Table des matières
Adopter un cheval, un âne, un poney, une mule ou un mulet
Lors de sa création en 1845, la Société Protectrice des Animaux (SPA) avait pour mission de protéger les chevaux maltraités par les cochers parisiens.
Première association de protection animale en France, elle recueille aujourd’hui chaque année plus de 48 000 animaux en détresse, abandonnés, perdus ou maltraités dans ses 64 refuges et Maisons SPA.
Au printemps 2016, la SPA a renoué avec sa mission originelle et ouvert un lieu unique dédié aux équidés victimes de mauvais traitements ou d’abandons, le Grand Refuge de la SPA.
Si vous souhaitez adopter un poney, un cheval, un âne, une mule ou un mulet, vous devrez remplir une fiche d’informations à l’accueil du refuge et fournir des justificatifs :
- Pièce d’identité ;
- Justificatif de domicile original de moins de 3 mois ;
- Justificatif de revenus.
Une participation financière de 300 € pour un poney, 400 € pour un âne, une mule ou un mulet et 450 € pour un cheval correspondant à l’identification, la vaccination et la stérilisation vous sera demandée.
Adopter un animal doit être une démarche sérieuse et réfléchie. Les équidés ont des besoins et des soins spécifiques qu’il convient de respecter. La SPA prône l’adoption responsable et veille à ce que chacune soit définitive et réussie.
Capture d’écran d’une vidéo de l’AFPTV tournée le 15 mars 2019 au grand refuge pour équidés de la SPA Pervenchères, dans l’Orne / AFP
Le poil terne, le dos creux, les chevaux aveugles Marcus et Titus mais aussi le vieil âne Oliver et la ponette Lili, victimes de mauvais traitements, reprennent peu à peu goût à la vie au Grand Refuge pour équidés de la SPA en Normandie.
Depuis 2014, ce refuge basé dans l’Orne à Pervenchères, offre une seconde vie à des équidés saisis sur décision de justice après des actes de maltraitance, dans un domaine d’une centaine d’hectares. La SPA renoue avec sa mission première qui était de protéger les chevaux maltraités par les cochers parisiens lors de sa création en 1845.
Dans le barns (écurie) des chevaux en soins, le vieux cheval Alex se lève le matin grâce à une potence installée dans son box. En face de lui, l’âne Oliver doit reprendre du poids avant d’être opéré d’une tumeur à la tête… Autant d’équidés que d’histoires tragiques contées avec émotion par le responsable du site, David Legrand.
Certaines font froid dans le dos, comme celle de la ponette blanche Lili qui va fêter ses 40 ans : « son propriétaire d’un coup de folie lui a crevé les yeux ».
La plupart des 200 chevaux, ânes et poneys, ont été saisis chez des particuliers « qui se laissent déborder » et des éleveurs « malveillants », raconte à l’AFP David Legrand.
Ils ont connu le pire, ils connaissent aujourd’hui le meilleur : ils gambadent la journée en liberté au pré en petit groupe et le soir se reposent au box avec de la paille et du foin en abondance.
David Legrand est aux petits soins de ses pensionnaires, aidé d’une vingtaine de soigneurs, palefreniers et une quarantaine de bénévoles.
Les vieux équidés et les malades « non adoptables » resteront jusqu’à la fin de leur vie au refuge. Les ânes et les poneys sont « facilement adoptés, les gens les adorent comme animaux de compagnie », dit-il.
En revanche, c’est plus compliqué de trouver un nouveau maître aux chevaux. « Les gens cherchent des montures pour faire des concours mais nos chevaux ne sont pas tous adaptés et n’ont pas de papiers. »
– Redonner confiance aux chevaux –
Dans un gigantesque barns, la pouliche Iguane, à la robe crème, née au refuge, partage son temps avec d’autres jeunes. Elle est encore un peu chétive, sa mère était sous-alimentée quand elle a pouliné. Iguane a été élevée au biberon et pourra un jour être adoptée.
Ce n’est pas le cas de la jument Fala, arrivée il y a 3 ans. Boiteuse, elle souffre de plusieurs pathologies, dont la maladie de Cushing, une maladie hormonale qui provoque des fourbures (maladie du sabot).
Comme elle, une centaine d’équidés ne seront pas proposés à l’adoption, à l’instar des inséparables aveugles Marcus et Titus qui se promènent tous les jours guidés par des soigneurs.
Un peu plus loin, dans l’écurie des « adoptables », la belle Céleste à la robe café au lait, secoue la tête. Un éthologue (éducateur) vient tous les matins faire l’éducation cette jument, retirée pour maltraitance.
« Je redonne confiance aux chevaux qui ont été traumatisés par l’homme. Je les travaille à pied avant de les monter. Ils ont peur de la main de l’homme qui parfois les a battus. Chaque cheval avance à son rythme, les jeunes apprennent vite », explique César Maunoury, éthologue qui « doit les rendre le plus pratique possible pour leur nouveau maître avec qui le contact devra toutefois passer ».
Il ne faut compter que 450 euros pour adopter un cheval mais les candidats sont triés. « On demande un terrain d’au moins un hectare par cheval avec un abri en dur et une surveillance quotidienne », indique David Legrand.
A l’accueil, l’agent animalier Virginie renseigne François Dupas. Son poney vient de mourir et son pur-sang s’ennuie seul dans son pré. « Je cherche un ou deux poneys calmes pour les sauver et faire de la place à d’autres malheureux! », espère-t-il.
Adoption spa
Bonjour,
J’ai adopté un cheval pas à la SPA mais en refuge.
Pour moi aller adopter en refuge est un acte d’amour pas un gain financier. Trop de gens se trompent, vont en refuge pour adopter un cheval à bas coût et finissent déçus pcq le cheval n’est pas parfait.
Si vous cherchez un cheval pour faire du concours ou autres je suis pas sûre que ce soit le bon plan, par contre si vous cherchez un cheval pour être votre compagnon de vie foncez!
J’ai adopté mon cheval à l’âge de 9 mois il a auj 9ans.
Il a été énormément carencé petit (je n’ai pas réussi à tout rattraper quand je l’ai eu) du coup il commence à avoir des soucis d’articulation par exemple (très léger pour le moment) en sachant que c’est une tondeuse. Je me dis que si mon but avait été de faire des concours et autres avec ben ça n’aurait pas été possible….
(bien sûr on aurait pu avoir le même problème avec un cheval d’élevage mais je pense que le risque est plus faible)
Par contre ce cheval est le cheval de ma vie, on a une relation unique, il me rend au centuple ce que je lui donne.
Depuis nous avons recueillis d’autres animaux via des refuges et jamais je n’irai ailleurs pour mes futurs animaux. (Attention toutefois au sérieux des refuges)
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La SPA Le Grand Refuge, à Pervenchères, ouvre ses portes samedi 5 et dimanche 6 octobre, de 10 h à 17 h 30. De nombreux poneys, chevaux et ânes à parrainer sont à découvrir mais les visiteurs ne pourront pas repartir avec un animal. Les équipes de la SPA doivent d’abord aller constater les conditions d’accueil proposées.
Et pour divertir les 1 000 visiteurs qui sont attendus pendant les deux jours, un programme d’animations a été mis sur pied. Ils pourront découvrir le site (ferme pédagogique, maison des chats, écuries). Le public pourra se restaurer avec une buvette, des crêpes et des muffins.
Deux escape-game permettront de s’immerger dans le quotidien de la SPA. Par groupe de cinq à dix, le public endossera le rôle de délégué enquêteur SPA en huis clôt, afin d’éclaircir un signalement de maltraitance sur des animaux (45 min/1 h). Côté rallye, les délégués enquêteurs d’un jour devront suivre la piste d’un nouveau signalement mais en plein air, à la recherche d’énigmes sur le terrain, par groupe de deux à dix personnes (45 min/1 h). Participation de 2 € par jeux.
À 14 h 30, le samedi, les adoptants et futurs adoptants sont invités à venir témoigner de leurs expériences lors d’un café en présence d’un éthologue. Le dimanche, à 14 h 30, il s’agira de discuter des bienfaits de la » ronron thérapie « .
La boutique SPA sera également ouverte et les visiteurs pourront poser toutes leurs questions au personnel du Refuge.
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Pervenchères, France
Tout le week-end, les salariés et les bénévoles du Grand Refuge de Pervenchères dans l’Orne ont prévu des animations pour faire découvrir les pensionnaire et plus particulièrement les chevaux qui sont en nombre dans le refuge.
Le seul refuge en France qui accueille des chevaux
Au grand refuge de l’Orne 230 chevaux sont accueillis. Pour la plupart ils viennent d’élevages mais aussi de particuliers qui n’ont plus les moyens de prendre soin de leur monture. Un constat a d’ailleurs été fait par l’association: le cheval est l’animal le plus maltraité en France.
« Les chevaux sont souvent victimes de leur coût d’entretien. Il prend plus de place et il faut dépenser plus que pour un chien ou un chat. Sans compter qu’il peut vivre jusqu’à 40 ans! Alors quand les propriétaires n’ont plus les moyens ou que le cheval devient trop âgé, on le fait moins sortir et on le soigne moins », explique Jaques-Charles Fombonne, le président national de la SPA.
Arrivée pleine il y a quelques mois au refuge, cette pensionnaire est en observation avec son petit © Radio France – Marianne Yotis
Dans l’un des box, Sogèle, une jeune jument est gardée en observation. « Lorsqu’on l’a récupérée elle était très maigre. En plus elle est pleine donc il faut la garder en observation », confie David Legrand, responsable du Grand Refuge de Pervenchères.
En plus des chevaux, de nombreux poneys sont aussi présents ainsi que quelques ânes.
Des ânes sont aussi pensionnaires du Grand Refuge de Pervenchères © Radio France – Marianne Yotis
Un nouvel espace pour les chevaux en difficulté
Grâce à un don de 230 000 euros, la SPA a pu financer la construction d’un nouveau bâtiment pour les chevaux qui ont besoin d’une attention particulière.
Inauguré il y a peu, ce barns permet de garder en observation les pensionnaires les plus fragiles © Radio France – Marianne Yotis
Dans le barns, 28 stalles sont aménagées pour accueillir les pensionnaires en observation. Tout est fait pour que les soins de base puissent être donnés sur place mais des grues ont été installées pour pouvoir relever les chevaux en cas de besoin.
Une installation qui va grandement faciliter le travail des salariés. « Avant on devait se mettre à plusieurs pour soulever les chevaux qui n’arrivaient plus à se relever. Du coup avoir ces grue et cet équipement, ça va nous faciliter la vie », raconte Valérie, l’une des salariées.
Avec la présence de grues dans l’antenne, le travail des salariés va être facilité © Radio France – Marianne Yotis
Les trente occupants restent en observation le temps de se rétablir avant d’être proposés à l’adoption.
« Le but c’est d’isoler ceux qui sont malades et affaiblis pour qu’ils puissent se reposer et aussi pour éviter que leurs camarades ne s’en prennent pas à eux », précise David Legrand.
Si l’espace ne peut pas être visité par le public lors de ces journées portes ouvertes, d’autres chevaux sont eux disponibles à l’adoption ainsi que des chiens des chats et même des animaux de fermes. Les portes ouvertes de la SPA ce terminent ce dimanche 19 mai au soir.
Depuis 2014, ce refuge basé dans l’Orne à Pervenchères, offre une seconde vie à des équidés saisis sur décision de justice après des actes de maltraitance, dans un domaine d’une centaine d’hectares. La SPA renoue avec sa mission première qui était de protéger les chevaux maltraités par les cochers parisiens lors de sa création en 1845.
Dans le barns (écurie) des chevaux en soins, le vieux cheval Alex se lève le matin grâce à une potence installée dans son box. En face de lui, l’âne Oliver doit reprendre du poids avant d’être opéré d’une tumeur à la tête… Autant d’équidés que d’histoires tragiques contées avec émotion par le responsable du site, David Legrand.
Certaines font froid dans le dos, comme celle de la ponette blanche Lili qui va fêter ses 40 ans : « son propriétaire d’un coup de folie lui a crevé les yeux ».
La plupart des 200 chevaux, ânes et poneys, ont été saisis chez des particuliers « qui se laissent déborder » et des éleveurs « malveillants », raconte à l’AFP David Legrand.
Ils ont connu le pire, ils connaissent aujourd’hui le meilleur : ils gambadent la journée en liberté au pré en petit groupe et le soir se reposent au box avec de la paille et du foin en abondance.
David Legrand est aux petits soins de ses pensionnaires, aidé d’une vingtaine de soigneurs, palefreniers et une quarantaine de bénévoles.
Les vieux équidés et les malades « non adoptables » resteront jusqu’à la fin de leur vie au refuge. Les ânes et les poneys sont « facilement adoptés, les gens les adorent comme animaux de compagnie », dit-il.
En revanche, c’est plus compliqué de trouver un nouveau maître aux chevaux. « Les gens cherchent des montures pour faire des concours mais nos chevaux ne sont pas tous adaptés et n’ont pas de papiers. »
– Redonner confiance aux chevaux –
Dans un gigantesque barns, la pouliche Iguane, à la robe crème, née au refuge, partage son temps avec d’autres jeunes. Elle est encore un peu chétive, sa mère était sous-alimentée quand elle a pouliné. Iguane a été élevée au biberon et pourra un jour être adoptée.
Ce n’est pas le cas de la jument Fala, arrivée il y a 3 ans. Boiteuse, elle souffre de plusieurs pathologies, dont la maladie de Cushing, une maladie hormonale qui provoque des fourbures (maladie du sabot).
Comme elle, une centaine d’équidés ne seront pas proposés à l’adoption, à l’instar des inséparables aveugles Marcus et Titus qui se promènent tous les jours guidés par des soigneurs.
Un peu plus loin, dans l’écurie des « adoptables », la belle Céleste à la robe café au lait, secoue la tête. Un éthologue (éducateur) vient tous les matins faire l’éducation cette jument, retirée pour maltraitance.
« Je redonne confiance aux chevaux qui ont été traumatisés par l’homme. Je les travaille à pied avant de les monter. Ils ont peur de la main de l’homme qui parfois les a battus. Chaque cheval avance à son rythme, les jeunes apprennent vite », explique César Maunoury, éthologue qui « doit les rendre le plus pratique possible pour leur nouveau maître avec qui le contact devra toutefois passer ».
Il ne faut compter que 450 euros pour adopter un cheval mais les candidats sont triés. « On demande un terrain d’au moins un hectare par cheval avec un abri en dur et une surveillance quotidienne », indique David Legrand.
A l’accueil, l’agent animalier Virginie renseigne François Dupas. Son poney vient de mourir et son pur-sang s’ennuie seul dans son pré. « Je cherche un ou deux poneys calmes pour les sauver et faire de la place à d’autres malheureux! », espère-t-il.
Les services de la société protectrice des animaux (SPA) sont intervenus mardi 18 septembre, dès potron-minet, dans un village des environs du Merlerault, dans l’Orne, afin de prendre en charge en charge vingt-trois chiens et deux chats qui vivaient dans de mauvaises conditions.
Le propriétaire des animaux, un homme « déjà connu de la justice » mais aussi de la cellule anti-trafic de la SPA a été interpellé et « placé en garde à vue » , confirme Hugues de Phily, procureur d’Argentan. Le quadragénaire, qui n’était pas répertorié comme éleveur, tirait-il profit de la vente des chiots et des chats, comme le prétend la SPA ? L’enquête menée par les gendarmes de la compagnie d’Argentan-Alençon sera chargée de le déterminer.
Gale et tumeurs
L’intervention a nécessité la présence des équipes du service de protection animale, de plusieurs refuges de la SPA, de la gendarmerie et de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP).
C’est à la suite d’une réquisition de la gendarmerie, que la SPA a pu sauver ces animaux. Des rottweilers, bouledogues français, bull terriers, jack russell terriers, épagneuls du Tibet et deux chats ont été retrouvés « dans une maison insalubre, au milieu de leurs excréments, selon la SPA. D’autres animaux vivaient à l’extérieur, avec pour seul refuge un abri de fortune. Certains chiens avaient des yeux purulents, présentaient un mauvais état sanitaire et étaient notamment porteurs de la gale ou de tumeurs ».
Les animaux sont aujourd’hui en sécurité dans des structures qui pourront leur prodiguer tous les soins nécessaires et qui ne manqueront pas de sociabiliser les plus jeunes. En attendant la procédure judiciaire « pour laquelle la SPA se constitue partie civile », ils ne peuvent pas être proposés à l’adoption.
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