Si la richesse matérielle et financière est la raison qui vous pousse à vous marier, alors vous changerez peut-être d’avis après avoir lu cette histoire horrible.
L’ex-femme d’un homme riche a décidé de raconter comment elle a perdu son utérus à cause de nombreux rapports sexuels avec le chien de son mari.
Publicité
Selon la jeune femme qui a partagé sa triste histoire sur les médias sociaux pour servir de leçon à d’autres jeunes filles, son mari l’avait épousée pour son chien.
Tout a commencé lorsqu’elle a réalisé que son mari ne couchait pas avec elle après leur mariage. Pourtant il la droguait tous les soirs pour que son chien puisse coucher avec elle.
Ayant soupçonnée que quelque chose n’allait pas, elle a décidé de mener ses enquêtes. Une nuit, elle a fait semblant d’être ivre et a feint de ronfler. Quelques minutes plus tard, son mari a mis ses mains sur le visage pour se rassurer qu’elle était profondément endormie. Il est donc allé chercher son chien pour qu’il fasse son travail.
Elle a crié à l’aide et le mari s’est rendu compte qu’elle n’était pas ivre. Il l’a suppliée de garder le secret et de laisser le chien coucher avec elle.
Elle a refusé et son mari est devenu fou. Lorsqu’elle s’est rendue à l’hôpital, elle a découvert que son utérus avait été détruit.
Crédit photo : faceofmalawi
Tags chien femme mari uterus
Trotteur naturel, le berger allemand pose toujours à terre la patte antérieure en position inverse de la postérieure (par exemple l’arrière gauche et l’avant droit).
Ceci lui donne une bonne coordination dans les mouvements et un équilibre parfait. Un chien marchant l’amble serait à éliminer.
L’articulation des membres doit permettre au chien d’avancer sans pratiquement changer la position de la ligne dorsale. C’est en fait théorique ; en pratique, il ne procède pas vraiment de cette façon, mais ceci montre le parfait équilibre de l’animal.
Les proportions correctes des membres entraînent une foulée facile et efficace, à ras du sol la rendant particulièrement économique et permettant au chien de soutenir des courses prolongées.
Table des matières
Tête
En proportion avec la taille du corps, sèche sans être massive, l’espace entre les oreilles est important.
Le front présente un léger arrondi et la ligne supérieure du crâne va en s’abaissant vers le museau ; ce dernier se termine brusquement, un peu en pointe. L’ensemble donne une impression de robustesse.
Les lèvres serrées et sèches ferment bien. Le chanfrein droit se trouve dans le prolongement de la ligne du front. Les mâchoires très puissantes présentent des incisives s’adaptant en cisaille.
Les oreilles de grandeur moyenne, larges à la base, droites et plantées haut se terminent en une pointe aiguë. Elles ne doivent pas être pliées, recourbées, raccourcies ou tombantes. La position dressée des oreilles est naturelle ; des pavillons taillés sont donc inacceptables.
Cette mise à la verticale n’apparaît qu’au bout du 4è ou 6è mois et on ne doit pas s’inquiéter outre mesure d’un léger retard.
Les yeux de taille moyenne, en amande légèrement oblique, ne sont pas saillants. Leur couleur est foncée, brillante donnant au chien une expression de vive intelligence.
Cou
Puissant, aux muscles bien développés, il n’est pas trop long. Ne présentant aucun replis de peau pendant sous la gorge (fanon), il reste horizontal en position normale, mais se dresse lorsque le chien est en alerte.
Tronc
La poitrine bien développée n’est cependant pas d’une largeur excessive avec des côtes à courbure fine (ni plates ni en tonneau).
Le ventre n’est que légèrement remonté.
Le dos droit et fortement charpenté ne s’allonge pas trop entre le garrot et la croupe.
Le chien doit conserver une silhouette assez compacte. Sa longueur sera toutefois supérieure à la hauteur de l’épaule.
Les chiens carrés et hauts sur pattes ne sont pas valables. Les reins sont larges, la croupe allongée et légèrement inclinée ; le chien semble toujours prêt à démarrer une course.
Queue
Appelée aussi fouet, elle présente un poil touffu et atteint au moins le jarret.
Il lui arrive de présenter un petit crochet à son extrémité, guère souhaitable ; cette particularité n’est pas éliminatoire. En position normale, elle pend, tout en présentant une légère arcure, qui s’accroît en cas d’excitation jusqu’à se dresser.
Mais elle ne doit jamais dépasser la verticale. La queue ne se retourne pas sur le dos. Ni droite, ni enroulée, on ne la coupe pas.
Membres antérieurs
L’omoplate longue et plaquée contre le corps ne fera pas saillie. Le bras s’emboîte à angle droit et présente naturellement une bonne musculature.
Vu sous tous les angles, l’avant-bras reste droit. Les paturons sont fermes sans être trop verticaux. Les coudes en position moyenne ne sont ni écartées ni collés contre le corps.
Membres postérieurs
Les cuisses larges sont particulièrement musclés. Plutôt longues vues de profil, elles prennent une position oblique par rapport à la jambe, de taille assez importante.
Le jarret et la patte sont fermes et puissants.
Pieds
Courts et arrondis, bien fermés et arqués, ils offrent des soles très dures pour permettre le passage en tout terrain.
Les ongles courts et forts sont en général de couleur foncée. Il arrive de rencontrer des ergots sur les membres postérieurs, mais ils doivent être retirés aussitôt après la naissance car ils provoquent une marche pattes écartées et risquent de blesser l’animal.
Coloris
Noir, gris métallique, gris cendré, unicolore ou présentant des marques régulières de marron, jaune ou gris-blanc ; le berger allemand peut avoir aussi le manteau noir ou des nuances noires sur fond gris ou beige avec des marques plus claires.
C’est ce que l’on nomme la couleur loup qui devait être celle du chien sauvage d’origine.
De petites marques blanches sur la poitrine sont admises. Excepté chez les individus noirs, le sous-poil est toujours plus clair.
La couleur définitive des chiots est indéterminée tant que le poil de couverture n’a pas fait son apparition.
Poil
Pour le berger allemand à poil ras
La fourrure est très dense, droite, ferme et dure au toucher. La tête et le devant des membres présentent du poil ras. Sur le cou, à l’arrière des pattes et sur la cuisse, il est plus long.
Le poil ultra-court est considéré comme un défaut.
Pour le berger allemand à poil demi-long
Il présente une robe plus fournie que le précédent. Elle n’est pas toujours droite ni serrée au corps.
La queue est très touffue avec une formation de drapeaux vers le bas. Plus élégante, cette variété est moins résistante aux intempéries et n’est admise à l’élevage qu’à condition que le sous-poil soit suffisamment dense.
Pour le berger allemand à poil long
Il présente une fourrure plus abondante qui se sépare en général par une raie sur le dos.
Le sous-poil est presque inexistant en dehors de la région des reins. De constitution peu robuste, cette variété sera éliminée des élevages.
En dépit de sa beauté, elle ne convient pas aux critères de travail qui sont demandés à cette race utilitaire.
Défauts
Tous les points réduisant l’utilité, l’endurance et le rendement (sexe mal défini dans l’attitude, surexcitation, indifférence, timidité, lymphatisme) entraînent l’élimination de la sélection et des expositions ; les malformations sexuelles aussi.
Les couleurs trop claires, l’albinisme, la truffe rouge ne peuvent pas donner de reproducteurs officiels.
Les malformations physiques de toutes sortes (tailles inacceptables, membres mal placés, museau trop court ou trop long, prognathisme, défauts de denture, poils mous, queue déformée) font partie des défauts éliminatoires les plus graves.
Le berger allemand, un chien puissant et élégant
Le berger allemand, un chien puissant et élégant
Chien numéro un dans le cœur des français depuis près de 10 ans, le berger allemand reste en tête des classements. Harmonieux, puissant et élégant ce chien est aussi très affectueux. Focus sur ce grand classique canin.
Origines du Berger Allemand
Créée à partir d’un croisement entre un berger de Wurtemberg et de Thuringe par le colonel Von Stephanitz à la fin du XIXe siècle, cette race est officiellement reconnue en 1898. A la base, il s’agissait de sauver les races de chiens de berger car l’industrialisation avait provoqué la fin de nombreux élevages de bétails et ces races tombaient donc en désuétude. Après quelques sélections , le berger allemand si apprécié de nos jours était né !
Il n’est plus très utilisé pour garder les troupeaux mais plutôt comme chien d’aveugle ou chien policier car il a de grandes aptitudes au dressage.
Standard du Berger allemand
Le Berger allemand est un grand chien robuste et musclé.
Le mâle mesure 65 cm et la femelle 60 cm pour un poids moyen variant de 30 à 40 kg pour le mâle et de 22 à 32 kg pour la femelle.
Le poil doit être court, dur et compact avec un sous poil dense. Les couleurs admises sont le noir et le gris avec des tâches couleur feu régulièrement disposées.
Les yeux sont bruns, en amandes et le regard est très intelligent.
La tête est toujours bien proportionnée à la taille de l’animal, elle est surmontée par des oreilles élargies à leur base portées droites et en pointes. Le museau est prononcé et la truffe noire.
Le corps est allongé, musclé, de type trotteur. Lorsqu’il se meut, le Berger allemand, a des mouvements amples et harmonieux.
Comportement du Berger allemand
Ce chien garde sa place dans le cœur des français grâce à son caractère doux et à sa grande intelligence. Courageux, fidèle, il constitue aussi un très bon gardien dans une propriété. Par sa seule présence, il inspire d’ailleurs la crainte aux malfrats de tous poils. Pourtant au quotidien ce chien est affectueux et paisible bien qu’il soit tout de même très joueur. Facile à éduquer, il ne vous posera aucun souci, il est même très protecteur envers les enfants qu’il suit en prenant soin de ne jamais les bousculer.
Il a besoin de se dépenser quotidiennement, de longues balades seront donc les bienvenues, et il appréciera bien évidemment la mise à disposition d’un jardin.
Côté santé il est robuste et peu sujet aux maladies courantes. Il est cependant très attaché à son maître et peu souffrir d’anxiété si celui-ci est absent.
Génétiquement, il peut être victime de dysplasie de la hanche, d’hypothyroïdie et de la maladie de Von Willebrand mais cela devient de plus en plus rare grâce aux travaux de sélection.