Voici un chien dont nous n’avons pas beaucoup entendu parler sur le sol français. Logique, puisque ce dernier vient des pays nordiques. Très modulable à la fois en battue, au ferme ou pour la recherche au sang, nous avons souhaité en savoir un peu plus sur cette race en sollicitant l’éleveur Samuel Sandrin basé en France en Saône et Loire.
Samuel Sandrin, vous êtes le propriétaire de l’élevage de L’ile Du Port Brouard, pouvez-vous nous le présenter ?
Je suis l’heureux propriétaire de l’élevage de L’île Du Port Brouard, créé après une longue recherche sélective de bon géniteurs, une lignée extra chasse. Je me suis intéressé à cette race, déjà par passion des races nordiques mais aussi compte tenu de leur polyvalence à la chasse. Mordu de chiens de chasse, j’ai élargis et diversifié les races que nous proposons notamment avec le Rouge de Hanovre ou le le chien courant Slovaque (KOPOV).
Pourquoi avoir choisi de travailler avec les chiens d’ours de carélie ?
Je travaille avec cette race notamment car c’est un chien qui possède un flaire et un sens de l’orientation hors norme mais aussi parce qu’ il excelle au ferme tout en restant très prudent. Je l’utilise enfin pour la recherche au sang et pour faire les pieds de sangliers.
Table des matières
- Chien d’ours de Carélie
- Standard N° 48
- Caractéristiques physiques du Chien d’ours de Carélie
- Origines et histoire
- Caractère et aptitudes
- Conditions de vie
- Santé
- Remarques et conseils
- Chien d’ours de Carelie
- Des chiens qui ressemblent à des ours
- Son histoire
- Son caractère
- Son éducation
- Ses éventuels problèmes de santé
Chien d’ours de Carélie
Standard N° 48
Utilisation
Principalement employé à la chasse à l’élan et à l’ours, il tient l’animal au ferme. C’est un chasseur passionné, qui est très indépendant, mais qui coopère activement à la chasse car il indique la présence du gibier en aboyant. Ses sens, surtout l’odorat, sont fins, ce qui permet de l’employer à la chasse au gros gibier. Son sens de l’orientation est très bon.
Bref aperçu historique
Le Komi, chien aussi nommé chien des Zyrians, est tenu pour l’ancêtre du chien d’ours de Carélie. Cependant, la souche de cette race provenait de Lagoda/Carélie, d’Olonets et de la Carélie russe, où ces chiens étaient employés à toutes les formes de chasse. L’élevage commença en 1936 avec pour but de créer un chien robuste qui crie bien sur la voie du grand gibier. Le premier standard fut rédigé en 1945. En 1946, les premiers chiens furent enregistrés au livre des origines. Aujourd’hui, cette race est bien répandue en Finlande.
Aspect général
Chien de taille moyenne, de constitution forte et robuste ; il n’est que légèrement plus long que haut. Son poil est épais et ses oreilles sont dressées.
Proportions importantes : La longueur du corps ne dépasse que légèrement la hauteur au garrot. La hauteur du corps mesure à peu près la moitié de la hauteur au garrot. La longueur du museau se rapporte à celle du crâne environ comme 2 :3. La longueur du crâne correspond environ à sa largeur et à sa hauteur.
Comportement / caractère
De nature équilibrée, un peu réservé, courageux et persévérant. Sûr de lui, il peut être agressif envers ses congénères, mais jamais envers les êtres humains. Son instinct de combat est fortement développé.
Tête
Vue de face, elle est triangulaire.
Région cranienne :
Crâne : Large ; vu de face et de profil il est légèrement convexe. Il est le plus large entre les oreilles. Le sillon frontal est à peine visible. Les arcades sourcilières ne sont que faiblement développées.
Stop : Pas vraiment marqué, relativement long, il forme une arcure progressive en direction du crâne.
Région faciale :
Truffe : Large, de couleur noire.
Museau : Haut ; il ne s’amenuise que légèrement vers la truffe. Le chanfrein est droit.
Lèvres : Relativement minces et bien ajustées.
Mâchoires/dents : Les mâchoires sont très fortes. Les dents sont bien développées et symétriques ; la denture est normale; articulé en ciseaux serré.
Joues : Les arcades zygomatiques sont fortes.
Yeux : Relativement petits, légèrement ovales, bruns dans différentes nuances, jamais jaunes. L’expression est éveillée et ardente.
Oreilles : Dressées, attachées relativement haut, de grandeur moyenne, avec les extrémités légèrement arrondies.
Cou : Musclé, de longueur moyenne, galbé et couvert d’une fourrure épaisse. Pas de fanon.
Corps
Garrot : Nettement sorti, spécialement chez les mâles ; moins marqué chez les femelles.
Dos : Droit, musclé.
Rein : Court, musclé.
Croupe : Large, forte et légèrement oblique.
Poitrine : Spacieuse, pas très large, plutôt profonde, descendant approximativement jusqu’aux coudes. Les côtes sont légèrement cintrées, le poitrail est nettement visible sans être très large.
Ligne du dessous : Légèrement remontée.
Queue : Attachée haut, de longueur moyenne, recourbée en arc audessus du dos, l’extrémité touchant le corps soit de côté soit sur le dos.
La queue courte de nature est admise.
Membres
Membres antérieurs :
Vue d’ensemble : Forts, avec une ossature solide. Vus de face droits et parallèles. Le bras et l’omoplate sont de longueur égale, l’avant-bras est légèrement plus long.
Epaules : Relativement obliques, musclées.
Bras : Légèrement oblique, fort.
Cou des : Ils pointent droit vers l’arrière et sont placés sur une verticale virtuelle tirée depuis le point le plus haut de l’omoplate.
Avant-bras : Fort, vertical.
Métacarpe : De longueur moyenne, légèrement incliné.
Pieds antérieurs : Doigts serrés, bien cambrés, arrondis et tournés droit vers l’avant. Les coussinets sont élastiques ; leurs faces latérales sont couvertes d’un poil épais.
Membres postérieurs :
Vue d’ensemble : Forts et musclés ; vus de derrière droits et parallèles.
La ligne de devant des membres postérieurs est harmonieusement arquée.
Cuisse : Large et longue, avec une bonne musculature.
Grasset : Tourné droit vers l’avant, il est modérément angulé.
Jambe : Longue et musclée.
Jarret : Bas ; angulation nettement marquée.
Métatarse : Court, fort et vertical.
Pieds postérieurs : Doigts serrés, un peu plus longs et moins cambrés que les antérieurs. Les coussinets sont élastiques ; leurs faces latérales sont recouvertes d’un poil épais.
Allures : Dégagées et faciles, avec des enjambées étendues. Le chien passe facilement du trot au galop, qui est son allure la plus naturelle. Les membres se meuvent dans des plans parallèles.
Peau : Bien appliquée sur tout le corps, sans plis.
Robe
Poil : Le poil de couverture est lisse et raide. Au cou, sur le dos et sur les faces postérieures des cuisses il est plus long qu’aux autres endroits. Le sous-poil est doux et dense.
Couleur : Noire, elle peut être terne ou d’une nuance brunâtre. La majorité des sujets présentent des marques blanches bien délimitées en tête, au cou, au poitrail, au ventre et sur les membres.
Taille et poids
Défauts
Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.
• Ossature frêle.
• Crâne étroit.
• Front fortement bombé.
• Museau pointu.
• Yeux jaunes.
• Oreilles molles, oreilles de chauve-souris.
• Présence de fanon.
• Poitrine trop descendue ou en tonneau.
• Queue droite ou insuffisamment recourbée.
• Epaules droites.
• Jarrets droits, pieds plats.
• Ergots aux membres postérieurs.
• Poil ondulé.
• Couleur blanche prédominante avec des marques noires, ou présence partielle de poil dit de loup.
• Prognathisme supérieur ou inférieur.
• Oeil vairon.
• Oreilles tombantes, ou pointes des oreilles cassées (semi-dressées).
• Autres couleurs que celles indiquées dans le standard.
• Agressivité envers les être humains.
N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d’aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
Le chien d’ours de Carélie (en finnois karjalankarhukoira) est une race de chien d’origine finlandaise. C’est un chien dont la fonction première est la chasse au gros gibier comme l’élan (orignal) et l’ours. C’est un chien indépendant, mais qui coopère activement en chasse. Ce grand bicolore est aussi un bon chien de foyer si on lui permet de faire assez d’exercice.
Le chien d’ours de Carélie est considéré comme le descendant du komi ou chien des Zyrians. Le berceau de la race se situe en Carélie, une région situé à la frontière entre la Finlande et la Russie. Les chiens sont historiquement employés pour la chasse. L’élevage commence en 1936 dans le but de créer un chien robuste qui crie bien sur la voie du grand gibier. Le premier standard est rédigé en 1945. Les premiers chiens sont enregistrés au livre des origines dès 1946. Aujourd’hui, cette race est répandue en Finlande.
Le chien d’ours de Carélie est de nature équilibrée, un peu réservé, courageux et persévérant. Il peut être agressif envers ses congénères. Son instinct de combat est fortement développé.
Caractéristiques physiques du Chien d’ours de Carélie
Le Chien d’ours de Carélie est un chien de taille moyenne, fort, légèrement plus long que haut. Il a une robe fournie, un regard vif. Les oreilles sont droites, de dimensions moyennes et arrondies en pointe. Les yeux sont plutôt petits et bruns. La tête a une forme de cône avec un front un peu bombé, un stop légèrement oblique, les arcades sourcilières à peine marquées, le chanfrein droit. Le corps est vigoureux, le thorax ample, les membres bien d’aplomb. La queue est d’une longueur moyenne, généralement recourbée en arc : l’arc complet est préférable.
Poil : poil de couverture mi-long, droit et raide, avec un sous-poil doux et dense.
Couleur : noir, de préférence légèrement brunâtre ou opaque, le plus souvent avec des taches blanches sur la tête, sur le cou, sur le poitrail, sur l’abdomen et sur les pieds.
Taille : 54 à 60 cm pour le mâle et 49 à 55 cm pour la femelle
Poids : 25 à 28 kg pour le mâle et 17 à 22 kg pour la femelle
Origines et histoire
C’est une race très ancienne qui était répandue dans la province de Karelen et du lac Ladoga à la frontière entre la Russie et la Finlande. Elle a été ensuite sélectionnée en 1935 pour rechercher sa pureté et a été reconnue par le Kennel Club finlandais qui lui a donné le nom de » Chien d’ours de Carélie » : ce choix répondait à des impératifs politiques puisque la Carélie était alors divisée entre la Finlande et la Russie et les Finlandais ne voulaient pas mettre l’accent sur les origines finnoises de ce chien. Par la suite, la Russie reconnut à son tour la race puis, se ravisant, décida de ne reconnaître que les races vraiment autochtones. En réalité, les Russes reconnurent le Laika carélo-finnois qui correspond point pour point au Chien d’ours de Carélie.
Caractère et aptitudes
C’est un chien assez réservé, très courageux et surtout tenace. Dans son pays d’origine, il était utilisé pour la chasse à l’ours, comme l’indique son nom, et à l’élan. Son odorat est extrêmement développé, mais la vue, faible chez de nombreux chiens, est chez lui excellente. Ce n’est plus aujourd’hui qu’un chien de compagnie et d’exposition. Il utilise ses sens pour prévenir, avec beaucoup d’avance, de l’arrivée d’un inconnu. C’est un chien de garde, très difficile à » tromper « . En famille, il se montre très doux, bon avec les enfants, mais, comme tous les chiens nordiques, il n’est pas très docile ni facile à dresser.
Conditions de vie
Le Chien d’ours de Carélie peut vivre dans une maison comme dans un jardin : bien que ce soit un chien nordique, il ne craint ni le froid, ni la chaleur. Comme son sous-poil est très épais, il laisse beaucoup de poils dans la maison au moment de la mue. Dans le jardin, c’est un très bon chien de garde.
Santé
C’est un chien très rustique et résistant à la fatigue.
Espérance de vie moyenne : environ 11 ans
Remarques et conseils
Comme tous les chiens nordiques, ce n’est pas un chien qu’il faut choisir en se basant uniquement sur sa beauté : il faut bien se renseigner sur son caractère et sur les difficultés que comporte la vie avec un chien intelligent et indépendant.
Chien d’ours de Carelie
Nom : Chien d’ours de Carelie, Karjalankarhukoira
Origine : Finlande
Standard FCI : n°48
Utilisation : Chasse à l’élan, à l’ours
Taille : 49 à 60 cm
Poids : 17 à 28 kg
Poil : Lisse et raide
Robe : Noir, marques blanches
Caractère & Education :
C’est un chien assez réservé, très courageux et surtout tenace. Dans son pays d’origine, il était utilisé pour la chasse à l’ours, comme l’indique son nom, et à l’élan. Son odorat est extrêmement développé, mais sa vue, faible chez de nombreux chiens, est chez lui excellente.
Ce n’est plus aujourd’hui qu’un chien de compagnie et d’exposition. Il utilise ses sens pour prévenir, avec beaucoup d’avance, de l’arrivée d’un inconnu. C’est un chien de garde, très difficile à « tromper ». En famille, il se montre très doux, bon avec les enfants, mais, comme tous les chiens nordiques, il n’est pas très docile ni facile à dresser.
Alimentation & Santé :
Aucunes informations
Vivre en ville :
Aucunes informations
Remarques & Conseils :
Comme tous les chiens nordiques, ce n’est pas un chien qu’il faut choisir en se basant sur sa beauté : il faut bien se renseigner sur son caractère et sur les difficultés que comporte la vie avec un chien intelligent et indépendant.
Prix d’un chiot au L.O.F : 900€ à 1 100€
Chiot disponible/à réserver :
Chien de France – Société Centrale Canine Elevage français : Chien de France – Société Centrale Canine
Des chiens qui ressemblent à des ours
Parfois, nous trouvons des animaux que nous ne pourrions pas définir parfaitement en raison de leurs caractéristiques physiques rares. Cette fois, nous voulons nous concentrer sur certains d’entre eux, en particulier sur les chiens qui ressemblent à des ours.
Même si certains adultes présentent ces caractéristiques, la plupart d’entre eux ne ressemblent à des ours que lorsqu’il sont des chiots, mais ils sont adorables et c’est pour cette raison que nous souhaitons vous les montrer.
Chow Chow chiot
On pourrait dire que cette race, même lorsqu’elle grandit, ressemble à un ours. C’est l’un des chiens les plus spéciaux et les plus particuliers que l’on puisse sans aucun doute trouver. Bien qu’ils soient beaux grands, les petits ressemblent à de petits ours qui donnent envie de câliner.
Chiot terre-neuve
Ce n’est pas que la couleur noire donne à un chien une ressemblance avec l’ours, mais elle aide. Le chiot terre-neuve pourrait bien être confondu avec un ourson en raison de sa couleur, de ses longs poils et de la forme de son visage et de son corps.
Mélange de berger allemand, akita et corgi
Ce chiot est devenu viral dans le monde entier, car étant donné le mélange de gènes de ces trois races, des recherches ont été menées pour élever plus de spécimens et même créer une race. Bien que cela soit en cours, nous ne pouvons pas attendre que cela soit une réalité, tant ils sont adorables.
Caniche
De nombreuses vidéos et photos de chiots caniches bruns circulent sur les réseaux sociaux, et, si nous les comparons avec un ours en peluche, nous ne pourrions pas voir clairement la différence. Ils sont tendres, leurs cheveux sont semblables ainsi que leurs yeux noirs, comme pour le cas d’un animal en peluche.
Poméranien
Quand ils sont plus grands, ils ont tendance à ressembler à un petit renard. Cependant, quelle que soit leur couleur quand ils sont chiots, qu’ils soient blancs ou bruns,ils ressemblent à de petits oursons qui ont besoin de nos soins et de notre protection.
Goldendoodle
C’est un autre de ces chiens qui,s’il restait chiot, nous ne pourrions pas départager de l’ours en peluche ou du chien. Ses poils crème et bouclés avec ses yeux noirs parfaitement arrondis comme s’il s’agissait de peluches, son visage arrondi et ses oreilles pointues nous feront croire que nous avons un ours en animal de compagnie.
Samoyède
Il n’y a pas d’autre animal dans le monde qui ressemble plus à un ours polaire qu’un chiot Samoyède. Selon le spécimen, il est probable que cette similitude persiste avec le temps. Quoi qu’il en soit, le Samoyède est un animal unique en son genre et très beau sans en douter !
Dogue tibétain
Nous ne savons pas combien d’ours vivent au Tibet, mais nous sommes certains que ce chiot leur ressemble beaucoup. Il faut y regarder à deux fois pour voir s’il s’agit d’un ours ou d’un chien, car ses couleurs ressemblent beaucoup à celles de l’animal sauvage.
Berger du Caucase
C’est l’un des plus gros chiots existants. Son visage et son corps n’ont rien à voir avec un chien, mais avec un ours. Certains osent même prétendre qu’il a des traits de lion. Sans aucun doute, lorsque vous le verrez pour la première fois, vous ne saurez pas s’il faut le caresser ou le fuir, car il est imposant.
Mélange entre le Keeshond et l’esquimau américain
Nous ne savons pas ce que les propriétaires de ce chien recherchaient, ou si leur apparence n’était que le fruit du hasard, mais il ne fait aucun doute que leur ressemblance avec un ours est vraiment impressionnante. Vous aimeriez en avoir un à la maison ? Nous aussi !
Chiot Akita
Comme chez les Poméraniens, même si, quand ils grandissent, les Akitas ressemblent plus à un loup qu’à un chien, quand ils sont de petits chiots, ils ressemblent incroyablement à un ours.
Que pensez-vous de cette rencontre avec des animaux aussi spéciaux ? Il ne fait aucun doute que la nature ne cesse de nous étonner.
Robustesse : c’est un chien particulièrement robuste, très rustique.
Son histoire
Le chien d’ours de Carélie serait un descendant du Komi ou du chien des Zyrians. Cette race a vu le jour en Carélie, une région située à la frontière finno-russe. Les premiers élevages virent le jour dès 1936. Le premier standard de la race fut rédigé en 1945. C’est en 1946 que la race fut officiellement reconnue. Le chien d’ours de Carélie est très populaire en Finlande.
Son caractère
Le Chien d’ours de Carélie est un animal indépendant, comme la plupart des chiens de sa catégorie. C’est un chasseur passionné mais qui est relativement équilibré, il coopère facilement avec son conducteur. C’est un chien courageux et persévérant mais qui peut se montrer réservé face aux inconnus.
Il est sûr de lui et n’a pas peur de grand-chose, ce qui fait de lui un excellent gardien, qui n’hésite pas à donner sa vie pour sauver celle de son maître.
Son éducation
Ce n’est pas un chien adapté aux maîtres novices. Son éducation demande patience, cohérence et fermeté. Ce n’est pas le plus obéissant des chiens, de ce fait, son éducation doit être amorcée dès son plus jeune âge et surtout de manière assidue afin de s’adapter à son naturel têtu et indépendant.
Ses éventuels problèmes de santé
La race ne connaît pas de problèmes de santé majeurs.