Table des matières
- À l’aide! Mon chien pleure lorsque je quitte!
- Comprendre pourquoi votre chiot pleure
- Que faire si votre chiot pleure ?
- 1. Ignorez-le
- 2. Fatiguez-le durant la journée
- 3. Préparez-lui un couchage où il se sent en sécurité
- 4. Restez calme
- 5. Laissez-lui toujours un petit bol d’eau fraîche
- 6. Utilisez la technique de la chaleur
- 7. Jouez sur les odeurs
- 8. Le réveil magique
- Mon chiot pleure la nuit, comment réagir?
- Comprendre pourquoi votre chiot pleure afin de savoir s’adapter
- Comment accueillir son chiot ?
- Mon chiot pleure la nuit, que faire, comment faut-il réagir?
- Mettre mon chiot en cage pour le calmer la nuit?
À l’aide! Mon chien pleure lorsque je quitte!
‘’L’anxiété de séparation’’, c’est un problème qui fait probablement parti du top 3 des problèmes les plus fréquents chez les propriétaires de chien. Je dis ‘’anxiété de séparation’’, mais dans le fond, ce n’est même pas le bon terme pour décrire ce problème de comportement. Seulement 10% des cas d’anxiété de séparation sont de VRAIS cas d’anxiété. L’autre 90% c’est un problème APPRIS. Les vrais cas d’anxiété peuvent être diagnostiqués seulement par un vétérinaire comportemental (au Québec il y a Dr Martin Godbout). Ça se gère seulement avec de la médication. Un éducateur canin ne peut malheureusement pas diagnostiquer une vraie anxiété, même s’il a une bonne idée du problème.
De l’anxiété apprise, c’est quoi au juste?
Il se peut qu’on apprenne à notre chien à pleurer lorsqu’on quitte, ou quand on le laisse seul dans sa cage, ou encore quand on fait simplement aller à la salle de bain en fermant la porte derrière lui. Tout dépendant notre réaction face à sa petite ‘’crise’’, il répétera, ou non, le comportement qui ressemble à de l’anxiété de séparation.
Par exemple, si on le met dans sa cage, on ferme la porte et on part dans une autre pièce, le chien se met à pleurer. On se sent mal un peu, ou bien on ne veut pas déranger les voisins, alors on va aller lui rouvrir la porte de sa cage. Grosse erreur! En lui donnant ce qu’il voulait (sortir), au moment d’un mauvais comportement (pleurer/japper/gratter dans la porte), ça fait qu’il vient de comprendre ce qu’il doit faire pour obtenir ce qu’il veut. Il doit pleurer et gratter dans la porte pour qu’on vienne lui ouvrir la porte!
Mais là on décide d’être ‘’wise’’, on va l’ignorer tient. Je vais vous dire une chose. Ignorer ça peut être pas pire, mais il faut que vous soyez sûr que vous allez résister jusqu’au bout! Quand on ignore un comportement qui a déjà été renforcé, il ne faut pas oublier que le chien aura un ‘’burst’’. Un burst c’est une exagération de comportement que le chien fait quand il voit que le comportement original ne donne plus ce qu’il donnait au départ. C’est souvent durant ce burst là que les gens finissent par réagir parce que ça devient insupportable. Par exemple, si le chien ne faisait que japper dans sa cage…son burst pourrait être de hurler très fort + gratter dans la porte. Si on se décourage et qu’on réagit rendu à son exagération, il répétera le comportement parce que nous l’aurons renforcé. Si par contre on réussit à passer au travers et ignorer jusqu’à la fin, son mauvais comportement risque fort de partir.
Ignorer peut-être une très bonne option quand c’est la toute première fois qu’un chien nous sort un comportement indésirable. S’il voit que ça ne lui rapporte rien, il ne devrait pas le répéter. Quand je dis que ça ne lui apporte rien, ça veut dire : on ne le regarde pas, on ne lui parle pas, on ne le touche pas…bref, ignorance totale.
Faites des ‘’faux départs’’
Certaines routines ou même certains objets de la maison peuvent déclencher un stress chez notre chien. Par exemple, le bruit du trousseau de clés pourrait annoncer le fait que nous allons partir. Le chien commence donc à stresser au son des clés. C’est là qu’il faut faire des ‘’faux départs’’. Toujours avec l’exemple des clés, il faudrait qu’on prenne le trousseau, qu’on fasse un peu de bruit avec, on le ressert à sa place, et on continue d’aller faire nos choses dans la maison. En faisant cela, les clés qui annonçaient notre départ n’annoncent plus rien en particulier. Il faut éviter d’avoir trop de routine.
Partez sans rien dire
Oui oui, partez en ne parlant pas à votre chien. Vous devez l’ignorer totalement, donc pas de regard, vous ne lui parlez pas, vous ne vous penchez pas vers lui…je suis plate un peu avec mes trucs hein ? Mais bon, quand on met trop d’émotion sur le fait qu’on sort, on crée une grosse boule d’excitation et on leur claque la porte au nez pour ensuite tomber à plus rien. Le chien ne comprend pas que vous venez de lui dire que vous revenez dans 30 minutes ou peu importe. Le cerveau du chien reste dans son état d’excitation et peut prendre plusieurs minutes à revenir calme.
Occupez votre chien
Avant de partir, assurez-vous de donner quelque chose à faire à votre chien. La meilleure option est de laisser des jouets remplis de nourriture. Les jouets de marque Kong en caoutchouc sont excellents pour les distraire au moment de franchir la porte. Vous pourrez trouver plusieurs options intéressantes dans les animaleries près de chez vous. Le mieux c’est de varier ce que vous allez offrir au chien, on veut qu’il reste motivé.
Vous venez d’adopter un chiot. Certes, il est trop mignon mais il se met à pleurer dès que vous n’êtes plus dans la même pièce que lui, et pire encore il vous réveille la nuit à force de pleurer et va finir par déranger les voisins également… Découvrez pourquoi votre chiot a un tel comportement et que faire pour y remédier.
Comprendre pourquoi votre chiot pleure
La cause principale des pleurs de votre chiot est l’anxiété : en effet, le chiot anxieux pleure car il est séparé de vous, ses propriétaires. Les pleurs sont alors considérés comme une sorte d’aboiement. Le chiot anxieux s’apaise immédiatement auprès de ses propriétaires mais lorsqu’il est séparé d’eux, il est en pleine détresse donc il aboie, pleure, peut aussi détruire ce qui l’entoure et même aller jusqu’à faire ses besoins partout. Ces comportements sont révélateurs d’une anxiété profonde chez le jeune chien.
Les causes d’anxiété chez le chien sont elles aussi très diverses :
- Anxiété de séparation : c’est un trouble du comportement qui s’exprime par des signes de détresse lorsque le chien est séparé de ses propriétaires ou des personnes auxquelles il est très attaché. C’est le cas lorsque ceux-ci n’effectuent pas le détachement nécessaire à la prise d’indépendance du jeune chiot comme l’aurait fait sa mère. Ainsi, lorsque le chiot voit alors partir son seul repère, c’est-à-dire son maître, il devient anxieux et manifeste sa détresse en détruisant et en aboyant. L’anxiété de séparation est alors une conséquence de l’hyperattachement.
- Phobies : une phobie est une anxiété liée à des peurs importantes à l’extérieur. C’est une réaction de peur disproportionnée par rapport à un stimulus de l’environnement normal. De base, la peur est une réaction normale, elle permet au chien de se protéger, elle est limitée dans le temps. En revanche, la phobie est une réaction amplifiée qui bloque tout apprentissage.
- Hyperactivité propre au syndrome Hs-Ha (hypersensibilité-hyperactivité) : il s’agit d’un trouble de développement du chien qui peut être responsable d’anxiété mais aussi d’un hyperattachement secondaire.
Que faire si votre chiot pleure ?
Pour supprimer ce comportement, il convient d’apprendre au chiot à se détacher de vous, si ce n’est pas encore fait, et donc de lui apprendre à rester seul.
Même si cela peut vous paraître difficile, il est souhaitable que votre chiot ne dorme pas dans votre chambre car cela ne ferait que renforcer :
- son attachement : qui peut être à l’origine du problème comme nous l’avons vu plus haut.
- son caractère dominant : ce qui peut poser d’autres problèmes de comportement.
Ne répondez pas systématiquement aux sollicitations de votre chiot, c’est à vous d’initier le contact avec lui. N’hésitez donc pas à venir le chercher pour jouer même s’il fait la sieste !
Si vous souhaitez laisser votre chiot dans une seule pièce de la maison au départ, c’est possible. Essayez de passer un peu de temps avec lui dans la pièce en question, et cela notamment avant de le quitter (du moins au début), afin qu’il n’associe pas la mise dans cet endroit avec votre départ ; essayez de l’habituer à y passer de plus en plus de temps, même si vous êtes là.
Avant de partir, laissez-le dans cet endroit, enfermé, mais ne restez pas trop loin afin qu’il sache que vous êtes là, pendant au moins dix minutes. Cela le rassurera et lui évitera encore d’associer cet endroit avec votre absence.
S’il pleure, ne répondez pas à ses appels, même pour le réprimander, car il associera votre retour à ses pleurs et non pas à la réprimande ! Il recommencera donc à chaque fois.
Lorsque vous venez le rechercher, ne lui faites pas des câlins et ne lui laissez pas vous en faire : ignorez-le pendant dix minutes et repoussez-le s’il cherche le contact ; ainsi, il n’associera pas votre retour et sa libération avec des câlins.
Brisez le rituel du départ et du retour : vous devez, avant de partir, ignorer votre chiot pendant une bonne demi-heure, afin qu’il n’associe pas le départ avec l’absence de contact entre vous. Vous devez faire de même à votre retour : s’il vous fait la fête, repoussez-le ou ordonnez-lui d’aller se coucher (en le grondant), et vous ne rétablirez le contact, de votre propre initiative, qu’une demi-heure plus tard.
S’il a fait des dégâts, ne le grondez pas et ne nettoyez pas devant lui : il ne comprendrait pas et serait davantage anxieux.
Enfin, pour aider votre chiot à apprendre à rester seul, il existe un produit qui diffuse des phéromones canines d’apaisement dans l’air ambiant de votre maison (Adaptil). Cette phéromone permet de réduire le stress et l’anxiété des chiens lorsqu’ils sont laissés seuls. L’utilisation de ce produit doit se faire en même temps que l’application de tous les conseils d’éducation cités ci-dessus.
Si malgré tout cela, votre chiot continuer de pleurer, consultez un vétérinaire.
Pour un chiot, les premières nuits dans son nouveau foyer sont souvent bien difficiles. Séparé pour la première fois de sa mère et de sa fratrie, il atterrit brutalement dans un environnement qu’il ne connaît pas, ce qui représente une grande source d’angoisse pour lui. Il n’est donc pas impossible que, confus et apeuré, il émette des gémissements plaintifs qui ne sont autres que des appels à l’aide. Pas de panique, en suivant ces conseils à la lettre, vous devriez vite pouvoir retrouver le sommeil !
Sommaire
1. Ignorez-le
Oui, cela peut paraître un peu barbare et cruel, mais c’est la seule solution. Si votre petite boule de poils commence à pleurer alors que vous venez d’éteindre la lumière, surtout ne vous précipitez pas vers lui pour le rassurer. Le laisser pleurer jusqu’à ce qu’il s’endorme risque de vous faire mal au cœur et de vous faire culpabiliser, mais sachez que c’est pour son bien. Sa mère aurait fait exactement la même chose.
Si vous cédez et allez le réconforter ou le gronder, il pensera alors que pleurer ou aboyer est un moyen d’attirer votre attention et il recommencera. Alors on prend sur soi et on se dit que ce n’est qu’un mauvais moment à passer ! Et si cela est vraiment insupportable, sachez qu’il existe des casques anti bruit…
2. Fatiguez-le durant la journée
Un chiot fatigué par sa journée aura beaucoup moins de mal à s’endormir le soir venu. Ainsi, n’hésitez pas à augmenter la durée des promenades, des moments de jeux ou des séances d’éducation.
3. Préparez-lui un couchage où il se sent en sécurité
Si vous voulez faire dormir votre chiot dans votre chambre, c’est votre droit. Cependant, sachez qu’il est recommandé de le faire dormir dans une autre pièce afin d’établir d’office un rapport hiérarchique avec lui. Dans tous les cas, un chiot a besoin d’un couchage confortable à l’abri du froid, de la chaleur et des courants d’air.
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Un parc à chiens ou une caisse de transport peuvent aider le chiot à se sentir en sécurité les premières nuits dans sa nouvelle maison. En effet, les bébés chiens ont peur des grands espaces et préfèrent dormir dans un petit nid douillet.
4. Restez calme
La règle numéro 1 avec un chiot est de garder son calme en toute circonstance. La nuit est un moment où nos nerfs sont mis à rude épreuve étant donné la fatigue qui nous envahit, mais il est important de rester maître de soi. Non seulement vous énerver vous fatiguera encore plus, mais en plus votre chiot pourrait devenir encore plus stressé et pleurer encore plus.
5. Laissez-lui toujours un petit bol d’eau fraîche
Un chiot a souvent soif durant la nuit. Même s’il est recommandé de lui enlever son bol d’eau le soir avant d’aller se coucher pour éviter les petits incidents nocturnes, nous vous conseillons tout de même de lui laisser un petit peu d’eau (pas une gamelle remplie). Ainsi, s’il se réveille parce qu’il a soif, il pourra boire une petite quantité d’eau qui lui permettra de patienter jusqu’au matin sans avoir trop envie de faire pipi.
6. Utilisez la technique de la chaleur
Une technique particulièrement efficace pour calmer son chiot consiste à passer le long de son dos une éponge légèrement chaude, geste similaire à celui que sa mère faisait avec sa langue.
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De même, vous pouvez placer une bouillotte enroulée dans une couverture dans son couchage afin de reproduire la chaleur de sa mère et de ses frères et sœurs.
7. Jouez sur les odeurs
Pour rassurer votre chiot la nuit, vous pouvez également placer dans son couchage un vêtement imprégné de votre odeur ou de l’odeur de son premier lieu de vie. Dans tous les cas, souvenez-vous que les odeurs sont d’une importance capitale pour le chien, qui possède un odorat 10 000 fois plus sensible que le nôtre.
8. Le réveil magique
Une dernière astuce consiste à installer une horloge dans la pièce où dort votre chiot ou même à placer dans son lit un petit réveil mécanique. Le » tic tac » produit par les aiguilles rappellera au chiot le bruit du cœur de sa mère, ce qui aura pour effet de l’apaiser.
Mon chiot pleure la nuit, comment réagir?
Comprendre pourquoi votre chiot pleure afin de savoir s’adapter
Nous allons chercher nos chiots entre leur 2 et 3 mois. Ce sont des bébés qui ont a peine/pas vécu la phase de rejet de leur mère (si l’éleveur a laissé le chiot avec sa mère). Par contre, ils n’ont JAMAIS été seuls et le chien est un être social avant tout.
Il s’attache aux êtres qui l’entourent pour avoir des repères, être rassuré et se développer.
Donc, quand le chiot arrive, il a perdu tous ses repères, sa famille, son lieu de vie et se retrouve avec des inconnus dans un lieu également inconnu!
Il va donc très probablement reporter son attachement sur vous et aura besoin de votre présence afin de se rassurer. C’est le début de l’établissement de votre lien de confiance et d’amour.
Comment accueillir son chiot ?
Pour limiter le stress de votre chiot, vous pouvez mettre en place certaines choses :
- prendre un tissu qui sent votre odeur et lui amener à l’élevage
- lui rendre visite avant le jour J
- rester avec lui en présence de sa mère quelques heures
- le récupérer en prenant un tissu qui sent sa mère et sa fratrie
- le faire dormir avec vous (nous verrons où après)
- le ramener quand il fait jour et le laisser découvrir son nouvel environnement sereinement
- reproduire les mises en place de l’éleveur (le même type de couchage, le même substrat pour éliminer…)
- placer une bouillotte de laquelle émanera une chaleur rassurante
- être bienveillant et ne pas vous fâcher, oui votre chiot ne sera pas propre, va mordiller, va détruire des objets… ceci est normal
Mon chiot pleure la nuit, que faire, comment faut-il réagir?
Si vous le laissez seul dans une pièce dès le premier soir, c’est normal que votre chiot ressente de la détresse. Il ne feint rien du tout, il est perdu et paniqué. Il pleure et aboie afin que vous reveniez car votre présence le rassure. Pensez à un nourrisson humain (sans faire d’anthropomorphisme), quand vous rentrez chez vous, vous ne le laissez pas seul dans la cuisine ou le sous sol pour ne pas l’entendre! C’est assez comparable même si le chiot nous arrive à un moment de sa vie où il est bien plus indépendant physiquement! N’oublions pas qu’il s’agit d’un bébé et qu’il doit pouvoir compter sur vous.
Vous avez donc 2 possibilités afin de démarrer sur de bonnes bases avec lui :
- le faire dormir dans votre chambre (dans un parc à chiot comme celui-ci : https://amzn.to/2SOUu3j ). Petit à petit vous déplacerez son panier afin de lui faire gagner sa place définitive.
- dormir là où vous avez décider qu’il aurait son panier par exemple se mettre sur le canapé s’il dort dans le salon
Attention => l’idée n’est pas de dormir AVEC lui mais proche de lui. Si vous dormez avec lui, vous vous exposez à créer une dépendance nommée l’hyper-attachement. Une fois que vous vous couchez, n’interagissez plus avec lui!
Mieux vaut interdire des choses qui seront plus tard autorisées car c’est difficile de revenir sur un droit considéré comme acquit par le chien. Donc avec un chiot, on est souple mais il faut quand même des règles de vie!
Mettre mon chiot en cage pour le calmer la nuit?
Parlons d’un sujet qui fâche! La cage : oui ou non?
Pour ma part, elle est utilisée comme punition ou uniquement la nuit en cas d’habituation à l’élevage et elle doit être très grande (avec son panier, des jouets, de l’eau, une alèse…). Je lui préfère très largement un parc à chiot ou une pièce sécurisée avec la lumière du jour.
La cage est une privation de liberté et oblige le chiot à être propre car il ne fera pas ses besoins sous lui. On imagine donc l’association que fait le chiot avec sa présence chez vous. Certains chiots vont montrer de l’agressivité, de la peur, de la résignation, rien (mais ce n’est pas pour autant que cela va bien), de la détresse…
Le chiot peut donc se sentir extrêmement mal avec cette privation de mouvement et développer de la résignation acquise.
Cela a été étudié par des vétérinaires et prouve qu’un chien qui subit des choses déplaisantes contre gré va finir par ne plus réagir. C’est pourquoi on peut croire qu’un chien accepte voire apprécie des choses qui le contraignent fortement. Personnellement, mon chien étant mon compagnon de vie, je ne souhaite certainement pas créer un tel mal-être chez lui.