Table des matières
- Le chien préfère-t-il vraiment son maître à toute autre personne ?
- Dans un contexte stressant, le chien préfère rester avec son maître
- Un chien abandonné reste-t-il attaché à son premier maître ?
- Un chien qui choisit son maitre…
- Ressemblances physiquesentre un chien et son maître
- Ressemblances psychologiquesentre un chien et son maître
- Influence mutuelleentre un maître et son chien
- Pourquoi aimons-nous tellement nos chiens ?
- Le gros bébé
- Des émotions claires
- Le bien-être physique
- L’amour sans condition
- Les raisons qui nous poussent à aimer un animal avec autant d’intensité
- Le chien vit 12 ans en moyenne… Pourquoi est-ce si injuste ?
- Leurs super-pouvoirs, des armes de bonté massive
Le chien préfère-t-il vraiment son maître à toute autre personne ?
Votre chien n’a d’yeux que pour vous ? Il vous fait la fête et vous suit à la trace ? On dit souvent que le chien aime son maître plus que tout au monde. Mais une nouvelle étude vient remettre en cause cette affirmation.
La science avait déjà démontré que les animaux domestiques accueillent leur propriétaire avec plus d’enthousiasme et d’entrain qu’ils ne le font pour leurs non-propriétaires. Mais une nouvelle étude américaine, prouve que les chiens se comportent différemment avec leurs propriétaires et les étrangers en fonction du contexte où ils se trouvent.
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont testé un groupe de chiens avec leur propriétaire et un étranger dans un lieu familier (une pièce dans leur propre maison). Un autre groupe a été testé, constitué des chiens, de leur maître et d’un étranger dans un endroit inconnu. Les chiens étaient libres de faire ce qu’ils voulaient.
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Dans un contexte stressant, le chien préfère rester avec son maître
Bilan : dans un endroit inconnu, les chiens passaient plus de temps à interagir avec leurs propriétaires (près de 80% d’entre eux). Mais dans un lieu familier, les animaux ont passé plus de temps avec la personne étrangère (environ 70% d’entre eux) selon l’article, publié dans le Journal of the Experimental Analysis of Behavior.
On peut donc en conclure que l’environnement du chien a un impact sur sa façon d’interagir avec son maître ou des inconnus : dans un lieu familier, il se sent en sécurité, ce qui lui permet de libérer sa curiosité et d’aller à la rencontre d’autres personnes. A contrario, dans un lieu inconnu, le chien préfère rester aux côtés de son maître, source de sécurité. » Dans un contexte stressant, inconnu, nous voyons que vous être toujours important, vous êtes le numéro un de votre chien « , explique Erica Feuerbacher, auteure principale de l’étude.
Un chien abandonné reste-t-il attaché à son premier maître ?
L’étude s’est également intéressée à la question des chiens de refuge : elle démontre que le chien se met à interagir différemment avec un étranger dans les dix premières minutes.
Que les potentiels adoptants se rassurent : bien qu’un chien puisse être traumatisé par un abandon, il a cette incroyable capacité à nouer de nouveaux liens, et ce, dans les premières minutes qui suivent sa rencontre avec une personne. » La séparation et l’environnement des refuges sont très stressants pour les chiens, mais je ne pense pas qu’en entrant dans leur nouvelle maison, leur ancienne maison leur manque « , estime l’auteure de l’étude. Et de conclure : » Quand vous adoptez un chien, vous devenez SON humain « .
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Un chien qui choisit son maitre…
vous y croyez vous?
ben moi oui, le mien m’a fait ce coup la.
il y a 4 ans des connaissances jamais revue ensuite m’ont donnes un chien (deja a la base, ce devait etre une femelle, soi disant, et vu qu’il avait les poils super long, j’ai pas chercher ni penser a verifier, et je m’en fichais un peu en fait, du sexe), donc un chien trouver errant sur la route, couvert de blessure, de trace de coup, et maigre a faire peur. eux meme avaient deja une chienne de la meme taille (genre berger allemand croise malinois pour lui) tres jalouse et possessive, et ils ne pouvaient pas le garder pour elle.
lui et moi avons vecu 1 an ensemble, en appartement, avec mon ex. bossant la journee je n’avais d’autre choix que de le laisser seul 10h par jour. je ne vous decris pas la fete qu’il me faisait lorsque je rentrais…
puis j’ai rompu avec mon copain, et je suis retournee vivre chez mes parents pour un an. arrive l’ete, je pars faire un mois de boulot en ville, mais impossible de le laisser aux parents, donc il fait la rencontre de mes grands parents cette fois. lorsque je reviens, ilme fait la fete comme un fou, mais traine un peu la patte pour rentrer avec moi (ben oui, mes grands aprents sont a la retraite tout les deux, raffolent des chiens et sont tombes amoureux de lui, donc il etait gate comme un coq en pate te pire…)
l’anne chez mes parents commencent, et mon pere a beaucoup de mal avec le chien, me demande de le garder attacher toute la journee, et dans ma chambre le reste du temps lorsque je suis la. je savais deja que le chien serait un probleme pour lui, il est plutot pere chat en fait. le chien etait mon probleme, a moi d’assumer. sauf que le voir a mon depart et a mon retour du boulot attacher a son arbre dans le jardin ca me faisait mal au coeur, alors coup de fil aux grands parents, et je leur ramene le chien qui leur fait une fete monstrueuse.
maintenant a chaque fois que je vais le voir, il me fait la meme fete, semble toujours triste de me voir partir, mais refuse de m’accompagner jusqu’a la voiture tellement il a peur que je le ramene avec moi. donc voila, maintenant c’est le chien de mes grands parents, j’ai donner mon chien sans le vouloir…
c’est un chien qui a enormement besoin d’etre entoure, qui ne supporte pas la solitude, et meme si je suis celle qui lui a appris a ne plus avoir peur des humains (et ca a ete dur!!), qui l’a soigne quand il etait malade (il a failli mourir d’une infection des testicules, ce qui lui a valu d’etre chastre), qui lui ai permis de retrouver confiance en lui… il prefere etre avec eux, car il sait qu’il est chouchouter et jamais seul. si avec moi il avait le premier, il n’avait pas le 2eme. et c’etait le plus important pour lui.
alors maintenant je reste tres prudente lorsque l’on me dit qu’un chien peut rester seul toute la journee, et si je dois en reprendre un jour, ce sera avec jardin ferme pour lui, et un compagnon de jeu, surement un autre chien…
voila.
C’est toujours passionnant qu’en la science nous permet de comprendre certains phénomène de notre quotidien comme par exemple la fréquente ressemblance entre un chien et son maître.
Il est maintenant prouvé que cette ressemblance est physique mais aussi psychologique.
Encore plus surprenant, avec le temps, le comportement d’un chien et de son maître s’influence mutuellement ce qui accentue les ressemblances…
Ressemblances physiques
entre un chien et son maître
Cette ressemblance est assez logique : nous sommes attiré par ce qui nous ai familier.
Quand nous sommes en face d’une situation familière, nous savons comment réagir ce qui nous rassure et nous réconforte.
C’est la même chose pour un chien et plus particulièrement lorsqu’il s’agit de choisir un chien.
Un chien avec des traits physiques communs aux nôtres nous donne inconsciemment l’impression qu’il fait déjà parti de la famille.
Cette ressemblance va automatiquement nous mettre en confiance, le chien va donc nous paraître plus beau, plus affectueux, …
Choisir un chien se joue à peu de chose, c’est souvent une affaire de feeling.
Ce genre de petit détail peut avoir une grande influence sur le choix final et c’est ce qui explique le grand nombre de chien qui ressemble à leurs maîtres et c’est peut-être ce qui explique pourquoi votre chien vous ressemble 😉
Ressemblances psychologiques
entre un chien et son maître
Encore plus surprenant : les ressemblances entre un chien et son maître ne se limitent pas qu’au physique.
Une étude a été réalisée sur 389 maîtres et 518 chiens pour vérifier dans quelle mesure nous ressemblons psychologiquement à nos chiens.
Chaque maître a répondu à un questionnaire permettant d’établir son profil suivant 5 critères psychologiques.
Ensuite les maîtres ont remplis un questionnaire équivalent pour leurs chiens. Ils ont donc eux-mêmes évalués la personnalité de leurs chiens.
A ce stade de l’étude, les résultats montrent que les 5 critères psychologiques sont identiques entre un chien et son maître.
Mais comment être sur que ce ne sont pas tout simplement les maîtres qui projettent leurs personnalités sur leurs chiens ?
Pour en avoir le cœur net, les scientifiques ont fait appel à l’entourage des maîtres et leur ont demandé à leur tour d’évaluer le chien.
Les résultats montrent que 4 des critères psychologique restent communs au chien et au maître !
Là encore le coté familier aurait une influence sur notre choix.
Au moment de choisir notre chien, nous nous dirigeons consciemment ou inconsciemment vers un chien ayant des traits de personnalité communs aux nôtres.
Influence mutuelle
entre un maître et son chien
Un dernier élément accentue la ressemblance entre un chien et son maître : le temps.
Un chien et son maître passe plusieurs années ensemble et finissent pas s’influencer mutuellement.
Si vous dressez votre chien vous allez lui transmettre certains comportements de façon volontaire.
Mais ça n’est pas tout, votre chien vous observe, il apprend, enregistre vos humeurs, vos préférences, vos peurs, à votre insu…
Avec le temps il finit par les partager et par avoir des réactions similaires aux vôtres.
De la même façon un chien a lui aussi son tempérament, ses peurs et ses angoisses et lui aussi il vous transmet une partie de sa personnalité.
Cette influence mutuelle entre un maître et son chien peut être un avantage et un inconvénient.
Une personne ayant quelques difficultés à s’ouvrir aux autres sera influencée de manière positive par un chien très sociable et elle finira par comprendre qu’aller vers les autres peut aussi être positif.
Inversement un chien très calme chez un maître anxieux peut devenir à son tour très nerveux.
Pourquoi aimons-nous tellement nos chiens ?
Le gros bébé
Les attitudes enfantines nous rendent protecteurs : c’est un phénomène naturel pour la préservation de la race humaine. Or, quand on vit avec un chien, il y a de nombreuses occasions de s’attendrir face à des comportements qui rappellent le petit de l’homme.
D’ailleurs, le chien n’a parfois rien à faire de spécial pour nous rendre complètement gaga ! Cela se produit plus chez certaines races que d’autres qui ont des caractéristiques physiques de gros bébés nettement plus marquées ou alors à cause de leur petite taille – et aussi selon l’éducation du chien, car il peut être encouragé à reproduire certains comportements parce que… c’est » trop mignon « .
Des émotions claires
Le chien ressent des émotions et la façon dont il les manifeste serait en bonne partie à l’origine des sentiments très forts que l’on peut avoir pour son chien. C’est plus clair que chez d’autres mammifères (comme celui qui fait miaou), avec lesquels il faut parfois être sacrément perspicace pour savoir s’ils sont contents ou pas contents, heureux ou malheureux.
En plus, le chien fait ressentir à l’homme, au quotidien, des émotions et des sentiments valorisants.
Le bien-être physique
Il a été démontré que les animaux, dont le chien, procurent un bien-être physique en faisant, par exemple, baisser la tension quand on les caresse et produire de la dopamine et de la sérotonine, hormones du plaisir. Comme il y a beaucoup d’interactions avec un chien, les moments d’affection, le jeu, l’éducation etc., il a de nombreuses occasions dans la vie de tous les jours de nous procurer du bien-être !
L’amour sans condition
Le chien aime sans condition. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous aimons tant le chien. Il est attaché à nous peu importe ce que nous faisons. Il offre un bonheur simple en permanence ; il reste attaché envers et contre tout.
C’est vrai qu’il n’a pas d’autre choix que de compter sur nous, qu’il ne peut pas émettre de jugements et qu’il est façonné depuis des siècles justement pour être attaché à nous.
Mais qu’importe.
L’étude des hormones, les tests, les IRM ou les travaux des psychologues, ne pourront pas complètement élucider le lien qui se crée entre un humain et son chien. Un individu et un spécimen, tous les deux uniques, écrivent une histoire qui n’appartient qu’à eux.
Autrement dit, vous aimez votre chien parce que c’est lui et parce que c’est vous et ça, ça ne s’explique pas !!
Autre explication possible sur futura-sciences : le chien est très sensible à la voix humaine.
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En cas de déséquilibre de la hiérarchie, si l’un des deux conjoints accorde une place à l’animal qui outrepasse celle du couple par exemple, « le chien n’aura plus de repères, souligne Claire Bentolila. Il peut se mettre à faire des bêtises ou devenir agressif. »
Être le maître chez soi
Avec l’aide de l’expert en comportement animal, Claudia a remis Pédalo à sa place. « Lui interdire certains espaces de la maison comme la chambre, le canapé et la salle de bain a été un crève-coeur pour Fred, qui avait l’impression de trahir son chien », détaille la jeune femme. Un mal nécessaire selon Claire Bentolila. « Le chien doit comprendre que certaines pièces sont hiérarchiquement réservées aux maîtres pour que la cohabitation puisse être sereine. »
Si Niagara, un Samoyède de bientôt deux ans, n’a jamais manifesté d’agressivité envers Sophie, 42 ans, son dressage a entraîné quelques tensions au sein du couple qu’elle forme avec Louis, 41 ans. « Au départ, je ne voulais pas de ce chien, je trouvais que c’était une contrainte au quotidien. Le deal était clair : j’ai accepté à condition que mon mari en assume l’entière responsabilité. »
L’apprentissage de la propreté et les bêtises à répétition du chiot ont bouleversé le rythme de vie du couple. « Il devait la sortir souvent et tard. On se couchait rarement en même temps. Il prenait parfois sa défense lorsqu’elle faisait des bêtises. Cette période durant laquelle il faut faire l’éducation du chien a été une source de conflits. Heureusement, la chienne est maintenant plus grande et nous avons trouvé notre équilibre à trois. »
« Ni un bébé, ni une peluche »
Pour certains, l’arrivée d’un chien vient combler un manque affectif. « Nous avons pris Danette, un Shih Tzu de quelques mois, après le départ des enfants de la maison. C’était une erreur », déplore Olivier, Parisien de 57 ans. Progressivement, le chien est passé d’animal de compagnie à petit dernier de la famille. « Ma compagne, Christelle, s’occupait de lui comme d’un bébé. S’il pleurait la nuit, elle se levait pour aller le voir. Lorsqu’elle s’adressait à lui, elle prenait un air gaga comme s’il s’agissait d’un nouveau-né. »
À force de discussions, Christelle s’est rendu compte qu’elle transposait le manque de ses enfants sur l’animal. « Danette a été le révélateur de sa souffrance. J’ai choisi la carte de l’humour pour lui faire comprendre qu’elle allait trop loin. Aujourd’hui, le départ des enfants est digéré et la relation plus apaisée, même si le surnom ‘mon bébé’ n’est jamais très loin. »
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Cette sacralisation de l’animal, Michel Fize, sociologue et auteur de Merci Will et à bientôt (éd LGO) -un ouvrage hommage à son chien décédé-, se l’est interdite. « Le respect de l’animal et de soi-même passe par le rejet de ce type de confusion. Il n’y a aucun rapport de filiation avec l’animal. Ce n’est pas un enfant et encore moins une peluche que l’on caresse à souhait. »
Un animal pour l’un, un compagnon pour l’autre
Il ne faut pas pour autant nier la relation qui peut unir un maître et son chien. « C’est comme pour les histoires humaines, il y a des relations passionnées, des amitiés très fortes, souligne Michel Fize. Je ne me suis jamais senti le propriétaire de cet être vivant à quatre pattes, car je le considérais comme mon ami. »
Louis passe la majorité de ses journées aux côtés de Niagara. « Le lien qui s’est tissé est très solide, sourit Sophie. Pour moi c’est un animal, mais pour mon mari, c’est un compagnon de vie. »
Chez Claudia, la relation fusionnelle qui unissait Pédalo et Fred a évolué. « Le chien est devenu le partenaire de jeu de notre fils de deux ans et demi. Et durant mon congé maternité, il m’a été d’un grand soutien. Dépassée par l’arrivée du bébé, j’ai mis du temps à m’apaiser. L’affection spontanée de Pédalo lorsque j’étais triste m’a aidée. Un chien, c’est la fidélité et la gentillesse incarnées. Je ne soupçonnais pas qu’il puisse être autre chose qu’une bête. J’ai accepté moi aussi de lui laisser une place dans mon quotidien. » Jusqu’à devenir l’un des piliers de l’équilibre familial.
Les raisons qui nous poussent à aimer un animal avec autant d’intensité
Le célèbre psychiatre Sigmund Freud disait que les raisons qui nous poussent à aimer un animal avec autant d’intensité se comprennent quand nous voyons que leur amour est inconditionnel.
La relation que nous avons avec nos animaux est libérée des insupportables conflits de la culture. Freud avait raison lorsqu’il disait que » les chiens n’ont ni la personnalité divisée, ni la cruauté de l’homme civilisé ni l’esprit de vengeance de ce dernier contre les restrictions que la société lui impose « .
Il affirmait très justement qu’un chien renferme la beauté d’une existence complète.Et qu’un sentiment d’affinité intime, de solidarité indiscutable existe très clairement.
» Les émotions simples et directes d’un chien, lorsqu’il remue la queue pour exprimer sa joie ou aboie pour montrer son mécontentement, sont beaucoup plus agréables. Les chiens nous rappellent les héros de l’Histoire et c’est peut-être pour cela qu’on leur attribue souvent leurs noms. «
-Sigmund Freud-
Le chien vit 12 ans en moyenne… Pourquoi est-ce si injuste ?
Le fait qu’un chien ou un chat ne vive que 12 ans en moyenne est incompréhensible et injuste. Pourquoi ? Parce que perdre la possibilité de continuer à partager sa vie avec un être à quatre pattes est extrêmement douloureux.
Lorsque nous aimons un animal, tout le temps que nous passons avec lui n’est pas suffisant. Car quand nous sommes avec lui, quand nous le regardons avec tendresse et amour, nous nous rendons compte que le temps passe trop vite.
Nous percevons cette sensation de tempus fugit quand, à chaque caresse, nous sentons le cœur de notre animal papillonner dans le nôtre. Cependant, le contraste apparaît quand, après chaque salut et après chaque moment partagé, nous comprenons que cet amour est infini.
Leurs super-pouvoirs, des armes de bonté massive
Nous pensons, avec tendresse, que nos chers animaux ont des super-pouvoirs.Cela nous pousse à les aimer très fort. Quand nous faisons une liste mentale de tout ce qui nous surprend chez eux, nous ne pouvons nous empêcher de sourire.
Lorsque nous aimons un animal, de nombreuses choses nous surprennent et nous attendrissent. Sa capacité à prédire le futur ou à nous » sentir » quand nous rentrons à la maison. Son empathie et sa capacité à entrer en syntonie avec notre état émotionnel. Son habileté au moment de nous consoler et de nous motiver…
Il est difficile de laisser nos animaux seuls à la maison. Leurs yeux suppliants nous emplissent de peine. Mais leur joie de nous revoir nous inonde de bonheur.
Les animaux sont, sans aucun doute, les meilleurs thérapeutes possibles pour de nombreuses personnes. Leur noblesse et leur bonté n’ont pas de limites. Si nous n’avons pas d’animal à aimer, une partie de notre âme est endormie. Or, celle-ci nous a réservé un espace pour aimer les animaux. Pour profiter de leur amour inconditionnel et de leurs leçons.
L’affirmation » personne ne vous aimera jamais plus que vous-même » perd son sens. Car les animaux sont de véritables maîtres dans l’art de l’amour. Chaque seconde passée à leurs côtés est un cadeau. Aimer un animal est l’une des plus belles expériences qui soit. Ceux qui l’ont vécue le savent.