Table des matières
- Le Pomsky, petit chien à l’allure d’ours en peluche
- Caractéristiques du Pomsky
- Historique de la race Pomsky
- Conditions de vie nécessaires et comportement du Pomsky
- Alimentation et principaux problèmes de santé du Pomsky
- Prix d’un chien ou d’un chiot de race Pomsky
- Pomsky
- 1. Il est petit, mais trapu
- 2. Il ressemble plus au Husky qu’au Spitz nain
- 3. Il possède un caractère de feu
- 4. Il est robuste
- 5. Il coûte (très) cher
- Le Pomsky : un mini Husky aux allures de Loulou de Poméranie (Photos)
- Un mini-Huksy, rempli de joie et d’énergie
- Mya : Ce Chien-Renard qui fait Tomber les Coeurs
- Alaskan Klee Kai
- Sled Dog Racing
Le Pomsky, petit chien à l’allure d’ours en peluche
C’est la star sur le web et des réseaux sociaux, surtout aux États-Unis. Le Pomsky doit son succès à son irrésistible allure d’ours en peluche obtenue d’un croisement improbable entre un Spitz nain et un Husky. Bien qu’il soit particulièrement populaire dans le monde virtuel, dans la réalité, on ne connaît que très peu de choses sur cette race récente.
Caractéristiques du Pomsky
Il est assez difficile de parler des particularités physiques du Pomsky car cette race ne possède pas de standard. Il n’est pas reconnu par la Société centrale canine ni par la Fédération cynologique internationale et n’est donc pas un chien de race proprement dit. De ce fait, il n’est pas rare de trouver des Pomsky à l’allure très différente d’un individu à un autre. Certains ressemblent plus au Husky, d’autres ont repris les particularités physiques du Spitz nain. Dans tous les cas, le chien possède un corps plutôt équilibré et dense, avec une tête relativement petite, des yeux vairons, foncés ou clairs et des oreilles pointues et bien dressées. À l’inverse de ce que l’on a tendance à croire, le Pomsky n’est pas un chien miniature. Il peut peser jusqu’à 15 kg et avoir une taille de 45 cm.
Historique de la race Pomsky
Aux États-Unis, les chiens comme le Pomsky sont baptisés des « designer dog ». Il s’agit d’une race née d’un croisement entre deux autres pures races, en l’occurrence ici, le Spitz nain (Loulou de Poméranie) et le Husky. Son apparition date du début des années 2000. Cette race est confidentielle et relativement difficile à trouver même si aux États-Unis et en Angleterre, il existe de plus en plus de clubs officiels. Il est vivement conseillé de ne se tourner que vers des éleveurs ou des structures fiables pour se procurer un Pomsky car à cause de l’absence de standard, des personnes peu scrupuleuses peuvent en proposer à des prix très élevés sans offrir des garanties sur la stabilité, le lignage et la santé.
Conditions de vie nécessaires et comportement du Pomsky
On reconnait au Pomsky un caractère affectueux, intelligent et joueur. Il semblerait qu’il soit aussi dynamique que les deux races dont il est issu, mais comme on ne connaît pas encore très bien ses particularités, il est difficile de déterminer ses besoins en exercices physiques. Comme le Spitz, on raconte que le Pomsky n’est pas très à l’aise avec les enfants. Les bruits et leurs jeux peuvent l’insupporter. Une chose est sûre : une bonne éducation est indispensable dès le plus jeune âge de l’animal afin de pouvoir le cadrer plus facilement. Il ne s’adresse pas aux maîtres qui n’ont aucune expérience dans l’éducation canine.
Alimentation et principaux problèmes de santé du Pomsky
Il n’existe pas assez de données fiables permettant d’évaluer les éventuels soucis de santé du Pomsky. Comme le Spitz, il peut développer des problèmes articulaires. Pour ce qui concerne son alimentation, il est recommandé de lui proposer une quantité et qualité de repas adaptées à son activité physique et son âge. Il est préférable de lui servir une nourriture maison, pauvre en sucre et en gras pour lui assurer une santé de fer.
Prix d’un chien ou d’un chiot de race Pomsky
- Prix Pomsky mâle : 1 600 €
- Prix Pomsky femelle : 1 600 €
Crédit photo : Todd Radenbaugh
Pomsky
En 2013, Teressa Peterson fonde le Pomsky Club of America (PCA), et en juillet 2014, c’est l’International Pomsky Association (IPA), regroupant plus de 40 éleveurs de Pomsky dans le monde entier, qui voit le jour.
De la même façon qu’une photo postée sur Internet a donné l’idée de la première portée de Pomsky à Teressa Peterson, c’est par ce même canal que la popularité du Pomsky s’est développée, alimentée régulièrement par de nombreuses photos de jolis Pomskies.
Star des réseaux sociaux, le Pomsky soulève de nombreuses réactions chez les internautes. Alors que beaucoup tombent sous le charme de cette nouvelle race de chien qui garde ses airs de chiot une fois adulte, d’autres se scandalisent de ce croisement contre nature entre un chien de taille moyenne et un miniature.
Reste que jamais auparavant dans l’histoire canine, une race de chien n’était passée aussi rapidement de l’obscurité à la lumière. Le revers de la médaille est que cette croissance rapide a conduit à un réseau d’élevages décentralisé, même si la PCA et l’IPA s’emploient toutes deux à établir des liens entre les éleveurs, afin de faire reconnaître officiellement la race.
Issu d’un croisement entre un Husky sibérien et un Spitz nain (aussi appelé Loulou de Poméranie), le Pomsky fait fureur depuis quelques années. Et pour cause, son physique de chien-loup associé à sa bouille de chiot ont de quoi faire craquer tous les amoureux des chiens. Et notamment des chiens miniatures. Voici tout ce qu’il y a à savoir sur ce toutou à croquer !
Sommaire
1. Il est petit, mais trapu
Le Pomsky est un petit chien au poil long ou mi-long qui peut peser entre 9 et 14 kilos. Pour un chien de cette taille, son poids est donc particulièrement impressionnant. Mais c’est aussi ce qui le rend si mignon !
Crédits : Dwight Sipler/Flickr
2. Il ressemble plus au Husky qu’au Spitz nain
Physiquement, le Pomsky ressemble plus à un Husky miniature. En effet, son pelage est le plus souvent noir et blanc. Mais il peut également être uni, blanc, gris, marron ou fauve. De plus, ce chien de petite taille a le poil court, voire mi-long.
Il présente presque toujours un masque noir sur le visage et ses oreilles sont dressées et pointues. Quant à ses yeux ils sont souvent bleus, marrons ou, plus rarement, vairons.
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3. Il possède un caractère de feu
En terme de tempérament, le Pomsky est une race de chien de compagnie qui a hérité du Spitz nain et du Husky de Sibérie. En effet, même s’il peut se montrer très joyeux, affectueux et joueur, il ne faut pas non plus négliger son côté têtu et capricieux. S’il n’a pas ce qu’il désire, il peut vite se sentir frustré. De même, il n’est pas très patient et a tendance à ne pas tellement tolérer les enfants…
Par ailleurs, son instinct de prédateur, digne des huskies, peut vite être éveillé, ce qui le pousse à pourchasser les chats plutôt qu’à se lier d’amitié avec eux.
Intelligent, il peut être parfaitement éduqué à condition de savoir canaliser son énergie. En effet, le Pomsky est un chien tout ce qu’il y a d’hyperactif. De plus, son côté curieux le pousse à ne pas être très attentif aux ordres de son maître, même s’il a une grande envie d’apprendre. Pour l’éduquer correctement, il sera donc peut-être nécessaire de l’emmener à des cours d’éducation canine…
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Little do I know… Mom already put a cookie next to me! 🍪
4. Il est robuste
En tant que digne descendant du Husky, le Pomsky est un chien plutôt robuste, capable de résister à des températures extrêmes. Si vous voulez adopter un chien de race qui n’a pas la santé trop fragile, le Pomsky est idéal.
Toutefois attention, le croisement est encore trop récent pour que nous ayons pu prendre un vrai recul sur le sujet.
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Love my palm tree branches 🐶🌴 #Pomsky #PomskiesOfInstagram #Pomskies #PomeranianHusky #DogsOfInstagram #Mya #DogsOfMiami
5. Il coûte (très) cher
Vous êtes tombé amoureux de ce petit chien aux allures de peluche ? Alors, mettez la main au porte-monnaie car un chiot Pomsky coûte entre 1 800 et 4 000 euros !
Attention, cette race est actuellement très en vogue, veillez donc à choisir consciencieusement l’éleveur chez qui vous allez adopter votre chiot Pomsky. Cela devrait d’ailleurs être le cas pour tous les chiens. L’objectif ? Ne pas vous faire arnaquer !
Le Pomsky est un croisement entre un Husky et un Loulou de Poméranie ( plus connu sous le nom de spitz nain et parfois poméranien ). Cette nouvelle race n’est pour le moment pas reconnu par le LOF mais est devenue assez populaire via les réseaux sociaux.
Créé pour pour obtenir un animal de compagnie ressemblant au Husky mais avec tout les avantages d’un petit chien ( pouvant vivre en appartement, etc ) le Pomsky a, en effet, soulevé de nombreuses réactions chez les internautes : alors que beaucoup tombent sous le charme de ce chien qui garde ses airs de chiots même après avoir atteint l’âge adulte, certains se scandalisent de ce croisement » contre nature » entre un chien de taille moyenne et un autre dit » miniature « .
Il se rapproche de l’Alaskan Klee Kai, une race créée dans les années 1970 en Alaska par accident. Le premier Alaskan Klee Kai est en effet né d’une saillie non désirée entre un Husky et un petit chien.
Le Pomsky allie des traits de caractère de chacune des races dont il est issu. Sa taille ne l’empêche pas d’être un chien rempli d’énergie ayant besoin de longues balades quotidiennes pour être heureux. Il est décrit comme un animal joyeux, joueur, intelligent, loyal et extraverti.
Pour en venir à son apparence, ce chien possède un double manteau et a un poils bien fournis, avec une queue en panache. Les oreilles sont dressées et la démarche d’un Pomsky est joyeuse, harmonieuse et légère. Ses yeux sont souvent bleus ou marrons mais peuvent aussi être vairons, verts ou même ambres. L’idéologie du Pomsky est de produire un petit Poméranian de taille moyenne, avec la coloration du Husky sibérien.
Dernière révision par Ideal le 19 mai 2017 (Historique)
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Le Pomsky : un mini Husky aux allures de Loulou de Poméranie (Photos)
Adorable boule de poils en phase de devenir le nouveau petit chien à la mode, le Pomsky est une étonnante race de chien issue d’un croisement entre le Husky et le Spitz nain, ou Loulou de Poméranie.
Il se rapproche de l’Alaskan Klee Kai, une race créée dans les années 1970 en Alaska par accident. Le premier Alaskan Klee Kai est en effet né d’une saillie non désirée entre un Husky et un petit chien.
Un mini-Huksy, rempli de joie et d’énergie
Crée pour pour obtenir un petit chien de compagnie ressemblant au Husky, le Pomsky allie des traits de caractère de chacune des races dont il est issu. Sa taille ne l’empêche pas d’être un chien rempli d’énergie ayant besoin de longues balades quotidiennes pour être heureux. Il est décrit comme un animal joyeux, joueur, intelligent, loyal et extraverti.
Ce nouveau chien, élevé en Angleterre notamment, n’est pas officiellement reconnu. Et il n’existe pas en France d’élevage de Pomskies. Mais sa bouille promet de séduire nombre d’amoureux des petits chiens, et il pourrait bien dans les années à venir devenir un chien très recherché.
Toutefois, si l’on ne peut nier que le Pomsky est un très beau chien, se pose la question de savoir jusqu’où iront ces hybridations ?
Mya : Ce Chien-Renard qui fait Tomber les Coeurs
Animaux
Published on juin 8th, 2016 | by Faël Isthar
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Et voilà ce que donne un croisement entre un husky et un loulou de Poméranie <3 Pour rappel, les loulous de poméranie sont très connus depuis que l’un d’entre eux, Boo, est devenu le chien le plus célèbre au monde \^o^/ May parviendra t-elle à lui voler la vedette ? Nous n’en sommes pas encore là ! Même s’il faut avouer que May est sublime *_* Elle ressemble vraiment à un renard aux yeux bleus vifs ! Et je ne pense pas me tromper en affirmant qu’il s’agit de l’un des chiens les plus beaux de la webosphère !
Pour autant, n’allez pas croire qu’il suffit de croiser un husky avec un loulou de Poméranie pour avoir un Mya-bis ! Tout comme il ne suffit pas d’acheter un Loulou pour avoir un Boo xD De fait, la génétique joue un rôle majeur dans ce résultat et beaucoup de croisements husky/loulou sont loins d’être aussi esthétiques que Mya. D’autant plus si on prend en compte la couleur des yeux ! Voilà pourquoi ile ne faut pas jouer les savants fous avec Mère Nature ! Soit vous avez de la chance, soit vous en avez moins ! Et qu’importe le résultat, un chien reste un chien —> c’est-à-dire un animal fantastique qui aura besoin de tout votre amour ^o^ Il n’empêche, qu’est-ce qu’elle est belle *_*
Tags: Animaux, Boo, Kawaii, May
About the Author
Faël Isthar Fondateur de YZGeneration, YummyZ et Ikke !
Alaskan Klee Kai
The Alaskan Klee Kai is a northern breed of dog of spitz type. The term « Klee Kai » was derived from Alaskan Athabaskan words meaning « small dog ». The breed was developed to create a companion sized version of the Alaskan Husky (a mixed breed of dog used for sled racing), resulting in an energetic, intelligent, apartment-sized dog with an appearance that reflects its northern heritage.
- Apperance
The Alaskan Klee Kai should look like a miniature husky. Although their standard is based on that of the Siberian Husky, there are physical differences, such as a shorter snout, larger ears, and higher tail set, that make them easily distinguishable from the Siberian. They come in three sizes based on their height:
– Toy size Alaskan Klee Kai are up to and including 13 inches.
– Miniature Alaskan Klee Kai are over 13 inches high and up to 15 inches high.
– Standard Alaskan Klee Kai are over 15 inches high and up to 17 inches high.
– Serious Fault – Any Alaskan Klee Kai over 17 inches and up to 17½ inches.
– Eliminating Fault* – Any Alaskan Klee Kai over 17½ inches.
(*An Eliminating Fault is a Fault serious enough that it eliminates the dog from obtaining any awards in a conformation event.)
Alaskan Klee Kai come in four main color varieties. Black and White, which can appear with stark contrasts or with a more dilute diffusion of the colors; Gray and White, which comes in several variations; Red and White, which appears either as a cinnamon or a dark auburn, or shades of white.
- Coat and Grooming
The Alaskan Klee Kai, like the Siberian Husky, is relatively easy to care for. They are extremely clean. Most don’t like wet feet and will spend hours daily grooming themselves. Alaskan Klee Kai, like many other northern breeds, do not have a typical « doggy odor » or « doggy breath. » Most Klee Kai will seldom require a bath.
As in Siberians and unlike short haired dogs who shed all year long, the Klee Kai blows their coat twice a year. Of course, the size of the dogs limit the amount of fur blown. It is best to groom the dog on a regular basis during this time. Some of the longer haired dogs can become matted if not groomed. Most Klee Kai will assist the loss of hair by rubbing against things such as fences.
Other than this period of blowing coat, the Klee Kai is very self sufficient. The normal preventative measures should be taken, such as trimming of nails, normal grooming in the form of brushing. This process is especially important in the bonding process.
- Temperament
The Alaskan Klee Kai is a highly intelligent, very curious, active, quick and agile little dog that quickly become an integral part of any family that chooses to adopt one. Unlike the Siberian Husky whom they resemble, the Alaskan Klee Kai is standoffish and suspicious of strangers. Because of this they do make extremely good watchdogs. To help them fit better into a society where they must not only tolerate strangers but accept them, socialization must be continual throughout their lives. They are moderately active and have a high prey drive. This means unless they are properly introduced and raised with smaller furry or feathered animals such as rabbits, hamsters, cats, birds, etc., they will hunt and kill them. They can be a great family dog if raised with properly raised children. Alaskan Klee Kai are not likely to tolerate being mistreated (poked at, pinched, bullied) by children and may respond by nipping them, much like the Siberian Husky. Even so, they make great pets. Because of their intelligence they do well in obedience classes and have a high drive to please their owners which helps them to excel in this area as well as many other types of activities. Another such activity is agility in which the AKK almost seems to have been bred to take part in. If you have an Alaskan Klee Kai that is highly active, this is a great way to help them use some of that up.
- Health
Relative to other breeds, the Alaskan Klee Kai has been remarkably free of genetic defects.
However, some health conditions linked to the breed include:
– Juvenile Cataracts
– Liver Disease
– Extreme Shyness
– Factor VII Deficiency
– Pyometra
– Luxating Patella
– Cryptorchids
– Cardiac Issues including PDA
– Thyroid disease-including autoimmune thyroiditis
The breed may suffer from other health issues that have yet to be discovered because of the breeds relatively young age and small gene pool.
Responsible Alaskan Klee Kai breeders have their dogs health tested and registered with OFA for Cardiac, Patellas, and Thyroid. They are now accepted by CHIC also, if they have passed their OFA exams and eye exam by CERF.
- History
The breed was developed in Wasilla, Alaska during the mid-1970s by Linda S. Spurlin after she observed the result of an accidental mating of an Alaskan Husky and an unknown small dog. The breed was developed with Siberian and Alaskan Huskies using Schipperke and American Eskimo Dog to bring down the size without dwarfism. She bred these dogs in private until she released them to the general public in 1988. Originally called the « Klee Kai », the breed split into « Alaskan Klee Kai » and « Klee Kai » for political reasons in 1995. The breed consolidated under the new name in 2002. The Alaskan Klee Kai was officially recognized by the American Rare Breed Association (ARBA) in 1995 and by the United Kennel Club (UKC) on January 1, 1997.
L’Alaska Klee Kai est un petit chien qui ressemble à un Husky miniature. Énergique et alerte, cette race est assez difficile à comparer aux chiens de même taille. Comme beaucoup d’autres races du Nord et de petits chiens, l’Alaska Klee Kai est tout à fait le bonimenteur. Ces chiens peuvent se méfier des étrangers mais ont tendance à créer des liens étroits avec leurs propriétaires. Intelligents et vigilants, ces petits chiens sont habiles à apprendre des tours et à divertir leurs propriétaires.
Aperçu de la race
- Groupe: Groupe de race du nord (UKC); non reconnu par l’AKC
- Taille: Disponible en trois tailles
- Variété de jouets: jusqu’à 13 pouces, jusqu’à 13 livres
- Variété Miniature: 13 à 15 pouces à l’épaule, 13 à 16 livres
- Variété standard: 15 à 17 pouces à l’épaule, 15 à 18 livres
- Manteau: sous-poil épais mais pas trop long; jette modérément toute l’année.
- Couleur: cette race se présente généralement dans la coloration classique « masquée » avec un sommet plus foncé et un masque foncé et le dessous blanc. La couche plus foncée peut être noire, rouge ou grise.
- Espérance de vie: 12 à 16 ans, en général; avec une telle nouvelle race, l’espérance de vie varie un peu.
Caractéristiques de l’Alaska Klee Kai
Niveau d’affection | Moyen |
La convivialité | Faible |
Accueille les enfants | Faible |
Animaux domestiques | Moyen |
Besoins d’exercice | Haute |
Espièglerie | Haute |
Niveau d’énergie | Haute |
Capacité de formation | Haute |
Intelligence | Haute |
Tendance à aboyer | Haute |
Quantité de perte | Moyen |
Histoire de l’Alaska Klee Kai
L’Alaska Klee Kai est l’une des « plus jeunes » races de chiens qui soient.
Cette race remonte à une seule femme, Linda Spurlin, qui a travaillé à la création d’un Husky de la taille d’un compagnon à partir des années 1970, après avoir repéré ce qui ressemblait à un Husky miniature dans l’Oklahoma.
Plutôt que d’élever des Huskies extra-petits ou nains pour créer une petite race (pratiques qui aboutissent souvent à des chiens en mauvaise santé), Spurlin a « croisé » les Huskies avec des races plus petites telles que Schipperkes et Alaskan Eskimo Dogs.
Spurlin appelait à l’origine la race simplement « Klee Kai », ce qui signifie « petit chien » en langue inuit. En 1995, le nom a été changé en Alaska Klee Kai.
Cette race est toujours considérée comme une race rare et n’est pas reconnue comme une race distincte par l’American Kennel Club. Le United Kennel Club a reconnu l’Alaskan Klee Kai en 1997.
Depuis le premier jour, l’Alaska Klee Kai a pour objectif d’être un compagnon mignon et actif pour les propriétaires. Contrairement à la majorité des races de chiens plus âgées, ces petits chiens n’ont jamais été destinés à être des chasseurs, des chiens de ferme, des chiens de garde ou autre chose qu’un compagnon. Cependant, cela ne signifie pas qu’ils n’apprécient pas le « travail » sous forme d’aboiement contre des étrangers et de jeux d’entraînement!
La popularité de l’Alaska Klee Kai n’a cessé de croître ces derniers temps, alors que les gens remarquent l’attrait d’un chien intelligent et actif qui s’intègre toujours dans un espace de vie plus petit. Cela a conduit certains éleveurs moins qu’habiles à vendre des chiots mal élevés au visage pincé et aux yeux exorbités qui ressemblent davantage à des chihuahuas duveteux qu’à des Huskies miniatures. Soutenir un bon éleveur est important pour garder cette race relativement rare en bonne santé.
Les Alaskan Klee Kais sont-ils des Huskies ou Pomskies miniatures?
Bien qu’ils ressemblent à de minuscules Huskies de Sibérie, les Alaskan Klee Kais ne sont pas simplement des Huskies rétrécis.
Ils peuvent également être facilement confondus avec la race mixte de designer « Pomsky », un croisement entre un poméranien et un Husky. Alaskan Klee Kai ont été créés en mélangeant des Huskies avec des races plus petites, mais d’apparence similaire, telles que Schipperkes et American Eskimo Dogs.
Cela a abouti à un petit chien qui regards ressemblant à un mini Husky, mais présente des caractéristiques supplémentaires (comme le désir de Schipperke de chasser la souris) dans le pool génétique. Les trois races impliquées dans l’Alaska Klee Kais sont heureuses pour l’écorce, à fourrure épaisse, à queue bouclée et aux oreilles pointues. Cette race est remarquablement cohérente dans les regards en dépit d’être relativement nouvelle dans le monde.
Alaska Klee Kai Soins
Ce petit chien actif nécessite une stimulation quasi constante. Même les propriétaires actifs constateront que l’Alaska Klee Kai tire avantage des jouets distribuant de la nourriture plutôt que des bols à nourriture. Comme beaucoup de races actives, ces chiens présentent souvent une « surcharge », dans laquelle ils préfèrent jouer à des jeux pour gagner leur repas!
Un Alaska Klee Kai ennuyé peut facilement devenir destructeur ou vocal, il est donc important d’exercer à la fois son corps et son esprit.
L’Alaska Klee Kai est trop petit pour rejoindre ses compagnons humains lors de longues courses ou de promenades à vélo. La randonnée en laisse est une excellente idée. Au lieu de cela, les marches d’activités et les jeux d’entraînement sont d’autres moyens de brûler cette énergie semblable à celle de Husky chez ces petits chiens. Gardez à l’esprit que cette race peut être difficile à entraîner lorsque vous appelez, alors gardez la vôtre sur une longue file si vous n’êtes pas dans une zone clôturée.
Le toilettage d’un Allee Klee Kai n’est pas une mince tâche, mais heureusement, il n’est pas aussi extrême que de soigner un Maltais ou un Akita. Grâce à leur petite taille, ces chiens ne laissent pas autant de poils sur les meubles qu’une race plus grande. Bien que leur fourrure soit épaisse, elle cesse de croître à un pouce ou deux de long. Brossez-les plusieurs fois par semaine, en prenant soin de bien préparer les tapis près de leur col ou de leur harnais. De bonnes habitudes de toilettage réduiront également le nombre de cheveux sur vos meubles.
Dresser ces petits chiens est souvent une joie. Ils sont rapides à apprendre et intelligents comme un fouet, alors soyez prêts à suivre! Alaskan Klee Kai réagit particulièrement bien aux jeux d’entraînement rapides et basés sur les récompenses tels que Ready, Set, Down après qu’ils ont déjà maîtrisé la formation de base en obéissance.
Ces petits chiens peuvent être exceptionnellement abîmés ou timides devant des inconnus. Se concentrer sur le fait de récompenser votre chien pour les comportements qui vous plaisent et de développer des compétences qui sont importantes pour le test AKC Canine Good Citizen peut aider votre Alaskan Klee Kai à se comporter correctement en public et à la maison.
Si vous êtes frustré par la formation de votre Alaskan Klee Kai, essayez de rendre le scénario d’entraînement plus facile pour votre chien et récompensez ses « bons essais ». Ne vous attendez pas à la perfection et limitez-vous à des séances d’entraînement limitées à une à cinq minutes. Si vous êtes frustré, vous pouvez facilement effrayer ces petits chiens et les empêcher de s’entraîner avec vous demain!
Problèmes de santé courants
L’Alaska Klee Kai est une race de chien relativement en bonne santé, probablement en raison de son héritage métis.
C’est bien, car les races rares finissent souvent par être assez consanguines, car il n’ya pas beaucoup d’éleveurs potentiels.
Comme avec beaucoup de petits chiens, l’Alaska Klee Kai est vulnérable aux patelles de luxe. Ils peuvent également souffrir de problèmes cardiaques, de dérèglement du foie et de cataractes. Il est préférable d’éviter certains de ces problèmes en trouvant un bon reproducteur et en s’assurant qu’il effectue les tests de santé appropriés. Une fois que votre chien est déjà chez vous, vous pouvez vous assurer qu’il mène une vie longue et en bonne santé en veillant à ce qu’il soit bien entraîné et en lui donnant des aliments de haute qualité.
Alimentation et nutrition
En tant que petit chien actif, l’Alaska Klee Kai a tendance à ne pas prendre du poids aussi facilement qu’un chien moins énergique. Donnez-leur une quantité appropriée de nourriture pour chien de haute qualité deux fois par jour. Ils ont tendance à faire mieux quand ils sont nourris avec des casse-têtes plutôt que des bols, car cela les ralentit, fait travailler leur cerveau et brûle un peu d’énergie en excès. Évitez de laisser de la nourriture toute la journée, sinon votre petit chien prendra du poids!
Demandez conseil à un nutritionniste vétérinaire ou canin si vous avez des questions sur le régime alimentaire de votre Alaskan Klee Kai.
Plus de races de chiens et d’autres recherches
Est-ce qu’un Klee Kai vous convient? Avant de ramener à la maison un Klee Kai de l’Alaska, vous voudrez peut-être explorer d’autres races similaires pour comparer leurs personnalités et leurs besoins. Assurez-vous de parler aux propriétaires, aux éleveurs et aux groupes de secours et rencontrez quelques Klee Kai de l’Alaska en personne pour en apprendre davantage.
Si vous êtes intéressé par les races apparentées, consultez:
- Huskies Sibériens
- Poméraniens
- Papillon
Sinon, consultez tous nos autres profils de races de chiens. Il y a le compagnon idéal pour tout le monde!
Musher Nicolas Petit lost a huge lead in the Iditarod Trail Sled Dog Race on Monday when his dog team refused to keep going after he yelled at one of the animals. A dog named Joey had been fighting with a younger dog on the team during a break on the way to the Bering Sea checkpoint of Koyuk when Petit stepped in.
“Joey was behind him, and he’s been kind of picking on him most of the trip, and he got a hold of him at one point … I yelled at Joey, and everybody heard the yelling, and that doesn’t happen,” Petit told the Iditarod Insider website. “And then they wouldn’t go anymore. Anywhere. So we camped here.”
Several mushers passed Petit’s team on the trail, erasing his five-hour lead in the race. Pete Kaiser of Alaska was the first musher into Koyuk, followed 11 minutes later by defending champion Joar Ulsom of Norway. The checkpoint is 827 miles into the 1,000-mile race across Alaska.
Petit said his dogs are well-fed and there’s no medical issue keeping them from getting up and running. “It’s just a head thing,” he said. “We’ll see if one of these dog teams coming by will wake them up at all.”
For Petit, it’s another bad memory from the stretch between the Shaktoolik and Koyuk checkpoints. He was in command of last year’s race when he got off trail during a blizzard and lost the lead. He wound up finishing second behind Ulsom. “Something about right here, huh?” he said.
The race started on 2 March in Willow, just north of Anchorage. The course through the Alaska wilderness took mushers over two mountain ranges and the frozen Yukon River before they reached the Bering Sea coast. The winner is expected to come off the sea ice and mush down Nome’s main street to the finish line sometime in the middle of the week.
ANCHORAGE, Alaska (AP) — French musher Nicolas Petit looked like he was in solid control of the world’s most famous sled dog race and about to erase a year of doubts and second-guessing after a last minute misstep cost him the 2017 title.
Then the dogs quit on him Monday morning.
A dog named Joey had been fighting with another dog on the team and jumped it during a break as the team was making its way to the Iditarod Trail Sled Dog Race checkpoint of Koyuk on the Bering Sea coast.
“I yelled at Joey, and everybody heard the yelling, and that doesn’t happen,” Petit told the Iditarod Insider website. “And then they wouldn’t go anymore. Anywhere. So we camped here.”
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Several mushers passed Petit’s team on the trail, erasing his five-hour lead in the race. Pete Kaiser of Alaska was the first musher into Koyuk, followed about an hour later by defending champion Joar Ulsom of Norway. Kaiser rested for nearly 5 ½ hours before getting back on the trail.
The checkpoint is 827 miles (1,330 kilometers) into the 1,000-mile (1,600-kilometer) race across Alaska.
Petit said his dogs are well-fed, and there’s no medical issue keeping them from getting up and running.
“It’s just a head thing,” he said. “We’ll see if one of these dog teams coming by will wake them up at all.”
People for the Ethical Treatment of Animals took issue with Petit’s reasoning.
“It’s not the dogs who need to have their heads examined — it’s anyone who supports this merciless race. Illness, injury, or fatigue likely prompted Nicolas Petit to drop four dogs from his team, forcing the remaining 10 to work even harder before they gave up altogether, which he blamed on ‘just a head thing,’” PETA Executive Vice President Tracy Reiman said in a statement.
But Libby Riddles, the 1985 Iditarod champion and the first woman to win the race, said the incident demonstrates why dog mushing is a fine art. It requires a balance between being competitive and keeping the dogs happy.
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“People have this idea that you can force these dogs to Nome,” she said in a phone interview. “It’s not like that at all.”
“The amount of intuition and communication and trust and experience you have with your dogs is how it all happens and comes together, and Nic Petit happens to actually be one of the best in the business at this,” Riddles said.
Riddle been involved with mushing for 40 years and said she could live 20 lifetimes and not learn everything. But if the dogs get unhappy, they can quit on you, she said.
“Sometimes all it takes is just this one sour grape in the team,” Riddles said. “One dog that has a bad attitude, and it infects the whole rest of the team.”
Huskies in some ways are more primitive than other dogs, she said. Mushers are dealing with their pack mentality.
“It’s like a wolf. Things happen over food. Sometimes if they think a dog is a little wimpy, when they’re crabby, they might want to pick on it,” she said.
Petit will learn from the experience and rebuild, she said.
“I think Nic is handling this pretty well, actually. I think he wants to make sure to preserve a good mental attitude with these dogs for the rest of their careers. That’s what he’s looking at — not just today’s race,” Riddles said.
For Petit, it’s another bad memory from the stretch between the Shaktoolik and Koyuk checkpoints.
He was in command of last year’s race when he got off trail during a blizzard and lost the lead. He wound up finishing second behind Ulsom.
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“Something about right here, huh?” he mused.
The race started March 2 in Willow, just north of Anchorage. The course through the Alaska wilderness took mushers over two mountain ranges and the frozen Yukon River before they reached the treacherous Bering Sea coast.
The winner is expected to come off the sea ice and mush down Nome’s main street to the finish line sometime in the middle of the week.
Associated Press writer Dan Joling contributed to this report.
Sled Dog Racing
Marc Lester | AP Marc Lester | AP Nicolas Petit arrives in Unalakleet,Alaska, in the lead of the Iditarod Trail Sled Dog Race on Sunday, March 10, 2019. Mark Thiessen, The Associated Press • March 11, 2019 5:04 pm
Updated: March 11, 2019 6:18 pm
ANCHORAGE, Alaska — Musher Nicolas Petit lost a huge lead in the Iditarod Trail Sled Dog Race on Monday when his dog team refused to keep going after he yelled at one of the animals.
A dog named Joey had been fighting with another dog on the team and jumped it during a break on the way to the Bering Sea checkpoint of Koyuk.
“I yelled at Joey, and everybody heard the yelling, and that doesn’t happen,” Petit told the Iditarod Insider website. “And then they wouldn’t go anymore. Anywhere. So we camped here.”
Several mushers passed Petit’s team on the trail, erasing his five-hour lead in the race. Pete Kaiser of Alaska was the first musher into Koyuk, followed about an hour later by defending champion Joar Ulsom of Norway.
The checkpoint is 827 miles into the 1,000-mile race across Alaska.
Petit said his dogs are well-fed, and there’s no medical issue keeping them from getting up and running.
“It’s just a head thing,” he said. “We’ll see if one of these dog teams coming by will wake them up at all.”
People for the Ethical Treatment of Animals took issue with Petit’s reasoning.
“It’s not the dogs who need to have their heads examined — it’s anyone who supports this merciless race. Illness, injury, or fatigue likely prompted Nicolas Petit to drop four dogs from his team, forcing the remaining 10 to work even harder before they gave up altogether, which he blamed on ‘just a head thing,’ ” PETA Executive Vice President Tracy Reiman said in a statement.
“In the face of hundreds of exhausting miles of ice and snow along the Iditarod, now even the dogs are joining PETA in protesting this cruel race,” Reiman said.
But Libby Riddles, the 1985 Iditarod champion and the first woman to win the race, said the incident demonstrates why dog mushing is a fine art. It requires a balance between being competitive and keeping the dogs happy.
“People have this idea that you can force these dogs to Nome,” she said in a phone interview. “It’s not like that at all.”
“The amount of intuition and communication and trust and experience you have with your dogs is how it all happens and comes together, and Nic Petit happens to actually be one of the best in the business at this,” Riddles said.
Riddle been involved with mushing for 40 years and said she could live 20 lifetimes and not learn everything. But if the dogs get unhappy, they can quit on you, she said.
“Sometimes all it takes is just this one sour grape in the team,” Riddles said. “One dog that has a bad attitude, and it infects the whole rest of the team.”
Huskies in some ways are more primitive that other dogs, she said. Mushers are dealing with their pack mentality.
“It’s like a wolf. Things happen over food. Sometimes if they think a dog is a little wimpy, when they’re crabby, they might want to pick on it,” she said.
Petit will learn from the experience and rebuild, she said.
“I think Nic is handling this pretty well, actually. I think he wants to make sure to preserve a good mental attitude with these dogs for the rest of their careers. That’s what he’s looking at — not just today’s race,” Riddles said.
For Petit, it’s another bad memory from the stretch between the Shaktoolik and Koyuk checkpoints.
He was in command of last year’s race when he got off trail during a blizzard and lost the lead. He wound up finishing second behind Ulsom.
“Something about right here, huh?” he mused.
The race started March 2 in Willow, just north of Anchorage. The course through the Alaska wilderness took mushers over two mountain ranges and the frozen Yukon River before they reached the treacherous Bering Sea coast.
The winner is expected to come off the sea ice and mush down Nome’s main street to the finish line sometime in the middle of the week.