Table des matières
Explication de la nutrition du chiot
Nutrition du chiot à 7 mois
C’est le moment pour votre chiot de développer sa masse corporelle. Par conséquent, il a des besoins nutritionnels majoritairement en protéines. Cependant, il a besoin d’une protéine de haute qualité et facile à digérer, qui favorise l’absorption et la réutilisation des acides aminés par le corps, pour construire des tissus sains et ses anticorps.
Le rapport protéines/calories devrait être plus élevé dans un aliment pour chiot que dans celui d’un chien adulte, car la croissance du chiot est rapide. Sans protéines, ses défenses naturelles peuvent être diminuées, sa peau et son pelage se détériorer et son développement peut être retardé. Surveillez la quantité des rations distribuées pour s’assurer qu’il ne prenne pas trop de poids pendant cette phase cruciale.
Nutrition du chiot de 10 mois
Les chiens de race de petite taille et de très petite taille atteignent l’ âge adulte à environ 10 mois, alors que les grands chiens ont besoin de plus de temps. À ce stade, tous les chiens ont besoin d’un soutien nutritionnel pour leurs articulations, en particulier les chiens de grande taille et de taille géante, car leurs muscles, en se développant, vont exercer une pression sur leur squelette. La glucosamine et la chondroïtine sont deux nutriments importants qui aident à nourrir le cartilage et le liquide permettant le fonctionnement normal des articulations. Sans ces nutriments, les chiots en croissance pourraient être sujets à des sensibilités d’articulaires plus tard dans leur vie.
Nutrition du chien adulte
À l’âge adulte, votre chien aura besoin d’une alimentation bien équilibrée pour éviter de prendre du poids. On estime que plus du quart de tous les chiens adultes sont obèses. L’obésité peut exercer une pression excessive sur leurs os, leurs articulations et leurs organes, et ainsi réduire leur qualité de vie. Si vous avez correctement nourri votre chiot avec des aliments équilibrés sur le plan nutritionnel au cours de ces premiers mois de vie, et en suivant les quantités recommandées, à l’âge adulte, il devrait être un chien heureux et en bonne santé.
Vous avez récemment adopté un petit chiot et ne savez pas comment le nourrir ? Suivez nos conseils d’alimentation pour chiot pour lui assurer une croissance optimale et sans encombre !
1/ Quel nourriture pour votre chiot ?
La première question est de savoir quoi donner à votre chiot. Il faut toujours tenir compte du fait qu’avant d’arriver chez vous, les chiots sont souvent nourris à l’élevage dans les animaleries. Leur flore intestinale étant encore fragile, il est plus prudent de ne pas changer leur alimentation du jour au lendemain. Allez-y en douceur en mélangeant l’ancienne nourriture avec la nouvelle formule pendant les deux premières semaines, tout en augmentant graduellement la quantité de ce que vous souhaitez lui donner après.
La meilleure alimentation pour chiot est à base de croquettes. Les croquettes spéciales pour chiots sont composées de manière à leur fournir les nutriments, l’énergie et les minéraux nécessaires à leur développement. Si votre chien pèsera plus de 25 kg (55 lbs) à sa taille adulte, il est important de choisir une diète formulée pour les chiens de grandes races. Nourrissez-le avec cet nourriture de croissance (que vous pouvez varier de temps en temps avec des produits en boîte ou préparés) jusqu’à ce qu’il pèse 90% de son poids d’adulte (vers 7-8 mois pour un chien de petite taille, ou vers 12 mois pour un chien de grande race.)
2/ Faites attention à la quantité
Veillez à bien respecter les quantités qui correspondent au poids de votre chiot, indiqués sur l’emballage de la croquette, car chaque marque peut être différente en termes d’ingrédients et de calories.
Comme les chiens grandissent très vite, il est impératif de suivre la croissance de votre toutou en le pesant régulièrement. Les chiots dynamiques ont besoin de plus d’énergie, mais beaucoup ne savent pas limiter leur appétit. L’alimentation à volonté est donc à éviter.
Surveillez bien ce que votre chiot mange pour éviter les écarts. Si vous remarquez qu’il prend du poids trop rapidement, réduisez ses rations. Néanmoins, cela ne devrait pas se produire si vous respectez bien le dosage du sac de croquette. En revanche, si votre chiot a été castré, demandez l’avis de votre vétérinaire pour modérer son poids.
3/ Le rituel du repas
Les premières semaines sont cruciales pour inculquer les règles à la maison à l’heure du repas :
- Tout d’abord, ne cédez pas à son air de chien piteux qui mendie un bout lorsque vous êtes à table. C’est très mauvais pour votre chiot, non seulement au regard de son dressage, mais aussi par rapport aux risques de diarrhée et d’obésité ;
- Habituez votre chien à manger en même temps que vous, sans l’observer et à des heures fixes. Placez sa gamelle dans un coin tranquille et essayez de le faire asseoir avant de la remplir ;
- Accordez-lui au maximum 20 minutes pour tout manger. S’il n’a toujours pas fini après ce temps, retirez-lui sa gamelle. Votre chiot apprendra alors de respecter les heures de repas. Vous pouvez lui offrir le restant de sa portion au prochain repas ;
- Toutefois, quand votre chiot perd ses dents de lait à partir de ses 4 mois (jusqu’à l’âge de 7 mois), il pourrait mettre plus de temps à manger. Dans ce cas, laissez-lui plus de temps et si nécessaire, mouillez un peu ses croquettes pour qu’elles soient plus faciles à mâcher.
4/ La fréquence des repas
Les chiots ont besoin de plus de repas que les chiens adultes. Ainsi, 4 repas par jour est un rythme raisonnable. À partir de ses 3 mois, servez le repas de votre chiot en trois fois (quantité journalière à diviser par trois). Après ses 6 mois, vous pouvez réduire son alimentation à deux repas par jour. En revanche, s’il est gourmand, il est préférable de le nourrir en plusieurs fois pour lui permettre de mieux digérer. A l’âge adulte (12 mois ou plus selon la race), vous pouvez lui donner à manger deux fois par jour selon son appétit.
5/ L’apport d’eau
Les chiots se déshydratent rapidement, surtout s’ils sont très actifs. Ils doivent donc boire et uriner beaucoup pour rester en bonne santé. Veillez à ce que votre petit bout de poils puisse boire de l’eau fraîche à longueur de journée. Investissez dans une fontaine à eau ou un distributeur afin de faciliter la tâche.
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Points forts :
. Une alimentation ménagère est possible, mais difficile à équilibrer sur la durée. La distribution d’os est contestée (risques d’obstruction ou de perforation du tube digestif). Le chien domestique ayant acquis la capacité de digérer l’amidon il y a plusieurs dizaines de milliers d’années, il est inutile, voire dangereux, de vouloir le nourrir comme un loup ou comme un chien « primitif ».
. Il est important de nourrir son chien avec des aliments « premium », plutôt qu’avec des aliments standard, voire bas de gamme. Leur coût journalier n’est pas beaucoup plus élevé, vu leurs meilleures qualité et digestibilité (moindre quantité à distribuer), et ils pourront éviter pas mal de soucis de santé liés à une alimentation de mauvaise qualité.
. Il existe des aliments adaptés à l’âge, au statut (stérilisé ou pas), à l’activité, et à l’état de santé… de chaque chien.
. L’alimentation intervient dans le traitement d’un certain nombre de maladies : quelques exemples en suivant ce lien.
QUELQUES NOTIONS DE BASE
Ration ménagère, ou aliment industriel ?
Il est possible, mais pas forcément conseillé, de nourrir son chien avec une ration ménagère : il faut alors éviter les restes de table, les viandes « pour chien »,
et construire une ration équilibrée en protides, glucides et lipides, vitamines et sels minéraux. Ce résultat est assez difficile à obtenir quotidiennement sur le long terme, et un animal habitué au steack haché depuis son plus jeune âge ne
sera pas très content si l’on prétend, un jour, le faire passer aux croquettes.
De façon très schématique, une ration ménagère se compose d’un tiers de viande (poulet, steack hâché), un tiers de riz, et un tiers de légumes (pour apporter des fibres ; éviter les légumes fermentescibles), le tout représentant, chez l’adulte, 40 grammes par kg de chien et par jour. (Le double chez le chien en croissance, avec une supplémentation en vitamines et en sels minéraux).
Os, ou pas os ?
Voilà un sujet polémique ! mâcher des os permet de lutter contre l’installation du tartre, et d’avoir une bouche en meilleur état. Mais tous les chiens ne
digèrent pas bien les os, et s’il y en a un qui se coince dans l’œsophage ou dans l’intestin du chien, obstruant et/ou déchirant la paroi… alors les ennuis commencent ! un très gros os, sur lequel l’animal se fera les dents pendant plusieurs jours sans pouvoir en détacher d’esquille, pourra constituer un compromis raisonnable…
Photo de gauche : un os bien coincé dans l’œsophage d’un caniche. Il a pu être extrait par endoscopie… mais le chien a eu très chaud ! Photo de droite : un très gros os que le chien ne peut pas avaler constitue un compromis raisonnable.
Notons au passage que contrairement au chat, de domestication récente et dont l’alimentation a été peu influencée par l’Homme, le chien domestique actuel vit au contact des humains depuis plusieurs dizaines de milliers d’années, au cours desquelles il s’est adapté à ce nouvel environnement, (spontanément ou par le biais de sélections), acquérant notamment la capacité de digérer l’amidon (Nature, 2013). Le système digestif du chien actuel n’a donc plus rien à voir avec celui du loup, et il est illusoire, voire contre-indiqué, de vouloir nourrir son bichon du XXIe siècle, avec un régime « naturel » à base de viande crue et d’os, comme un loup ou un hypothétique chien « originel ». Autre sujet polémique !
Aliments industriels : premium, ou standard ?
Si vous n’avez pas le temps ni l’envie d’essayer de composer, jour après jour, un régime équilibré pour votre chien avec des ingrédients achetés au marché, il existe une vaste gamme d’aliments industriels, disponibles sous forme de croquettes, de boîtes, de sachets fraîcheur, etc. Depuis quelques années, chiens et chats ont à leur disposition des aliments « premium », en croquettes ou en boîtes. Il s’agit d’aliments haut de gamme, élaborés dans des centres de recherche par des vétérinaires diététiciens, en utilisant des matières premières de qualité et des procédés de fabrication élaborés (extrusion pour conserver les vitamines, par exemple), pour coller au plus près aux besoins alimentaires des animaux. La majorité de ces aliments se présente sous forme de croquettes (meilleure conservation une fois entamés, meilleur rapport qualité/prix, particulièrement chez les chiens de grand format, effet favorable sur les dents)… mais les aliments humides reviennent à la mode depuis quelques mois, en particulier chez des chiens plutôt de petit format, pour le traitement d’un certain nombre de maladies (certains problèmes intestinaux…).
Les aliments premium sont plus chers à l’achat que des aliments plus « bas de gamme ». Mais avec une meilleure digestibilité et des matières premières d’excellente qualité, les quantités à distribuer pour satisfaire les besoins d’un chien sont moindres avec un aliment premium qu’avec un aliment d’entrée ou de milieu de gamme. Le coût journalier d’un premium n’est donc pas beaucoup plus élevé que celui d’un aliment standard… tandis que les effets sur la santé de votre chien, notamment la capacité à prévenir un certain nombre de maladies, sont sans comparaison.
Et justement, si le chien tombe malade ?
Parmi les Premium, il existe deux grandes gammes d’aliments : une gamme « physiologique », consacrée aux animaux en bonne santé en fonction de leur âge, de leur état d’embonpoint, de leur degré d’activité, etc (voir les paragraphes suivants). Et puis une gamme « prescription », ou « thérapeutique », l’aliment jouant alors un véritable rôle thérapeutique. Sa composition lui permet en effet de traiter un certain nombre de maladies, seul ou en association avec d’autres médicaments : obésité, bien sûr, mais aussi calculs urinaires, insuffisance rénale, troubles digestifs, allergies… Vous trouverez quelques exemples en suivant ce lien.
Après ces considétations générales, quelques conseils pratiques à propos de l’alimentation du chien, aux différents âges de sa vie :
LA LACTATION
Dans les condition normales d’élevage, un chiot tète le lait de sa mère jusqu’au sevrage c’est à dire jusqu’à l’âge de 2 mois, 2 mois et demi. Durant les deux premiers jours la mamelle sécrète le colostrum, « premier lait » riche en gamma globulines (anticorps), qui confère au chiot une immunité au tout début de sa vie.
Un chiot tête habituellement toutes les 2 heures. Si les chiots sont orphelins, trop nombreux, ou que la mère ne s’en occupe pas ou n’a pas de lait, vous devrez recourir à un lait maternisé adapté. En effet, le lait de vache est moins riche que le lait de la chienne et est souvent mal digéré, entrainant des diarrhées pouvant être à l’origine du décès du chiot. Le rythme d’administration et les quantités à donner dépendent de l’âge du chiot. Elles sont à respecter scrupuleusement et sont indiquées sur les boîtes.
Pour surveiller la bonne croissance du chiot il faut surveiller son poids très réguièrement. La prise de poids dépend de la race à laquelle appartient votre chiot. Par contre, si en 48h un chiot a perdu du poids ou n’en a pas pris, ce n’est pas normal et il faut s’en inquiéter et en trouver la cause.
LE SEVRAGE ET LA CROISSANCE
Vers l’age de 2 mois, les chiots commencent à griffer et mordiller leur mère, qui les repousse de plus en plus ; c’est le moment du sevrage (passage de l’alimentation liquide à l’alimentation solide).
A partir de 1.5-2 mois, on peut commencer à aider la mère en introduisant des aliments solides pour compléter les têtées, de préférence des croquettes chiot de bonne qualité (aliments premium), et adpatées à sa race pour une croissance optimale. Si la transition est difficile, vous pouvez au départ mouiller les croquettes avec du lait maternisé. La durée totale du sevrage est de 2 à 3 semaines maximum.
La qualité de l’alimentation du chiot est particulièrement importante, compte tenu de la vitesse de croissance élevée de ce dernier. Cette alimentation spécifique pour chien en croissance doit être maintenue plus ou moins longtemps en fonction de la race de votre chien :
– chez les chiots de race naine ou de petite taille jusqu’à 6-8 mois
– chez les chiots de race moyenne jusqu’à 1 an
– chez les chiots de grande race jusqu’à 15 mois
– chez les chiots de race géante jusqu’à 18 mois, voire 2 ans.
Un déséquilibre nutritionnel chez le chiot peut conduire à des problèmes de santé, notamment ostéo-articulaires, surtout chez les chiots à très fort potentiel de croissance (grandes races et races géantes). Il est important de noter que si vous donnez un aliment de bonne qualité à votre chien en croissance (aliment premium), il est inutile, voire dangereux, d’y ajouter des compléments en vitamines ou sels minéraux. Voir à ce sujet la discussion sur les aliments premium, l’alimentation ménagère, les os et les régimes « naturels », dans le paragraphe suivant (L’aliment adulte).
L’aliment chiot doit être distribué à volonté (ou en quatre repas par jour) jusqu’à l’âge de deux mois, puis en trois repas par jour jusqu’à l’âge de six mois, puis en un à deux repas quotidiens. Le passage à un repas par jour n’est pas conseillé. En effet, l’ingestion rapide d’une grande quantité de nourriture peut favoriser la survenue de troubles digestifs. En particulier, chez les races de grand format à thorax profond, un seul repas pris goulument après 24 heures de jeûne augmente le risque de dilatation-torsion d’estomac.
Attention, tout ce qui tourne autour de l’alimentation joue un rôle important dans le comportement du chien, et notamment dans la mise en place et l’entretien de la hiérarchie – et les bonnes habitudes se prennent tôt, et se perdent vite ! Ne restez pas à côté de votre chien, à le regarder manger. Ne tolérez pas qu’il vienne vous interrombre pendant votre repas. Plus d’informations ici.
Remarque : En cas de sterilisation avant les 1ères chaleurs, vers 6-8 mois, c’est à dire avant que la croissance ne soit achevée, il est recommandé de passer à un aliment junior sterilisé, spécialement adapté, jusqu’à la fin de la croissance.
N »hésitez pas à nous demander conseil.
L’ALIMENT « ADULTE »
La transition vers l’alimentation adulte se fait à différents moments, en fonction de la race de votre chiot (cf paragraphe précedent). Elle doit se faire progressivement, sur une semaine, afin d’éviter les troubles digestifs. Au départ, les nouvelles croquettes sont introduites en petites quantités, puis les proportions sont inversées lentement au cours de la semaine.
Les besoins (en énergie, en protéines…) n’étant pas les mêmes pour tous, différents types d’aliments sont disponibles en fonction du format ou de l’activité de l’animal : un jeune chien de grand taille, en pleine croissance et très actif, trouvera ainsi dans ses croquettes une quantité plus importante d’énergie, de protéines et de calcium, qu’un adulte stérilisé et sédentaire (Photo de gauche : le repas d’un jeune chien actif, par un jour de pluie). Les croquettes des chiens de petit format sont conçues pour abraser la surface des dents lors de la mastication, et prévenir ainsi la formation de la plaque dentaire. Les aliments pour chiens stérilisés participent à la prévention de l’obésité…
Les quantités à donner sont indiquées sur le sac ou sur la boîte : à considérer comme une base de départ, et à adapter ensuite en fonction de l’appétit et de l’embonpoint de l’animal. La ration quotidienne est distribuée en un, ou de préférence deux repas par jour, comme décrit dans le paragraphe précédent.
En cas de sterilisation, le passage à un aliment spécifique pour chiens sterilisés est fortement conseillé, afin de limiter notamment la prise de poids.
L’ALIMENT « SENIOR »
Vers l’âge de 8 ans, (un peu moins pour les grandes races, un peu plus pour les tout petits chiens), il convient de passer à un aliment adapté aux besions du chien âgé : moins riche en sel pour le coeur, avec des protéines en quantité restreinte, mais de meilleure qualité pour les reins, moins calorique (le chien devenant plus casanier), enrichi en antioxydants (pour le vieillissement cérébral) et en protecteurs du cartilage (pour les articulations).
En cas de maladie(s) chronique(s), plus fréquentes chez le chien âgé, (insuffisance rénale ou problèmes articulaires, par exemple), c’est un aliment d’une gamme « thérapeutique » qui sera choisi.
Cette transition devra être effectuée comme indiqué dans les paragraphes précédents.
Et encore quelques conseils de plus :
– Une fois que l’on a trouvé un aliment adapté et qui convient bien à son chien, il faut éviter d’en changer trop souvent. A chaque changement, on doit effectuer, autant que possible, une transition alimentaire.
– Il est possible de donner des friandises à son chien, pour lui faire plaisir… et se faire plaisir par la même occasion, à condition de rester raisonnable… et de ne rien lui donner à table !
– Donnez à manger à votre chien plutôt après vous… ou alors longtemps avant (plus d’explications en suivant ce lien)
– N’oubliez pas de toujours veiller à ce que votre chien ait à sa disposition de l’eau fraîche et propre.
Tout le personnel de nos cliniques de Calvisson et de Villevieille est là pour vous conseiller sur l’alimentation la plus adaptée aux besoins de votre chien. N’hésitez pas à nous poser des questions.