chat
- Les effets thérapeutiques du chat sur l’Homme
- La ronronthérapie
- Soignés par les chats
- Aller plus loin
- 7 raisons pour lesquelles avoir un chat est bon pour votre santé
- 1. Il n’est pas nécessaire de le sortir
- 2. Il ne demande pas beaucoup d’entretien
- 3. Il fait ses besoins dans une litière
- 4. Il peut rester tout seul à la maison
- 5. Il apporte presque les mêmes bénéfices qu’une vie de couple, sans les inconvénients
- 6. Il prévient les risques d’allergies
- 7. Il a une longue espérance de vie
- 8. Il est très protecteur
- 9. Il aime beaucoup dormir
- 10. Il amuse les enfants
- 11. Il n’a pas besoin de beaucoup de place
- 12. Il peut tuer les petites bêtes qui grouillent chez vous
- 13. Il est très indépendant
- 14. Il est plus économique qu’un chien
- 15. Il est très propre
- 16. Ses ronronnements sont bons pour la santé
- 17. Il sait s’adapter à la plupart des logements
- 18. Il responsabilise les enfants
- 19. Il permet de lutter contre le stress
- 20. Il vous fait rire
- Le chat, un thérapeute au poil
- Avoir un chat contribue au bien-être de votre maison !
- d’avoir un chat à la maison
- peut améliorer votre santé
- Bien-être
- Anti-stress
- Relations
- Santé
- Tous les avantages d’avoir un chat à la maison
- Les chats aident à garder votre maison saine.
- Ce sont des animaux domestiques mais indépendants
- Les chats et les enfants ? sont tous des avantages
- Aider à prévenir les allergies chez les enfants
- Les chats apportent plaisir et bonheur à votre vie
- Pourquoi adopter un chaton sans abri sera toujours satisfaisant ?
- Description d’un chat
- Portraits de chats
- Portraits de chats
- Activité 1 : Observer et décrire
- Activité 2 : Adopter un vocabulaire commun, pour se comprendre
- Conclusion générale
- Activité de réinvestissement (optionnelle) : description naturaliste
- Évaluation
Les 4 bienfaits de posséder un chat
Célébrer les matous autour du monde : c’est l’objectif de la journée mondiale du chat, fêtée tous les 8 août depuis quinze ans. Car au-delà des vidéos, gifs et autres photos insolites, les chats s’avèrent des compagnons précieux pour les humains. Les défenseurs des « bars à chat » le plaident d’ailleurs depuis longtemps : côtoyer un chat aurait des bienfaits cachés sur la santé.
Les chats seraient d’abord bien plus respectueux de l’environnement que leurs rivaux les chiens. Une étude datée de 2009 et reprise par le magazine britannique New Scientist prouvait que posséder un chien polluait à peu près autant que de rouler en 4×4. « Posséder un chien est assez extravagant, principalement à cause de l’empreinte carbone de la viande », précise un chercheur de l’institut de l’environnement de Stockholm à York (Grande-Bretagne). A l’inverse, l’empreinte carbone d’un chat équivaut à « légèrement moins qu’une Volkswagen Golf » selon la même étude. Posséder un chat serait donc bénéfique pour la planète, mais aussi pour la santé.
1 – Une meilleure santé cardiaque
Un risque d’attaque cardiaque réduit de 30% : c’est un des principaux bienfait de posséder un chat selon une étude de l’université du Minnesota. Menée pendant 10 ans sur plus 4.000 américains, l’expérience relayée par le magazine Medical News Today a prouvé que les individus possédant un chat voyaient leurs risques de décéder d’une maladie cardiaque réduits d’un tiers. Le professeur à l’origine de l’étude établit un lien direct entre les deux observations : posséder un animal domestique aide à soulager le stress.
2 – Adieu l’angoisse
Les partisans de la « ron-ron thérapie » en font leur argument numéro 1 : caresser des chats permettrait de se détendre et de calmer le stress. Au Japon, une entreprise a d’ailleurs décidé d’adopter neuf chats pour apporter un peu de réconfort à ses employés.
Aux Etats-Unis, les chats permettent également de soulager les vétérans de l’armée souffrant de syndromes post-traumatiques. Mother Nature Network raconte ainsi l’histoire d’un ex-soldat américain, qui à son retour d’Irak, a adopté un chien et un chat. Il explique que leur « amour inconditionnel » lui donne une « responsabilité »vis-à-vis d’eux
3 – Les chats rendraient-ils intelligent ?
Selon une étude menée en Grande-Bretagne en 2010, les propriétaires de chats seraient « plus éduqués » que les propriétaires de chiens. En 2014, une autre menée dans l’état du Wisconsin aux Etats-Unis prouvait tout simplement que posséder un chat était lié à l’intelligence. « Une personne qui préfère les chiens aura tendance à être plus vivante, puisqu’elle aura envie d’aller dehors, de parler à des gens alors qu’une personne plus introvertie et sensible restera peut-être plus à la maison à lire un livre, et son chat n’a pas besoin d’aller dehors », expliquait alors le professeur en charge de l’étude.
4 – Les chats peuvent tout simplement sauver votre vie
Au Royaume-Uni, un chat a détecté la crise d’épilepsie de son propriétaire qui avait arrêté de respirer. Un comportement qui n’a pas surpris le personnel de l’hôpital qui a déclaré à la famille du jeune homme que les animaux remarquent parfois les épisodes épileptiques imminents. En Lorraine, c’est un incendie d’une plus grande ampleur qui a été évité grâce à l’intervention d’un chat. Le félin a réveillé son maître qui s’était endormi après avoir allumé un barbecue. L’homme a évité de justesse l’intoxication au monoxyde de carbone.
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Les effets thérapeutiques du chat sur l’Homme
Où il est question de ronronthérapie avec Jean-Yves Gauchet, mais aussi de peste, de crise cardiaque, de stress… et d’autres maladies encore.
Bernard Werber : « le chat considère que c’est à lui de protéger l’homme et de lui faire du bien » © Getty / Marga Frontera
Le vétérinaire qui a découvert la ronronthérapie, Jean-Yves Gauchet, était l’invité d’Ali Rebeihi pour évoquer ces mystérieux félins présents dans de nombreux foyers français. Le romancier Bernard Werber qui a publié récemment Demain les chats, était également présent.
Une auditrice, Virginie, témoigne au téléphone :
1 min
Virginie témoigne : « C’est comme si mon chat m’avait prise en charge »
Bernard Werber renchérit : « C’est un des grands mystères du chat : on dirait qu’il nous veut du bien. Quand on est malade le chat vient naturellement vers nous, nous regarde, et se pose à l’endroit où on a mal pour ronronner en nous regardant ».
Le chien attend d’être protégé par l’homme ; le chat considère que c’est à lui de protéger l’homme et de lui faire du bien.
La ronronthérapie
Jean-Yves Gauchet, vétérinaire toulousain, a inventé la » ronron thérapie « . Elle se décompose en deux effets :
- Une musique antistress – des sons graves qui nous touchent directement au niveau des émotions.
Jean-Yves Gauchet explique : « Le ronronnement est une musique, une vibration au niveau du larynx, pas forcément volontaire, qui est la « fondamentale ». Tout le corps du chat l’amplifie en y rajoutant des harmoniques ; ça nous donne une musique très riche.
Dans une musique de film, quand on veut vraiment donner de l’émotion, on envoie des graves – ça ne nous arrive pas au niveau des oreilles mais au niveau de la peau ».
- Un son qui ressoude les os.
Bernard Werber : « Les chats aiment bien monter aux arbres, mais ils ne savent pas redescendre, donc ils sautent. Parfois ils sautent de trop haut, ils se cassent les os. On dirait qu’ils ont inventé la ronronthérapie pour aider leurs os à se ressouder ; c’est une sorte d’adaptation.
Quelques précisions de Jean-Yves Gauchet (tirées du magazine Psychologies) : « D’un point de vue purement physique, ces sons sont des vibrations sonores étagées sur des basses fréquences de vingt-cinq à cinquante hertz. Ces mêmes fréquences qui sont utilisées par les kinés, les orthopédistes, et en médecine du sport pour réparer les os brisés, les muscles lésés et accélérer la cicatrisation ».
Soignés par les chats
Les chats nous veulent du bien… Et plusieurs études scientifiques semblent le prouver en effet !
- Les propriétaires de chats ont environ 30% de moins de risques d’attaque cardiaque
- Avoir un chat à la maison lorsqu’un bébé a moins d’un an diminue de façon conséquente ses risques d’avoir une allergie quand il sera grand (et pas seulement les allergies aux poils de chat, mais aussi celles aux acariens et à l’herbe).
- Posséder un animal domestique améliore la santé globale de leurs maîtres (les problèmes légers).
- On note aussi une amélioration du sommeil, constatée à l’institut d’observation du sommeil « Mayo Clinic » (l’expérience est à relativiser toutefois car elle n’a été conduite que sur un échantillon de 150 personnes).
Une auditrice de Grand bien vous fasse, Sylvia, évoque l’effet bénéfique que les chats peuvent avoir dans les maisons de retraites.
Bernard Werber renchérit : « On s’est aperçus que les chats venaient vers les personnes mourantes pour leur tenir chaud et ronronner. C’est pour ça qu’on a considéré depuis l’Antiquité que c’étaient des psycho-ponts, des êtres qui accompagnaient l’âme pour aller au Paradis.
Cela se trouve dans toutes les civilisations, que ce soit en Amérique, en Asie, ou en Afrique ».
Aller plus loin
- ECOUTEZ | L’émission d’Ali Rebeihi consacrée aux chats
- LIRE AUSSI | Qui chasse les chats récolte les rats (et la peste) !
7 raisons pour lesquelles avoir un chat est bon pour votre santé
Avoir un chat n’est pas seulement bon pour le moral, c’est aussi bon pour votre santé tant physique que psychique. C’est en tout cas ce que démontrent les chercheurs étude après étude et qui se révèle être vrai. Mais de quelle manière les chats contribuent-ils au bien-être de leurs propriétaires ? Vous serez surpris de découvrir tous les effets bénéfiques qu’ils peuvent avoir sur nous !
1. La santé du cœur
Et si pour soigner votre cœur, il vous suffisait d’avoir un chat ?
Pendant dix années, des chercheurs de l’Université de l’Institut de l’AVC du Minnesotao à Minneapolis ont mené une étude sur les propriétaires et les non-propriétaires afin de démontrer les bienfaits du chat sur la santé du cœur.
Résultat : 30 % des propriétaires de chats sont moins susceptibles de mourir d’une crise cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral.
2. La stabilité émotionnelle
Solitaire, mais pas sans mon chat ?
La compagnie d’un chat permettrait de se sentir mieux surtout quand on est de nature solitaire. Que vous soyez veufs ou célibataires, la complicité que vous entretenez avec votre chat est bénéfique.
3. Une baisse de la tension artérielle
Qu’est ce qu’on se sent bien quand on caresse son chat !
Vous l’avez surement remarqué, quand on a caresse un animal, on se sent plus calme ! En effet, caresser un chat a un effet apaisant qui baisserait la pression artérielle. C’est en tout cas ce qui transparaît à travers l’étude Buffalo de l’université de l’Etat de New York. Pour eux, les chats sont plus susceptibles d’abaisser la tension artérielle des propriétaires de chat.
4. La réduction du stress
Prendre soin de votre chat et surtout avoir un chat à câliner contribue à réduire le niveau de stress. Le ronronnement du chat a un effet apaisant sur le propriétaire.
Contrairement aux chiens, la plupart des chats nécessitent peu d’entretien. Vous les nourrissez et nettoyez leur litière. Cependant, il arrive aussi que lorsqu’un animal a besoin de beaucoup de soins et d’entretien, il peut effectivement ajouter du stress à la vie du propriétaire.
5. Garant de votre équilibre mentale
Si le chat nous apaise, il a aussi des effets positifs sur notre santé mentale en particulier sur les personnes âgées, les étudiants et les personnes atteintes de maladies chroniques. Il nous fait du bien et nous aide à garder des idées positives.
6. Renforcement des os
Le ronronnement du chat a un rythme méditatif qui vous aide à vous recentrer surtout quand vous le prenez dans vos bras. Comme le souligne Shawn Simons, fondateur de l’association à but non lucratif » Charm School Kitty Bungalow » pour Wayward Cats à Los Angeles : la fréquence du ronronnement du chat peut réellement guérir les fractures osseuses.
7. Vivre plus longtemps
On dit que les chats ont 9 vies, et si c’était pour vivre aussi longtemps que leurs propriétaires ?
Contrairement aux autres animaux, les chats peuvent vivre 20 ans soit l’équivalent de 100 ans en vie humaine. Une longévité qui coïncide souvent avec celle de leur propriétaire. Ces derniers vivraient plus longtemps que ceux qui ne possèdent pas de chat.
Avoir un chat assure non seulement un bien être en terme de santé, notamment une baisse de la pression artérielle, la réduction du stress, une meilleure santé cardiaque mais aussi une vie plus longue.
Mais vous n’êtes pas obligé d’avoir un chat !
Tous ces bienfaits vous donne envie d’avoir un chat ? Si vous ne pouvez pas adopter un petit compagnon, sachez que les bienfaits s’étendent aux vidéos.
1. Augmentez votre niveau d’énergie
2. Intensifiez vos émotions positives
3. Diminuez vos sentiments négatifs
Morale de l’histoire ? Les chats sont tout simplement géniaux ! Vous ne pourrez plus vous passer d’eux tant ils sont bénéfiques pour votre santé.
Vous avez remarqué les bienfaits de votre animal sur votre santé, nous avons hâte de lire votre histoire sur notre page Facebook !
Une personne choisissant d’adopter un chat ne doit pas avoir les mêmes attentes que si elle décide d’accueillir un chien. Les félins ne font peut-être pas toujours l’unanimité où que vous vous trouviez, mais le principal est que vous connaissiez bien toutes les bonnes raisons d’avoir un chat à la maison !
Le combat entre les amoureux des chiens et les amoureux des chats fait rage et ce n’est pas près de s’arrêter. Il faut savoir que chaque espèce a ses avantages et ses inconvénients. Si vous avez une préférence pour les chats, c’est certainement pour toutes les bonnes raisons ci-dessous et on vous comprend !
Sommaire
1. Il n’est pas nécessaire de le sortir
Contrairement au chien, le chat n’a pas besoin de sortir pour faire ses besoins, ni même de se promener pour se défouler.
2. Il ne demande pas beaucoup d’entretien
Étant donné qu’il déteste être mouillé et qu’il fait sa toilette lui-même, le chat ne demande pas beaucoup de soins.
3. Il fait ses besoins dans une litière
Dans une litière ou bien à l’extérieur, mais toujours tout seuls comme des grands.
4. Il peut rester tout seul à la maison
Et ce, pendant une journée entière !
5. Il apporte presque les mêmes bénéfices qu’une vie de couple, sans les inconvénients
Avec un chat, vous ne vous sentirez plus jamais seul.
Crédits : iStock
6. Il prévient les risques d’allergies
Ce n’est pas un mythe. Lorsqu’un enfant grandit aux côtés d’un chat, il a moins de risques de développer des allergies.
7. Il a une longue espérance de vie
L’espérance de vie d’un chat est plus longue que la plupart des animaux de compagnie. En effet, certains chats peuvent aisément dépasser les 20 ans, voire même vivre jusqu’à 30 ans !
8. Il est très protecteur
Il n’y a pas que les chiens qui savent défendre les membres de leur famille. Les chats aussi peuvent se montrer particulièrement menaçant s’ils sentent leurs humains adorés menacés.
9. Il aime beaucoup dormir
Notamment en compagnie de son maître ! Et quoi de mieux que de s’endormir au doux ronron de sa boule de poils…
10. Il amuse les enfants
Avoir un chat c’est aussi pouvoir profiter du temps que les enfants passent à jouer avec le chat pour faire des choses pour soi.
Crédits : iStock
11. Il n’a pas besoin de beaucoup de place
Tant qu’il est suffisamment stimulé, par le jeu notamment, un chat peut s’adapter à n’importe quelle situation. Il a simplement besoin d’un arbre à chat et d’un couchage confortable.
12. Il peut tuer les petites bêtes qui grouillent chez vous
Rongeurs, insectes et autres indésirables ne feront pas long feu avec ce chasseur né.
13. Il est très indépendant
Un chat fait ce qu’il veut quand il veut et où il veut. Et il n’a besoin de personne pour lui essuyer les fesses.
14. Il est plus économique qu’un chien
Que ce soit en frais de nourriture ou encore en frais vétérinaires, avoir un chat coûte définitivement moins cher qu’avoir un chat.
15. Il est très propre
Ce n’est pas lui qui s’oublierait sur le tapis. Ou alors c’est parce qu’il aura une très bonne raison de le faire.
Crédits : iStock
16. Ses ronronnements sont bons pour la santé
Grâce au ronronnement de votre chat, votre tension artérielle diminuera et votre rythme cardiaque s’apaisera. Cela permet de limiter le risque d’accidents cardio-vasculaires notamment.
17. Il sait s’adapter à la plupart des logements
Que vous habitiez dans un studio ou dans une immense propriété, votre chat saura vite comment se sentir chez lui.
18. Il responsabilise les enfants
Une bonne façon pour eux d’apprendre à prendre soin de quelqu’un d’autre qu’eux-mêmes.
19. Il permet de lutter contre le stress
Les ronronnements du chat ont le don de diminuer grandement le stress chez les humains. C’est prouvé.
20. Il vous fait rire
Le chat est un animal plutôt surprenant. Il a le don de nous faire rire, parfois malgré lui, en se mettant toujours dans des situations étonnantes.
Crédits : iStock
Vous aimerez aussi :
Le chat, un thérapeute au poil
Sans Jean-Yves Gauchet, vétérinaire toulousain et véritable inventeur de la » ronron thérapie « , le livre n’aurait jamais vu le jour. Cette » thérapie « , il l’a découverte sans l’avoir cherchée. » Tout a commencé en avril 2002, se souvient-il. J’étais en quête d’informations pour Effervesciences, la petite revue scientifique que je dirige sur le Net. Je suis tombé sur une étude d’Animal Voice, une association de recherche qui étudie la communication animale. Elle a repéré, statistiques à l’appui, qu’après des lésions ou des fractures, les chats ont cinq fois moins de séquelles que les chiens, et retrouvent la forme trois fois plus vite. D’où l’hypothèse d’une authentique action réparatrice du ronronnement : en émettant ce son, les chats résistent mieux aux situations dangereuses. » Car s’ils » vibrent » de bonheur en s’endormant, ils le font aussi quand ils souffrent et sont plongés dans des situations de stress intenses.
Jean Yves Gauchet publie aussitôt un article sur le sujet et propose à des volontaires de tester les pouvoirs du ronronnement grâce à un CD de trente minutes, Détendez-vous avec Rouky (disponible sur le site d’Effervesciences) – le chat Rouky existe vraiment, il s’agit en fait de l’un de ses » patients « . Les résultats sont parlants : les deux cent cinquante » cobayes » ont ressenti du bien-être, de la sérénité, une plus grande facilité à s’endormir. D’un point de vue purement physique, ces sons sont des vibrations sonores étagées sur des basses fréquences de vingt-cinq à cinquante hertz. Ces mêmes fréquences qui sont utilisées par les kinés, les orthopédistes, et en médecine du sport pour réparer les os brisés, les muscles lésés et accélérer la cicatrisation. Les compositeurs de musiques de films utilisent aussi ces basses fréquences afin de susciter des émotions.
» Le ronronnement utilise le même chemin dans le cerveau, à travers le circuit hippocampe-amygdale, une structure étroitement liée au déclenchement de la peur, indique Jean-Yves Gauchet. Écouter ce doux bruit entraîne une production de sérotonine, l’“hormone du bonheur”, impliquée dans la qualité de notre sommeil et de notre humeur. » Le ronronnement » joue un peu le rôle de la madeleine de Proust, ajoute le praticien, sauf, bien sûr, si vous êtes encore traumatisé par ce chat qui vous a griffé au visage quand vous aviez 6 ans « . Récemment, il s’est aperçu que ces vibrations aidaient à réduire le jetlag, la fatigue liée au décalage horaire. Au printemps 2009, il a conçu, en collaboration avec le géant américain de l’informatique Apple, une application destinée aux téléphones portables iPhone. Le but : aider, après un voyage vers des rivages lointains, à récupérer le bon rythme plus rapidement grâce à une savante association de ronrons enregistrés, de conseils diététiques (notamment manger des noix), et la diffusion d’une lumière bleue générant la production de mélatonine.
Avoir un chat contribue au bien-être de votre maison !
En France, plus de la moitié des foyers a au moins un animal de compagnie. Et parmi ces animaux, les chats occupent la deuxième place, avec 11,4 millions de chats dans les foyers français.
Et c’est une excellente nouvelle, parce qu’en plus d’être adorables, la présence de chats dans votre maison contribue à votre bien-être au quotidien.
Voici quelques exemples de ce que les chats apportent à une maison et à ses habitants, en plus des câlins bien entendu :
d’avoir un chat à la maison
Pour commencer, avoir un chat, c’est nettement plus facile en appartement qu’avoir un chien. Le chat s’adapte parfaitement à tout type de logement décent, et n’a pas besoin de très grands espaces pour évoluer.
Un appartement de deux grandes pièces peut être tout à fait confortable pour y accueillir un chat, à condition de respecter ses besoins. Par exemple, avoir un chat à la maison suppose un foyer calme, et une disponibilité pour lui apporter des soins quotidiens.
Lorsqu’il dispose d’une litière bien entretenue, le chat est très propre et ne dégage pas d’odeurs corporelles désagréables, comme cela arrive avec les chiens par exemple.
peut améliorer votre santé
La présence d’un chat à la maison contribue également à notre santé à différents égards :
- Avoir un chat, c’est bénéficier d’une véritable machine à se relaxer !
C’est bien connu, les ronronnements du chat contribuent largement à créer dans votre maison un esprit de calme et de sérénité. Dans certains pays, les gens qui ne peuvent avoir de chat chez eux fréquentent d’ailleurs des » bars à chats « , juste pour la sensation de calme que leur procure un moment câlin avec un chat !
- De la même façon, avoir un chat améliore la qualité de notre sommeil.
Bien entendu, cela s’entend après les premiers jours de votre chaton, qui tout comme un bébé, risque de pleurer un peu la nuit le temps de trouver ses marques dans votre maison.
- D’après les études récentes, la présence d’un chat réduit également les risques d’allergies, notamment chez les très jeunes enfants. Cette proximité permettrait aux bébés de développer leur résistance aux allergènes, et même de lutter contre certaines formes d’asthmes.
Les chats peuvent nous réveiller à 4 heures du matin, réduire notre canapé en lambeaux et vomir à une fréquence alarmante, mais bénéficient de toute notre affection. Alors, pourquoi choisissons-nous d’introduire ces animaux ingrats dans nos maisons ? La réponse est évidente pour tous les amoureux des chats. Pour les autres, elle peut sembler plus difficile. Des chercheurs ont donc étudié les bienfaits de ces félins en miniature sur notre santé mentale et physique.
Bien-être
Selon une étude australienne, les propriétaires de chats ont une meilleure santé psychologique que les personnes qui n’ont pas d’animaux domestiques. D’après les résultats de ces travaux, ils seraient plus heureux, plus confiants, moins nerveux, profiteraient d’un meilleur sommeil, et d’une meilleure capacité à se concentrer.
Adopter un chat pourrait être bon pour vos enfants aussi. Dans une enquête menée auprès de plus de 2 200 jeunes Écossais âgés de 11 à 15 ans, les enfants qui nourrissent un lien étroit avec leurs chatons auraient une meilleure qualité de vie. Plus ils sont attachés, plus ils se sentent en forme, énergiques, attentifs et moins tristes et solitaires. Les personnes ayant un chat déclarent éprouver moins d’émotions négatives et de sentiments d’isolement que les personnes n’ayant pas de chat, rapporte le site Greater Good Magazine.
Anti-stress
Quoi de mieux qu’un chat chaud sur ses genoux, et le son doux du ronronnement pour éloigner le stress ? Les propriétaires de chats semblent bénéficier d’un état d’esprit plus calme lorsque leur animal est présent. Les chats offrent une présence constante, libérée des soucis du monde, qui peut rendre superflus tous nos petits soucis et anxiétés.
Relations
Les recherches ont montré que les propriétaires de chats sont plus sensibles socialement, font plus confiance aux autres et aiment plus leurs proches par rapport aux personnes qui ne possèdent pas d’animaux de compagnie. Les sentiments positifs à l’égard des chats (ou des chiens) peuvent engendrer des sentiments positifs vers les êtres humains, ou vice-versa.
Santé
Malgré les puces, les parasites et tous les autres aspects pas toujours plaisants qui peuvent entourer votre chaton, il existe une foule de preuves que ces animaux font du bien à notre santé. Des travaux ont prouvé que le fait d’avoir ou d’avoir eu un chat diminue les risques de crise cardiaque. Une autre étude a analysé l’effet de l’arrivée d’un chat dans une famille. Au bout d’un mois, les propriétaires avaient moins de problèmes de santé comme les maux de tête, de dos, et les rhumes.
À lire aussi
Tous les avantages d’avoir un chat à la maison
Les chats aident à garder votre maison saine.
Depuis des centaines d’années, le chat est l’un des animaux domestiques préférés des humains. Ceci est dû au fait qu’à l’origine ont été emmenés à la maison uniquement pour les garder à l’abri des souris et autres parasites, puisqu’ils sont des espèces de chasse par nature. Cependant, au fil du temps, les gens créaient de forts liens d’amour avec leurs animaux de compagnie, en raison de la personnalité des félins. Adopter un rôle non seulement pour tenir les souris à distance, mais aussi en tant que partenaires de vie à la maison.
Ce sont des animaux domestiques mais indépendants
Les chats sont des animaux domestiques qui vous donneront amour, compagnie et bonheur, comme un chiot pourrait aussi vous donner. Mais avec un niveau d’indépendance beaucoup plus élevé . Car ils ont besoin de soins de base tels que la nourriture, l’hygiène, les soins de santé, mais ne nécessitent pas toute l’attention nécessaire. Même si en raison d’une urgence vous devez quitter la maison pour quelques jours, ils pourraient être laissés seuls si vous leur laissez assez de nourriture et un bac à sable impeccable sans aucun problème.
Les chats et les enfants ? sont tous des avantages
Les chats sont des animaux de compagnie parfaits pour vivre avec les enfants. Même s’ils sont très ludiques, ils sont généralement très délicats avec les enfants. De plus, ils sont idéaux pour élever vos enfants, car grandir avec un animal de compagnie à la maison donnera à l’enfant un grand respect et un grand amour pour les animaux. Et en général par les êtres vivants qui les entourent.
Aider à prévenir les allergies chez les enfants
Plusieurs études ont montré que la coexistence d’un enfant avec un chat avant son premier anniversaire contribue très positivement à le rendre immunisé non seulement aux allergies aux chats mais à tout type d’allergie. Eh bien, cette exposition aux chats à un âge précoce semble les protéger contre les allergies les plus courantes allergies , comme la poussière et le pollen.
Les chats apportent plaisir et bonheur à votre vie
Vivre avec un chat à la maison vous apportera plaisir et bonheur chaque jour. Ce sont des animaux enjoués qui courent, sautent et bougent au rythme des jeux que vous voulez jouer avec eux. Ils sont aussi très drôles parce qu’ils ont une très forte honnêteté émotionnelle , c’est-à-dire qu’ils agissent et réagissent en fonction de ce qu’ils ressentent en ce moment . C’est pourquoi ils ont des réactions et des attitudes très drôles qui vous feront rire tout le temps. Vous vous sentirez également accompagnés, aimés, appréciez faire des blagues, des vidéos et même prendre des selfies drôles avec eux. Je suis sûr que si vous avez des chats, vous en avez déjà.
Pourquoi adopter un chaton sans abri sera toujours satisfaisant ?
Le nombre d’abandons d’animaux dans le pays est alarmant. C’est pourquoi l’adoption d’un chaton sans-abri vous procurera l’énorme satisfaction de savoir que vous aidez un être vulnérable et innocent qui n’est qu’en quête d’amour et d’un foyer chaleureux qui peut l’accueillir. Par ailleurs, en adoptant des aides à la sensibilisation et en donnant l’exemple à une société qui n’a malheureusement pas le niveau de respect approprié pour les animaux. Pour toutes ces raisons et bien d’autres encore, il est démontré que les avantages sont très importants, c’est pourquoi les communautés de chats sont de plus en plus nombreuses. Et c’est pourquoi vous vous privez de donner votre cœur à un beau chaton qui vous correspondra par des câlins et des ronronnements d’amour et dont vous apprendrez tant de choses. Enfin, vous ? membre de la communauté Feelcats, nous espérons que vous pourrez partager cet article sur les réseaux sociaux si vous êtes un fier amoureux des chats ou si vous avez décidé de partager votre vie avec un chat.
Description d’un chat
n…C’est « Colomba de Prosper Mérimée », si quelqu’un a déjà eu l’opportunité de le lire, pouvais vous m’aider ? Il faut choisir 4 sujet, mais j’ai réussi a faire le 2 donc plus que 3.Merci en avance!B. Lisez la nouvelle de Mérimée et traîtez dans votre carnet de lecture au moins 4 sujets parmi ces 8 proposés.1. Créez un abécédaire qui évoque l’univers, les situations, les personnages de la nouvelle. Ex : V comme vengeance : Colomba demande à son frère de venger son père assassiné. 2. Rédigez un portrait chinois du personnage de Colomba (dix définitions au moins, avec justifications) (Si Colomba était une couleur, elle serait… , car… )3. La Corse dans la nouvelle Colomba : situation géographique des événements sur une carte de Corse ; illustration des passages descriptifs par des photographies. 4. Association musicale : choisissez trois passages précis du roman (que vous raconterez) et associez-les à des extraits musicaux de votre choix, que vous justifierez de façon précise.5. Ecrivez une lettre à Prosper Mérimée pour lui exprimer le plaisir que vous avez eu à lire cette nouvelle (en vous justifiant par au moins trois arguments précisément illustrés)6. Rédigez un article de presse racontant l’affrontement d’Orso et des deux fils Barricini7. Comme Colomba, rédigez une » Serenata » qui raconte l’histoire de son frère. 8. Rédigez la lettre que le vieux Barricini envoie à un membre de sa famille habitant à Pise, après la mort de ses deux fils.
Sommaire
- le pronom relatif « que ».
Le texte
L’animal que je préfère… c’est le chat. C’est le chat qui est mon animal préféré. J’aime son élégance et sa finesse. J’ai toujours eu deux ou trois chats chez moi. C’est comme ça depuis mon enfance.
The animal that I prefer… it’s the cat. It is the cat which is my preferred animal. I like its elegance and its finesse. I have always had two or three cats at my place. It has been like that since my childhood.
En ce moment, j’ai un tout petit minou que j’ai trouvé dans la rue. C’est une petite chatte. Je crois que je vais la garder car elle est très mignonne, vraiment. Elle reste sagement dans la corbeille que je prépare pour elle dans le bureau, à côté de la cheminée. Elle n’a pas encore exploré toute la maison.
At the moment, I have a tiny pussy cat that I found in the street. It is a little female cat. I think that I will keep her because she is very pretty, really. She stays sensibly in the basket which I prepare for her in the office, next to the chimney. She has not yet explored all the house.
J’ai aussi un bon gros matou adorable, il est tout blanc et il a les yeux bleus. Il a un caractère indépendant. C’est un personnage! Pour l’instant, les deux font bon ménage. Le gros n’est pas jaloux du petit.
I also have a big adorable tom cat, he is all white and has blue eyes. He has an independent character. He’s a personality! For the moment, the two are a good mix. The big one is not jealous of the little one.
Le chat est un animal secret et silencieux. Mais il occupe une place importante dans la maison et il règne sur le jardin, son territoire.
The cat is a secretive and silent animal. But he occupies an important place in the house and he reigns in the garden, his territory.
Il miaule doucement quand nous rentrons le soir pour nous souhaiter la bienvenue. Et puis il nous observe. Il apprécie les caresses que nous lui faisons et les petits plats que nous lui mijotons, à base de pain et de lait.
He meows softly when we return in the evening to welcome us. And then he observes us. He appreciates the caresses which we give him and the little dishes that we concoct for him, based on bread and milk.
La leçon
L’animal que je préfère, c’est le chat.
The animal that I prefer is the cat.
Que here is a relative pronoun. You have already come across one relative pronoun qui.
Qui is used when the noun referred to is the subject of the clause which follows:
Il y a du bruit chez moi à cause des voitures qui passent devant la maison et qui vont très vite.
It is les voitures which pass in front of the house and which go quickly, so we use qui.
Que is the relative pronoun to use when the noun it refers to is the object of the clause that follows:
Je prépare des légumes que j’ai pris au marché.
Les légumes are what I got at the market. They are the object (« complément d’objet direct ») of the subclause, so we use que.
Another example:
les pronoms relatifs
Main clause |
Relative pronoun |
Subclause |
Je veux visiter un site touristique |
que |
j’ai vu dans mon guide. |
Un site touristique is what I saw in my guide. It is the object of the subclause, so we use que.
Now compare these two examples:
les pronoms relatifs
Main clause |
Relative pronoun |
Subclause |
Je prépare des légumes |
que |
j’ai pris au marché. |
Je prépare des légumes |
qui |
viennent du marché. |
Les légumes are the object of the subclause in the first sentence, so we use que.
But they are the subject of the subclause in the second sentence so we use qui.
Here are another two pairs of sentences to look at:
J’habite dans une maison que mes parents possèdent.
J’habite dans une maison qui est à mes parents.
I live in a house which my parents own.
I live in a house which is my parents’.
Voici l’ami que j’ai rencontré à l’université.
Voici l’ami qui étudie à l’université avec moi.
Here is the friend that I met at University.
Here is the friend who studies at University with me.
Qui can refer to any thing or person, masculine or feminine, singular or plural.
Que too can be used to refer to any thing or person, masculine or feminine, singular or plural.
The only criteria for using « que » is that it should be the object of the subclause that follows.
Rappel
Vous connaissez maintenant trois « que ».
You now know three que’s.
1) Que interrogatif, il désigne une chose
Que voulez-vous? Je veux un renseignement.
What do you want? I want some information.
2) Que conjonction
Je pense que vous avez raison.
I think that you are right.
3) Que relatif
Il est complément d’objet direct, il peut tout désigner. C’est le cours d’aujourd’hui.
It’s a direct object, it can designate anything. It’s today’s lesson.
L’animal que je préfère c’est le chat.
Portraits de chats
Portraits de chats
Bloc 1 : Observer | A partir du Cycle 2 | 2 activités, 1 réinvestissement |
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Activité 1 : Observer et décrire
Objectif général : | Réaliser ce qui se passe en nous lorsque nous observons et comparons les éléments du monde qui nous entoure. |
Déroulé et modalités : | Les élèves décrivent et comparent, de façon personnelle, deux animaux imaginaires. |
Durée : | 30 à 45 min |
Matériel : | Pour chaque élève ou groupe d’élèves : Fiche 1 et Fiche 2 |
Message à emporter : | L’activité d’observation n’est pas passive : nous établissons des stratégies, définissons des critères, comparons des éléments entre eux. |
Déroulé possible
L’enseignant distribue à chaque élève un exemplaire de la Fiche 1, représentant deux portraits d’animaux imaginaires. Il donne la consigne : « vous allez devoir repérer des différences entre les deux personnages. Dans un premier temps, entourez-les sur le dessin. » Le « jeu des différences » est parfois évoqué par les élèves, car ils le connaissent. Une couleur par différence peut être choisie pour plus de lisibilité. Quelques minutes sont données pour cela.
Avec les plus jeunes, le travail de description verbale des différences peut être fait à l’oral (collectivement ou en petits groupes, éventuellement en binômes).
Avec les élèves scripteurs, l’enseignant distribue un exemplaire de la Fiche 2 (le tableau de comparaison) par élève ou groupe d’élèves, et annonce que cette grille va servir à écrire la liste des différences en utilisant des mots les plus précis possibles.
Un exemple (voire deux) est donné collectivement pour être sûr que toute la classe a compris. Exemple :
Partie du visage | Comment est-elle chez le chat A ? | Comment est-elle chez le chat B ? |
Poils du bout des oreilles | Raides, lisses, droits | Bouclés, frisés, en tire-bouchon |
Sans s’y attarder pour l’instant, l’enseignant liste tous les mots proposés par les élèves pour décrire un même aspect (ex. : « raides », « lisses », « droits »). Une fois l’exemple donné, les élèves travaillent en autonomie : individuellement, en binômes ou par groupes.
Note pédagogique
Il n’est pas nécessaire de demander aux élèves de trouver toutes les différences. Chacun sera libre d’en décrire le nombre adapté : de 1 à 4 (en plus de l’exemple collectif). L’important est plutôt d’avoir compris que l’on observe une partie du visage en particulier, que celle-ci n’a pas le même aspect chez A et chez B, et qu’il faut trouver des mots pour les décrire.
Une brève mise en commun est organisée oralement et un ou deux exemples sont proposés. Il est alors possible de discuter le fait que – pour aboutir à ces descriptions – « on n’utilise pas seulement nos yeux, mais on doit réfléchir, découper le visage en « morceaux » dans sa tête, trouver des mots justes ». « Observer, ce n’est pas « ne rien faire » dans sa tête : ce n’est pas être passif. »
Notes pédagogiques
• À première vue, les élèves pourront penser que ce travail est facile, puis réaliseront que la tâche est plus ardue qu’il n’y parait.
Certains diront peut-être « je vois les différences, mais je ne sais pas comment les dire », soulignant l’importance cruciale du vocabulaire à notre disposition, dans notre aptitude même à appréhender notre monde et à agir sur lui. Pour les aider à démarrer, il sera possible de les inviter à comparer la forme avec un autre élément qu’ils connaissent (par exemple « comme un escalier » pour les moustaches du chat B).
• Souligner qu’il n’y a pas « une seule bonne réponse » est important, car ce n’est pas un réflexe pour les élèves.
• Inciter les élèves à ne pas définir sur l’absence (A a / B n’a pas) mais plutôt à trouver des mots pour décrire ce qui caractérise A et ce qui caractérise B.
À la fin de l’activité, les grilles remplies par les élèves sont nommées et conservées en vue de l’activité 2, réalisée à la suite ou à distance de celle-ci.
Activité 2 : Adopter un vocabulaire commun, pour se comprendre
Objectif général : | Constater la diversité de notre vocabulaire, éprouver la nécessité d’une terminologie commune pour pouvoir se comprendre, en sciences et dans le quotidien. |
Déroulé et modalités : | Les élèves décrivent et comparent, de façon collective, deux animaux imaginaires. |
Durée : | 1 séance (45 min à 1h), à la suite ou à distance de l’activité 1 |
Matériel : | Pour chaque élève ou groupe d’élèves : Fiche 1 et Fiche 2 remplies à l’activité 1 |
Message à emporter | Pour décrire un même objet, nous utilisons tous des mots variés et différents. Si nous devons communiquer entre nous, pour nous comprendre – nous avons besoin de nous mettre d’accord sur des termes communs. Cette nécessité d’unité du langage est centrale en science, mais elle est également présente dans notre quotidien, simplement pour parler entre nous. |
Les grilles issues de l’activité 1 (Fiche 2) sont restituées aux élèves ou groupes d’élèves. Un équivalent est reproduit au tableau par l’enseignant, en y faisant figurer l’exemple énoncé précédemment. La Fiche 1 représentant les chats leur est également de nouveau fournie.
Après avoir rappelé ce qui a été fait, une mise en commun est organisée au tableau pour compiler toutes les propositions de la classe concernant les 4 différences entre les chats (autres que l’exemple). Il apparaît que le vocabulaire est varié, au sein de la classe, pour décrire un même élément du visage de l’animal d’une part, et pour décrire son aspect d’autre part. Exemple de vocabulaire utilisé :
Partie du visage | Comment est-elle chez le chat A ? | Comment est-elle chez le chat B ? |
Pointe des oreilles / poils des oreilles / plumets / plumeaux / touffes | Raides/ lisses / droits | Bouclés / frisés / crépus / en tortillons / en tire-bouchon |
Dessus du nez / Bourrelet sur le nez | Tacheté / piqueté / moucheté / petits points | Rayé / strié / hachuré |
Motif au-dessus de la bouche / Décoration des babines | En forme de carrés/ losanges / étoiles | En forme de cœurs à l’envers / de piques |
Moustaches / poils des joues | Raides / lisses | Crantés / en forme d’éclairs / en zig-zag |
Fourrure des joues / barbe / poils des joues / favoris / bajoues | Bouclés / Tortueux / Spiralés | Raides / en touffes tombantes |
Certaines ambiguïtés pourront être discutées, par exemple « poils des joues », qui pourrait aussi bien se référer aux moustaches qu’aux bajoues, révélant le besoin d’une précision plus grande.
La classe réalise que « si on veut communiquer, se comprendre et ne pas risquer de mal interpréter quelque chose – qu’il faut se mettre d’accord sur un vocabulaire unique qu’on utilisera tous ». En fonction du temps, procéder à ce choix (ce consensus) pour un, deux, trois ou quatre des exemples, par exemple en soulignant le terme que la classe aura choisi comme étant le plus pertinent.
Notes pédagogiques
• Choisir l’un des mots proposés pour chaque cas peut être long car il faut discuter du sens profond de chaque mot. C’est un travail très intéressant mais coûteux en temps. Le faire pour un exemple peut suffire, l’essentiel étant que la classe ait bien compris.
• Si l’enseignant le juge pertinent, l’usage du dictionnaire peut être fait. Il est intéressant pour être sûr de la définition d’un mot, et pour obtenir des consensus. L’occasion peut être saisie, pour travailler sur la façon de chercher dans un tel ouvrage, sur l’ordre alphabétique, sur la fiabilité des sources que l’on consulte…
Conclusion générale
La classe se rappelle différentes séances de sciences où il a également fallu se mettre d’accord sur un vocabulaire précis. Ce peut être en biologie (par exemple sur l’anatomie de la fleur), en physique (par exemple les différentes composantes d’un circuit électrique), en technologie (les parties d’une bicyclette)… A cette occasion, on pourra souligner que les scientifiques du monde entier ont besoin de faire la même chose, pour se comprendre, pouvoir discuter et comparer leurs observations respectives, et aussi pour pouvoir refaire les expériences des uns et des autres exactement à l’identique.
Enfin, inciter la classe à chercher des exemples de la même nécessité dans la vie quotidienne : pour les objets de la maison, les vêtements, les métiers…
Activité de réinvestissement (optionnelle) : description naturaliste
Objectif général : Réinvestir les acquis dans le contexte de la comparaison de deux animaux réels.
La Fiche 3 est proposée à titre de réinvestissement optionnel, sur des chats réels. Elle comporte deux chats : un chat noir et blanc à poils longs et un chat tigré à poils courts. A l’aide d’une grille ou sous la forme d’une rédaction libre, les élèves proposent leurs critères de comparaison : les parties du corps à observer, et la description (l’état) de ces parties du corps, chez chacun des deux chats.
Pour faciliter le travail, éventuellement proposer à la classe de commencer par décrire la couleur globale du pelage (noir et blanc / tigré). Ceci permet de se détacher par la suite de la couleur pour s’intéresser à d’autres aspects (longueur des poils, épaisseur de la queue…).
La diversité du vocabulaire mobilisé peut – une nouvelle fois – être évoquée.
Évaluation
Une fiche d’évaluation est fournie. Il s’agit, pour les élèves, de remobiliser la notion de critère de comparaison, dans le cadre de la comparaison descriptive d’une pomme et d’une poire.
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