Table des matières
- Clavubactin 50/12,5 mg für Katzen und Hunde
- Ingredient matches for Clavubactin 50/12,5 mg für Katzen und Hunde
- Further information
- DERMIPRED® 5
- Composition
- Indications
- Quels sont les risques d’un traitement aux corticoïdes ?
- 1/ Quels sont les risques d’un traitement aux corticoïdes ?
- 2/ Le syndrome de Cushing iatrogène
- 3/ Les risques d’insuffisance surrénalienne aiguë
- 4/ Les autres syndromes possibles
Clavubactin 50/12,5 mg für Katzen und Hunde
Clavubactin 50/12,5 mg für Katzen und Hunde may be available in the countries listed below.
In some countries, this medicine may only be approved for veterinary use.
Ingredient matches for Clavubactin 50/12,5 mg für Katzen und Hunde
Amoxicillin
Amoxicillin trihydrate (a derivative of Amoxicillin) is reported as an ingredient of Clavubactin 50/12,5 mg für Katzen und Hunde in the following countries:
- Austria
Clavulanate
Clavulanic Acid potassium (a derivative of Clavulanic Acid) is reported as an ingredient of Clavubactin 50/12,5 mg für Katzen und Hunde in the following countries:
- Austria
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Further information
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Medical Disclaimer
DERMIPRED® 5
DERMIPRED® 5
Comprimés à base de prednisolone pour chiens et chats
Source : RCP du 15/03/2016
Composition
Comprimé sécable :
PREDNISOLONE : 5 mg
Excipient q.s.p. : 1 comprimé
Indications
Chez les chiens et chats :
— Traitement des inflammations aiguës de l’appareil locomoteur (arthrites, synovites) ;
— Traitement des affections dermatologiques à caractère immuno-allergique (dermite atopique, dermite par allergie aux piqûres de puces, dermite pyotraumatique, dermite allergique de contact et dermite allergique d’origine alimentaire).
Posologies hors AMM. Respecter la cascade (art. L.5143-4 du CSP)
Posologie hors AMM chez les NAC :(1)
— Furets :
• Immunosuppressif : 1 à 3 mg/kg toutes les 12 heures par voie orale
• Anti-inflammatoire : 0.25 à 1 mg/kg toutes les 12 heures par voie orale
• Traitement de l’hypoglycémie : 0.25 à 1 mg/kg toutes les 12 heures par voie orale
— Lapins de compagnie et rongeurs : 0.25 à 1 mg/kg toutes les 12 heures par voie orale. A utiliser avec précaution chez les herbivores
— Oiseaux : 0.5 à 1 mg/kg toutes les 12 heures par voie orale. A utiliser avec précaution chez les oiseaux
— Reptiles : 2 à 5 mg/kg par voie orale
Bonjour Dr Patrick et 1000 mercis pour vos éclairages.
Câline – chatounette de gouttière de 6 ans, non vaccinée, vivant avec ses 4 frère et soeurs en intérieur exclusivement, souffre d’une neuropathie d’origine inconnue (examens sanguins normaux, pas de traces de traumas sur les radios dorso-lombaires) apparue il y a 3 mois et qui empire.
Câline a perdu beaucoup de poids tout en refusant de manger ses croquettes habituelles (Satiety Balance ou Nutrivet), puis toutes les nouvelles croquettes (Carrefour, Purina, Sensible 33….) au bout de quelques repas.
De 5 kg l’an dernier elle est actuellement à 3.7kg. Puis il y a 3 mois,c’est l’apparition de cette neuropathie (progressivement démarche “bizarre”, puis marche de guingois en “U”, puis pertes d’équilibre, effondrement de l’arrière train, difficulté au saut….).
Elle demeure curieuse, affectueuse et se déplace, même avec ses difficultés et la chaleur. Toute continue de bien se passer avec sa fratrie. Elle ne semble pas souffrir (mais ce n’est pas évident de le savoir chez un chat) et la situation n’est pas normale.
Serait-ce de la détresse lorsqu’elle me lèche souvent les doigts, ce qui est nouveau ?
Après une aide au chlorure de magnésium (20ml/j pendant 5j) pour stimuler son système immunitaire accompagnée de croquettes renal RC pour contrebalancer le sodium, puis 2 séances chez une amie ostéopathe humaine qui l’ont soulagées mais n’ont pas fait disparaitre le “pblm”, j’ai dû me résoudre à lui faire administrer une injection de corticoïdes et un traitement au Dermipred 5 (1c/j pdt 5 jours puis 1/2 c/j jusqu’à …?) pour l’aider à surmonter la neuropathie. Les vétos (3) se perdent en conjectures. Je ne peux lui faire passer tous ces examens que nous ferions pour un humain.
Je ne sais que faire pour l’aider à reprendre le dessus, ne sachant pas l’origine de cette neuropathie. Que lui est-il arrivé ? Comment l’aider ?
Quelle vigilance avoir sur l’impact secondaire toxique des corticoïdes (en février : urée 0.45mg/l, créatinine 16mg/l, T4: 35.4nmol/l, t% globuline en baisse, plaquettes 116) ?
Quels sont les risques d’un traitement aux corticoïdes ?
1/ Quels sont les risques d’un traitement aux corticoïdes ?
L’utilisation des corticoïdes chez le chien peut en effet produire à long terme des effets secondaires. Sachez toutefois que les effets secondaires sont assez rares, surtout si le traitement est bien géré et suivi par le vétérinaire. Il ne faut donc pas s’inquiéter outre mesure.
Il faut savoir que la modification des doses (diminution ou augmentation) ou l’arrêt brutal du traitement sont les principales sources de problèmes et non le traitement en lui-même. Un traitement aux corticoïdes peut entraîner plusieurs effets secondaires.
2/ Le syndrome de Cushing iatrogène
Il s’agit de l’un des principaux risques lors d’une utilisation prolongée de corticoïdes. Le syndrome de Cushing iatrogène est plus marqué chez le chien que chez le chat et certaines races semblent plus sensibles (caniche, boxer).
Ce syndrome est un ensemble de manifestations cliniques dues à la présence excessive de corticoïdes d’origine naturelle (synthétisés par les glandes surrénales de l’animal) ou thérapeutique (syndrome iatrogène).
Les principaux symptômes sont :
– une augmentation de la prise de boisson et donc de la quantité d’urine émise par l’animal,
– une augmentation de l’appétit,
– de la fatigue,
– une fonte musculaire,
– une distension abdominale (abdomen pendulaire),
– une perte de poils symétrique (principalement au niveau des flancs),
– un amincissement de la peau (avec des lésions de calcification et parfois une hyperpigmentation).
Si un ou plusieurs de ces signes apparaissent, il faut impérativement réduire la corticothérapie.
3/ Les risques d’insuffisance surrénalienne aiguë
Ce syndrome survient en cas d’arrêt brutal des corticoïdes.
En effet, le fait d’apporter des corticoïdes de manière prolongée peut avoir un effet inhibiteur sur la sécrétion des glandes surrénales de l’animal, qui produisent en temps normal les corticoïdes naturels de l’organisme.
Comme les corticoïdes sont apportés par les médicaments, les surrénales ne sécrètent alors plus leurs propres corticoïdes.
Donc, en cas d’arrêt brutal des médicaments, l’organisme se trouve privé totalement de corticoïdes puisqu’il n’en synthétise plus lui-même. Des symptômes cliniques peuvent alors apparaître : vomissements, diarrhée, anorexie, ralentissement de la fréquence cardiaque, déshydratation, diminution de la quantité d’urine.
C’est pourquoi on diminue toujours la dose de corticoïdes progressivement jusqu’à l’arrêt total du traitement.
4/ Les autres syndromes possibles
– Des troubles digestifs : les corticoïdes peuvent parfois être mal tolérés par le tube digestif de l’animal. Celui-ci présenterait alors des vomissements et/ou de la diarrhée. Dans ce cas, un simple arrêt du traitement permet le retour à la normale. Si ce n’est pas possible, on peut prescrire en même temps que la corticothérapie un pansement digestif et un antiacide.
– Une augmentation de la diurèse (émission d’urine) : même lors de traitements non prolongés, les corticoïdes entraînent une augmentation de la prise de boisson et aussi une augmentation de la quantité d’urine émise. Il existe aussi des risques de fuite de potassium dans les urines et donc d’un taux de potassium dans le sang inférieur à la normale.
– Une augmentation importante de l’appétit (et donc souvent une prise de poids).
– Une diminution de l’immunité : les corticoïdes ont un effet immunosuppresseur. Comme ils » affaiblissent » le système immunitaire, leur utilisation est contre-indiquée lors de maladie bactérienne ou d’infection virale. En effet, le système immunitaire de l’animal ne pourrait alors plus combattre ces infections et la guérison serait plus difficile et longue.
Comme vous pouvez donc le constater, l’utilisation des corticoïdes n’est pas anodine et cela peut avoir de graves conséquences si le traitement n’est pas effectué sérieusement. C’est pourquoi nous vous conseillons de faire suivre régulièrement votre animal par un vétérinaire afin qu’il contrôle l’effet de la corticothérapie à long terme sur son organisme.
Docteur Caroline Bouheddi
Vétérinaire du site Wanimo.com
Posez vos questions à notre vétérinaire sur le forum Animaux, chaque semaine il répondra à l’une de vos questions dans sa chronique.