Table des matières
- Bienvenue !
- Le Lévrier Irlandais, chien à la taille imposante
- Descriptif et caractéristiques du Lévrier Irlandais
- Origine du Lévrier Irlandais
- Caractère et comportement du Lévrier Irlandais – À qui s’adresse-t-il ?
- Comment prendre soin de son Lévrier Irlandais : ses besoins
- L’alimentation du Lévrier Irlandais
- La santé du Lévrier Irlandais
- Prix d’un chiot Lévrier Irlandais
- Lévrier irlandais
- Standard N° 160
- les chiens des rois, des princes et des bourgeois
- L’elevage d’Harcourt
Bienvenue !
L’élevage du Grand Chien de Culann est heureux de vous accueillir sur son nouveau site.
Situé en Picardie, à quelques minutes d’Amiens, notre élevage est exclusivement consacré au Lévrier Irlandais (Irish Wolfhound).
Il s’agit d’un élevage de sélection, commencé en 1985, et ne produisant que quelques portées chaque année.
La sélection de notre élevage ne repose pas uniquement sur la beauté et la morphologie, domaine où nous sommes parmi les élevages les plus récompensés, mais également sur le tempérament, la santé, la longévité et les aptitudes sportives. Un beau chien incapable de vivre en harmonie avec les humains, ses congénères et d’autres espèces animales n’a plus sa place dans notre société et ne répondra pas aux exigences de son propriétaire.
Nous n’utilisons jamais pour la reproduction un adulte qui serait craintif ou pire, agressif. Tous nos adultes ont passé avec succès le test de caractère organisé par le club de race et présentent dans leur vie quotidienne un comportement stable et équilibré. Pour cela, ils sont dès leur plus jeune âge habitués aux enfants et aux autres animaux. Par la suite, les sorties en expositions et en PVL, mais également les promenades quotidiennes en extérieur sont l’occasion d’éprouver leur caractère et de les confronter à toute sorte d’emploi. Une réponse inadéquate à ce genre de situation les écarte à tout jamais de la reproduction.
La poursuite à vue sur leurre (PVL) mais surtout les promenades dans la campagne environnante sont l’occasion de jauger leur condition physique et leur aptitude naturelle à la chasse. Ils permettent également de développer leur musculature de coursier, d’affiner leur silhouette de lévrier et surtout d’entretenir un excellent mental.
Nos reproducteurs sont identifiés génétiquement ce qui représente une garantie quant à leur filiation. Ils sont également testés par échographie doppler tous les 18 mois pour les affections cardiaques, en particulier pour la cardiomyopathie dilatée (CMD) pathologie cardiaque la plus représentée dans la race.
Les chiots quittent l’élevage identifiés par transpondeur électronique, vaccinés contre la maladie de Carré, l’hépatite de Rubarth et la gastro-entérite à Parvovirus. Ils sont également testés par prise de sang pour le shunt port-systémique, maladie congénitale affectant le système vasculaire du foie.
Nos chiens vivent en liberté sur un grand terrain et ne sont que rarement confinés dans de petits espaces ce qui leur assure une bonne santé physique et psychique et une croissance harmonieuse.
Nous attachons également une grande importance à la qualité de la nourriture et nous n’utilisons que des aliments trés haut de gamme associés à de la nourriture fraîche distribuée quotidiennement ( viande de poulet, oeufs, fruits, lait …) et ce dès le plus jeune âge ( 4 semaines).
Grâce à l’ensemble de ces mesures préventives, même si un chiot reste un animal vivant avec tout ce que cela comporte comme risques, nous diminuons l’incidence de ces derniers et proposons à nos clients des chiots en bonne santé, équilibrés et issus des meilleurs lignées européennes.
Le Lévrier Irlandais, chien à la taille imposante
Par sa taille imposante, le Lévrier Irlandais est considéré comme l’un des plus grands chiens au monde, voire le plus grand. Il est sportif, endurant, et a besoin de beaucoup se dépenser. Comme compagnon, il fait preuve de gentillesse, de douceur et d’un grand attachement envers son maître.
- Taille : 71 cm à 86 cm
- Poids : 40 kg à 70 kg
- Poil : dur
- Couleurs : gris, fauve, noir, blanc ou bringué
- Espérance de vie : 6 à 8 ans
- Durée de gestation : 63 jours
Descriptif et caractéristiques du Lévrier Irlandais
Le Lévrier Irlandais est un chien imposant par sa taille, mais aussi par son poids qui peut atteindre les 70 kg. Malgré ses proportions étonnantes, qui en font l’un des chiens le plus grand du monde, son allure est élégante et ses mouvements souples. Son corps est particulièrement musclé. Il ressemble beaucoup au Lévrier écossais, en plus massif.
Sa robe est constituée de poils rudes et d’aspect rustique qui, au toucher, sont durs comme du fil de fer, en particulier au-dessus de ses yeux et sous sa mâchoire. Sa robe peut être de couleur grise, fauve, noire, blanche ou bringuée, c’est-à-dire constituée de rayures discontinues de couleurs différentes. Sa queue, aussi recouverte de poils, est longue et portée légèrement recourbée.
On reconnaît aussi le Lévrier Irlandais grâce à son museau mince de forme allongée, tout comme à son cou fort et musclé.
Origine du Lévrier Irlandais
Le Lévrier Irlandais est un chien très ancien puisque l’on trouve sa trace dès l’Antiquité. Il était alors utilisé par les Celtes pour chasser les loups et les cerfs. Ce sont ces derniers qui l’ont introduit en Irlande, aujourd’hui considérée comme son pays d’origine.
Caractère et comportement du Lévrier Irlandais – À qui s’adresse-t-il ?
Le Lévrier Irlandais est particulièrement endurant et sa course est très rapide. En raison de ses origines de chien de chasse, il est très sportif et athlétique. Son maître doit donc l’être aussi.
Côté caractère, le Lévrier Irlandais possède de nombreux avantages : il est intelligent, patient et doux. C’est pourquoi il est parfait comme animal de compagnie, d’autant qu’il voue un attachement sans borne à son maître. Le Lévrier Irlandais ne supporte pas bien la solitude et il apprécie la présence des enfants. Une vie calme et confortable au sein de sa famille lui convient très bien.
Même si le Lévrier Irlandais est paisible, non agressif et obéissant, il est toutefois conseillé de prendre garde à ne pas le provoquer, ni à trop l’énerver car, en raison de sa taille impressionnante, il peut vite se montrer dangereux malgré lui.
Comment prendre soin de son Lévrier Irlandais : ses besoins
Compte tenu de sa taille imposante, le Lévrier Irlandais est fait pour vivre à la campagne où les grands espaces lui permettent de se dépenser. Il a en effet un énorme besoin de courir. Ce n’est pas un chien destiné à vivre en ville, et encore moins dans un appartement.
Côté entretien, le poil court du Lévrier Irlandais ne demande pas de soins particuliers hormis un brossage au minimum une fois par semaine.
L’alimentation du Lévrier Irlandais
Le Lévrier Irlandais n’a pas besoin d’une alimentation particulière à partir du moment où elle est de bonne qualité, adaptée à son âge, à son état de santé et à son exercice physique. Néanmoins, compte tenu de sa taille et de sa forte croissance d’une durée d’environ 15 mois, il convient à cette période de lui proposer des repas consistants et plus abondants.
La santé du Lévrier Irlandais
Le Lévrier Irlandais est robuste mais, comme tous les grands chiens, il peut être sujet aux torsions d’estomac. Il peut également présenter des prédispositions pour certains cancers des os ou des maladies cardiaques.
Prix d’un chiot Lévrier Irlandais
Le prix d’un Lévrier Irlandais va dépendre du sexe, du pedigree des parents, de la conformité aux standards de la race, etc.
- Prix d’un mâle Lévrier Irlandais : 900 à 1 700 €
- Prix d’une femelle Lévrier Irlandais : 900 à 1 700 €
Lévrier irlandais
Standard N° 160
Utilisation
Jusqu’à la fin du 17ème siècle, les lévriers irlandaisétaient utilisés en Irlande pour chasser le loup et les cervidés. Ils étaientégalement utilisés pour chasser les loups qui infestaient une grande partie de l’Europe avant le défrichement des forêts.
Bref aperçu historique
Nous savons que les Celtes du continent avaient un lévrier, descendant probable des lévriers représentés pour la première fois dans les peintures égyptiennes. De même que leurs cousins du continent, les Celtes d’Irlande s’intéressaient à l’élevage de lévriers de grande taille. Ces lévriers irlandais de grande taille ont pu avoir le poil lisse ou le poil dur, mais, par la suite, ce fut le poil dur qui prédomina, peut-être à cause du climat irlandais. Le premier témoignage écrit sur ces chiens est dû à un consul romain, en 391 de notre ère, mais ils étaient déjà établis en Irlande au premier siècle après Jésus-Christ, lorsque Setanta changea de nom pour prendre celui de » Cu-Chulainn » ( le chien de Culann). Il est fait mention des Uisneach ( 1er siècle) emmenant 150 chiens dans leur fuite vers l’Ecosse. Les lévriers irlandais sont sans aucun doute à l’origine des Lévriers écossais. Des couples de lévriers irlandais constituaient des cadeaux qu’appréciaient les familles royales d’Europe, de Scandinavie et d’ailleurs, du Moyen-Age jusqu’au 17ème siècle. On en envoya en Angleterre, Espagne, France, Suède, Danemark, Perse, Inde et Pologne. Au 15ème siècle chaque comté d’Irlande devait entretenir 24 chiens de loup pour protéger les troupeaux des fermiers des ravages de cet animal.
Sous Cromw ell, l’interdiction (en 1652) d’exporter des chiens de loup contribua à en maintenir le nombre pendant un certain temps, mais la disparition progressive du loup et la demande constante en provenance de l’étranger réduisirent leurs effectifs presque jusqu’à l’extinction vers la fin du 17ème siècle.
Le renouveau de l’intérêt porté à la race alla de pair avec la montée du nationalisme à la fin du 19ème siècle. Le lévrier irlandais devint un symbole vivant de la culture irlandaise et du passé celtique. A cette époque, un homme passionné et déterminé, le capitaine G.A. Graham, entreprit de se procurer les quelques lévriers restants du type chien de loup que l’on pouvait encore trouver en Irlande et, avec l’infusion de sang du Deerhound et des croisements, à l’occasion, avec le Barzoï et le Dogue allemand, il finit par obtenir un chien se reproduisant dans le type à chaque génération. On admit finalement que les produits qui en résultaient constituaient une renaissance légitime de la race. Le Kennel Club irlandais créa une classe pour les lévriers irlandais lors de son exposition d’avril 1879. Un club fut constitué en 1885. Actuellement, le lévrier irlandais a regagné en partie la réputation qu’il avait au Moyenâge.
Il est élevé actuellement en assez grand nombre en dehors de l’Irlande.
Aspect général
Le lévrier irlandais ne doit pas être tout à fait aussi lourd ni aussi massif que le dogue allemand, mais il l’est plus que le lévrier écossais (Deerhound) à qui il doit ressembler à part cela, quant au type général. De grande taille et d’aspect imposant, très musclé, construit en force, mais avec élégance. Ses allures sont faciles et actives. Tête et cou sont portés haut. La queue est portée en présentant une légère courbure vers l’extrémité.
Une grande taille comprenant hauteur au garrot et longueur du corps en proportion est le but recherché. On cherche à fixer une race avec une taille moyenne de 32 pouces (81 cm) à 34 pouces (86 cm) chez le mâle et qui fasse preuve de la puissance requise, d’activité, de courage et d’harmonie dans les formes
Caractère / comportement : Agneau à la maison, lion à la chasse.
Tête
Longue et horizontale, portée haut ; les os frontaux sont très légèrement en saillie et le sillon entre les yeux est très peu marqué.
Région cranienne :
Crâne : Pas trop large.
Région faciale :
Museau : Long et modérément pointu.
Mâchoires/dents : L’articulé en ciseaux est l’idéal ; les incisives bout à bout sont admises.
Yeux : Foncés.
Oreilles : Petites et portées en rose (comme celles du Greyhound).
Cou : Plutôt long, très fort et musclé, bien galbé, sans fanon ni peau lâche dans la région de la gorge.
Corps
Long ; côtes bien developpées vers l’arrière.
Dos : Plutôt long que court.
Rein : Légèrement voussé.
Croupe : Bonne largeur entre les pointes des hanches.
Poitrine : Très haute, modérément large ; poitrail large.
Côtes : Bien cintrées.
Ventre : Bien relevé.
Queue : Longue et légèrement courbée, d’épaisseur moyenne, bien couverte de poils.
Membres
Membres antérieurs :
Epaules : Musclées, donnant une bonne largeur de poitrine, disposées obliquement.
Cou des : Bien rentrés, ni tournés vers l’extérieur ni vers l’intérieur.
Avant-bras : Musclé. Ossature forte, bien droite.
Membres postérieurs :
Cuisse : Longue et musclée.
Grasset : Bien angulé.
Jambe : Bien musclée, longue et forte.
Jarrets : Bien descendus, tournés ni en dedans ni en dehors.
Pieds : Modérément grands et ronds, tournés ni en dedans ni en dehors. Doigts bien cambrés et serrés. Ongles très forts et courbés.
Allures – mouvement : Mouvement facile et actif.
Robe
Poil : Rude et dur sur le tronc, les membres et la tête ; particulièrement dur ( » fil de fer « ) au-dessus des yeux et sous la mâchoire.
Couleur : Les couleurs reconnues sont : gris, bringé, rouge, noir, blanc pur, fauve ou toute couleur apparaissant chez le Deerhound.
Taille et poids
Taille recherchée : en moyenne 32 pouces (81 cm) à 34 pouces (86 cm chez les mâles.
Minimum chez les mâles 31 pouces (79 cm) pour un poids de 120 livres anglaises (54,5 kg).
Minimum chez les femelles 28 pouces (71 cm) pour un poids de 90 livres anglaises (40,5 kg).
Défauts
Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.
• Tête trop légère ou trop lourde.
• Os frontal présentant une arcure trop haute.
• Truffe de toute autre couleur que noire.
• Lèvres de toute autre couleur que noires.
• Yeux très clairs. Paupières roses ou de couleur foie.
• Grandes oreilles tombant à plat contre les joues.
• Cou court, fanon bien formé.
• Corps trop court.
• Dos affaissé ou creux ou tout à fait droit.
• Poitrine trop étroite ou trop large.
• Queue enroulée de manière excessive.
• Antérieurs tors. Métacarpes trop fléchis.
• Postérieurs faibles, manque général de muscle.
• Pieds tors.
• Doigts écartés.
N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d’aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
les chiens des rois, des princes et des bourgeois
Pour s’occuper de ses meutes, Louis XIII ne rétribuait pas moins de quatre lieutenants, aidés par quatre maîtres de chenil à cheval et dix-sept maîtres de chenil à pied.
les chiens des rois
Ils commandaient dix-huit meneurs de grands limiers et quatre employés de chenil et tous devaient justifier de leur naissance, de leur sobriété et de leur crainte de Dieu.
Chien gardant du gibier Les meutes royales étaient constituées de Blancs du Roy peinture par A.F Desportes école française image source pinterest.com
Avec Louis XIV,
les proportions du chenil royal allaient s’amplifier encore. Les grands seigneurs et le dauphin en particulier avaient eux aussi des meutes importantes, d’autant plus que jusqu’à la révolution la quête et la mise à mort du gibier restèrent des privilèges de la noblesse.
La chasse se pratiquait à courre principalement, mais aussi à l’affût ou avec l’aide de faucons. A courre, les meilleures meutes étaient celles formées de chiens blancs du Roy, mais d’autres furent créées surtout à la suite de l’introduction, sous le règne de Louis XIII, d’un groupe de chiens bâtards Anglo-français que jacques 1er avait envoyé au roi en échange de chiens d’arrêt destinés à la chasse aux oiseaux.
joseph Greenway excellent chien de chasse, le terrier anglais est très recherché portrait par Jens Juel (fin XVIIIe siècle) image source pinterest.com
En Angleterre,
à la même époque, la chasse était plus répandue et les chasseurs plus nombreux. Ces derniers pratiquaient la petite vénerie, par exemple la chasse au renard ou la chasse aux oiseaux, qui exigent des chiens plus indépendants, moins grands, d’entretien plus facile. C’est pourquoi on assista dans ce pays à la multiplication du nombre des chiens de chasse de petit format, terriers, spaniels, fox et harriers, qui seront exportés dans le monde.
le prince impérial et son chien Nero, l’engouement des princes pour les chiens de chasse, ici un braque, se poursuivra au XIXe siècle sculpture par Carpeaux (1865) image source pinterest
La mode des chiens de compagnie avait commencé à la renaissance. Henri III de France s’encombrait déjà de “papillons” durant ses conseils, et ces animaux venaient même sur son lit, mais c’est aux rois Charles 1er et Charles II d’Angleterre qu’on doit la naissance du chien de compagnie reconnu comme faisant partie d’une race spéciale, le King Charles Spaniel (épagneul king-Charles), petit chien noir et feu ou blanc et orange.
A côté des chiens royaux,
d’autres chiens d’agrément envahirent les salons des femmes de la cour. Il s’agissait de bichons maltais ou bolognais que l’on trouvait également chez les riches bourgeois. D’autres races de ces petits chiens étaient entretenues par les bourgeois des Flandres, carlins, schipperkes, griffons bruxellois et brabançons qui égayaient les foyers de ces marchands.
Au XVIIIe siècle, la chasse se démocratise de plus en plus en Angleterre, et si les limiers et les molosses ont disparu faute de gros gibier, ils sont remplacés par les spaniels, les setters et surtout les pointers qui, même s’ils avaient besoin de retrievers pour rapporter le gibier, étaient irremplaçables pour le lever grâce à leur flair étonnant.
En France,
Louis XV et ses seigneurs conservaient un goût très vif pour la chasse de type classique, mais la composition des meutes se trouva légèrement modifiée par l’introduction massive de chiens que le roi appréciait tout particulièrement, les braques importés d’Italie et d’Angleterre. ON créa ainsi dans notre pays un grand nombre de races de braques, dont le plus célèbre était le braque saint-germain.
Pour la chasse au gibier d’eau, les chasseurs utilisaient de petits chiens protégés du froid par un pelage long et fourni, mais dont il fallait tondre l’arrière-train pour qu’ils ne se noient pas. Souvent boueux quand ils sortaient des marais, ces chiens n’étaient pas autorisés à pénétrer dans les somptueuses demeures. Un jour, une chienne de cette race mit bas quatre chiots noirs et frisés de la plus belle apparence : les ancêtres des caniches.
le lever de voltaire fidèle compagnon, l’épagneul participe à chaque moment de la vie quotidienne peinture par jean Huber (début XVIIIe siècle) image source artnews
L’allemagne,
qui avait créé des races de terriers et de chiens de berger redécouvrit un chien que l’on croyait sur pattes, dont l’origine est très controversée. Ce chien résulte peut-être d’une mutation brutale qui aurait été entretenue par la suite.
En Russie, on chasse toujours le loup, qui n’a pas encore disparu de l’Europe occidentale et centrale. Et pour cette chasse, occasion de grandes réceptions et de fêtes, toutes les grandes familles de la noblesse élèvent des meutes de magnifiques lévriers, les barzoïs.
L’elevage d’Harcourt
L’élevage d’Harcourt est installé depuis 2008 à Saint Priest Ligoure,
petite commune de la Haute-Vienne située à une vingtaine de kilomètres au sud de Limoges et à une trentaine de kilomètres des départements de la Dordogne et de la Corrèze.
L’élevage s’est d’abord intéressé au Whippet, à partir de 1995, rejoint en 1998 par le Teckel à poil long. Entre 2000 et 2010, une dizaine de vainqueurs de CACS de championnat ont été produits dans cette race.
La passion des Lévriers Irlandais, ces majestueux chiens » géants « , a débuté en 2005, et les espiègles petits Teckels à poil dur, nains et kaninchens, ont rejoint l’élevage en 2009.
Ces deux dernières races, très différentes bien sûr, cohabitent maintenant au lieu-dit Lavaud, ensemble typique de la région limousine, installé sur 11 hectares de verdure.
Nous travaillons dans un respect total du standard de la race, qu’il s’agisse de l’Irish Wolfhound ou du Teckel nain à poil dur, tout en mettant un point d’honneur à produire des chiots à la fois sains et équilibrés en caractère.
Nos reproducteurs sont régulièrement présentés en expositions, en France et à l’étranger, et les résultats attestent de leur qualités : morphologie générale, attitude en mouvement, poil, tempérament.
Chiots disponibles ?
Questions destinées aux personnes désireuses d’acheter un chiot
Lorsque vous allez acheter un chiot, vous pouvez toujours poser les questions suivantes à l’éleveur :
- Renseignez-vous sur l’âge des parents et si ceux-ci ont été soumis à un examen cardiaque (tant la femelle que le mâle). Demandez éventuellement à pouvoir en consulter les résultats.
- Le caractère des parents est également important. Vous verrez la femelle chez l’éleveur et pourrez déjà là en juger par vous-même.
- Un autre test important est le test de levershunt. Celui-ci doit être effectué à l’âge d’environ 8 semaines chez l’éleveur.
- Si vous choisissez un mâle, vérifiez que les testicules soient descendus. Généralement, ils doivent être présents à l’âge de 8 semaines. Le vétérinaire signalera dans le carnet de vaccination si ce n’est pas le cas. Le cas échéant, un suivi sera indispensable.
- L’aspect général de la niché est aussi important. Les chiots sont-ils régulièrement vermifugés, sont-ils vaccinés ?
- Qu’en est-il de leurs dents ? Remarquez-vous des anomalies dans les dimensions de la mâchoire ?
- Certains de ces points ne sont pas des problèmes dans tous les cas, mais le seront assurément si vous souhaitez présenter votre chien à des expositions.