Table des matières
Bull Terrier : Le doux protecteur
Quelques conseils
Le bull terrier a certes un physique dissuasif mais si vous ne stimulez pas son agressivité, il n’est en aucun cas un chien dangereux. Bien au contraire, son équilibre est exceptionnel et vous pouvez accorder une totale confiance à votre compagnon velu, qui deviendra le meilleur ami de toute la famille.
Si vous adoptez un mâle, la stérilisation est recommandée. L’entente avec les autres quadripèdes n’en sera que plus cordiale. En règle générale, un mâle accepte sans difficulté la présence d’une femelle. Simplement, vous veillerez à ce que la jalousie ne fasse l’objet d’aucune discorde.
Très complice avec les enfants, il ne rechigne jamais pour participer à des séances de jeu. Pour autant, ne les laissez jamais sans surveillance, car votre compagnon à quatre pattes n’a pas conscience de sa puissante musculature. Il pourrait les bousculer dès lors que l’excitation devient trop importante. De plus, il tolère les comportements infantiles mais un peu moins d’être taquiné trop longtemps. Accueillir un english bull terrier est une immense responsabilité et votre tendre compagnon mérite tout simplement des propriétaires prévenants.
Bull terrier
Soin
Personnalité, caractéristiques et tempérament
Le Bull terrier est un mélange de puissance équilibrée, de grâce et d’agilité. Il désire la compagnie humaine, et son caractère et son individualité lui valent des amis pour la vie. Il est très dévoué à sa famille. Le Bull terrier possède un sens inné de l’humour, il est intelligent, a de l’imagination, de la personnalité, et pour ceux qui l’aiment, il est beau. Dans l’éventail de toutes les races de chiens, son apparence et son caractère sont uniques. Le caractère et la personnalité du Bull terrier sont très complexes.
Un Bull terrier est très actif et agira de la même manière avec un enfant, alors vous devez être préparé à tout, et vous devez le surveiller. L’activité est une caractéristique commune à presque tous les jeunes Bull terriers. Tous les chiots sont extrêmement occupés, et de nombreux Bull terriers restent actifs et joueurs jusqu’à tard (5 à 6 ans). Un Bull terrier ne sera pas heureux s’il doit rester longtemps seul à la maison ou dans un jardin.
Compatibilité avec les autres animaux domestiques
De nombreux Bull terriers peuvent apprécier la compagnie d’autres chiens, et l’apprécient, à certaines exceptions. En règle générale, les Bull terriers mâles qui n’ont pas été stérilisés ne s’entendent pas avec les autres mâles. Un mâle et une femelle Bull terrier peuvent vivre ensemble, et deux femelles peuvent souvent partager la même maison. Il faut faire attention que la jalousie ne naisse pas.
Soins
Un Bull terrier perd son pelage deux fois par an. Les poils morts peuvent être retirés par un brossage quotidien, en utilisant un gant spécial ou une brosse. Les griffes et les ergots doivent être vérifiés mensuellement et coupés avec un coupe-griffes pour chien. Les Bull terriers aiment profiter du soleil, il faut donc, pendant les mois les plus chauds, leur appliquer une protection solaire.
Un Bull terrier a besoin d’un jardin moyen à grand, grillagé, et il peut, exceptionnellement, être enchaîné ou attaché. Il a énormément besoin de compagnie humaine.
Même s’il est généralement en bonne santé, le Bull terrier peut être sujet aux allergies cutanées, en particulier celles causées par les morsures d’insectes. D’autre part, il faut contrôler que les chiots ne soient pas sourds.
Baxter (« N’obéissez jamais ! »)
Genre : fantastique, inclassable (interdit aux – 12 ans)
Année : 1989
Durée : 1h22
Synopsis : Baxter est un splendide Bull Terrier blanc. Ce chien a la particularité de penser et, à travers ses trois maîtres, il va se faire une opinion de l’espèce humaine.
La critique :
On reproche souvent (et à juste titre) au cinéma français de manquer d’insolence, d’originalité et d’outrecuidance. Pourtant, entre les années 1980 et 1990, plusieurs films français se démarquent de l’anomie générale. Tenue de Soirée (Bertrand Blier, 1986), Vibroboy (Jan Kounen, 1994), le trop méconnu 3615 Code Père Noël (René Manzor, 1990) ou encore I Love Snuff (Jean-Louis Costes, 1995) sont autant de films estampillés « cinéma français ».
Vient également s’ajouter Baxter, réalisé par Jérôme Boivin en 1989. Le long-métrage est également l’adaptation d’un roman de Kim Greenhall. Le scénario du film est écrit par un certain Jacques Audiard, encore méconnu à l’époque, mais qui triomphera (bien des années plus tard) avec Un Prophète (2009) et dernièrement Deephan en 2015 (pour ne citer que ceux-là).
Les chiens au cinéma… La plupart du temps, nos canins s’accointent, lutinent et sympathisent dans des productions consensuelles et destinées au jeune public. Dans d’autres films, ils sont les nouveaux adjoints et/ou compagnons de flics à la dérive (Chien de Flic, 1989). Mais parfois, le meilleur ami de l’homme sombre dans la psychopathie, la barbarie et le meurtre.
C’est par exemple le cas de Wilderness (Michael J. Bassett, 2007), Dressé pour Tuer (Samuel Fuller, 1982) ou encore de Cujo (Lewis Teague, 1983). Indubitablement, Baxter appartient à cette dernière catégorie. En outre, difficile de répertorier cet OFNI (objet filmique non identifié) dans un registre particulier. Baxter n’est pas vraiment un film d’horreur.
Le long-métrage a une consonance fantastique bien qu’il se déroule dans notre époque moderne et contemporaine. En réalité, Baxter pourrait presque s’apparenter à une analyse sociologique sur la vie quotidienne et le comportement des êtres humains, le tout sous le regard éberlué d’un cabot. La distribution du film réunit Maxime Leroux (qui vient prêter sa voix euphonique au canin), Lise Delamare, Jean Mercure, Jacques Spiesser, Catherine Ferran et Jean-Paul Roussillon.
Attention, SPOILERS ! Baxter est un splendide Bull Terrier blanc. Ce chien a la particularité de penser et, à travers ses trois maîtres, il va se faire une opinion de l’espèce humaine. Compagnon d’une vieille dame seule, il s’ennuie et la tue. Adopté par un jeune couple, il est délaissé à la naissance de leur bébé.
Enfin, recueilli par le jeune Charles, il découvrira en lui un maître violent et morbide… Attention, on tient ici un petit chef d’oeuvre d’irrévérence du cinéma français. « Méfiez-vous du chien qui pense… » : telle est l’accroche de l’affiche du film. Le long-métrage possède un scénario et un concept en « or » (si j’ose dire). En outre, le script fonctionne de manière régressive (la vieillesse, l’âge adulte et les prémices de l’adolescence). Ainsi, le film se divise en trois parties bien distinctes.
Dans la première, le chien est recueilli par une vieille femme au visage décati. Dans cette première section, c’est la peur qui domine. Ainsi, le film est régulièrement commenté par le canidé. Ses pensées sont à la fois archaïques et terriblement humaines : la joie, la colère et surtout cette volonté de trouver le maître ou la maîtresse qui saura se montrer à la fois attentif(ve) et implacable.
Mais c’est surtout cette tentative de soumission sur l’autre qui domine. Finalement, le maître n’est pas forcément celui que l’on croit. Et chaque section se terminera dans la mort ou dans la tentative d’assassinat. Jérôme Boivin s’infiltre dans les pensées du cabot de service et choisit de sonder la psychologie du canidé en mode autoscopique. Après la mort de la vieille dame, à priori accidentelle (mais le film émet de sérieux doutes sur la culpabilité de Baxter), le Bull Terrier est recueilli chez un jeune couple de trentenaires. La peur se transmute alors en bonheur et en joie de vivre.
C’est la seconde partie du film. Choyé et divinisé, le cabot coule des jours heureux. Mais ces moments de paix et de félicité sont bientôt contrariés par l’arrivée d’un nourrisson.
Baxter est alors prié de dormir dans le garage. Jaloux, retors et séditieux, le canidé tente de noyer le nouveau-né. Troisième et dernière section : Baxter est recueilli par Charles, un éphèbe passionné par Hitler, ses dilections avec Eva Braun et le Troisième Reich. Contre toute attente, c’est avec ce nouveau psychopathe en culotte courte que le chien va trouver son maître, celui qui ordonne, qui punit et le forme au combat. Dans chaque partie, Baxter subit et analyse toute la complexité des rapports humains.
Pour Jérôme Boivin, c’est l’occasion ou jamais de fustiger notre Humanité en déliquescence. Finalement, Baxter est surtout le reflet de nos pensées et pulsions primitives. Pensées et pulsions qui le dépassent, à l’image de ses satyriasis avec une jeune chienne. Baxter, c’est aussi ce questionnement et cette réflexion sur notre nature profonde, sauvage et animale (« N’obéissez jamais » claironne le cabot lors de sa locution finale). Si la forme élude volontairement toute effusion de sang, le fond est d’une violence inouïe. Indubitablement, Baxter est un film qui dérange, une oeuvre éminemment complexe, et qui mériterait sans doute un meilleur niveau d’analyse.
Note : 16/20
Pour rester en bonne forme physique et conserver un mental digne de sa race, le bull terrier a besoin de se dépenser.
Sans être un coureur de fond, le bull est un athlète et il lui faut de l’exercice. Tout jeune, il peut sembler infatigable: attention! Un chiot bull est souvent très enthousiaste et ne sait pas s’arrêter. Il est capable de courir et de jouer jusqu’à l’épuisement, ce qui a souvent valu quelques frayeurs à des propriétaires insouciants.
Surtout si votre bull terrier est avec un adulte, plus endurant que lui, n’hésitez pas à les séparer quelques temps afin que tout le monde retrouve son calme et que le plus jeune puisse se reposer.
Une fois adulte, le bull se calme progressivement. Du petit lutin actif 24 heures sur 24 (c’est du moins ce qu’il semble!), il se transforme en adulte plus » raisonnable « .
Chiot bull terrier blanc
Un bull a besoin de stimulation, d’activité, d’un maître à la hauteur. Offrez lui au minimum une promenade tous les jours, à moins qu’il ne dispose d’un jardin ou il peut s’ébattre à loisir. S’il n’a pas d’autre compagnie que celle de ses maîtres, c’est à eux que revient le devoir de jouer avec lui et de lui offrir une existence trépidante.
L’agility lui convient tout à fait et c’est le moyen idéal pour l’éduquer en douceur. Si vous êtes cavalier, il apprendra sans mal à suivre votre monture en promenade. A condition d’avoir de bonnes bases d’éducation, il vous est également tout à fait possible de l’atteler à un VTT ou de courir avec lui.
Les soins nécessaires
Le bull terrier est généralement un chien très actif. Sa curiosité et son goût du jeu font partie intégrante de son tempérament et lui causent parfois de graves ennuis.
Très fréquents chez le bull, les accidents liés à l’ingestion de corps étrangers. Une occlusion de l’oesophage ou de l’intestin peut causer la mort de votre chien: attention à ce que vous le laissez grignoter! Idéalement, un chiot ou un jeune chien ne devrait jamais être laissé seul avec des objets à risque. Dans la pratique, bien sûr, cette méthode de prévention est difficile à mettre en oeuvre: votre petit bull trouvera toujours de quoi s’amuser!
Même les jouets d’apparence indestructibles peuvent-être transformés en charpie par un bull suffisamment déterminé.
Bull terrier blanc adulte
» Ne sous-estimez jamais la puissance de ses mâchoires ! «
Il existe plusieurs gammes de jouets pour chiens costauds, des grosses balles en plastique dur qu’il fait rouler avec son nez aux os en nylon hyper-résistant, en passant par les pyramides de caoutchouc. Attention, acheter une imitation moins chère est toujours une fausse économie: la vie de votre chien est en jeu! Côté os à mâcher : seuls les gros os à moelle sont acceptables Les os en peau de boeuf, en cuir ou en aliment pressé ne sont pas prévus pour les mâchoires du bull. Prudence!
Son entretien régulier se limite à la taille des griffes si elles n’ont pas tendance à suffisamment s’user, au nettoyage des yeux et des oreilles avec des produits adaptés et à un coup de brosse de temps en temps. Il est utile d’habituer le chiot à ces manipulations dès son plus jeune âge, afin qu’il se laisse faire volontiers: s’il n’est pas d’accord une fois adulte, il sera très difficile de le maintenir immobile pendant ces diverses opérations!
Les yeux du bull ont parfois tendance à couler et un nettoyage quotidien avec un collyre nettoyant ou des lingettes imprégnées n’a rien de superflu.
La robe du bull terrier ne nécessite qu’un brossage de temps en temps. En période de mue, il peut être utile de brosser un peu plus souvent afin d’épargner votre intérieur. En effet, si le pelage court du bull ne fait pas de bourres ni de « moutons », il laisse quand même une multitude de petits poils durs et pointus qui se piquent partout et dont il est difficile de se débarrasser.
Avec son poil court, le bull terrier est étonnamment auto-nettoyant, même lorsqu’il est de robe blanche. Il peut rentrer de promenade couvert de boue pour retrouver une demi-heure après un aspect presque irréprochable. Un bain ou une douche de temps en temps ne lui fait pourtant pas de mal, à condition d’utiliser un shampooing adapté protéiné ou » spécial poil blanc » est idéal. Ce gros costaud a la peau sensible et il serait dommage de déclencher chez lui une réaction allergique par simple souci d’économie!
Les problèmes de santé propre au bull-terrier
Le bull terrier n’est pas un chien fragile. Son entretien est facile et son toilettage presque inexistant. Ce n’est pas pour autant qu’il faut négliger les soins courants ou ignorer les problèmes inhérents à la race.
La surdité : Bull Terrier blanc
Il ne s’agit pas à proprement parler d’une maladie, mais d’un défaut congénital héréditaire. Grâce à une sélection bien menée, peu de chiots bulls sont sourds de nos jours. Toutefois, le problème est loin d’avoir entièrement disparu et la vigilance est essentielle. La surdité viendrait au départ de la sélection du bull terrier pour sa robe blanche.
Le chiot naissant toujours sourd (ses oreilles ne sont pas encore » terminées « ), il faut attendre plusieurs semaines pour se prononcer. Un chiot qui est sourd à huit semaines (âge ou il peut quitter l’élevage pour se rendre chez ses nouveaux propriétaires) n’a que très peu de chances d’entendre un jour. Un test individuel est indispensable, car le chiot peut sembler réagir à un bruit alors qu’il ne fait que copier la réaction de ses frères et soeurs. Dans le doute, un examen plus poussé chez un vétérinaire peut s’avérer nécessaire. Un chien sourd ne peut pas être confirmé.
La peau :
» La peau est un véritable talon d’Achille
chez le bull terrier «
La peau de beaucoup de bull terriers est sensible et sujette à toutes sortes d’affections plus ou moins graves. Dans certains cas, ces sensibilités sont héréditaires. Les allergies (aux puces, aux acariens, aux pollens ou à certains aliments) sont très fréquentes et ne posent heureusement qu’assez peu de problèmes. Dans le cas d’une allergie aux puces, l’unes des plus courantes, une prévention plus poussée sera recommandée. Un traitement symptomatique (lotion) et un antihistaminique soulagera le chien.
Le coeur :
Hérités de son ancêtre Bulldog, les problèmes cardiaques ont une fréquence modérée chez le bull: du petit souffle au coeur presque indétectable qui n’affecte pas ou peu la vie du chien à de plus graves malformations nécessitant parfois une opération, toujours coûteuse.
En principe, une simple auscultation suffit à écarter ou non le risque de malformation et à aiguiller le vétérinaire sur la poursuite des tests (électrocardiogramme, voire echo-cardiographie) en cas de doute.
Il est recommandé de refaire les tests plusieurs fois dans la vie du chien, certains problèmes ne se manifestant qu’à l’âge adulte.
Les articulations :
Un autre point faible chez le bull. Les affections congénitales sont notamment relativement fréquentes, mais certains problèmes peuvent résulter d’un traumatisme ou d’une mauvaise alimentation. En fait, dans la plupart des cas, les causes sont multiples: sensibilité héréditaire, alimentation trop supplémentée en calcium et traumatisme, par exemple.
La dysplasie de la hanche, qui affecte beaucoup de grandes races, n’épargne pas le bull terrier.
La luxation de la rotule est une affection qui touche principalement les petites races… et le bull terrier!
Les yeux du bull terrier miniature :
Le bull miniature souffre parfois d’une maladie héréditaire qui affecte les yeux et rend le chien progressivement aveugle.
Robustesse : le Bull terrier est un chien robuste physiquement
Son histoire
Le Bull terrier est issu d’un croisement datant du 18ème siècle entre le Bulldog-Anglais et une race aujourd’hui disparue, le White English terrier. Le Bull Terrier vient d’Angleterre. Utilisé principalement en tant que chien de combat, cette race de chien a failli disparaître quand les combats entre animaux ont été interdits. Il connut finalement un essor au 19ème siècle pour finalement être principalement sélectionné pour la compagnie. En France, la race fut reconnue en 1943.
Son caractère
Le Bull terrier a du caractère tout d’abord parce que c’est un terrier, cela signifie qu’il doit être déterminé et ne pas redouter l’effort physique et la détermination mentale. C’est pourquoi on entend souvent dire du Bull terrier qu’il a la “tête dure”. Par ailleurs, même si le Bull Terrier n’est plus utilisé comme chien de combat et que la sélection de cette race ne se fait plus sur ces critères, le Bull terrier reste particulièrement brusque et physiquement imposant.
Son éducation
L’éducation du Bull terrier est tout à fait possible, à condition de s’adapter à cette race et à la sensibilité du chien que vous adopterez. Pouvant se montrer “déterminé” il sera nécessaire d’être cohérent et rigoureux. Rien ne servira de se montrer brutal ou violent.
Pour finir, comme pour toutes les races de chien, trouver le bon dosage et commencer l’éducation de son chien dès son adoption permettra d’éviter les problèmes. Malgré tout, sachez qu’il sera possible de revenir sur une mauvaise éducation peu importe l’âge de votre chien, mais autant démarrer avec de bonnes bases dès le départ !
Ses éventuels problèmes de santé
Le Bull terrier peut montrer plusieurs problèmes de santé :
- La surdité, comme beaucoup de chiens à la robe exclusivement blanche, le bull terrier peut être atteint de surdité. Ce problème physique est lié à un défaut héréditaire et il est possible de faire subir un test de dépistage aux parents et aux chiots pour repérer ce trouble physique.
- Dysplasie des hanches : le Bull terrier est une race de chien qui peut présenter ce trouble, il peut aussi avoir des problèmes de luxation de la rotule, ainsi que divers problèmes articulaires.
- Problèmes de peau, surtout visible chez les chiens à la robe blanche.
- Problèmes cardiaques, lié à ses origines avec le bulldog.
- Problème rénaux.
BULL TERRIER tous types
Race du chien Bull Terrier il est originaire de Grande Bretagne
Le Bull Terrier est un chien de terrier
Traits principaux du caractère et du comportement de cette race obstiné et courageux il faut parfois contrôler et canaliser son enthousiasme et sa jovialité il est assez obéissant et possède un tempérament uniforme.
Chien de taille moyenne en précisant qu’il existe un type de Bull Terrier miniature
Aspect physique Silhouette respire la force et la puissance, parfaitement musclé il est bien proportionné. Originalité et facilement reconnaissable avec son chanfrein plongeant sur une forme de tête ovoïde. Physiquement les différences sont importantes et bien marquées entre les sexes
Démarche Allure particulière et reconnaissable avec de grandes enjambées régulières prompte et agile
Proportions du corps : Rapport hauteur au garrot longueur du corps
Hauteur et poids de cette race : il n’y a pas de limite, la taille doit être en rapport avec la musculature et la substance, l’ensemble proportionnelle au sexe
Pelage robe poil relativement court il est aplati au toucher dur et bien luisant, présence de sous poils doux et plus important en hiver
Couleur soit blanc pur ou coloré dans ce cas le blanc doit être sous dominant. Bringé noir rouge, feu fauve, le pelage peut également être tricolore.
Au final, le prix d’un chiot Bull Terrier LOF est conséquent, mais il tient compte de tout cet ensemble.
Globalement, en France, le prix moyen d’un chiot Bull Terrier tourne entre 1300 et 1500 euros. En 2006, quand nous avons acheté Betty, notre première Bull, son prix était à 1300 euros et c’était il y a plus de 10 ans.
Si le prix n’a pas trop augmenté en France, par contre, ce qui a augmenté depuis peu, c’est le nombre d’élevages. Nous ne pouvons que conseiller, aux futurs adoptants/acheteurs, d’être attentifs dans leurs recherches (tests de santé effectués sur les parents et les chiots, se déplacer sur le lieu de l’élevage pour voir dans quelles conditions sont et vivent les chiens, voir les géniteurs etc.).
A la maison, le prix d’un chiot tient compte de tout ce qui a été énoncé plus haut. si nous utilisons un mâle extérieur à la maison (sur-plus parfois très important, avec le coût du déplacement et le coût de la saillie, Grande-Bretagne par exemple), le prix d’un chiot est un peu plus élevé que si nous utilisons le mâle de la maison. Le prix est donc fonction de tout un ensemble de critères. Il tourne, en moyenne, autour de 1500 / 1600 euros pour un chiot de la famille Bull’s Den.
Si le chiot a un souci (surdité unilatérale, problème de testicule, persistance de la membrane pupillaire etc.) qui empêcherait sa confirmation ou la reproduction (mais pas du tout une vie de parfait animal de compagnie), il est vendu moins cher, voire parfois placé contre bon soins à tout petit prix, avec comme condition la stérilisation. Ces soucis n’arrivent pas souvent, mais il faut les detecter et les signaler à l’adoptant.
N’hésitez pas à me contacter pour tout renseignement.
Un appel téléphonique n’engage à rien.
Standard FCI N°11 (12/01/2009)
TRADUCTION : Prof. R. Triquet.
ORIGINE : Grande Bretagne
DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D’ORIGINE EN VIGUEUR : 04.11.2008.
UTILISATION : Terrier.
CLASSIFICATION F.C.I. :
Groupe 3 – Terriers.
Section 3 – Terriers de type bull.
Sans épreuve de travail.
ASPECT GENERAL :
ASPECT GENERAL : Bâti en force, musclé, bien proportionné et actif, l’expression est vive, résolue et intelligente. Courageux, plein de vivacité, avec un caractère enjoué. Il est unique par son chanfrein descendant et sa tête ovoïde. Quelle que soit sa taille, les caractères sexuels des mâles et des femelles doivent être bien marqués.
COMPORTEMENT / CARACTERE :
De tempérament égal, il est soumis aux ordres. Bien qu’obstiné, il est particulièrement gentil avec les gens.
TETE :
Elle est longue, forte et pleine de substance jusqu’au bout du museau, mais elle n’est pas grossière. Vue de face elle est ovoïde et parfaitement remplie, sa surface étant exempte de creux ou de dépressions. Le profil s’incurve doucement vers le bas, du sommet du crâne à la truffe.
REGION CRANIENNE :
– Crâne : La partie supérieure du crâne est presque plate d’une oreille à l’autre.
REGION FACIALE :
– Truffe : Noire; à l’extrémité, elle est inclinée vers le bas. Les narines sont bien développées.
– Lèvres : De lignes pures, serrées.
– Mâchoires/dents : La mâchoire inférieure est forte et épaisse. Les dents sont saines, nettes, fortes, de bonne taille et régulièrement implantées. Elles offrent un articulé parfait, régulier et complet en ciseaux, c’est-à-dire que les incisives supérieurs recouvrent les inférieures dans un contact étroit implantées à l’équerre par rapport aux mâchoires.
– Yeux : Les yeux paraissent étroits, disposés obliquement, triangulaires, bien placés dans les orbites, noir ou d’un brun aussi foncé que possible de façon à paraître presque noirs; ils ont un éclat perçant. La distance de la truffe aux yeux doit être sensiblement supérieure à celle des yeux à l’occiput. Les yeux bleus en totalité ou en partie sont un défaut.
– Oreilles : Petites, minces, rapprochées; le chien doit pouvoir les tenir bien droites et elles doivent alors se dresser bien verticalement.
COU :
Le cou est très musclé, long, avec un profil supérieur galbé. Il va en s’amincissant des épaules vers la tête, il est exempt de fanon.
CORPS :
Bien arrondi avec des côtes bien cintrées; du garrot à la région sternale, la hauteur de la poitrine est grande, de sorte que celle-ci est plus près du sol que le ventre.
– Dos : Court et fort. La ligne du dessus est horizontale derrière le garrot. Elle forme une courbe ou arcure légère sur le rein.
– Rein : Large et bien musclé.
– Poitrine : Vu de face, le poitrail est large.
– Ligne du dessous : De la région sternale au ventre, elle s’incurve gracieusement vers le haut.
QUEUE :
Courte, attachée bas, portée horizontalement. Epaisse à la base, elle s’amenuise en une fine pointe.
MEMBRES :
MEMBRES ANTERIEURS :
Les membres antérieurs doivent avoir l’ossature ronde la plus forte et la plus robuste de façon que le chien soit solidement planté. Ils offrent un parallélisme parfait.
Chez le chien adulte, la longueur des antérieurs, du coude au sol, doit être approximativement égale à la hauteur de poitrine.
– Epaules : Fortes et musclées sans être chargées. Les omoplates sont larges, plates et bien attachées contre la paroi thoracique. Elles doivent présenter de bas en haut une très nette inclinaison vers l’arrière de leur bord antérieur, en formant un angle presque droit avec le bras.
– Coudes : Tenus droits et solides.
– Métacarpes : D’aplomb.
MEMBRES POSTERIEURS :
Les membres postérieurs sont parallèles lorsqu’ils sont vus de derrière.
– Cuisses : Musclées.
– Grasset : Bien coudé.
– Jambes : Bien développées.
– Jarret : Bien angulé.
– Métatarses : Courts et forts.
PIEDS :
Les pieds sont ronds et compacts; les doigts sont bien cambrés.
ALLURES :
En action, le chien donne l’impression d’être bien soudé, couvrant le terrain d’une allure régulière et facile à grandes enjambées dégagées, d’un air preste qui lui est caractéristique. Au trot, les membres se déplacent en restant parallèles, qu’ils soient vus de face ou de derrière; ils ne convergent vers une ligne médiane que lorsque la vitesse augmente. Les antérieurs ont une bonne extension et les postérieurs, par leur action régulière au niveau des hanches et la bonne flexion des grassets et des jarrets, donnent beaucoup d’impulsion.
PEAU :
Elle épouse parfaitement la forme du corps.
ROBE :
POIL : le poil est court, plat, uni, dur au toucher et bien luisant. Le chien peut présenter en hiver, un sous-poil de texture douce.
COULEUR : Chez les chiens blancs, la robe est d’un blanc pur. La pigmentation de la peau et les marques en tête ne constituent pas des défauts. Chez les chiens de couleur, la couleur doit prédominer sur le blanc. A égalité des autres points, le bringé doit avoir la préférence. Le noir, le bringé, le rouge, le fauve et la robe tricolore sont admis. La robe blanche mouchetée ou truitée est un défaut. La robe bleue et la robe foie (marron) sont à rejeter.
TAILLE ET POIDS :
Il n’y a pas de limite de poids ni de taille.
Le chien doit donner l’impression d’avoir le maximum de substance par rapport à sa taille, en tenant compte de la qualité du sujet et du sexe.
DEFAUTS :
Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien.
Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d’ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d’aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
Bull Terrier MINIATURE
Le standard est le même que celui du bull-terrier à l’exception des points suivants :
POIDS ET TAILLE :
La hauteur au garrot ne doit pas excéder 14 pouces (35,5 cm).
Le chien doit donner l’impression d’avoir de la substance par rapport à la taille.
Il n’y a pas de limite de poids. Dans tous les cas, le chien doit être bien proportionné.