Table des matières
- Le lapin tête de lion peut il s’apprivoiser ?
- Le lapin tête de lion, un lapin réputé pour son bon tempérament
- Rendre l’environnement du lapin tête de lion le plus propice possible à une bonne entente
- Lapin
- Découvrez le Lapin
- Le sevrage des lapereaux
- La croissance des lapereaux
- Le sevrage
- Comment se déroule le sevrage du lapin ?
- Comment grandissent les lapereaux ?
- Comment bien gérer le sevrage de vos lapereaux ?
- La fin de la croissance des lapereaux
- Naissance/ élevage des lapereaux
- Le développement du bébé lapin nain
- Accueillir la portée de lapereaux
- La naissance du lapin nain
- Les tout débuts de bébé lapin nain
- Le sevrage, le début de la liberté du lapin nain
- L’alimentation du jeune lapin
Le lapin tête de lion peut il s’apprivoiser ?
Le lapin tête de lion, un lapin réputé pour son bon tempérament
Le lapin nain tête de lion est un excellent animal de compagnie : il a un bon tempérament, est très amical et apprécie beaucoup l’attention et les caresses. Son apparence elle-même donne une indication sur son caractère : il a une sorte de crinière (d’où son nom) plus ou moins longue autour du cou, ce qui lui donne un côté très mignon. On l’imagine mal nous faire du mal ! Le caractère du lapin nain tête de lion dépendra bien entendu de sa personnalité, propre à chaque individu, mais ils sont globalement très amicaux.
Rendre l’environnement du lapin tête de lion le plus propice possible à une bonne entente
Le lapin tête de lion, de nature grégaire, appréciera beaucoup la compagnie d’un autre lapin – à condition bien sûr que leurs caractères s’accordent. Cela lui permettra de ne pas s’ennuyer et ils pourront se nettoyer mutuellement (attention cependant aux transmissions de maladies et/ou parasites).
Leur stress diminuera tandis qu’ils auront une espérance de vie plus longue. Le mieux est d’associer un mâle castré et une femelle stérilisée. Il est important si vous adoptez un jeune lapin tête de lion de lui montrer que vous ne lui voulez aucun mal et que vous êtes son allié. En effet c’est une proie dans la nature et il est facilement stressé.
D’autres facteurs peuvent également le rendre anxieux (la présence d’autres animaux qui lui sont antipathiques comme les furets, de grands ennemis, ou un chien non-habitué à sa présence et qui lui veut constamment du mal). Il est donc également crucial d’habituer votre lapin tête de lion à la présence de vos autres compagnons dès qu’il arrive à la maison.
Le lapin tête de lion peut il s’apprivoiser ? 4.6 (91.43%) 7 votes
Lapin
Le lapin est une espèce de mammifères avec de grandes oreilles de la famille des léporidès. A sa naissance le lapin est aveugle et nu. Il existe plusieurs races de lapins dons les principales sont le lapin nain ou toy, le lapin hermine, le lapin nain angora, le lapin nain bélier, le lapin nain tête de lion etc.
Aujourd’hui, les lapins sont des animaux de compagnie, mais sont toujours utilisés dans des laboratoires. Avoir son lapin en ville, c’est tout à fait possible ! Votre lapin s’adaptera très vite à votre appartement. Silencieux, animal diurne, il va s’habituer à votre présence et aux bruits autour de lui.
Curieux, sociable, propre, du foin pour lui faire plaisir, des croquettes, quelques légumes, il sera bientôt votre meilleur ami.
Découvrez le Lapin
Les origines du Lapin
Au départ, il y a eu le lapin de Garenne puis issu de sa domestication est né de multiples races de lapins domestiques. Son élevage s’est développé dès le début du Moyen Âge. Domestiqué très tardivement vers le XVème siècle il se retrouve dans le monde entier. Quant au lapin nain, c’est en Angleterre vers les années 1915 que l’on trouve ses premières traces.
Avec l’élevage sélectif du lapin par l’homme, l’on retrouve des lapins de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Le lapin nain de 800 grammes à 2 kilos, le lapin de race moyenne de 2,5 à 5,5 kilos ou le lapin de grande race de 5 à 8 kilos, tous utilisés de nos jours comme animaux de compagnie.
Le caractère et comportement du Lapin
Si vous voulez comprendre votre lapin, vous devez le surveiller de près et s’intéresser à sa vie. Vous trouverez rapidement son rythme de vie qui est le suivant ; 35% de son temps il dort, 40% de son temps il mange, 15% de son temps il s’amuse et ensuite il va faire sa toilette, manger ses crottes et vous surveillera à son tour.
L’alimentation du Lapin
Herbivore, le lapin à besoin de nourriture adaptée à son organisme. L’alimentation qui se trouve dans les animaleries seraient trop riches en sucre, céréales, calcium et calorie.
Pour son bien-être, choisissez la qualité pour ses graines et le foin. Donnez à votre lapin des légumes verts, du chou, des céleris, endives, feuilles de noisetier, fraisier, mûrier, mais attention de l’habituer progressivement s’il n’en a jamais mangé avant.
Demandez des conseils à votre vétérinaire ou à un conseiller dans une animalerie pour compléter son alimentation avec des granulés. Petite chose Importante, le lapin mange ses crottes. Ne vous offusquez pas, il s’agit d’un comportement tout à fait normal chez le lapin.
La santé du Lapin
Comme tous les animaux de compagnie, votre lapin peut tomber malade. Le nombre de maladies que peut attraper un lapin est au nombre de 6 ; les maladies dentaires, oculaires, digestives, respiratoires, parasitaires et urinaires. Si vous le connaissez bien, vous pourrez voir si son comportement change.
Les signes distinctifs sont la perte ou la prise de poids, des problèmes de digestion avec constipation et diarrhée, le refus de manger ou si votre lapin ne bouge plus, se gratte ou disjoncte. Amenez-le chez le vétérinaire si l’un de ces problèmes arrive.
Espérance de vie du Lapin
La durée de vie d’un lapin était il y a encore peu d’une moyenne de 3 ans, mais avec une meilleure qualité des aliments et une meilleure éducation des maîtres, l’on peut maintenant voir son animal vivre jusqu’à 7 ans.
Hygiène pour le Lapin
L’Hygiène du lapin consiste à contrôler les points importants de votre animal. Regardez si le nez ou les yeux coulent et les essuyer avec un coton doux et du sérum physiologique. Il y a également les oreilles avec un produit spécial et ne jamais prendre de coton tige. Pour sa fourrure, choisissez un brossage régulier et doux pour supprimer les poils morts.
Vous pourrez de fait, vérifier s’il s’y trouve des parasites et vous enlèverez les boules de poils. Dans les animaleries, vous trouverez tout le matériel pour les soins de votre lapin comme le coupe-ongles
Remarques et conseils pour le Lapin
Votre lapin à besoin d’espace et vous pouvez l’aider à trouver son équilibre entre sa cage et l’extérieur. Si vous avez du temps pour lui, laissez-le gambader chez vous sous surveillance, vous pourrez créer des liens pour son plus grand bonheur et le vôtre.
Les couleurs du Lapin
Parler des couleurs du lapin, c’est énoncer des centaines de teintes différentes. Nous allons vous en donner quelques-unes des plus connues et prisées. Dans les couleurs communes, il existe la couleur noire uniforme, blanc uniforme, le chamois, isabelle et le fauve. Pour les couleurs particulières l’on trouve le bleu, le japonais, le rhoen, le siamois, le beige et le martre brun.
Les couleurs plus rares sont le havane, le gris de garenne, le gris-bleu, le gris lièvre, le fawn, le lynx ou le perl feh.
Taille et poids du Lapin
Le lapin mâle fait de 1 à 5 kilos et la femelle de 1 à 8 kilos.
Le coût du Lapin
Le prix des lapins diffère en fonction de la catégorie ; lapin de race et extra nain ; entre 60 et 100 francs et de sa variété ; entre 40 et 60 francs. Il est aussi possible d’adopter des lapins gratuitement en allant sur les sites de petites annonces.
Les coûts d’entretiens du Lapin
Si vous avez déjà sa cage, le coût mensuel d’un lapin se situe entre 15 et 25 francs par mois.
Le sevrage des lapereaux
La croissance des lapereaux
Les petits lapins grandissent rapidement.
– à une semaine : leur poil commence à apparaître
– à dix jours : ils ouvrent les yeux
– un ou deux jours après : leurs oreilles s’ouvrent également.
Comme tous les petits mammifères qui naissent immatures, les lapereaux sont incapables de conserver une température adéquate de leur corps de façon autonome.
Quand leur mère n’est pas avec eux pour les réchauffer, ils se tiennent chaud en se serrant les uns contre les autres et en profitant de l’isolation offerte par le rembourrage de la couche.
S’ils sont exposés à un milieu trop froid, si la couche n’est pas correctement construite ou si elle est humide, les petits risquent de voir leur température corporelle baisser, et cette hypothermie peut provoquer leur mort rapide. Il est donc fondamental que la cage soit placée dans un endroit chaud et sec, à l’abri des courants d’air et que la couche ne soit pas mouillée.
Le sevrage
À l’âge de trois semaines, les lapereaux commencent à sortir de leur couche et à ronger de la nourriture solide, mais ils continuent à téter le lait maternel jusqu’à ce qu’ils aient huit semaines, quand ils peuvent être considérés comme sevrés. Il est alors temps de les séparer de leur mère et de les confier à une nouvelle famille.
Il faut choisir très attentivement le premier aliment que l’on administre aux petits parce qu’une mauvaise décision peut leur causer de graves troubles intestinaux entraînant parfois leur mort.
La période de transition entre le régime lacté et le régime végétarien est extrêmement délicate. D’importants changements surviennent en effet dans l’intestin, ce qui permet, dans des conditions idéales, le développement de la flore bactérienne, indispensable à la survie des lapereaux.
En outre, pendant la période de sevrage, leur appareil gastro-entérique est particulièrement propice au développement de bactéries pathogènes. Voilà pourquoi il ne faut pas essayer de précipiter le sevrage mais y arriver progressivement.
À partir de la troisième semaine, on peut commencer à présenter aux petits de la luzerne de très bonne qualité et des granulés, en faisant attention de ne pas laisser à leur disposition d’autres aliments jusqu’à la septième semaine.
Après cela, on peut leur administrer de petites quantités de légumes que l’on augmente progressivement au fil des mois.
Après le septième mois, quand leur croissance est terminée, on remplace progressivement la luzerne par du fourrage mixte (jusqu’à ce que l’on élimine entièrement la luzerne) et on réduit la quantité de granulés. Si le lapin a tendance à grossir, on peut aussi supprimer complètement les granulés.
Cet article est-il utile, répond-il à votre problème ?
Comment se déroule le sevrage du lapin ?
Comment grandissent les lapereaux ?
La croissance des lapereaux est très rapide. A partir d’une semaine, leur fourrure commence à se former. Ils ouvrent les yeux au bout d’environ dix jours. Ensuite, ce sont leurs oreilles qui commencent à s’ouvrir. Il est très important de les confiner dans un environnement bien tempéré et surtout pas dans des courants d’air. Leur santé est fragile dans les premières semaines. Il faut aussi veiller à ce que leur couche soit bien sèche. En respectant bien tous ces paramètres, vos lapereaux devraient croitre en bonne santé et être sevrés au bout de trois semaines.
Comment bien gérer le sevrage de vos lapereaux ?
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Bien préparer la croissance d’une portée de lapereaux
C’est avant la naissance de la portée de vos lapereaux qu’il vous faut préparer leur cage ou leur couche. Les lapins sont des animaux grégaires et, avant d’être adultes, ils ont besoin de se réchauffer en se collant bien les uns les autres, car avant leur sevrage et l’apparition de leur fourrure, ils ne peuvent pas réguler correctement leur température corporelle. Dans un milieu trop froid ou trop humide, les petits lapins risquent de mourir d’hypothermie. Préférez donc les endroits chauds et secs pour les installer et évitez absolument de placer leur cage dans un courant d’air ou dans un endroit trop humide. Surveillez bien leur litière, l’humidité est un risque majeur pour leur santé.
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Que se passe-t-il au moment du sevrage des lapereaux ?
C’est vers l’âge de trois semaines que les lapereaux commencent à être suffisamment fortifiés pour sortir un peu de leur couche. Leur alimentation évolue elle aussi. Même s’ils continuent toujours à téter leur mère, ils commencent à ronger quelques légumes. C’est une période délicate pour leur croissance. Il faut veiller à ce que leur alimentation soit variée afin qu’ils développent une bonne flore intestinale, pour éviter que surviennent d’éventuelles maladies gastriques qui pourraient leur être fatales. Vers huit semaines, on considère que les lapins sont sevrés. Il faut alors les séparer de leur mère. C’est le bon moment si vous souhaitez les placer dans une nouvelle famille. Ils sont prêts à grandir normalement et à s’épanouir dans un nouvel environnement si nécessaire.
Une fois qu’ils ont atteint trois semaines, commencez par introduire de la luzerne dans leur alimentation. Progressivement, leur appareil gastro-entérique parviendra à assimiler la nourriture qu’ils mangeront une fois adultes. Ne précipitez pas le sevrage de vos lapins. Pensez à introduire quelques granulés destinés spécialement à cette période de la croissance de vos petits compagnons.
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Après le sevrage des lapereaux, que faire ?
Une fois sevrés, vos lapereaux peuvent être confiés à de nouvelles familles qui souhaitent élever un lapin comme animal de compagnie. Séparés de leur mère après un sevrage réussi, ils s’adapteront parfaitement à leur nouvel environnement.
La fin de la croissance des lapereaux
Au bout de huit mois, la croissance du lapin est terminée. On peut alors remplacer la luzerne et les granulés de croissance par du fourrage mixte et introduire de nouveaux granulés destinés aux lapins adultes dans leur alimentation. Celle-ci doit toujours être surveillée. Des lapins qui mangent trop risquent de devenir obèses. Ce n’est pas bon pour leur santé. Dans ce cas, vous pouvez supprimer les granulés de leur alimentation et vous contenter de leur fournir du fourrage mixte et quelques légumes à ronger, ils adorent cela.
Naissance/ élevage des lapereaux
L’idée nous a prit en fin d’année 2013. Nous avions envie d’avoir quelques lapins, juste pour le plaisir. Un ami de mon père faisait un elevage, des fauves de bourgogne et des papillons. Nous avions comme projet de voir une naissance et de les voir grandir à la maison. Il nous a donc proposé une jeune femelle, baptisée Griotte, que nous avons fait porter.
Chez les lapins, il est plus facile d’introduire une femelle dans la cage d’un mâle que l’inverse. Le mâle aurait tendance à découvrir son nouvel environnement plutôt que de s’interresser à notre femelle. Celle-ci est receptive à l’accouplement toute l’année (d’où les légendes, completement justifiées, sur la sexualité débridée de cette espèce). C’est le coït qui déclenche l’ovulation. Elle est suivie par la fécondation puis par 30 à 32 jours de gestation.
Notre Griotte nous est donc revenue le 28 mars 2014.
Chez Griotte, rien de remarquable pendant toute la gestation. Mais étant un peu sauvageonne sur les bords, la demoiselle ne m’a pas vraiment donné l’occasion d’appercevoir le moindre bidon arrondi ou mamelle gonflée. Je ne sais pas si la gestation se fait si discrète à chaque fois.
Si bien que le petit mois d’attente est rapidement passé sans grand espoir de naissance. Nous avons tout de même construit une jolie boite en bois afin qu’elle puisse y faire son nid en temps voulu ( -> construction d’une boite à nid ). Nous lui avons mis à disposition 3 clapiers réunis et une litière bien propre.
Finalement le 23 Avril, en allant nourrir tout le monde, j’ai remarqué de tous petits cris inhabituels. Griotte, cachée dans sa boite à nid, avait donné naissance à quelques jolis lapereaux.
Malgrès son attitude désinvolte envers nous lorsqu’elle était encore seule, Griotte nous a laissé verifier le nid très rapidement. Plusieures écoles s’affrontent concernant l’action de l’homme envers ces petites créatures. Certains vous dirons qu’il vaut mieux ne pas déranger la nouvelle famille et de ne surtout pas toucher les nouveaux nés au risque que la maman les tue. Dans notre cas, je voulais verifier qu’il n’y ai pas de morts et j’avoues avoir été très curieuse.
Pour aller dans le nid, j’ai utilisé un baton, type tuteur en bois, que j’ai frotté dans la litière de Griotte afin d’essayé de laisser le moins de mon odeur possible. J’ai juste écarté un peu les poils du nid.
Les lapines construisent des nids plus ou moins réussis avec de la paille. Elles s’arrachent également des poils, souvent sous le ventre, quelles ajoutent.
J’ai constaté que les petits bougeaient. Je ne me suis pas attardée et les ai laissé tranquiles.
Les lapereaux naissent nus, leurs oreilles et leurs yeux sont fermés. La maman passe très peu de temps avec eux. Elles ne leur donne la tétée qu’une seule fois par jour et passe la majorité de son temps hors du nid. Il est donc important que ce dernier soit bien construit. Leur survie en dépant. C’est pourquoi j’ai voulu lui mettre une boite à nid à disposition. Les petits sont à l’abri des courants d’air et ils ne peuvent pas s’égarer hors du nid.
Les laperaux grandissent très vite. Sur cette photo, ils ont 4 jours et on peut déjà voir que les poils commencent à apparaitre. En regardant dans le nid, je compte plus de 7 petits.
Les lapines mettent au monde entre 2 et 12 petits par portée avec une moyenne de 5. Les jeunes femelles ont tendance a faire de plus petites portées. C’est la première de Griotte et pourtant je me rendrai compte plus tard qu’ils sont finalement 10.
A une semaine, ils sont couverts de poils. Ils restent dans le nid et leurs yeux sont toujours bien fermés.
Ca y est, nous sommes à 14 jours de vie. Petite lapine bicolore que je baptiserai Danette quelques jours plus tard. Elle ouvre ses yeux normalement et commence à sortir du nid. Elle ne s’aventure pas encore en dehors de la boite.
A un peu moins d’un moins, tout le monde sort. Ils têtent toujours mais ont commencé à gouter à la nourriture de maman très rapidement. Ils se goinffrent de pissenlits sous l’oeil bienveillant de Griotte. On peu voir la panoplie de couleurs de pelage différentes issue du croisement entre des fauves de bourgogne et des lapins papillons. Deux bébés sont beiges, comme la mère.Trois ressemblent à de petits lièvres et ils y en a des noirs et blancs et toujours la petite Danette, ma préférée, marron et blanche. Deux petits ont même de jolis yeux bleus.
Malheureusement 3 semaines avant le sevrage, une épidemie de coccidose décime cette petite famille.
La coccidose est une infection des intestins due à un parasite unicellulaire. Elle cause des diarrhées, une perte d’appétit et un amaigrissement et touche de jeunes lapins entre 5 à 10 semaines de vie.
J’ai remarqué l’apparition de diarrhées très rapidement. Sept laperaux se sont retrouvés amaigris en moins de 24 heures. Prostrés dans un coin. Les trois derniers avaient l’air d’aller mieux. Mes clapiers se trouvent dans mon écurie, il n’y fait que 15 degrés en général. J’ai donc pris la décision de monter tous les petits dans mon salon trés vite afin de les surveiller. Mais je ne pouvais pas rentrer Griotte. J’ai fait le choix de les séparer de leur mère. Encore maintenant je ne suis pas sûre d’avoir pris la bonne décision. J’ai donc préparé deux caisses différentes, une pour les 7 malades et l’autre pour les 3 petits qui avaient l’air de bien se porter.
Je me suis rendus chez le vétérinaire de garde avec trois lapereaux, les plus touchés. Verdict: coccidose. Je suis repartie avec des antibiotiques et une boite de lait maternisé pour pallier à la séparation avec la mère.
Quand je suis revenue, Griotte était en bien mauvaise état. Prostrée dans son clapier. Elle refusait de manger ou boire. Elle n’était plus farouche et se laissait toucher et caresser sans rien faire. En l’espace de trois heures, elle est morte. A-t-elle été touché par la coccidose elle aussi? A-t-elle souffert de la séparation plus que rapide avec ses petits? Je ne sais pas.
Pendant deux semaines j’ai nourri mes lapereaux à la pipette toutes les 4 heures de temps environ. Pour Chocapic, sur cette photo, c’était simple, elle adorait le lait maternisé. Pour tous les autres, une grosse galère. Ils n’avaient pas faim, je devais les forcer sans leur faire de mal afin qu’ils reprennent du poids et puissent combattre l’infection.
Le lait maternisé est vendu avec un petit biberon doseur. Ce lait convient aux lapins, mais aussi aux chiots et chatons. Je n’ai jamais nourri que mes lapereaux avec ça, et une chose est sure, les miens n’ont pas tété une seule fois. Le biberon ne m’a donc servi à rien, j’ai préféré la pipette. On peut en trouver de petits modèles chez les vétérinaires qui conviennent très bien. Elles sont graduées et permettent de savoir la quantité avalée par chacun.
La sous-nutrition a eu raison de trois de mes petits protégés. Les autres ont repris le dessus.
Ils ont été sevrés un peu avant d’atteindre les 8 semaines. Ils ont pu retrouver leurs clapiers.
Pour la coccidose, il existe plusieurs protocoles de nettoyage et de désinfection. Vous pourrez les trouver sur intrenet si cela vous arrive un jour. Mais de ce que m’a dit le vétérinaire, une fois logée dans un clapier, difficile d’éradiquer la coccidose complétement. Pour ma part j’ai nettoyer mes clapiers au karcher et à la javel juste après la mort de la mère. Avant de repailler, j’ai passer mes clapiers en béton au chalumeau. Bonne ou mauvaise idée??
Désormais, mes lapines ont droit à un canon de vinaigre de cidre mélangé à de l’eau tous les 3 mois. Et si j’ai un conseil à vous donner, c’est de faire boire à vos lapins ce mélange systématiquement dés leur premier âge. Dés les 3 semaines et jusqu’à 8 semaines de vie. Les coccidoses se développent en milieu peu acide, le but étant donc d’acidifier les intestins des lapins afin d’éviter l’infection. De plus, le vinaigre de cidre contient des éléments nutritifs, des minéraux et des vitamines qui ne peuvent être que positifs au développement de vos lapins. Pour bien doser le vinaigre, remplissez d’eau une bouteille et laissez, en partie haute de celle-ci, un espace libre d’une hauteur de 6 cm à partir du goulot que vous comblerez par le vinaigre.
Au sexage, il restait 5 femelles et 2 petits mâles. Aujourd’hui, quatre jeunes ont trouvé une famille d’accueil et mes trois dernières mèmères (Mirabelle, Chocapic et Tac) coulent de jours heureux à la ferme.
Asger Juhl et Kristoffer Eriksen, présentateurs sur les ondes de Radio24syv au Danemark, ont voulu provoquer. Ils assument pleinement ce qu’ils ont fait le week-end dernier pendant leur émission. Après avoir lancé un débat sur le bien-être des animaux et l’industrie agroalimentaire dans leur pays, ils ont fait venir plusieurs experts et Alan, un lapin de neuf semaines.
Puis ils ont annoncé qu’ils allaient tuer Alan en direct, ce qu’ils ont fait avec quelques coups de pompe à vélo.
I dag dræber vi kaninen Allan på Radio24syv Morgen!Han er sund og rask, 9 uger gammel og skal senere på middagsbordet hos Asger Juhl og Kristoffer Eriksen. Indtil da diskuterer vi hykleri ved dyrevelfærd.For er det mere synd at slå en kanin ihjel end en gris?
Posted by Radio24syv on dimanche 24 mai 2015
« Je l’ai frappé fort sur le cou à deux reprises pour que les vertèbres cervicales soient fracturées », a dit Asger Juhl à la chaîne de télévision TV2. « J’avais reçu des instructions d’un gardien du zoo de Aalborg qui tue plusieurs bébés lapins chaque semaine pour nourrir les serpents. »
Le geste a choqué les auditeurs, pris au dépourvu. A l’antenne, les deux présentateurs ont expliqué leur raisonnement, ce que la radio a ensuite refait dans plusieurs posts sur leur page Facebook. « Ce n’était pas une provocation gratuite. Nous avons tué un animal pour le manger », ont-ils écrit, avant de mettre en ligne une vidéo de la préparation culinaire.
Så er Asger Juhl og Kristoffer Eriksen ved at tilberede kaninen Allan, som de slog ihjel tidligere i dag.
Posted by Radio24syv on lundi 25 mai 2015
« Des animaux qui ont eu des vies tristes »
« L’hypocrisie » à laquelle ils voulaient s’attaquer est précisément celle des consommateurs et « leur relation avec les animaux », eux qui ne supportent pas de voir la réalité derrière le commerce animal.
« Les consommateurs ne tuent généralement pas les animaux eux-mêmes, mais ils achètent et mangent des animaux, qui ont eu des vies tristes. C’est juste que nous ne le voyons pas, et nous ne considérons pas ces animaux ‘mignons’ comme le bébé lapin. »
Ils ajoutent qu’Alan le lapereau « a eu une belle vie » (quoique courte) contrairement à d’autres.
« Le consommateur danois accepte que des fermes entassent 13 poulets par mètre carré (…). Au Danemark, 25 000 porcelets meurent tous les jours parce que les fermiers ont fait en sorte que les truies donnent naissance à plus de porcelets qu’elles ne peuvent nourrir (…). Ces conditions de vie ne provoquent que peu de réactions chez le consommateur. Le bien-être animal ne semble pas s’appliquer à l’industrie agroalimentaire. »
Malgré toutes ces explications et ces arguments, l’acte des présentateurs a été très mal reçu sur les réseaux sociaux, où leurs justifications ont été suivies de commentaires scandalisés. On peut résumer le ton général avec le message suivant d’un internaute danois sur Facebook :
« Peut-être que quelqu’un devrait te frapper sur la tête avec une putain de pompe à vélo, on verra si ça provoque un débat. »
Rédaction du Monde.fr
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Le développement du bébé lapin nain
L’évolution d’un lapin se fait de manière extraordinairement rapide, à partir de sa naissance, on le voit évoluer au fil des jours. Pour autant le lapin nain a terriblement besoin de sa mère les premières semaines. Il reste un petit animal fragile et qui nécessite que l’on prenne correctement soin de lui. Il lui faudra franchir l’étape du sevrage, puis atteindre l’âge adulte vers les six mois, il ne grandira plus, son poids sera stable et son poil n’évoluera qu’en fonction des mues saisonnières.
Accueillir la portée de lapereaux
L’extrême fragilité qu’ils manifestent à leur naissance requiert une cage ou un clapier bien adapté aux conditions de la naissance. La propreté, avant tout, qui évitera les maladies, mais surtout trouver un endroit à la fois chaud et sec. Les courants d’air, auxquels on ne fait jamais assez attention sont à proscrire impérativement. La couche sera à surveiller, elle doit rester bien sèche.
La naissance du lapin nain
La caractéristique essentielle des lapereaux à la naissance, c’est qu’ils sont sans poil, rien que la peau, les yeux sont fermés, ils sont aveugles, et ce qui se voit moins, ils sont sourds… leur évolution et loin d’être achevée et ils ont bien du chemin encore à parcourir pour se préparer à affronter la vie.
Par contre s’ils apparaissent aussi démunis et d’une certaine manière coupés du monde, ils ont tout de même à la naissance deux sens qui vont leur être bien utiles, celui de l’odorat et du toucher. Ils sont aussi dès cet instant un sens de l’équilibre. Enfin ils distinguent parfaitement le goût du sucré et de l’acide.
Petite remarque : les petits du lièvre naissent, eux avec la vue et l’ouïe et sont revêtus d’un petit pelage. Ces caractéristiques font qu’ils sont considérés comme nidifuges, alors que le petit du lapin, si différent à la naissance est dit nidicole.
Les tout débuts de bébé lapin nain
La première chose bien visible qui va s’établir, c’est la constitution d’un tout petit duvet qui va les recouvrir. Ce sont des mammifères, dits immatures à la naissance, en particulier ils ne peuvent pas conserver et réguler eux même la bonne température dont ils ont besoin pour survivre. C’est à la mère que revient ce rôle, aussi se pressent-ils contre elle, les uns sur les autres. D’où aussi l’importance d’une couche saine et surtout sèche. Sinon les petits lapins seront exposés à une température de leur corps incertaine et qui peut les tuer.
Bien entendu, les lapereaux se nourrissent que du lait de leur mère et procèdent donc par la tétée.
La croissance est rapide. Il ne faut qu’une semaine pour qu’ils se constituent un pelage dont on distinguera les couleurs, trois jours après ils vont ouvrir les yeux et dans la foulée ce sont leurs oreilles qui vont leur permettre d’entendre. Deux petites semaines suffisent pour qu’ils sortent de leur état d’immaturité.
Le sevrage, le début de la liberté du lapin nain
Tout va très vite… et c’est dès la troisième semaine qu’ils vont commencer à s’éloigner de leurs mères et d’explorer l’espace environnant. Ils prennent encore le lait de leur mère, mais commencent aussi à absorber les granulés solides de leur mère. Et surtout ils s’initient aux jeux entre eux et à la sociabilisassions de leur espèce. Leurs dents vont sortir très vite.
Les cinq semaines à venir encore sont déterminantes tant du point de vue du comportement, ils doivent s’habituer à l’homme, que la qualité de leur alimentation.
Il faudra attendre huit semaines pour que la période de sevrage soit achevée et que leur alimentation soit autonome de la mère. Le petit lapin pourra alors quitter sa famille et commencer une vie nouvelle, ailleurs…
L’alimentation du jeune lapin
Il faut être très prudent au cours de cette période transitoire entre le lait maternel et la nourriture solide. Cette période ratée pourrait entrainer la mort du petit animal. Leur intestin reste fragile et son évolution, en particulier la flore bactérienne nécessite que l’on y prête attention. Il faut agir très progressivement dans l’introduction d’une alimentation solide. C’est dès la troisième semaine que l’on peut apporter de la luzerne et leurs premiers granulés. Il faut veiller à la qualité de ceux-ci. Ceci jusqu’à la septième semaine, c’est seulement à ce moment-là que des petites quantités de légumes peuvent être administrées.
Ce n’est qu’une fois adulte après six mois qu’ils puissent manger du fourrage mixte.
Le développement du bébé lapin nain 5 (100%) 1 vote