Table des matières
- Enterrer Un Animal : Quelles Solutions ?
- Mort de son chien : que faire du corps ? Enterrement, incinération ?
- Enterrer son chien dans son jardin ou son terrain
- Enterrer son chien dans un cimetière animalier
- Deux options pour l’incinération de son chien
- Autres formalités administratives
- L’incinération pour votre animal
- L’enterrement de votre animal
- Le vétérinaire, le meilleur conseil
- Aide & Contact
- Peut-on enterrer son animal de compagnie dans son jardin ?
- Quelques conditions
- Enterrer son animal chez soi : les conditions
- Les autres solutions
- Déclarer la mort de son animal
Enterrer Un Animal : Quelles Solutions ?
Outre le chagrin, la perte d’un animal domestique soulève des problèmes pratiques concernant son inhumation ou sa crémation. Voici les différentes solutions envisageables pour enterrer un animal.
- 11 avril 2018
- Audrey
- Web
- Temps de lecture moyen : 1’34
Un enterrement dans le jardin
Il est possible d’enterrer un animal domestique dans son jardin ou dans son champ si celui-ci pèse moins de 40 kg.
Pour inhumer son chien ou son chat, il faut également respecter certaines règles sanitaires :
• l’enfouir à plus de 35 mètres d’une habitation, d’un puits ou d’un point d’eau
• creuser à une profondeur de plus d’un mètre
• recouvrir la dépouille de chaux vive pour accélérer la décomposition et éviter toute contamination.
A noter : pour les animaux de plus de 40 kg, il est obligatoire de contacter la mairie afin de faire procéder à l’enlèvement du corps et à l’équarrissage (coût : de 20€ à 40€).
Si vous choisissez d’enterrer votre animal de compagnie dans votre jardin sachez qu’il existe un cercueil spécialement dédié pour les animaux de compagnie pesant moins de 8 kg.
Baptisé Nidoo ce cercueil made in France est 100% biodégradable et composé de graines de fleurs des champs et de graines d’arbre (Paulownia, Eucalyptus ou Potentille).
Vendu 49€, il permet ainsi de consacrer un coin de son jardin à la mémoire de son compagnon disparu : un joli hommage végétal et poétique !
Plus d’informations sur le site : https://nidoo.eu/
Un cimetière pour animaux
Il existe par ailleurs une vingtaine de cimetières pour animaux en France.
Certains de ces cimetières sont municipaux, comme le Cimetière des Chiens d’Asnières, d’autres sont privés et d’autres encore sont associatifs comme celui de la SPA …
Si vous choisissez cette option pour enterrer un animal, il vous faudra acheter une concession et débourser entre 400€ et 1000€, sans compter les frais annuels.
Une crémation
Si vous ne souhaitez pas enterrer votre animal, l’autre solution la plus courante est la crémation. La crémation peut être collective ou individuelle.
Une incinération collective, dont les cendres sont ensuite dispersées dans la nature, coûte entre 30€ et 80€ selon l’animal.
Une incinération individuelle permet de récupérer les cendres dans une urne et coûte entre 100€ et 300€ (urne comprise).
Quand un animal est euthanasié, c’est le vétérinaire qui prend en charge la dépouille et qui contacte le centre de crémation le plus proche.
En savoir plus
Même, si vous ne possédez pas de jardin pour enterrer un animal, sachez qu’il est interdit de jeter sa dépouille à la poubelle. Cela constitue une infraction à l’hygiène publique et vous expose à une contravention, dont le montant varie selon les villes.
Quand on fait incinérer un animal, rien ne s’oppose à ce que l’urne contenant ses cendres soit placée dans le caveau de son maître.
Vous trouverez toutes les adresses utiles dans l’annuaire de la Fondation 30 millions d’amis dans la rubrique « Décès » (voir le lien ci-dessous).
Plus d’information :
Visitez le site : http://www.30millionsdamis.fr/la-fondation/annuaire.html
Mort de son chien : que faire du corps ? Enterrement, incinération ?
Avoir un animal de compagnie implique hélas qu’il nous quitte un jour et de faire face à sa perte… Ce moment inévitable, que nous espérons voir arriver le plus tard possible, représente une épreuve douloureuse moralement mais engendre aussi un certain nombre de formalités administratives, ainsi que d’obligations et d’interdictions définies par la loi en termes d’inhumation et d’incinération.
Que faire de sa dépouille, quelle solution choisir, quels lieux peuvent l’accueillir et comment procéder ?
Enterrer son chien dans son jardin ou son terrain
Le « meilleur » scénario que l’on puisse imaginer au décès de son animal est d’avoir la possibilité de l’enterrer dans un endroit convenable, de préférence près de chez soi, afin de lui rendre hommage aisément. Les propriétaires ayant la chance de posséder un jardin ou une propriété à la campagne prennent le plus souvent la décision d’y inhumer la dépouille de leur chien. Cette solution a en effet l’avantage de n’entraîner aucun frais puisqu’il est possible de le faire soi-même et d’organiser la cérémonie en toute intimité. De plus, on aura l’opportunité de se recueillir dès qu’on le souhaite, ce qui n’est pas le cas dans un cimetière pour animaux en raison des horaires et du déplacement nécessaire pour s’y rendre.
Enterrer son chien sur sa propriété est autorisé par la loi mais plusieurs conditions doivent être respectées : tout d’abord, le terrain doit vous appartenir, ainsi si vous êtes locataire d’une maison avec jardin cela ne sera pas légal. La dépouille devra être enterrée à 1,30m de profondeur au minimum et à 35 mètres de distance au moins des habitations et points d’eau. Elle ne doit pas être placée dans un contenant en plastique, ce qui empêcherait sa décomposition, mais plutôt dans un linge ou une boîte en carton.
Il faudra recouvrir le corps de chaux vive avant de reboucher la fosse, ceci permettant d’accélérer le processus et d’éviter le risque de pollution du sol. Attention, si votre animal pèse plus de 40kg son inhumation est interdite ! Vous devrez alors faire appel à un équarrisseur pour retirer la dépouille et renoncer hélas à tout lieu de recueillement… Ces conditions sont rendues obligatoires pour des raisons d’hygiène publique, par l’article 226-2 du Code Rural.
Enterrer son chien dans un cimetière animalier
Cette deuxième option s’avère souvent nécessaire si vous ne possédez pas un terrain répondant aux contraintes énumérées ci-dessus permettant d’enterrer son animal chez soi. Après avoir trouvé un cimetière dans votre région (on en compte une vingtaine en France), il faut prendre contact avec celui-ci pour s’assurer qu’il y reste de la place, et être en mesure de débloquer le budget représenté par le prix du cercueil et de la tombe, le coût de la concession, le service d’enfouissement, la taxe d’inhumation et les frais d’entretien annuel.
Comptez entre 500 et 1000 € en moyenne, sans les frais d’entretien qui varient d’un cimetière à l’autre, d’où la nécessité de bien se renseigner sur les tarifs de chacun avant de faire son choix. Le coût total pour inhumer votre chien dépendra également des prestations fournies par la société funéraire, de l’emplacement géographique du cimetière (la région parisienne est plus onéreuse que la province) et de la durée de la concession.
Vous pourrez obtenir la liste des cimetières agréés auprès de votre vétérinaire et vous faire conseiller par celui-ci. Notez que certains prestataires exigent la présentation de l’acte de décès de l’animal lors de la prise de rendez-vous.
Deux options pour l’incinération de son chien
Cette dernière solution, celle de la crémation, est fréquemment utilisée dans les grandes villes où il n’est malheureusement pas possible d’enterrer son animal chez soi. Elle est aussi moins coûteuse qu’une inhumation dans un cimetière et plus simple du point de vue des formalités : il suffit alors de confier la dépouille à votre vétérinaire. Ce dernier prendra contact avec une société d’incinération qui se chargera de venir enlever le corps et de procéder à la crémation.
Au moment de déposer votre animal vous aurez le choix entre deux types d’incinération, collective ou individuelle, et devrez signer une convention d’incinération indiquant votre décision. La crémation individuelle est plus chère mais permet d’assister si vous le voulez à l’incinération et de récupérer les cendres ensuite. L’incinération collective quant à elle ne permet pas cela, c’est l’option la moins coûteuse si vous ne disposez pas d’un budget suffisant, ce qui en fait une solution adaptée pour de nombreux maîtres…
Autres formalités administratives
Lors du décès d’un animal, vous devez prévenir votre vétérinaire s’il n’est pas déjà au courant ainsi que déclarer sa disparition au Fichier d’identification des carnivores domestiques (I-CAD) dans les meilleurs délais afin de régulariser son dossier. Cette déclaration peut être faite par Internet ou par téléphone, ou encore par le biais du vétérinaire qui pourra vous accompagner dans votre démarche.
Enfin, sachez qu’il est possible d’inscrire votre chien sur un cimetière animalier virtuel, ceci pouvant parfois aider à surmonter la douleur de votre deuil, faute de budget pour une cérémonie adéquate.
La mort de son animal est un moment très douloureux et la première interrogation qui se pose est de savoir ce que l’on peut faire de son corps. L’enterrer ? L’incinérer ? A qui s’adresser ? Des questions légitimes auxquelles la Fondation 30 Millions d’Amis répond.
La perte d’un animal est pour certains une épreuve insurmontable. C’est de ce constat qu’est née l’idée du livre de Joëlle Dutillet, Nos animaux familiers ont-ils une âme ? (Exergue, 2010). Laissant la parole à des maîtres bouleversés, à l’instar de Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis, face à la disparition de Mabrouka, la journaliste met l’accent sur la souffrance ressentie lors de ce moment difficile et livre ses conseils pour que le chagrin laisse place à la sérénité. Une douleur quelquefois si aigüe qu’elle fait parfois oublier que la loi encadre strictement la perte d’un animal de compagnie.
Pourtant, malgré la douleur, vous allez vite devoir prendre une décision au sujet de l’incinération ou l’inhumation du corps de votre compagnon. Tout dépend de la sensibilité, des convictions, et du budget de chacun. Certains maîtres souhaitent conserver une trace du passage de leur animal dans leur vie tandis que d’autres n’y tiennent pas particulièrement.
L’incinération pour votre animal
L’incinération individuelle permet de garder les cendres de son chien ou de son chat dans une urne, éventuellement à l’occasion d’une cérémonie si tel est le souhait des propriétaires. Vous pourrez donc récupérer les cendres pour les conserver ou les répandre où vous le souhaitez (un jardin, une plante, un lieu de promenade ou même un endroit dédié à cet effet dans les cimetières animaliers).
Attention en revanche à l’incinération collective : les cendres de plusieurs animaux sont rassemblées avant d’être dispersées, le plus souvent dans un » jardin du souvenir « .
L’enterrement de votre animal
D’autres préfèrent enterrer le corps de leur animal comme ils le feraient pour un proche. Si la loi française ne permet pas, contrairement en Grande-Bretagne, d’inhumer son animal dans le caveau familial, les animaux peuvent être enterrés dans le jardin de leurs maîtres. Certaines conditions doivent être cependant préalablement remplies : l’animal doit peser moins de 40 kg, le corps doit être enfoui à 35 mètres de toute habitation ou point d’eau, et à 1,20 mètre de profondeur. Le corps devra être recouvert de chaux vive avant d’être enterré. Beaucoup de maîtres préfèrent cette solution et marque l’endroit d’un arbre, d’un arbuste ou de fleurs…
Autre solution, pouvant aider sensiblement les familles à » faire leur deuil » : les cimetières animaliers, au nombre d’une vingtaine en France ; le maître aura le choix entre une inhumation en pleine terre ou en caveau. Cette dernière option est la plus coûteuse, puisqu’elle comprend un cercueil, la location de la concession et les frais d’entretien annuels.
Le vétérinaire, le meilleur conseil
Pour ceux qui n’ont pas la possibilité de conserver le corps ou qui ne le souhaitent tout simplement pas, la solution la plus simple est de recourir à votre vétérinaire. Il est en effet habilité à remplir les formalités nécessaires et permet ainsi d’éviter une angoisse supplémentaire au maître. Il se chargera alors soit de le faire incinérer, soit de contacter un équarrisseur*, selon votre choix, et à vos frais.
Comme la disparition d’un de nos amis est toujours un bouleversement, la Fondation 30 Millions d’Amis met à la disposition des internautes le service » A Mon Ami » : un espace d’expression où nous pouvons rendre hommage à notre compagnon disparu.
* Un équarrisseur collecte et élimine les cadavres d’animaux.
Aide & Contact
Mon chat est mort, ai-je le droit de l’enterrer ?
Vous venez de perdre votre chat et souhaitez lui faire vos adieux de la meilleure des façons ? Si vous envisagez d’enterrer votre compagnon décédé, gardez en mémoire que certaines règles doivent être suivies.
Tout d’abord, il est important de rappeler que de mettre le corps de son chat dans une poubelle ou dans la nature est puni d’une amende.
En revanche, il est autorisé de l’enterrer dans votre jardin, du moment que sa tombe se trouve à plus de 35 mètres des premières maisons et points d’eau. Le trou ne devra pas mesurer moins d’1 mètre 20. Vous pouvez disposer votre chat dans une boite ou encore le recouvrir d’un drap si vous souhaitez. Il sera important d’appliquer de la chaux vive sur votre chat.
Si vous optez pour l’incinération de votre chat, contactez votre vétérinaire. Il sera possible de garder ou non les cendres.
Il est également possible d’enterrer ou d’incinérer votre chat dans un cimetière animalier, comme il en existe plusieurs en France. Nous vous invitons à contacter directement celui le plus proche de chez vous pour tout complément d’informations.
N’hésitez pas à vous référer à votre vétérinaire pour toute autre question.
Peut-on enterrer son animal de compagnie dans son jardin ?
Publié le 25 avril 2018 à 11:12 Aujourd’hui | 22349 vues
Lorsqu’un chien ou un chat décède, certains propriétaires choisissent d’enterrer leur animal dans leur jardin. Mais est-ce légal ? Réponse Conso fait le point.
C’est une étape douloureuse, parfois insurmontable : la perte d’un animal de compagnie. Et lorsque notre petite boule de poils décède, nous sommes bien souvent démunis, ne sachant pas quoi faire de sa dépouille. Certains propriétaires décident de la confier au vétérinaire afin qu’il l’incinère, avec d’autres animaux morts ou seul. Dans ce dernier cas, il est possible de récupérer les cendres de son animal dans une urne. En revanche, les deux options sont payantes. Elles peuvent atteindre une centaine d’euros, selon les vétérinaires. Autre solution : placer son fidèle compagnon dans un cimetière pour animaux. Il en existe une trentaine en France. Ces espaces de mémoire et de recueillement sont gérés par des sociétés privées ou des associations comme la SPA. L’inhumation a toutefois un coût. Elle comprend l’achat d’une concession, qui est d’1 an à 20 ans, d’une dalle ou d’un cercueil, les frais d’enterrement, etc. Sachez qu’il n’est pas possible d’inhumer son animal dans le caveau familial. Enfin, certains propriétaires choisissent, pour des raisons économiques et sentimentales, d’enterrer leur animal dans leur jardin pour qu’il puisse reposer près des siens. Mais cette pratique est-elle légale ? A-t-on le droit d’enterrer son chien ou son chat dans son jardin ?
Quelques conditions
Oui. Si votre animal de compagnie décède, vous pouvez l’enterrer dans votre jardin, mais sous certaines conditions : l’animal doit peser moins de 40 kilos, il doit être enterré au moins à 35 mètres des premières maisons et points d’eau (par exemple, une source). » Vous pouvez recouvrir la dépouille d’un linge, la déposer dans une boîte en bois ou carton ou à même le sol si le trou est suffisamment profond (1,20 mètre). La dépouille doit être recouverte de chaux vive « , précise-t-on sur le site Servic-public.fr. Si vous le souhaitez et que vous avez la possibilité d’enterrer votre boule de poils dans votre jardin, sachez qu’une start-up a développé un cercueil écologique baptisé Nidoo. Sa particularité ? Une fois enterré, celui-ci fait pousser un arbre et des fleurs. De quoi garder un lien avec son fidèle compagnon disparu. Plus d’informations ici.
À noter que pour les animaux de plus de 40 kilos, il faut avertir dans les plus brefs délais un service d’équarrissage (Article L. 226-6 du Code rural). Celui-ci, payant et dont les tarifs libres varient en fonction du poids de l’animal et du nombre de kilomètres parcourus pour le transport, est chargé d’enlever les cadavres d’animaux dans un délai de 2 jours francs. Les coordonnées du service sont fournies en mairie.
Quoi qu’il en soit, il est formellement interdit de jeter la dépouille de son animal de compagnie dans une poubelle, les égouts ou autres, sous peine d’une amende de 150 euros. Un geste coûteux, mais aussi inhumain. Les animaux ne sont pas des déchets.
Marine VAUTRIN
Pour répondre à cette question, il faut d’abord faire une distinction entre les animaux pesant jusqu’à 40 kg et ceux pesant plus de 40 kg. Si votre animal ne dépasse pas ce poids, vous pouvez l’enterrer dans votre jardin, mais en respectant certaines modalités.
Enterrer son animal chez soi : les conditions
Vous devez tout d’abord être propriétaire du terrain, car il est interdit d’enterrer un animal dans un lieu public. Vous devez également enterrer le corps à au moins un mètre de profondeur afin d’éviter qu’il ne soit déterré par d’autres animaux. L’emplacement de la sépulture doit se trouver à au moins 35 mètres d’une habitation, d’une source ou d’un puits, pour empêcher tout risque de contamination. Autant dire qu’il faut un grand jardin ! Avant d’enterrer le corps, enveloppez-le dans un linge (n’utilisez pas de sac en plastique) et placez-le dans une boîte en carton ou en bois. Si vous n’utilisez pas de boîte, vous devez recouvrir le cadavre de chaux vive.
Les autres solutions
Si vous ne pouvez pas enterrer votre animal dans votre jardin, plusieurs solutions s’offrent à vous. Vous pouvez le faire inhumer dans un cimetière pour animaux, géré par une société privée ou une association. L’organisme peut se charger du transport de l’animal jusqu’à son enterrement en pleine terre ou dans un caveau. Cette solution est la plus onéreuse puisque vous devrez payer une concession et des frais d’entretien. Vous pouvez aussi demander à ce que votre animal soit incinéré, individuellement ou collectivement. Plus chère, la crémation individuelle vous permettra de récupérer les cendres de votre défunt compagnon. Plus rarement, certaines personnes optent pour la naturalisation : ils font empailler leur animal pour mieux le garder auprès d’eux.
Déclarer la mort de son animal
Si votre animal pèse plus de 40 kg, vous devez déclarer son décès à un service d’équarrissage, dont les coordonnées sont disponibles en mairie. L’équarrisseur se chargera alors d’enlever le corps dans les 48 heures. Ses services sont payants : le tarif varie selon le département, le type d’animal, son poids et sa taille. Si vous ne faites pas cette déclaration, vous êtes passible d’une amende de 3 750 €. En revanche, si c’est l’équarrisseur qui tarde à venir chercher votre animal décédé, vous pouvez le signaler au maire qui le mettra en demeure d’enlever le corps immédiatement. En attendant le ramassage, isolez-le pour éviter les contacts.
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