AKITA
TRADUCTION : Dr. J.-M. Paschoud et prof. R. Triquet.
ORIGINE : Japon.
DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D’ORIGINE EN VIGUEUR : 13.03.2001.
UTILISATION : Chien de compagnie.
CLASSIFICATION F.C.I. : Groupe 5 Spitz et chiens de type primitif.
Section 5 Spitz asiatiques et races apparentées.
Sans épreuve de travail.
BREF APERCU HISTORIQUE : A l’origine, toutes les races canines japonaises étaient de petite à moyenne taille et il n’existait aucune race de grande taille. Dès 1603, provenant de la région d’Akita, les chiens nommés » Akita Matagis » ( chiens de taille moyenne pour la chasse à l’ours) ont été employés comme chiens de combat. Depuis 1868, la race a été croisée avec le Tosa et avec des Mastiffs. A la suite de ces croisements, la taille de la race augmenta, mais certains traits caractéristiques propres aux chiens de type Spitz disparurent.
En 1908, les combats de chiens furent interdits. La race fit néanmoins préservée et améliorée ; elle devint par la suite une grande race japonaise, et, en 1931, 9 chiens d’élite furent désignés comme » Monuments Historiques « .
Pendant la seconde guerre mondiale (1939-1945) il était courant d’employer des peaux de chiens pour confectionner des vêtements militaires. La police ordonna la capture et la confiscation de tous les chiens sauf les Bergers allemands qui étaient réservés pour des tâches militaires. Certains amateurs essayèrent de circonvenir la loi en croisant leurs chiens avec des Bergers allemands. A la fin de la seconde guerre mondiale, le nombre des Akitas étant dangereusement réduit et les chiens se présentaient sous trois types différents : 1) des Akitas Matagis, 2) des Akitas chiens de combat et 3) des Akitas/Bergers allemands. La situation de la race était gravement perturbée.
Pendant la période de la restauration de la race pure après la guerre, Kongo-go, un chien de la ligne de sang Dewa, jouit d’une popularité passagère, mais extrêmement importante ; ce chien présentait extérieurement les traits caractéristiques de l’influence de Mastiffs et de Berges allemands. Le nombre des éleveurs d’Akita augmenta et la race devint très prisée du public. Cependant, des amateurs éclairés refusèrent d’accepter ce type de chien comme vraie race japonaise et s’efforcèrent d’éliminer les caractéristiques des races étrangères en faisant des croisements avec des Matagi Akitas ; le but était de retrouver le type original de la race. Ces efforts couronnés de succès ont permis de stabiliser la souche pure de l’Akita de grande taille bien connu de nos jours.
ASPECT GENERAL : Chien de grande taille de constitution robuste, bien proportionné, avec beaucoup de substance ; caractères sexuels secondaires nettement marqués. Grande noblesse et dignité dans la simplicité. Construction robuste.
PROPORTIONS IMPORTANTES : Le rapport entre la hauteur au garrot et la longueur du corps (de la pointe de l’épaule à la pointe de la fesse) est de 10 à 11, mais les femelles ont le corps légèrement plus long que les mâles.
COMPORTEMENT / CARACTERE : Calme, fidèle, docile et réceptif.
TETE
REGION CRANIENNE :
Crâne : Le crâne est bien proportionné par rapport au corps ; le front est large et le sillon frontal est net, sans rides.
Stop : Marqué.
REGION FACIALE :
Truffe : Grosse et noire. Un manque de pigmentation léger et diffus sur la truffe est acceptable uniquement chez les sujets blancs. Toutefois la couleur noire est toujours préférée.
Museau : Modérément long et fort ; sa base est large ; il va en s’amenuisant, mais il n’est pas pointu. Le chanfrein est droit.
Mâchoires/dents : Denture forte présentant un articulé en ciseaux.
Lèvres : Serrées.
Joues : Modérément développées.
Yeux : Relativement petits, presque triangulaires vu que l’angle externe de l’œil est légèrement tiré vers le haut, disposés de façon à être modérément écartés, de couleur brun foncé ; plus la couleur est foncée, mieux cela vaut.
Oreilles : Relativement petites, épaisses, triangulaires, légèrement arrondies à leur extrémité, attachées modérément écartées, dressées et inclinées vers l’avant.
COU : Epais et musclé, sans fanon, proportionné à la tête.
CORPS :
Dos : Droit et solide.
Rein : Large et musclé.
Poitrine : Haute avec région sternale bien développée ; les côtes sont modérément cintrées.
Ventre : Bien relevé.
QUEUE : L’attache est haute ; la queue, épaisse, est portée bien enroulée sur le dos ; l’extrémité atteint presque le jarret lorsqu’on la tire vers le bas.
MEMBRES
MEMBRES ANTERIEURS :
Epaules : Modérément obliques et développées.
Coudes : Bien au corps.
Avant-bras : Droit, doté d’une ossature puissante.
MEMBRES POSTERIEURS : Bien développés, forts, modérément angulés.
PIEDS : Epais, ronds, cambrés et serrés.
ALLURES : Mouvement élastique et puissant.
ROBE
POIL : Le poil de couverture est dur et droit ; le sous-poil est souple et dense ; le garrot et la croupe sont couverts d’un poil légèrement plus long ; le poil de la queue est plus long que celui du reste du corps.
COULEUR : Rouge-fauve, sésame ( poils rouge-fauve avec pointes noires), bringé et blanc. Toutes les couleurs citées ci-dessus, excepté le blanc, doivent présenter de » l’urajiro « . (Urajiro = poil blanchâtre sur les faces latérales du museau, sur les joues, sous la mâchoire, sur la gorge, le poitrail et le ventre, sur la face inférieure de la queue et à la face interne des membres).
TAILLE : Hauteur au garrot : mâles : 67 cm,
: femelles : 61 cm.
Avec une tolérance de 3 cm en plus ou en moins.
DEFAUTS : Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.
· Mâles efféminés, femelles masculines.
· Prognathisme supérieur et inférieur.
· Dents manquantes.
· Langue tachetée de bleu ou de noir.
· Iris de couleur claire.
· Queue courte.
· Chiens craintifs.
DEFAUTS ELIMINATOIRES :
· Oreilles non dressées.
· Queue pendante.
· Poil long (hirsute).
· Masque noir.
· Marques sur fond blanc.
N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d’aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
L’akita attire impressionne fascine par son physique et par l’impression qu’il dégage… Maintenant parfait chien de compagnie, cet ancien chien de chasse et de combat japonais mérite un certain engouement, à tempérer par une bonne connaissance de ses caractéristiques, car il est loin de convenir à tout le monde.
Alors que les abandons augmentent à cause de son caractère facilement dominateur, il peut être le compagnon parfait pour certaines personnes. Attention à ce que son aspect de chiot nounours ne le fasse pas prendre en main trop tardivement…
Il est à noter immédiatement qu’il ne faut pas penser à avoir un akita de même sexe qu’un autre chien à la maison !
Même élevés ensemble, même avec un chien que vous qualifiez de » pas dominant « , (c’est un terme qui a été mal utilisé, mettez deux soit disant dominés ensemble, et il y aura un dominant…), n’y pensez pas, ce serait jouer à la loterie.
Même les chiennes se battent facilement, et vous ne le saurez pas en prenant le chiot, c’est pour cela que c’est de la loterie. Ils ont le défaut de ne pas savoir arrêter dans une bagarre, même si l’autre se soumet. Les bagarres se déclenchent au quart de tour sans prévenir, sauf si on sait lire ce que s’envoient leurs regards, parfois en une fraction de seconde.
L’EDUCATION DE L’AKITA INU: Toutes les astuces pour un Akita Inu bien éduqué
- 172 Pages – 11/01/2017 (Publication Date) – Independently published (Publisher)
Il a absolument besoin de se trouver dans une famille sensibilisée à la race et à ses spécificités.
Seules les méthodes dites positives lui conviennent, et il convient très bien aux personnes pas trop sportives.
Ce n’est pas un compagnon de grand sportif !
Si vous savez être constant sans être dur, il reste un chien idéal, comme toutes ces races japonaises, lorsque vous avez besoin d’un chien silencieux et calme, avec des qualités assez félines, capable de flemmarder comme d’apprécier de longues balades tranquilles.
Table des matières
Histoire
A l’origine, toutes les races canines Japonaises étaient de petite à moyenne taille et il n’existait aucune race de grande taille. Dès 1603 provenant de la région d’ Akita, les chiens nommés » Akita Matagis » (chiens de taille moyenne pour la chasse à l’ours) ont été employés comme chiens de combat. Depuis 1868, la race a été croisée avec le Tosa et avec des Mastiffs. A la suite de ces croisements, la taille de la race augmenta, mais certains traits caractéristiques propres aux chiens de types Spitz disparurent.
En 1908, les combats de chiens furent interdits. La race fut néanmoins préservée et améliorée ; elle devint par la suite une grande race japonaise, et, en 1931, 9 chiens d’élite furent désignés comme » Monuments Historiques « .
Pendant la seconde guerre mondiale (1939-1945) il était courant d’employer des peaux de chiens pour confectionner des vêtements militaires. La police ordonna la capture et la confiscation de tous les chiens sauf les Bergers allemands qui étaient réservés pour les tâches militaires. Certains amateurs essayèrent de circonvenir la loi en croisant leurs chiens avec des Bergers allemands. A la fin de la seconde guerre mondiale, le nombre des Akitas étaient dangereusement réduit et les chiens se présentaient sous trois types différents : I) des Akitas/Bergers allemands. La situation de la race était gravement perturbée.
Pendant la période de la restauration de la race pure après la guerre, Kongo-go, un chien de la ligne de sang Dewa, jouit d’une popularité passagère, mais extrêmement importante ; ce chien présentait extérieurement les traits caractéristiques de l’influence de Mastiffs et de Bergers allemands. Le nombre des éleveurs d’Akita augmenta et la race devint très prisée du public. Cependant, des amateurs éclairés refusèrent d’accepter ce type de chien comme vraie race japonaise et s’efforcèrent d’éliminer les caractéristiques des races étrangères en faisant des croisements avec des Matagi Akitas ; le but était de retrouver le type original de la race. Ces efforts couronnés de succès ont permis de stabiliser la souche pure de l’Akita de grande taille bien connu de nos jours.
L’histoire d’Hachiko, connue de tous les japonais :
Même un film a été tourné sur Hachiko le chien fidèle !
Cet akita fauve, accompagnait tous les matins son maître, professeur d’université, à la gare où il allait aussi l’attendre chaque soir.
Hachiko avait 18 mois lorsque son maître mourut à l’université et ne revint pas.
Son akita revint lui, tous les soirs, l’attendre à la gare. Il était bien sur très connu, et quand il eut 7 ans, son histoire parut dans un journal national. C’était en 1932 et il mourut en 1935. C’est un musée qui l’accueille, empaillé, et plusieurs statues sont érigées à son image, dont une bien sur à la gare de Shibuya à Tokyo.
C’est un point de rendez-vous d’amoureux qui viennent se jurer… fidélité bien sur !
Le caractère
Fortement imprégné par son pays d’origine, le Japon, l’AKITA-INU est fait de contraste, de subtilité, d’harmonie et de mystère. Que ce soit par son apparence physique ou par son mental, l’AKITA est un habile mélange d’équilibre, de simplicité, de force, de noblesse et de dignité.
Au quotidien, l’AKITA s’adapte au mode de vie de son maître. Chien des villes ou chien des champs, il trouvera sa place comme chien de famille. L’AKITA est un compagnon affectueux avec ses proches, discret, calme et peu aboyeur. Il aime vivre auprès de son maître sans pour autant devenir » collant « . Il peut néanmoins rester seul quelques heures et attendre sereinement son retour. Son caractère est posé et réfléchi. Sous son faux air naïf, l’AKITA sait prendre des initiatives. D’une fidélité légendaire, les Japonais disent de lui : l’AKITA a un seul maître et n’écoute que ce dernier.Si son apparence le rapproche des Nordiques, il n’est pas un chien de travail. Sa vocation est la compagnie. Il a un besoin modéré d’exercice. Certains le dise même un peu paresseux !
Un petit jardin ou la vie en appartement peut lui convenir sous condition toutefois de lui offrir de grandes promenades. L’hors de ses sorties à la campagne, son instinct ancestral de chasseur réapparaît. Il bondit alors sur un mulot ou piste les odeurs laissées par un lièvre.De part son gabarit et son assurance, l’Akita est un excellent protecteur pour sa famille et son territoire.Avec les enfants de la maison, il est un remarquable compagnon et un confident de tous les instants, à condition qu’il ne soit pas tyrannisé et que l’on respecte son besoin de tranquillité. Les femelles, plus douces et patientes, sont généralement recommandées avec les plus jeunes. Par contre méfiance avec les petits copains en visite à la maison, l’AKITA qui a un fort instinct de protection, risque de s’interposer en cas de bousculades. Malgré son volume, il peut suivre son maître au cours de ses déplacements. Il pourra se faire oublier dans la salle d’un restaurant ou dans une chambre d’hôtel. Même si ses attitudes sont pondérées cela ne doit toutefois pas faire oublier que l’AKITA est un dominant. Pour cette raison, il ne sera pas le chien de tout le monde. Avant de le choisir comme compagnon, il faut être conscient que l’AKITA est un chien qui demande une éducation précoce. Dés les premiers jours, il faut établir les limites à ne pas franchir et les règles à respecterIl faut aussi préciser que l’AKITA est très dominant avec les autres chiens. Passé la puberté, il supporte généralement mal la présence d’un congénère de même sexe que lui. Cette caractéristique est plus marquée chez les mâles.
La santé
L’AKITA est un chien robuste qui bénéficie d’un bon capital santé. Son épaisse fourrure joue le rôle d’isolant thermique. Il est ainsi protégé du froid mais aussi de la chaleur. Comme beaucoup de races de ce gabarit, l’AKITA peut être touché par la dysplasie des hanches. Donc si on souhaite acquérir un chiot, il est plus prudent de s’assurer que ses parents sont indemnes (Dys.A ou Dys.B), car cette affection peut se retransmettre de façon héréditaire.Il faut aussi signaler plusieurs cas d’Adénite Sébacée, maladie auto-immune à caractère récessif, dont les principaux symptômes sont un excès de sébum et une perte de poils dus à la disparition progressive des glandes sébacées. La fourrure a alors un aspect « mité « .
Le JKC et le WUAC ont lancé avec l’université de Göttingen en Allemagne une recherche génétique sur cette maladie. L’AKITA peut aussi être atteint par le VKH (Syndrome de Vogt-Koyanagi-Harada), autre maladie auto-immune, dont le mode de retransmission génétique reste inconnu à ce jour. Les symptômes sont de l’uvéite et de la dépigmentation cutanée. Si un traitement est entrepris dès les premiers jours ( corticothérapie à vie), les signes et l’évolution de la maladie peuvent être stoppés.
L’akita est quand tout va bien un chien rustique et vivant relativement vieux en se portant bien, sauf s’il est génétiquement atteint d’une maladie auto-immune. Ce sont deux maladies graves et incurables :
- L’adénite sébacée
- Le VKH
Ce sont des maladies auto-immunes, et tout pousse à penser que ce sont des maladies héréditaires, mais polygéniques. En simplifiant, les deux parents doivent en être porteurs pour que la maladie apparaisse, de façon à réunir les gènes nécessaires à son apparition. Cela veut aussi dire que certains accouplements malheureux produiront plus de chiots qui seront un jour malade.
Certains chiens déclencheront une maladie après avoir reproduit, ce qui rend encore plus difficile son éradication, puisque les enfants d’un chien atteint sont tous des porteurs de la maladie, même s’ils ne sont pas malades eux-mêmes. Dans leur descendance un jour ou l’autre deux porteurs seront mariés ensemble…
Pour l’instant beaucoup de cas se sont déclenchés chez des frères et soeurs. On sait aussi qu’outre la prédisposition héréditaire, le facteur de stress joue un rôle important dans son apparition.
Des akita à poils longs
Un défaut éliminatoire. Parmi les défauts éliminatoires pour la confirmation, le standard cite le » poil long (hirsute) ». Cela veut donc dire que l’on peut rencontrer des Akitas inus dont la fourrure est opulente. En fait, il n’est pas rare de trouver au milieu d’une portée dont les parents sont confirmés, voire primés en expositions ou même champions, un chiot qui présente une fourrure plus longue que ses frères et sœurs. Un pedigree provisoire non confirmable ! Cette » boule de poils « , bien que ne pouvant prétendre à un pedigree définitif, n’en demeure pas moins un AKITA.
L’éleveur devra le déclarer à la Société Centrale Canine pour l’inscrire au L.O.F. au même titre que les autres chiots de la portée. Un certificat de naissance sera donc remis à ses nouveaux maîtres. Par contre, n’étant pas conforme au standard, l’Akita » poils longs » ne pourra prétendre au titre de reproducteur, ni remporter des prix en exposition. Parents porteurs. Si un chiot s’avère être » poils longs « , cela veut dire que son père et sa mère sont porteurs du gène » poils longs » bien que ces derniers soient poils courts.
Si seulement un des deux parents est porteur, alors aucun chiot ne naîtra » poils longs « . Mais ces chiots, qui à coup sûr seront porteur du gène, pourront à leur tour engendrer des chiots «
poils longs » s’ils sont accouplés à un partenaire porteur du gène. Pour avoir une meilleure idée du patrimoine génétique de son Akita, il faudrait, si c’est un mâle, qu’il saillisse un grand nombre de femelles » poils longs » et qu’il ne naisse de ces unions aucun chiot » poils longs « .
Dans la pratique, cela n’est pas envisageable donc nous ne devons pas tirer de conclusion trop rapide sur le bagage génétique de notre chien ! Un atavisme impossible à éradiquer. Cet atavisme, très fréquemment rencontré dans les élevages, rend inenvisageable de retirer tous les Akitas reconnus porteurs du gène sous peine de perdre une trop grande diversité génétique et d’anéantir la race. De plus, le défaut » poil long » ne présente qu’un critère physique dicté par le standard qui en aucun cas, il n’affecte en rien la santé du chien. L’Akita » poils longs « , malgré son défaut de fourrure le rendant non confirmable, aura toutes les autres caractéristiques de sa race. Il pourra parfaire dans sa vocation de chien de compagnie et réaliser ainsi le bonheur d’une famille.
Consultez notre guide sur les croquettes : les meilleures croquettes pour chien, voici la version pour les croquettes pour chiots.
Utilisation :
- Chien de compagnie et de garde.
- Chien de pistage (passé de chien de chasse).
- Agility possible si les résultats et la rapidité ne sont pas vos priorités, et si vous souhaitez augmenter vos liens avec votre akita et entretenir sa vivacité.
- Certainement pas chien de traîneau.
- L’akita a les pattes arrières trop droites, et manque de plaisir aux activités de groupe.
Entretien :
C’est un chien qui existe en 3 couleurs, roux, bringé et blanc. Le roux s’appelle sésame quand il est mêlé de poils aux pointes noires, en général sur le dos.
La couleur rousse est la plus populaire, aussi parce que la plus photogénique !
Le blanc doit être un très beau chien pour » flasher « , et sa truffe, même noire étant chiot, se décolore toujours.
Le bringé est non seulement le plus varié dans ses nuances, mais le plus impressionnant. Comme ce n’est qu’une question de couleur, vous en rirez si vous avez un jour un » adorable bringé gentil gardien » !
Sachez que ceux qui ont opté pour un bringé sont ceux qui en général ont connu la race en vrai avant de la connaître en photo…
Il parait à poil court, mais sous cet aspect de velours se cache une bonne épaisseur de poil et de sous-poil !
La mue est impressionnante, mais attention à ne pas confondre avec un début d’adénite sébacée (voir santé).
Conclusion :
C’est un chien beau et plein de charme, qui saura vous étonner par ses paradoxes, entre calme et vivacité, dignité et innocence, civilité et naturel, qui saura vous attendrir par sa délicatesse et son attention pleines d’empathie, et qui saura aussi devenir calife à la place du calife sans même que vous vous en rendiez compte…
Ce sont les yeux de l’akita qui résument tout :
On y voit tour à tour toutes les facettes de cette personnalité multiple, et surtout ce mélange de fierté et d’innocence naïve.
Origine de l’Akita Japonais
C’est une race originaire du Japon qui date d’environ 3000 ans. L’Akita Japonais a d’abord été utilisé pour chasser le cerf, l’ours ou le sanglier puis, au XVIIe siècle, comme chien de combat.
Au XIXe siècle, il a été croisé avec le Mastiff et le Tosa pour augmenter sa taille. Cette race bénéficie du statut de patrimoine national au Japon et depuis 1934 alors qu’elle était menacée de disparition.
Apparence
L’Akita Japonais est un chien de grande taille, bien proportionné et robuste. Les mâles mesurent en moyenne 70 à 75 cm et ils pèsent entre 40 et 45 kg. Les femelles mesurent entre 58 et 64 cm et pèsent environ 35 kg. L’Akita Japonais possède majoritairement des poils durs, courts et droits, mais il est également doté de poils longs.
Il a une queue épaisse enroulée sur son dos, des oreilles triangulaires tendues vers l’avant, de petits yeux foncés, un front large et un stop prononcé.
Caractère et éducation
L’Akita Japonais est un chien intelligent, doux et amical. Il est méfiant envers les étrangers et peu sociable vis-à-vis de ses congénères. Il a toutes les capacités pour être un bon chien de garde.
Il peut être dressé fermement, mais sans violence, car cela pourrait le rendre agressif. Ses séances de dressage ne doivent pas être d’une durée supérieure à 20 minutes.
Bien-être
L’Akita Japonais possède une fourrure dense, il doit être régulièrement brossé. Il mue généralement deux fois dans l’année. Il n’a pas un gros appétit comparé aux autres grands chiens, son espérance de vie est d’environ 11 ans.
Il est sujet à deux maladies, le VKH et l’adénite sébacée. L’Akita Japonais a besoin d’exercice, de longues promenades permettent de le maintenir en forme.
Présentation vidéo de l’akita japonais
Carte d’identité
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Japan’s Most Famous Dog Breed: The Akita-inu
Nakagawa takes his dogs for a walk every morning, so he remains healthy in his eighties.
When I enter Nakagawa’s place of business, I am greeted by Akita-inu with ears pointing upward and curling tails. They range from 3-month-old puppies to 10-month-old dogs that are already larger than medium-sized adults of other breeds.
In Japan, Akita-inu are classed as large dogs. They are the only dogs of this size to be selected as national natural monuments. Four medium-sized breeds—the Hokkaidō-inu, Kai-ken, Kishū-inu, and Shikoku-inu—and the small Shiba-inu have also received this designation. However, Akita-inu are often considered to be of medium size in other countries.
In the center is Kōgyoku-megō, a female born in January 2017. (The –megō is a suffix sometimes added to names of female dogs; an equivalent often attached to male names is –gō.)
Godai, a male (left), and Suzuyo, a female, were both born in August 2017, so were three months old at the time of writing at the end of November.
The Legend of Hachikō
Given their size, are Akita-inu tough to keep as pets? No, says Nakagawa. “They’re big, so they’re powerful, but they’re a lot easier to look after than the small Shiba-inu. They faithfully follow their owners’ instructions. For this reason, they are often kept as guard dogs as well as pets.”
The classic example of the faithful Akita-inu is Hachikō, now a symbol of Shibuya Station. For almost a decade after his owner’s death, he went to the station every day to wait for him to come home from work. The legend of Hachikō began with a newspaper story that moved the nation. Since then there have been countless films and television dramas about the loyal companion. A successful 2009 adaptation, Hachi: A Dog’s Tale, starring Richard Gere, transplanted the story to the United States and raised the profile of the Akita-inu around the world.
The statue of Hachikō in Shibuya is a place to meet and take photographs. The original statue was requisitioned for war materiel in World War II, making this the second incarnation.
The first Akita-inu to go overseas was a gift to Helen Keller named Kamikaze-gō that she took home from a tour of Japan. In more recent times, Russian President Vladimir Putin was a notable recipient of an Akita-inu called Yume.
Nakagawa has provided dogs to clients in Italy, Germany, and other European countries since around 30 years ago. The French film star Alain Delon is among his customers. He is said to have been very fond of the Akita-inu supplied to him by Nakagawa, and ordered a second from the breeder when the first passed away.
Nakagawa says that Akita-inu fur grows well in chilly environments. “I think they are suited to cold parts of Russia and Europe. They shed fur in warm climates, so hotter places are not really good for them.”
A display in Nakagawa’s place of business shows French film star Alain Delon in the top right corner. The photograph at the top left shows Nakagawa selling Akita-inu puppies to Stevie Wonder’s brother.
A Fateful Encounter
Nakagawa saw his first Akita-inu more than five decades ago at the age of 29. He was born and raised in the southern prefecture of Kagawa, far from the breed’s original homeland in northern Japan. After graduating from high school and working for a time as a sailor on a cargo ship, he went to visit his sister’s home in Osaka. He says that his brother-in-law was a dog lover, who owned Akita-inu, Shiba-inu, and mixed breeds. While staying there, Nakagawa grew to be crazy about dogs himself and started a business. At that time, breeders were rare.
At first, he also sold German shepherds and spitz dogs, but he came to specialize in Akita-inu. While learning his trade, he also acted as a handler, exhibiting the dogs at shows around the country. He became known as an Akita-inu expert.
Nakagawa with one of his beloved dogs.
In 1974, he was chosen as the managing director of a nationwide Akita-inu trade organization. Two years later, he became an official examiner for the same group. In 1987 and 1988, he served as the Akita-inu representative for the Japan Kennel Club. From this time, he was in communication with kennel clubs in places like the United States and Britain, and he started to get orders from overseas.