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Points forts :
. L’identification par tatouage ou puce électronique est légalement obligatoire pour tous les chats de plus de sept mois.
. En dehors de ce côté obligatoire, il s’agit quand même du meilleur moyen de retrouver son chat s’il se perd, ou de prouver qu’il vous appartient en cas de vol ou de litige.
. Le tatouage se fait généralement dans l’oreille droite. Comme il demande une anesthésie générale, on profite souvent de la stérilisation à l’âge de six mois, pour tatouer son chat. Il présente l’avantage d’être immédiatement visible.
. La puce électronique s’implante à gauche de l’encolure, le plus souvent sous sédation. (Ou là aussi, à l’occasion d’une stérilisation). Le numéro ainsi attribué ne peut ni s’effacer ni se falsifier, mais il n’est pas immédiatement visible. Pour les chats identifiés depuis Juillet 2011, il s’agit du seul mode d’identification permettant de passer une frontière avec son animal.
. ET SURTOUT, SURTOUT… En cas de déménagement, ou même de changement de numéro de téléphone, bien penser à retourner la carte d’identification de votre chat au fichier central, après avoir complété la partie réservée à cet effet, en indiquant les modifications survenues : c’est peut-être l’information la plus importante à retenir de la lecture de cette page !
Alors vraiment, très important : VÉRIFIEZ LA CARTE D’IDENTIFICATION DE VOTRE CHAT, ET FAITES LES MISES À JOUR SANS ATTENDRE !!
. Les tarifs des identifications sont consultables par ici, et le même article en version « chien » est consultable par là !
ET POURQUOI JE L’IDENTIFIERAIS MON CHAT ?
D’abord, parce que c’est légalement obligatoire !
Jusqu’à début 2012, L’identification était obligatoire pour tout chat vendu, ou cédé à titre gratuit (et à la charge de la personne cédant le chat). Ce qui veut dire que tous les chats de France et de Navarre, en dehors de ceux nés à la maison ou trouvés dans la campagne, auraient déjà dû être identifiés par tatouage ou par puce électronique.
Depuis début 2012, la loi n°2011-525 du 17 mai 2011 – art. 28 rend en outre obligatoire l’identification de tout chat de plus de sept mois, né après le 1er janvier 2012. (Ceux nés avant devant tout de même être identifiés s’ils ont été vendus ou donnés, comme d’habitude). Tout chat adulte de plus de sept mois né après le 01/01/2012 et non identifié est donc considéré, aux yeux de la loi, comme n’ayant pas de propriétaire.
L’identification est aussi indispensable pour pouvoir vacciner son chat contre la rage.
Donc, difficile d’y échapper : au regard de ces différentes lois, la plupart des chats devraient, aujourd’hui, être identifiés.
Il est, certes, tout assez peu probable que votre chat soit contrôlé, et que vous vous trouviez verbalisé pour défaut de tatouage ou de puce électronique. Est-ce à dire qu’il ne faut pas identifier votre chat ? surtout pas, car l’identification présente d’autres intérêts majeurs :
Le premier et le plus évident est de retrouver votre animal s’il se perd, ou s’il est retrouvé accidenté sur le bord de la route : vous serez prévenus en quelques minutes, après l’arrivée de votre chat, trouvé ou blessé, chez un vétérinaire ou dans un refuge (vidéo ci-dessous).
La connection au fichier national d’identification des carnivores domestiques (i-cad) permet de retrouver en quelques minutes les coordonnées du propriétaire d’un animal tatoué ou porteur d’une puce électronique, quelle que soit sa provenance géographique… sur le territoire national. (Il n’existe malheureusement pas encore de fichier européen). Notons que si l’animal a été identifié chez nous, la recherche est encore plus rapide en passant par le moteur de recherche du fichier informatique de la clinique.
Nous connaissons plusieurs cas de chats (ou de chiens) retrouvés parfois des années après leur disparition, et à des centaines de kilomètres de chez eux, grâce à l’identification. Sans cette dernière, les animaux n’auraient jamais été retrouvés, et leurs propriétaires auraient passé des années à se demander ce que leur chat avait bien pu devenir, sans jamais obtenir de réponse (voir les photos ci-dessous pour une expérience personnelle, et suivre ce lien pour un autre exemple).
Par ailleurs, beaucoup de chats étant des rôdeurs qui fréquentent plusieurs maisons, un tatouage bien visible dans l’oreille indiquera à une personne qui voit arriver un chat chez elle, que l’animal appartient déjà à quelqu’un, qu’il est probablement stérilisé (cela évite d’opérer une deuxième fois, pour rien, une chatte déjà stérilisée), et qu’il serait bien de retrouver ses propriétaires, plutôt que d’inciter l’animal à s’installer à la maison… ou de l’envoyer directement à la fourrière !
Voici Boule, trois ans, disparue à Lyon à l’âge d’un an et demi, alors qu’elle y accompagnait sa maîtresse. Un an et demi plus tard, Boule a été retrouvée, grâce à son tatouage dans l’oreille (photo de droite), parmi des chats errant autour d’un hôpital lyonnais. Elle est aujourd’hui de retour à Calvisson, pour la plus grande joie de sa maîtresse qui la croyait perdue pour de bon !
Autre belle histoire : Luna s’est enfuie des bras de sa propriétaire sur le parking d’une clinique vétérinaire assurant les urgences, dans le quartier de Près d’Arènes, pour ceux qui connaissent Montpellier. Quatre mois et demi plus tard, elle a été retrouvée grâce à son tatouage du côté de Lattes, (toujours pour ceux qui connaissent le coin), donc après avoir traversé l’autoroute (!), par une famille qui l’a nourrie pendant une semaine avant de pouvoir l’approcher. Sur la photo, Luna un peu fatiguée, mais tout de même capable de galoper dans la salle de consultation, une heure après avoir été récupérée par sa maîtresse.
Si un chat perdu est amené à la fourrière, conformément aux articles L. 211-25 et L. 211-26 du Code Rural, il sera conservé huit jours ouvrés et francs, pendant lesquels son propriétaire sera recherché, si le chat est identifié par tatouage, puce électronique, ou par un simple collier avec médaille. À l’issue de ce délai, l’animal est considéré comme abandonné et devient la propriété du gestionnaire de la fourrière, qui peut en disposer : conservation dans le refuge dans la limite des capacités d’accueil, placement par l’intérmédiaire d’une société de protection animale… ou malheureusement, euthanasie.
Notons que si le chat n’est ni tatoué ni identifié par puce électronique, il ne pourra sortir de la fourrière et être remis à son propriétaire qu’après avoir été identifié conformément à l’article L. 214-5, les frais de l’identification étant alors à la charge du propriétaire.
Autre intérêt de l’identification, auquel on ne pense pas toujours : la possibilité, en cas de litige, de prouver que votre chat… est bien votre chat ! Animal volé que vous retrouvez dans le jardin du voleur, ou plus souvent chat qui fréquente une autre maison où l’on a fini par se l’approprier… Sans oublier les divorces ! il n’y a pas que les enfants dont on se dispute la garde, et celle ou celui dont le nom apparaît sur la carte d’identification partira avec le chat. Attention donc à cela (aussi) avant de divorcer… ou de se marier !
Dans le même ordre d’idée, il est très mignon d’enregistrer l’identification du minou au nom de sa petite maîtresse de six ans, mais il faut bien penser qu’en cas de litige quel qu’il soit, ce sont les coordonnées portées sur la carte d’identification qui auront force de loi : mieux vaut donc enregistrer l’animal au nom d’une personne adulte, et responsable de l’animal.
BON, OK, JE L’IDENTIFIE… PAR TATOUAGE ?
Le tatouage est réalisé dans l’oreille droite, sous anesthésie générale, à l’aide d’un dermographe (photo de droite), comme pour les tatouages sur la peau des humains… sauf que l’on va tatouer des lettres et des chiffres, plutôt qu’un motif Maori ou un papillon.
Une anesthésie générale étant nécessaire, le tatouage se fait généralement à l’occasion d’une autre intervention de convenance qui nécessite, de toute façon, que le chat soit endormi : castration des mâles ou ovariectomie des femelles, détartrage, petite chirurgie cutanée… (photos et vidéo ci-contre et ci-dessous : tatouage d’un chat, à l’occasion d’une castration). Le législateur a visiblement tenu compte de cette possibilité, en rendant l’identification obligatoire à partir de sept mois, sachant que la plupart des matous et des minettes sont stérilisés autour de six mois. Le tatouage au dermographe reste habituellement lisible, mais il tient parfois moins bien chez le chat que chez le chien.
Quels sont les avantages et les inconvénients du tatouage, par rapport à la puce électronique ?
Principal avantage : la lisibilité immédiate.
Comme indiqué plus haut, beaucoup de chats vagabondent de maison en maison. Quelqu’un qui voit un chat arriver chez lui et miauler lamentablement devant sa porte risque d’être tenté, et c’est louable, de l’adopter ou d’essayer de le placer, en pensant qu’il est perdu. Si un beau tatouage est nettement visible dans l’oreille du chat (photo de gauche), on saura d’emblée qu’il appartient à quelqu’un. On pourra alors le restituer à ses maîtres s’il était réellement perdu, ou bien le laisser continuer à vaquer s’il habite deux maisons plus loin et fait simplement son petit tour dans le quartier.
Inconvénients du tatouage :
– Il peut parfois s’effacer au fil des années, chez le chat plus que chez le chien, et plus encore en cas d’otites à répétition, qui conduisent à un épaississement de la peau du pavillon. Et un tatouage à moitié effacé tout au fond de l’oreille d’un chat qui ne se laisse pas faire… n’est pas toujours facile à déchiffrer ! Si vous vous trouvez dans cette situation, n’hésitez pas à montrer le chat égaré à votre vétérinaire, qui est habitué à la fois au déchiffrage des tatouages, et à la contention des chats.
– Depuis le 3 juillet 2011, les animaux de compagnie (chats, chiens, furets) qui voyagent dans l’Union européenne (UE) doivent être munis d’une puce électronique : le tatouage n’est plus suffisant, s’il a été réalisé après le 3/07/11. (Les animaux identifiés par tatouage avant cette date peuvent continuer à voyager dès lors que le tatouage reste facile à lire, sauf en Irlande, à Malte et au Royaume-Uni où la puce électronique est exigée. Plus de détails en cliquant ici).
– Et bien sûr, une anesthésie est nécessaire. Mais comme l’immense majorité des chats est stérilisée et que cela se fait forcément sous anesthésie, il ne s’agit pas là d’un facteur limitant : le tatouage peut facilement se faire le jour de la stérilisation.
Les tarifs des tatouages sont consultables ici.
… OU PAR PUCE ÉLECTRONIQUE ?
La puce électronique (transpondeur) est un petit dispositif de la taille d’un grain de riz, qui s’implante sous la peau du chat, à l’aide d’une seringue munie d’une grosse aiguille (photos ci-dessous). Bien que de gros diamètre, l’aiguille est remarquablement affutée. On peut donc parfois réaliser l’injection sur le chat vigile, si l’animal est stoïque, mais une sédation est tout de même préférable dans la plupart des cas… sauf si, comme nous l’avons vu précédemment pour le tatouage, le transpondeur est implanté à l’occasion d’une castration ou d’une ovariectomie, alors que le chat est déjà endormi. Le site d’injection est la gouttière jugulaire gauche, donc au milieu de l’encolure gauche. Dans d’autres pays, la puce est implantée entre les omoplates, ou à droite de l’encolure.
La puce électronique est détectée par toute personne habilitée (vétérinaire, gendarme, membre d’un refuge…), à l’aide d’un lecteur que l’on promène sur l’encolure du chat (photo en tête de l’article) : dans la gouttière jugulaire gauche en priorité, mais aussi entre les omoplates et à droite de l’encolure, comme indiqué plus haut. Lorsque le lecteur détecte un transpondeur, il émet un sifflement, et le numéro du transpondeur s’affiche sur son écran.
Photos ci-dessus : implantation d’une puce électronique dans la gouttière jugulaire gauche d’une jeune chatte, déjà anesthésiée pour une stérilisation, à la clinique vétérinaire de Calvisson. Ci-dessous : la même intervention en live sur Oscar, anesthésié pour sa castration. Il est plus pratique de profiter d’une anesthésie pour mettre en place le transpondeur sur un chat, mais comme l’aiguille permettant d’implanter la puce, quoique de gros diamètre, est aussi très effilée, il est souvent possible de réaliser cette opération sur un chat vigile, ou seulement légèrement sédaté.
La procédure veut que l’on vérifie d’abord l’absence d’une puce déjà implantée, ou de tout ce qui pourrait interférer avec la lecture. Si le lecteur ne détecte rien, le transpondeur est mis en place, aussi loin que possible du point d’entrée de l’aiguille (tunnelisation), afin qu’il ne risque pas de ressortir. On vérifie ensuite si la puce se lit facilement, si le numéro s’affiche correctement… et si c’est bien le bon numéro !
Pour information, il s’agit d’un numéro à quinze chiffres :
– les trois premiers correspondent au pays (250 pour la France)
– les deux suivants à l’espèce animale (26 pour chiens-chats-furets)
– les deux suivants au laboratoire qui a fabriqué le transpondeur
– et les huit derniers à l’identification du chien, en tant que telle.
Quels sont les avantages et les inconvénients de la puce électronique, par rapport au tatouage ? Eh bien en gros, le contraire des avantages et des inconvénients du tatouage, par rapport à la puce électronique :
Au rayon des avantages :
. La facilité d’implantation, sous une simple sédation, ou lors de la castration ou de l’ovariectomie, pratiquée chez quasiment tous les chats domestiques.
. Le caractère inerte sous la peau, ineffaçable (ce qui arrive avec le tatouage dans les oreilles de chat), infalsifiable (ou très difficilement !)
. La facilité de lecture par rapport au tatouage, chez un chat à moitié sauvage qui n’aura peut-être pas envie de se faire tripoter l’oreille.
. Pour les animaux identifiés depuis juillet 2011, la puce électronique est le seul moyen d’identification reconnu pour passer une frontière, et le fichier est mondial… au moins en théorie.
Le gros inconvénient : tout le monde ne sait pas qu’il existe des puces électroniques, et il est rare qu’une personne qui voit traîner un chat autour de sa maison ait le réflexe de l’amener à la police municipale ou chez un vétérinaire, dans le but de faire rechercher un transpondeur. Cet inconvénient s’estompera au fur et à mesure que les années passeront, et que de plus en plus de gens seront informés de l’existence des puces électroniques ; le réflexe commence à venir pour les chiens… mais en ce qui concerne les chats, ce n’est pas pour tout de suite ! Signalons tout de même que l’implantation du transpondeur s’accompagne de la délivrance d’une médaille à accrocher au collier (si tant est que le chat ait un collier), et qui dit : « je suis porteur d’une puce électronique ».
Autre inconvénient, qui reste pour l’instant marginal, mais qui peut donner lieu à discussion : on sait depuis quelques années que certains chats, génétiquement prédisposés, peuvent fabriquer des tumeurs de la peau souvent sévères (fibrosarcomes), en cas d’inflammation du tissu sous-cutané : l’inflammation peut être déclenchée par n’importe quelle injection (voir la discussion à ce sujet dans la rubrique Vaccination), par une blessure, une morsure, un plomb de carabine à air comprimé… et pourquoi pas un transpondeur ? Pour l’instant, les cas décrits sont rarissimes, au regard du nombre de chats pucés. En ce qui concerne les injections, on sait qu’il faut absolument éviter la région interscapulaire (entre les omoplates) chez le chat, zône riche en tissu conjonctif qui favorise le développement des fibrosarcomes. L’implantation dans la gouttière jugulaire gauche répond à cet impératif.
Attention ! contrairement à ce que certains peuvent penser, la puce électronique n’est pas un système de géolocalisation, sorte de balise Argos qui va vous donner par satellite les coordonnées GPS de votre chat, parti en vadrouille depuis une semaine. De tels systèmes existent, mais ils sont encore peu répandus, et demandent un dispositif (collier) plus encombrant, et un abonnement. La puce électronique n’a pas d’autre ambition que d’indiquer le numéro d’identification de votre chat quand on passe un lecteur à côté, de même que le lecteur de codes barres du supermarché indique le prix de la plaquette de beurre quand vous passez à la caisse. Ni plus, ni moins.
Les tarifs d’implantation d’une puce électronique sont consultables ici.
TATOUAGE OU TRANSPONDEUR, ACTUALISEZ VOS DONNÉES !
Et maintenant, le plus important pour la fin :
SURTOUT, SURTOUT… En cas de déménagement, ou même de changement de numéro de téléphone, bien penser à retourner la carte d’identification de votre chat au fichier central, après avoir complété la partie réservée à cet effet, en indiquant les modifications survenues : c’est sans doute l’information la plus importante à retenir de la lecture de cette page !
Il arrive en effet très régulièrement que l’on nous amène des chats perdus ou accidentés, avec un beau tatouage bien lisible, une belle identification électronique… on se dit qu’on aura retrouvé les propriétaires en moins de cinq minutes… et puis on obtient une adresse située à 500 km du Gard, plus personne ne répond au numéro de téléphone indiqué, et à cause de cette négligence, ce chat va partir à la fourrière où il sera peut-être euthanasié.
Alors vraiment, très important :
VÉRIFIEZ LA CARTE D’IDENTIFICATION DE VOTRE CHAT, ET FAITES LES MISES À JOUR SANS ATTENDRE !!
Table des matières
- Identification du chat : tatouage ou puce électronique ? Comment choisir ?
- Pourquoi faire identifier son chat ?
- Identification par tatouage ou par puce électronique : laquelle choisir ?
- Conclusion : tatouage ou puce électronique ?
- Tatouer votre chat, avantages et inconvénients
- Prise en charge du tatouage par l’assurance santé de votre chat
- L’implantation de la puce électronique des animaux fait controverse
- Qu’est-ce que l’identification ?
- La puce électronique
- Les avantages de la puce électronique
- L’identification est obligatoire
- Pourquoi identifier son animal
- Plus de puces, moins de tatouages
- Un système évolutif
- Faire identifier son chien ou son chat, une précaution indispensable
Identification du chat : tatouage ou puce électronique ? Comment choisir ?
Depuis début 2012, l’article 28 de la loi n°2011-525 du 17 mai 2011 rend obligatoire l’identification de tout chat de plus de sept mois, né après le 1er janvier 2012. Cela signifie tout simplement que tout chat doit recevoir un matricule, qui le reliera directement à son propriétaire auprès de la SCF (Société Centrale Féline).
Il existe deux manières de faire identifier son chat : par tatouage, un procédé de moins en moins utilisé de nos jours mais qui est toujours possible et légal, ou bien par puce électronique, la manière la plus fréquente d’identifier son chat depuis plusieurs années.
Une fois l’identification faite, le propriétaire du chat recevra une carte d’identification, qui lui servira comme une carte d’identité du chat, qu’il faudra garder très précieusement. Mais quels sont les intérêts de faire identifier son chat, et laquelle des deux méthodes utiliser ? Toutes les réponses à ces questions dans cet article.
Pourquoi faire identifier son chat ?
La principale utilité de faire identifier son chat apparait en cas de perte. En effet, si un matou un petit peu trop curieux se perd dans la nature et qu’il est retrouvé, que ce soit par un particulier qui l’emmène chez un vétérinaire ou aux services de police, ou même par la fourrière, son identification, qu’elle soit faite par tatouage ou par puce électronique pourra permettre de retrouver son propriétaire via les coordonnées reliées à celle-ci (adresse, numéro de téléphone, etc.)
Il sera donc très important de mettre à jour les informations auprès de la Société Centrale Féline concernant le maître à chaque changement de situation, comme un déménagement, ou bien lors de la cession du chat si cela à lieu. Vous pouvez mettre à jour ces informations directement sur le site officiel de la SCF, ou bien chez votre vétérinaire.
En cas de vol, l’identification est également très utile. Si une personne, un voisin par exemple, décide de s’approprier votre chat qui a tout simplement l’habitude de faire ses promenades dans son jardin, vous pouvez avoir recours à la justice, en prouvant l’appartenance de votre chat à l’aide de sa carte d’identification. Cela peut également fonctionner lors d’un divorce, si les deux parties ne parviennent pas à se mettre d’accord concernant la garde du chat.
Identification par tatouage ou par puce électronique : laquelle choisir ?
L’identification par tatouage et l’identification par puce électronique sont deux manières différentes d’identifier son chat. Mais laquelle est la plus efficace ? Quels sont leurs qualités et leurs défauts à chacun ?
L’identification du chat par le tatouage
L’identification par le tatouage est la plus ancienne méthode d’identification d’un chat, qui date d’une époque où l’informatique n’existait pas encore. Ce procédé d’identification est pratiqué sous anesthésie générale. Il sera fait le plus souvent sur l’oreille droite, mais certains vétérinaires préfèrent le faire sur l’oreille gauche ou même sur l’intérieur d’une cuisse.
Comme l’obligation de faire identifier son chat ne commence qu’à partir de ses sept mois, on profite souvent de l’anesthésie générale pratiquée pour la stérilisation, que l’on fait faire généralement dans ces âges là également, pour faire le tatouage. Du fait des deux opérations sous une même anesthésie, le chat en sort généralement chamboulé, mais il n’aura au moins pas souffert.
Le tatouage présente un avantage majeur par rapport à la puce électronique : il est visible à l’œil nu, alors que la puce électronique n’est pas directement visible puisqu’elle est insérée sous la peau.
Cela permet à n’importe qui croisant un chat perdu de voir que le chat est identifié, qu’il a donc très probablement un maître, et ainsi de l’emmener chez un vétérinaire pour retrouver ce dernier.
Malheureusement, l’identification par le tatouage présente également de gros inconvénients. Tout d’abord, il s’efface avec le temps. Ainsi, un chat âgé peut être identifié avec un tatouage devenu presque illisible, et donc quasiment inutile. En cas de problèmes d’oreille, comme un chat atteint d’otites chroniques ou de gales d’oreille fréquentes, le tatouage peut également s’effacer à force d’être au contact d’infections et de produits nettoyants.
Enfin, dernier point négatif : depuis le 3 juillet 2011, le tatouage n’est plus suffisant pour voyager dans l’Union Européenne avec votre petit protégé, qui exige qu’il soit obligatoirement identifié par une puce électronique.
L’identification du chat par puce électronique
L’identification par puce électronique consiste à insérer sous la peau, entre les deux omoplates,une petite puce plus ou moins de la taille d’un grain de riz, que l’on appelle également un transpondeur. La puce sera scannée par le vétérinaire avant l’injection pour vérifier que son numéro d’identification n’est pas déjà attribué.
Elle sera injectée à l’aide d’une seringue assez impressionnante à première vue, puisque son aiguille est de bonne taille. Si chez les chiens ce procédé ne se fait pas forcément sous anesthésie générale, c’est beaucoup plus souvent fait de cette manière pour un chat, qui risque beaucoup plus de bouger en voulant fuir ou se défendre, risquant ainsi de se blesser.
Même si, contrairement au tatouage, on ne peut pas constater l’identification d’un chat qui a reçu une puce électronique à l’œil nu, de nombreux services ont aujourd’hui un lecteur de puce. Les animaleries, les vétérinaires, les services de fourrière ou de police en possèdent normalement un, et pourront aider une personne ayant trouvé un chat perdu en scannant la puce à l’aide du lecteur.
En plus de tout ceci, l’identification par puce électronique, vous l’aurez compris, est le seul moyen de pouvoir voyager dans l’Union Européenne avec votre petit compagnon.
Conclusion : tatouage ou puce électronique ?
Les deux pratiques sont aujourd’hui légales, donc toute personne a aujourd’hui le choix de faire comme bon lui semble.
Si vous n’avez pas pour projet de voyager dans l’Union Européenne avec votre chat, le tatouage n’est pas un problème, d’autant que tout le monde ne connais pas encore la puce électronique (même si elle est de plus en plus popularisée depuis des années).
Si au contraire vous comptez voyager avec votre chat, ou que vous ne souhaitez pas que votre chat subisse le tatouage, ou tout simplement que vous vouliez être prévoyant puisqu’il y a de grandes chances pour que dans les années à venir la puce électronique devienne légalement la seule méthode d’identification reconnue, mieux vaux choisir la puce électronique.
Identifier son chat – Le Tatouage
Le tatouage est la forme la plus vieille d’identification du chat. De plus en plus supplanté par la puce électronique, le tatouage reste tout de même un moyen efficace d’identification de votre animal de compagnie.
Ce type d’identification présente des avantages et quelques inconvénients. Rappelons que l’identification de votre animal de compagnie est obligatoire. Elle peut se faire par tatouage ou avec une puce électronique. Tous les chats nés après le 1er janvier 2012 doivent se faire identifier. Cette règle est régie par la loi du 17 mai 2011.
Cette opération peut rapidement coûter cher et nous vous conseillons de souscrire à une assurance santé avant d’aller chez le vétérinaire de manière à être remboursé des frais que vous allez avoir à payer. Certaines assurances santé ne coûtent que quelques euros par mois et permettent d’être remboursé à 100% ! Comparer les offres maintenant, c’est gratuit et sans engagement.
Tatouer votre chat, avantages et inconvénients
Le tatouage d’identification se fait à l’aide du dermographe. C’est une machine utilisée pour faire les tatouages. Cela se fait à l’oreille droite de votre chat. Une anesthésie générale est nécessaire pour ce type d’opération.
L’identification est obligatoire pour votre chat à partir de 7 mois. Son principal avantage reste l’évidence. En effet, un tatouage a le mérite d’être immédiatement lisible. Les chats ont une nature sauvage pour la plupart des races. Ils sont donc amenés à se promener parfois. Lorsqu’ils se perdent pendant leurs promenades, on pourra facilement vous le rendre.
De plus, très facile à voir, le tatouage permet à celui qui le ramasse de savoir que ce n’est pas un chat errant. Il ne pensera donc pas à l’adopter ou à l’envoyer à la fourrière, mais plutôt à le rendre à son propriétaire.
Le tatouage permet aux vétérinaires à qui on amène un chat accidenté de l’identifier. Il aura juste à se connecter au fichier national d’identification des carnivores domestiques. Et en quelques clics, il vous identifie.
Cependant, le tatouage présente un certain nombre d’inconvénients. Il s’estompe au fil des années. Il tient moins bien chez le chat que chez le chien. Pire, si votre chat souffre d’otites plusieurs fois, cela peut épaissir la peau de l’oreille. Lorsque votre chat s’égare, il est alors difficile de l’identifier avec un tatouage illisible.
Par ailleurs, après le 3 juillet 2011 le tatouage est devenu insuffisant. Les chats qui voyagent en Europe doivent alors disposer d’une puce électronique.
Le prix d’un tatouage de chat s’élève souvent à 60 euros.
Prise en charge du tatouage par l’assurance santé de votre chat
Souscrire à une assurance santé animale permet la prise en charge de nombreux frais vétos. Une grande partie des contrats propose désormais un forfait » prévention « . Il couvre essentiellement les frais de soins et de prévention – c’est dans l’intitulé…, autres que ceux d’un accident ou d’une maladie. Il s’agit notamment des dépenses liées à l’identification par exemple.
Lorsque vous disposez de ce forfait, vous pouvez donc l’utiliser et ainsi économiser les dépenses liées au tatouage de votre chat (consultation vétérinaire + acte du tatouage). Pour en bénéficier, il vous suffira de le notifier dans votre feuille de soins à envoyer à votre assureur.
Si vous ne lui avez pas encore choisi une assurance santé, notre comparateur intuitif vous aidera à faire le tri dans toutes les prestations de couverture santé spéciale animaux. Vous pourrez aussi télécharger gratuitement des devis en remplissant le formulaire en ligne.
N’hésitez plus à protéger la santé de votre chat ainsi que votre porte-monnaie.
L’implantation de la puce électronique des animaux fait controverse
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L’identification est une obligation légale pour les chiens depuis 1999, et depuis le 1er janvier 2012, concerne tous les animaux domestiques.
Dans notre clinique, nous utilisons des micro-puces, d’une taille inférieure à celle d’un grain de riz (8mm sur 1,4mm). Elles sont constituées d’une enveloppe de cristal bio-polymère et d’un matériel électronique. L’enveloppe est étudiée pour limiter toute migration au sein de l’organisme.
La puce électronique est inerte et ne peut ni se corroder, ni interagir avec les tissus vivants. Elle ne détient aucune information hors mis un numéro international unique de 15 chiffres. Il s’agit d’un dispositif passif, sans batterie, qui renvoie, comme un écho, le numéro lorsqu’il est stimulé selon une certaine longueur d’onde par le lecteur.
La distance maximale de lecture est généralement de 30 cm.
La puce est insérée sous la peau de l’animal, au niveau du cou, dans la gouttière jugulaire gauche, en tant que moyen d’identification.
Lorsque nous implantons une puce électronique, nous enregistrons son numéro dans nos dossiers, ainsi qu’auprès de l’ICAD, qui est une base de données accessible 24h sur 24, 7 jours sur 7. Cette base de données contient, associés au numéro, votre nom, adresse, numéro de téléphone et adresse e-mail. Il est essentiel de prévenir l’ICAD de toute modification concernant vos coordonnées (déménagement, changement de numéro de téléphone, changement de propriétaire…).
Si vous perdez votre animal, vous devez contacter l’ICAD au 0 810 778 778, mais également les vétérinaires du lieu de la disparition de votre animal, ainsi que les autorités de police municipale.
Qu’est-ce que l’identification ?
L’identification d’un animal consiste à lui attribuer un numéro de référence unique, valable tout au long de son existence. Ce numéro est porté par l’animal sous forme d’une puce ou d’un tatouage. Il comporte 15 chiffres pour une puce, et une série de 7 chiffres et lettres pour un tatouage.
La puce électronique
Un microcircuit de la grandeur d’un grain de riz est placé juste sous la peau, dans la gouttière jugulaire gauche (à la base du cou), de votre animal. Cette intervention est rapide, indolore et ne nécessite pas d’anesthésie.
Les avantages de la puce électronique
- la localisation à la base du cou de l’animal se repère facilement ;
- elle ne s’altère pas avec le temps, les informations qu’elle contient sont donc toujours lisibles ;
- la pose d’une puce est indolore, réalisée sans anesthésie, c’est un acte bénin et maîtrisé par votre vétérinaire
- tous les vétérinaires, les refuges, les services de fourrière, de police, les pompiers et certains éleveurs possèdent des lecteurs pour lire le numéro d’identification de votre animal
- la puce électronique est infalsifiable
L’identification est obligatoire
- pour tous les chiens à partir de 4 mois ; nous vous conseillons cependant de le faire avant ;
- pour tous les chiens, chats et furets en cas de cession, par vente ou par don
Pourquoi identifier son animal
Une porte mal fermée, une ouverture dans le grillage de votre jardin, une laisse qui vous échappe, un animal blessé qui ne peut pas rentrer sur ses quatre pattes, une fugue alors que vous êtes loin de votre domicile et votre animal familier se retrouve livré à lui même sur la voie publique. Votre animal ne parle pas, comment vous retrouvera-t-il ?
Seule son identification vous permettra de le retrouver.
S’il n’est pas identifié auprès des services vétérinaires et si on ne peut remonter jusqu’à vous, votre animal sera considéré comme errant, placé en refuge, et risquera l’euthanasie. Non identifié, vous le condamnez! Voulez-vous vraiment prendre le risque de ne pas le retrouver?
Un animal identifié est un animal protégé !
Chez les chiens, l’identification est obligatoire dès l’âge de quatre mois (quelque 60% de chiens ne seraient pas identifiés). Chez les chats, la proposition de « simplification et d’adaptation du droit » votée par l’Assemblée nationale en février 2011 a rendu obligatoire leur identification. Ainsi, tous les chats nés après le 1er janvier 2012 et âgés de plus de 7 mois doivent donc désormais être identifiés (80% d’entre eux ne le sont pas).
Chiens et chats peuvent être identifiés par tatouage au dermographe (un acte vétérinaire réalisé sous anesthésie) à la pince – réalisé par un tatoueur agréé, comme c’est le cas de certains éleveurs, une méthode qui est de moins en moins pratiquée – ou bien encore par puce électronique. Appelée aussi transpondeur, celle-ci est implantée par le vétérinaire, sans anesthésie, sous la peau, au niveau de la jugulaire gauche.
Plus de puces, moins de tatouages
De nos jours, la puce remplace de plus en plus le tatouage. Chez les chiens, entre 2077 et 2011, le nombre d’identifications annuelles par tatouage a diminué d’environ 150.000 alors que celui des identifications par puce électronique a progressé d’environ 160.000. En 2001, 640.916 chiens ont été identifiés par puce , contre 111.588 par tatouage.
Les propriétaires qui souhaitent voyager avec leur chien ou chat ( mais aussi leur furet ) dans la communauté européenne doivent avoir fait identifier leur animal par l’un des modes existant. Mais dans le cadre des échanges intracommunautaires, il existe toutefois des exceptions: certains pays n’acceptent que l’identification électronique par puce. C’est le cas de l’Irlande, de Malte et du Royaume-Uni.
L’identification des chiens et chats sera aussi exigée si l’animal est déposé en pension ou bien encore si le maître souhaite le faire participer à des expositions de beauté. Les propriétaires de chiens dit « dangereux » tels que définis par la loi de janvier 1999 doivent pour leur par fournir le justificatif de l’identification de l’animal en cas de contrôle.
De même, l’identification sera réclamée si le maître souhaite souscrire une assurance santé animale pour son compagnon, chien ou chat. Cet acte peut être financé en partie par le forfait prévention contenu dans certaines formules d’assurance chien et chat. A noter qu’un chien tatoué pourra « recevoir » une puce, les deux modes n’étant pas incompatibles.
Un système évolutif
Un lecteur d’insert permet la lecture du numéro de la puce afin de savoir à qui appartient le chien ou le chat ; cela peut lui éviter l’euthanasie en application des réglementations sanitaires.
Il n’est pas exclu qu’à l’avenir la puce évolue afin, par exemple, de contenir d’autres types d’informations. Comme celles concernant notamment la santé de l’animal ( la puce atteste déjà de la validité du vaccin antirabique ).
Enfin, il existe dans le commerce des chatières ( pour chats et petits chiens ) dont l’ouverture se fait automatiquement par reconnaissance de cet implant… Idéal pour filtrer les entrées d’animaux dans une maison!
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Faire identifier son chien ou son chat, une précaution indispensable
Tous les chiens nés après le 6 janvier 1999 et âgés de plus de 4 mois et les chats nés après le 1er janvier 2012 et âgés de plus de 7 mois doivent être identifiés (même s’ils ne sortent jamais). C’est une obligation.
Identification des chiens et chats par puce ou par tatouage
L’identification, réalisée par le vétérinaire par insertion d’une puce électronique (transpondeur) ou par tatouage (ce qui est moins courant désormais), est mentionnée dans le carnet de santé ou le passeport européen.
l’animal. Le vétérinaire amené à soigner un animal pourra ainsi la vérifier grâce à un lecteur. Appareil dont disposent aussi les refuges et autres administrations lorsqu’ils se retrouvent confrontés à un chien ou chat perdu.
L’identification est par ailleurs demandée si l’on souhaite souscrire une assurance santé animale pour son chien ou chat. La mutuelle pour chien et chat permet d’être remboursé des frais vétérinaires à hauteur de la formule choisie.
Quelques 30.000 chiens et chats perdus chaque année
Malgré toutes les précautions que peuvent prendre les maîtres, on estime en France à quelque 30.000 les animaux domestiques qui sont perdus chaque année. Près de la moitié (13.000) le sont en été, durant les déplacements en vacances.
C’est donc pour aider les maîtres à retrouver rapidement un chien ou chat perdu que l’I-Cad propose désormais une application. Baptisée Filalapat, elle permet de rechercher les propriétaires d’un animal égaré ou déclarer la perte de son animal. Cette application est accessible sur Google Play, Windows Phone et Apple Store.
A la seule condition que les coordonnées de son détenteur soient à jour, un chien ou un chat a 90% de chances d’être retrouvé et rendu à son propriétaire.