Elevage du lapin

Cuniculteur

Le cuniculteur est un éleveur de lapins domestiques qui peut se consacrer à une ou plusieurs races de lapins. Certaines d’entre elles sont destinées à la consommation, tandis que d’autres sont plébiscitées pour devenir des animaux de compagnie.

Élever des lapins

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Qu’est-ce qu’un cuniculteur ?

Le cuniculteur peut se lancer dans deux types d’élevage de lapins, avec des méthodes et installations qui ne sont pas tout à fait similaires :

• l’élevage de lapins de compagnie ;
• l’élevage de lapins fermiers.

De nombreux particuliers pratiquent aussi l’autoconsommation dans leur propre élevage de lapins, tandis que d’autres font de l’élevage de loisir pour accéder à des concours ou à des expositions. Pour tenter d’être le meilleur, le cuniculteur doit se fier au standard de la race qu’il élève.

Le cuniculteur : éleveur de lapins de compagnie

Son objectif est de vendre des lapins directement à des particuliers ou à des animaleries. Il a généralement 1 ou 2 races de prédilection, mais pas plus. Il habitue donc le lapin à être proche de l’humain, en le manipulant avec précaution, en lui prodiguant des soins et en lui apportant de l’affection, mais aussi en l’apprivoisant.

Les lapins sont élevés dans des cages confortables bénéficiant de tous les accessoires nécessaires à leur épanouissement.

jenoche / Getty Images

Le cuniculteur : éleveur de lapins fermiers

Malheureusement pour le lapin fermier, sa durée de vie sera très courte. Il est élevé généralement dans des clapiers pour l’engraissement.

Ce type de cuniculteur utilise le plus souvent la production intensive. D’autres préfèrent se consacrer à l’élevage biologique prenant en compte plus d’éléments liés aux conditions de vie de l’animal.

Dans tous les cas, l’éleveur aura besoin d’une installation adaptée pour mettre en œuvre une bonne production de lapins. Il aura donc un certain nombre de besoins :

• un cheptel (mâles, femelles, lapereaux) ;
• de grandes surfaces d’aménagement pour accueillir des bâtiments d’exploitation et divers matériels ;
• un bâtiment d’élevage (cage, clapier, boîte à nid) ;
• un hangar de stockage (matériel, paille, foin, nourriture) ;
• un bâtiment pour abriter le matériel de culture et d’élevage.

Habitat du lapin

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Le cuniculteur et la FFC

Le cuniculteur est souvent adhérent ou référencé à la FFC (Fédération française de cuniculture), ce qui lui permet de bénéficier de nombreux renseignements sur l’élevage, les races de lapins, les différentes lois et contraintes réglementaires liées à son activité, les fournisseurs, la biologie et les expositions.

Comment faire un élevage de lapins ?

Quel bonheur d’avoir des petits lapereaux au quotidien chez soi ! Oui, mais avant toute chose, une question se pose : comment faire un élevage de lapins ? Il faut être conscient que c’est un investissement à long terme. Voici quelques conseils avisés pour faire son élevage de lapins et rendez-vous sur notre gamme !

Sommaire :

• Comment faire un élevage de lapins, dans quel but ?
• Comment faire un élevage de lapins domestiques ? C’est le choix des bons reproducteurs !
• Comment faire un élevage de lapins et garantir une nourriture de qualité ?
• Comment faire un élevage de lapins grâce à l’enclos bien ficelé
• Un entretien quotidien pour élever ses lapins !
• Santé et hygiène irréprochable pour bien faire un élevage de lapins
• Fini les vacances pour les éleveurs
• Une retraite anticipée des reproducteurs, mais bien méritée !
• On finit par l’adoption des bébés…

Comment faire un élevage de lapins, dans quel but ?

Vous pouvez élever des animaux fermiers, ou bien domestiques, destinés à l’adoption. Quoi qu’il en soit, on parle de s’occuper de nombreux animaux, prévoir un espace suffisamment grand dans son jardin et consacrer beaucoup de temps à leur bien-être.

Entretien, nettoyage, allers-retours chez le vétérinaire, vacances restreintes, mais aussi passion assouvie, amour des bêtes, compagnie amusante… Tant de paramètres à prendre en considération avant de commencer un élevage de lapins et y consacrer du temps.

Comment faire un élevage de lapins domestiques ? C’est le choix des bons reproducteurs !

Maintenant que vous êtes conscient de votre engagement, nous pouvons rentrer dans le vif du sujet ! Pour commencer l’élevage de lapins il vous faut des reproducteurs de pédigrees. Il est préférable de désigner des reproducteurs de races pures, puisque les hybrides seront plus gros, avec de grandes oreilles et une morphologie atypique et généralement plus difficile à l’adoption (si vous vous engagés dans la reproduction d’animaux pour la compagnie). Pour une belle portée de lapereaux, toutefois, il est indispensable de choisir des lapins aux gènes et couleurs appréciés.

On doit connaître l’origine génétique (élevage, parents…) pour garantir une portée en bonne santé, qui vieillira sans problèmes.

Ces recherches peuvent se révéler difficile, mais sont indispensables pour garantir des lapereaux en bonne santé et facile à adopter ou à élever par la suite.

Comment faire un élevage de lapins et garantir une nourriture de qualité ?

La vie de la lapinière n’est pas de tout repos ! Pour la condition et le forme physique quotidienne des animaux, il faut veiller à leur servir une alimentation saine et équilibrée.

Les femelles, en gestation ou allaitante, demanderont une nourriture enrichie et beaucoup de légumes et fruits, favorisant la lactation.

Les bébés quant à eux, en plus du lait maternel, souhaiteront une alimentation complète, pour leur bon développement.

Il faut veiller, à ce que les écuelles d’eau soient constamment remplies et le foin, toujours en consistance importante.

Plus vous aurez d’animaux, plus il faudra veiller au grain ! Rendez-vous sur notre gamme graines et autre nourriture pour rongeurs et faîtes votre choix !

Comment faire un élevage de lapins grâce à l’enclos bien ficelé

Pour accueillir vos nouveaux habitants, il faudra une surface convenable, essentielle pour leur bien-être et le sentiment de liberté.

Il existe différents clapiers pour lapins, fermés pour les protéger des prédateurs. L’enclos extérieur, permettra de se dégourdir les jambes après la « pause clapier ». Attention, vous ne pourrez pas disposer plusieurs animaux dans le même espace, car ceux-ci, supportent mal la cohabitation.

Installez le râtelier pour le foin, la gamelle de nourriture, la litière, le biberon d’eau, le couchage à l’intérieur de votre enclos.

Un entretien quotidien pour élever ses lapins !

Plus vous aurez de camarades, plus les heures de nettoyage s’accumuleront ! Certains seront plus propres que d’autres, mais quoiqu’il en soit, tous, s’amuseront à mordiller les barreaux du clapier avec leurs grandes dents.

Les clapiers en bois demanderont un traitement spécifique du bois, comme un renouvellement de peinture et vernis d’extérieur, pour un logement de longue durée.

Les habitations bétons, quant à elles, auront tendance à voir les portes grillagées se rouiller. Il faudra alors les traiter et repeindre le tout.

Santé et hygiène irréprochable pour bien faire un élevage de lapins

Vos petits animaux sont des êtres fragiles et sensibles. Petits bobos, maladies, contagions, pathologies, malformations, vieillissement… Vous deviendrez un(e) aide soignant(e) hors pair !

Le choix du reproducteur, comme nous le disions précédemment, est primordial pour éviter toutes pathologies génétiques ou malformations grandissantes.

Attention : certaines petites races (comme le nain) peuvent faire des portées de doubles progénitures (jumeaux), mais malheureusement, l’un des deux ne survivra pas !

Un fait avéré : le stress de la lapine ! Lors de la naissance, le cannibalisme chez la lapine envers ses petits, peut être très éprouvant pour l’éleveur qui s’est démené pour trouver un bon reproducteur, organisé la saillie et bichonner ces petits.

Fini les vacances pour les éleveurs

Si vous vous engager à commencer un élevage de lapins, vous tirez un trait sur vos vacances annuelles faute d’un remplaçant compétent et disponible. Et oui, votre petite tribu demande un entretien journalier, entre foins à foison, nourriture complète et eau fraîche en été.

C’est un engagement de tous les jours !

Une retraite anticipée des reproducteurs, mais bien méritée !

Malheureusement, avec l’âge vos animaux deviendront infertiles et comme vous ne serez plus, comme au départ, à commencer l’élevage de lapins, vous devrez certainement vous séparer de quelques compagnons. En effet, votre population atteindra son seuil d’acceptation. L’adoption sera alors une bonne alternative !

On finit par l’adoption des bébés…

Préparez-vous bien en amont pour garantir une adoption facile de vos petits lapereaux. Il faut garantir un pédigree de pure race et pouvoir informer des géniteurs. Même avec tous ces éléments, les déceptions sont courantes : désistements et abandon de l’animal.

Mais dans la plupart des cas, même si l’on ne peut jamais prévoir le comportement de la nouvelle famille d’accueil, votre lapereau vivra dans de bonnes conditions et avec beaucoup d’amour pour un bébé.

Elsa Blacha.

Articles connexes :

Élevage

La cuniculture désigne l’élevage commercial du lapin. On élève le lapin principalement pour sa viande et, dans certains cas, pour la production de fourrure (lapins angoras). La cuniculture est très ancienne. Au Moyen Âge, des moines la pratiquaient déjà dans des enclos appelés garennes. Dans les clapiers de l’époque, les lapins étaient nourris avec les déchets végétaux disponibles. Depuis une trentaine d’années, nous assistons à un élevage plus industriel de la production de lapins.

Les lapins sont élevés dans des clapiers. Ils sont nourri de moulée qui contient tous les ingrédients végétaux nécessaires à une excellente alimentation.

La génétique
L’élevage de lapins de race pure est très peu pratiqué en production commerciale. Au Québec, les producteurs de lapins utilisent presqu’exclusivement des lapins hybrides mâles et femelles comme reproducteurs (par croisement de races). Les races impliquées dans les différents plans d’hybridation sont le Néo-Zélandais, le Californien, le Chinchilla et le Géant des Flandres blanc.

Bienvenue sur le site de Clapier Petit Pas

Voici comment tout cela commence:

Je n’avais qu’un an lorsque ma mère a décidé d’acheter un couple de lapins à viande.Puisque je vis sur une ferme laitiere,nous avons décidé de les mettre dans l’étable avec les vaches.Ma lapine dont je m’étais beaucoup attachée a eu des bébés et nous avons fait, comme promis, de la consommation avec les petits.L’année d’après, nous avons encore acheté un couple de lapins à viande et ainsi de suite…J’ai grandi et ma petite soeur aussi a eu le droit d’avoir un couple de lapins mais puisqu’elle ne s’en occupait jamais j’ai donc décidé de les prendre en ma possession et de les nourrir et les cajoler. À l’âge de 11 ans,j’ai pris la décision de ne plus avoir un couple de lapin à viande mais bien du lapin nain (spécialement du bélier hollandais pure race).Après plusieurs recherche, j’ai décidé d’aller acheter mon premier couple de bélier hollandais.Lorsque je suis rentré dans le Petit clapier lapinou, j’ai réalisé ce que je voulais vraiment; un élevage de lapin nain.Apres avoir progresser dans cette race et aprofondi mes connaissances dans le lapins,j’ai aussi intégré dans mon élevage du lapin Tête de lion et bélier français.

Par la suite, j’ai pris la décision de me lancer dans une toute nouvelle race très rare au Québec, l’élevage du lapin Tan. Avec l’arrivée de cette nouvelle lignée j’ai due laisser derrière moi les Tête de lion. Ces dernier sont des mignons petits compagnons mais leur caractère n’était pas toujours du même sens. Le standard de la race pour les expositions est beaucoup plus avancé dans le Tan que dans le Tête de lion, ceci est une autre raison pourquoi j’ai décidé de ne plus élevé le Tête de lion.

Tout cela m’a donné le goût et le plaisir d’avoir un élevage de lapins qui ne cesse de croître encore aujourd’hui.Mes lapins sont bel et bien encore dans la ferme ,ce qui me donne encore de la place pour agrandir mon élevage.Mon but aujourd’hui est de produire des lapins en santé,qui convient a toute sorte de personnes,avec tous un caractère différent et d’avoir les lapins le plus proche du standard de la race pour le monde de l’exposition.

Lapin nain bélier

Originaire des Pays-Bas, le lapin nain bélier, nommé également bélier hollandais, est issu de croisements entre des lapins nains et des béliers. C’est une race assez répandue et le plus gros des lapins nains.

Lapin nain bélier : ses origines en quelques mots

Le lapin nain bélier est issu de croisements à partir de lapins béliers et de nains de couleur. C’est Adrian de Cok, éleveur à Tiburg, aux Pays-Bas, qui souhaita se lancer dans la création du lapin nain bélier.

Douze années de sélection lui ont été nécessaires pour toucher au but et faire admettre la race par la Commission des standards de Hollande en janvier 1964. Elle est reconnue en France en 1984.

viti / Getty Images

Lapin nain bélier : caractéristiques

Voici en détails les principales caractéristiques du nain bélier.

Lapin nain bélier : son poids

Le poids doit être supérieur à 1 kg et inférieur à 2 kg, le poids idéal étant entre 1,4 et 1,7 kg.

Lapin nain bélier : son corps

• Son corps court, massif, musclé, est aussi large que profond.
• Sa croupe est assez plate et ses épaules sont fortes.
• Ses petites pattes sont puissantes.

Lapin nain bélier : sa tête

• Sa tête, forte et large, avec un chanfrein fortement busqué, possède des joues et des mâchoires pleines. Elle est plus fine chez la femelle. Quant au cou, il est peu présent.
• Ses oreilles consistantes pendent verticalement de chaque côté, et leur ouverture est tournée vers la joue. Elles sont donc tombantes et en forme de fer à cheval. Elles mesurent entre 24 et 28 cm. La couronne (bourrelet qui traverse en largeur le sommet de la tête) est bien exprimée.
• Ses yeux sont grands et bien ouverts.

Lapin nain bélier : sa fourrure

• Sa fourrure dense, brillante est moyennement longue.
• De nombreux coloris et dessins sont admis, comme chamois, noir, blanc, bleu, agouti, etc.

Élevage du lapin nain bélier

Docile, vif, joueur, affectueux, sociable, le lapin nain bélier s’apprivoise très bien. De plus, il est très patient avec les enfants. C’est une véritable boule de tendresse !

Il est cependant important que les jeunes enfants ne le considèrent pas comme un jouet, ni un souffre-douleur. Comme tous les lapins de compagnie, il a besoin de calme et de périodes de repos.

Son espérance de vie est d’environ 7 ans, pour un lapin disposant d’une bonne hygiène de vie et on compte aujourd’hui 930 éleveurs et 6 500 reproducteurs.

Habitat du nain bélier

Il est le plus gros des lapins nains mais n’a pas forcément besoin d’une grande cage. Cette dernière doit lui permettre certes de se défouler, de courir, de sauter mais aussi de se reposer.

Il est préférable de séparer la partie repos de la partie jeux. Il en est de même pour le coin repas ou la litière.

Pour avoir un lapin en bonne santé, il est impératif que son habitat soit bien entretenu, nettoyé et débarrassé des crottes régulièrement. Il en est de même pour les différents accessoires placés dans sa cage.

Comme tous les lapins, le nain bélier est sensible au bruit, à l’humidité, aux courants d’air, au froid mais aussi aux sources de chaleur. Soyez donc vigilant quand vous choisirez l’emplacement de son logement.

Alimentation du nain bélier

D’abord, l’eau doit être propre et changée quotidiennement. Le foin est également indispensable à son alimentation, il doit être vert, non poussiéreux, avoir une bonne odeur. Il est distribué à volonté.

Monsieur lapin est aussi un gros gourmand ! Il faut donc lui donner sa nourriture en petites quantités. Optez pour des granulés complets de bonne qualité. Vous pouvez compléter son repas de légumes, de fruits et d’herbes fraîches. Veillez à lui en donner avec parcimonie pour éviter tout risque de diarrhée.

Reproduction du nain bélier

L’âge idéal pour sa reproduction se situe entre 7 à 8 mois. Comptez une moyenne de 2 à 4 portées par an, à raison de 3 à 7 petits en moyenne par portée.

Toilettage du nain bélier

Le toilettage de sa magnifique fourrure est assez simple, il suffit d’humidifier son pelage avec un gant, de la queue vers la tête. Cela élimine les poils morts tout en lustrant le poil.

Durant les périodes de mue, il est nécessaire de réaliser un toilettage, plus soutenu, en le brossant, car les poils tombent par poignées.

Prix du lapin nain bélier

Pour un lapin nain bélier, il faut compter environ 40 € le sujet.

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Lapin nain bélier : fiche récapitulative

Race

Race naine assez répandue

Origine

Pays-Bas – Ascendance : lapins nains et béliers

Usage

Lapin de compagnie

Poids

Supérieur à 1 kg et inférieur à 2 kg

Fourrure

Dense, brillante et moyennement longue. Nombreux coloris et dessins autorisés (la couleur argenté n’est pas acceptée)

Comportement

Docile, joueur, vif, patient, affectueux, sociable

Prix

40 € pour un sujet

Civet de lapin à l’alsacienne

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Le lapin est un animal très populaire en France, sa chair entre dans la composition de farce en charcuterie pour la réalisation de terrines et pâtés, de rillettes.

Le lapin peut être cuisiné entier farci ou seulement les cuisses ou encore le râble bien charnu.

La chair doit être tendre et rosée. Le foie doit être rouge et uniforme.

Il est parfois apprêté en ballottine, détaillé en morceaux en gibelotte, sauté, en civet, le râble est des fois farci, les cuisses rôties, en gelée , en fricassée et bien d’autres façons régionales de l’accommoder……

Je vous propose de découvrir plusieurs préparations à base de lapin que j’ai pu déguster, à découvrir :

Un civet désigne un ragoût préparé à l’aide de cive, c’est-à-dire d’oignon, ou d’autres bulbes comestibles. On prépare le civet avec du vin.

A l’origine, on mêle la sauce au sang de l’animal.

Le civet de Lapin était souvent en Alsace le repas du dimanche, accompagné de nouilles fraîches arrosées de beurre fondu….

Le lapin en civet à l’alsacienne est mariné durant 24h dans un pinot noir agrémenté de carottes, d’oignons, d’un bouquet garni…
La cuisson du civet de lapin en cocotte donnera une viande tendre et un jus savoureux.

Lapin à l’ardennaise

Le lapin à l’ardennaise, ce mets se prépare avec plusieurs ingrédients notamment : du lard fumé, des pommes reinettes, de la bière blonde, de la gelée de groseilles, un peu de moutarde.

Lapin aux pruneaux d’Agen

Un civet de lapin aux pruneaux d’Agen un peu de patience car il faut laisser les morceaux de lapin mariner une nuit dans du vin rouge, de l’armagnac, des légumes et divers aromates et bien sûr des pruneaux d’Agen.

Lapin à la beaujolaise

Le lapin à la beaujolaise ce plat se prépare avec du vin de Beaujolais, du vinaigre de vin rouge, des oignons hachés, une garniture aromatique (laurier, thym, sauge).

Lapin à la cauchoise

En pays de Caux, le lapin à la cauchoise pour être cuisiné il est d’abord mariné au vin blanc, avec ajout de crème fraîche, de moutarde forte, du beurre, des échalotes.

Lapin chasseur

Le lapin chasseur est un plat de lapin qui cuit longtemps en cocotte dans un bouillon aromatisé de concentré de tomates avec des champignons de Paris.

Une cuisson qui garde la tendreté de la chair et une réalisation très simple avec comme assaisonnement une sauce chasseur.

La sauce chasseur est une sauce au vin et au beurre réalisée initialement pour l’accompagner Elle est composée d’échalotes hachées et réduites au vin blanc, de champignons émincés, de tomates concassées en garniture et de persil haché, le tout revenu dans du beurre.

À l’origine, cette sauce était uniquement servie en accompagnement du gibier et particulièrement des oiseaux. Ceux-ci étaient coupés pour ôter les plombs et nécessitaient, s’ils étaient vieux et durs, d’être cuits longuement. Aujourd’hui, elle peut accompagner des volailles, des viandes blanches ou des pâtes fraîches.

Lapin au cidre

En Normandie on prépare le lapin au cidre qui cuira doucement dans la cocotte, embaumant la maison de ses parfums de cidre et d’aromates avec une petite astuce un peu de farine de lentilles car elle donne un goût succulent et en dorant, elle forme une croûte à l’intérieur de laquelle la chair du lapin va cuire s’imprégnant des parfums de la farine, du cidre et de la sauge.

Lapin au chocolat à la catalane

Une préparation inattendue, le lapin au chocolat à la catalane pour réaliser ce mets il faut : des lardons fumés , des petits oignons grelots, des échalotes hachées, du vinaigre de vin, du vin blanc sec et du cacao amer en poudre, et bien sûr une garniture aromatique .

Le cacao est utilisé ici en assaisonnement et liant,la consommation et l’utilisation du chocolat étant fort ancienne dans la région.

Lapin en cabessal

C’est un certain Lézeret, carme défroqué devenu aubergiste à Figeac (Quercy) après la Révolution, qui aurait inventé cette recette à la fin du XVIIIe siècle.

Cabessal, en patois, veut dire “torchon” ou “serviette”.

A l’origine, ce mets était cuisiné avec du lièvre marinait dans un vin de Cahors avec de l’armagnac, puis cuisait des heures sur un lit de couenne de porc après avoir été farci de son foie, de son cœur, de ses poumons, ainsi que de lard, de jambon, d’échalote, de persil, d’ail, de noix muscade, puis était servi avec des cèpes et des oignons.

Il est enfermé dans un torchon de cuisine : un cabessal, étroitement cousu et on le cuit dans une cocotte garnie de cèpes et d’oignons.

Toutefois la saveur du lièvre étant souvent assez forte, le lapin est cuisiné aussi de la sorte.

Gibelotte

La gibelotte est un lapin coupé en morceaux, fricassé puis cuit dans du vin blanc. C’est un plat délicieux dont la préparation permet à la chair du lapin de rester onctueuse.

En milieu de cuisson sont ajoutés des petits oignons et des petits champignons ainsi que des lardons.

Gibelotte de lapin à la normande

La gibelotte de lapin à la normande est un mets s’apparentant à un ragoût de lapin au vin blanc, il se compose : d’oignons grelots, des lardons, des champignons de Paris, des carottes, du cidre , du calvados, d’un bouquet garni..

Lapin à la havraise

Le lapin à la havraise est un plat originaire des régions de la Basse-Normandie et de la Haute-Normandie. C’est un plat de la gastronomie française.
Ce plat est généralement consommé de mars à juin et de septembre à décembre, le lapin est farci avec un pied de porc désossé qui au préalable a été précuit auparavant et divers aromates dont du thym.

Lapin à la moutarde

Ah ! le lapin à la moutarde, un grand classique délicieux. Qui nécessite de bien le cuire pour que la chair ne soit pas trop sèche, il est conseillé d’utiliser que les râbles et une bonne moutarde de Dijon.

Lapin à la Paimpolaise

Le Coco de Paimpol, le top des haricots! Cultivé dans les Côtes d’Armor et vendu demi-sec, il est sur les étals jusqu’à fin octobre!

Son grain est moelleux, avec une peau fine et un goût de noisette il a obtenu une AOC en 1998, il s’accommode fort bien avec le lapin et pour réaliser le lapin à la Paimpolaise, il faut : de la poitrine fumée, des oignons fanes, carotte, gousses d’ail, un bouquet garni,du vin blanc.

Lapin avec son saupiquet

Le lapin avec son saupiquet est un lapin rôti au vin blanc et son foie en saupiquet.

Pour réussir cette préparation il faut un bon lapin, bien moelleux avec des champignons, une sauce saupiquet (sauce relevée, voire piquante, épaisse, qui accompagne d’une façon privilégiée le lapin).

Cette préparation culinaire est légère va aller très bien avec du riz blanc, ainsi que le foie du dit lapin haché avec de l’ail et monté avec de l’huile d’olive accommodé avec du lard gras.

Lapin sauté à la mode de Gairaut

Du côté de Nice, plus précisément à Gairaut on apprête le lapin sauté à la mode de Gairaut avec des tomates bien mûres, un bouquet garni, du vin rouge, du piment de Cayenne, du basilic, d’oignons, des champignons de Paris, des gousses d’ail.

Lapin à la Saintongeaise

Le lapin à la Saintongeaise est un grand classique de la cuisine charentaise délicatement parfumé avec le Pineau rosé et accompagné de pommes de terre, la préparation comprend en outre du saindoux, des tomates, du Cognac, des échalotes, du bouillon de volaille, et un bouquet garni.

Pâté de lapin ou pâté de lapin de garenne

Le pâté de lapin ou pâté de lapin de garenne est un mets très répandu puisque réalisé dans toutes les régions où se trouvent des lapins d’élevage ou de garenne. Son élaboration se fait tant familialement qu’artisanalement ou industriellement.

Dans le lapin sont essentiellement utilisés le foie et le cœur, mêlés avec du cognac, du lard frais, de la chair à saucisse, de l’oignon haché, de la mie de pain, des œufs, des baies de genévrier, du laurier, du thym, du sel et du poivre.

Potjevleesch

Un grand classique de la gastronomie chez les  » ch’timis  » ; hérité de la plus pure tradition culinaire de Flandre est le Potjevleesch qui signifie tout simplement  » petite terrine de viandes » et cette recette était à l’origine un plat de fête, préparé pendant les courtes périodes de l’année où les différentes viandes utilisées étaient disponibles au même moment et en abondance.

Comme pour toutes les recettes traditionnelles, il en existe de nombreuses variantes, selon les régions. En voici  » l’interprétation  » la plus courante de cette terrine est composée de viandes blanches de poulet, lapin, porc et veau, froids , cuites dans la bière et misent en gelée.

Celle-ci se mange, la plupart du temps, froide et on la laisse fondre sur un plat de frites.

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