Je sélectionne des rapprocheurs à sangliers depuis 1977. La souche de départ provient de M. Maurice BEDY à Valojoulx en Dordogne.
L’objectif de cette sélection a été d’obtenir un chien complet, bien gorgé , rustique, capable de chasser deux jours de suite, c’est-à-dire un week-end.
Au fil du temps, j’ai façonné un modèle répondant à mes attentes.
Pour cela, j’ai procédé à des croisements entre 3 races principales: le Griffon Bleu, le Grand Gascon et le Bruno Saint – Hubert.
Le Griffon Bleu apporte un caractère brigand typique du briquet. C’est un chien très fin de nez (peut-être le meilleur), très intelligent, capable de prendre seul des initiatives notamment lors des défauts intervenant en cours des rapprochers. C’est aussi un excellent broussailleur, très courageux, bon au ferme et résistant.
Le Grand Gascon est un chien possédant une gorge exceptionnelle, facile à créancer et collé à la voie. Bon rapprocheur, il est plein de qualités mais néanmoins reste fragile.
Le Bruno Saint-Hubert est lui aussi bien gorgé, collé et s’adaptant bien au travail à la longe. C’est un chien chasseur et assez résistant, équilibré.
En croisant ces 3 races pures , je bénéficie du fameux effet » hétérosis » bien connu des généticiens. Par cette caractéristique du croisement, j’augmente ainsi la rusticité de mes chiens. Je recherche bien entendu aussi à » fixer » les qualités d’une race tout en cherchant à en éliminer les défauts. C’est un travail de longue haleine, fastidieux, exigeant une rigueur permanente dans le choix des sujets.
Aujourd’hui, les chiens issus de cette sélection sont de bonne taille, bien construits, souvent poil dur mais quelques poils ras apparaissent lorsque le sang gascon est dominant, de couleur bleue, noir et feu ou blanc et noir.
Ils sont en général bien gorgés, de train moyen, rapprocheurs mais preneurs d’initiative ( j‘ai horreur de ces chiens qui hurlent toute une journée sur des voies sans jamais lever les animaux), requérants et chasseurs. Ils sont faciles à créancer car, par la génétique, ils sont » programmés » pour la chasse du sanglier.
Ces chiens s’adaptent à tous types de chasse et notamment la chasse à la longe (rapprocher) et sont bons au ferme sans être des imprudents.
Les chiens « type » de l’élevage
Nouvelle vie à l’enclos de l’Armenay
Leur premier concours de meute
Le week-end dernier, Patricia Lecerf et Jean Bijasson ont organisé leur premier concours de meute sur sanglier sur leur domaine de l’enclos de l’Armenay.
» C’est la première fois qu’on organise ce concours et c’est pour nous l’occasion de nous faire connaître. «
Car Patricia Lecerf et Jean Bijasson ne se sont installés dans la région que depuis tout juste un an. Lui, passionné de chasse, elle de chiens courants, ils ont tout quitté : leur Savoie, leur famille, leurs amis, pour s’installer dans ce vaste enclos de 700 hectares qu’ils louent à l’État via la caisse des dépôts.
Manifestations
autour du chien
Leur activité professionnelle ? Organiser des chasses, notamment à courre, de septembre à fin mai, proposer des entraînements dans trois parcs dédiés, dresser et vendre des chiens. » Jean chasse depuis tout jeune, moi depuis six ans « , explique Patricia. » Mon plaisir, c’est d’éduquer, de dresser les chiens rapprocheurs, d’aller les entraîner dans le petit parc. » Et pourtant, elle n’était a priori pas destinée à cette activité, elle qui tenait une boutique de lingerie à Saint-Jean-de-Maurienne. Tout comme Jean, d’ailleurs, qui dirigeait son entreprise dans le bâtiment.
» On souhaite organiser des fêtes, des manifestations autour du chien et de la chasse, ce qui se fait beaucoup dans d’autres régions, et moins ici « , précisent-ils de concert. Ce week-end, ce sont ainsi sept meutes qui ont été lancées et les nombreux visiteurs ont répondu présent, profitant également des animations proposées.
Le couple ne manque pas de projets pour développer son activité. Certains week-ends, ce sont près de deux cents repas qui sont servis, et une grande salle va être prochainement aménagée à cet effet. Autre projet, le couple est en pourparlers pour proposer de la chasse à l’arc l’année prochaine.
En attendant, le succès est déjà au rendez-vous, le programme de réservation pour la saison prochaine étant d’ores et déjà complet.
Chien d’Artois
Standard FCI N°28 (24.07.1996)
ORIGINE : France.
DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D’ORIGINE EN VIGUEUR : 24.07.1996.
UTILISATION:
Le Chien d’Artois est un briquet surtout utilisé de nos jours à la chasse à tir. C’est un rapprocheur, travaillant avec application dans les défauts, et sa vitesse est moyenne mais soutenue.
– En plaine : Vu la finesse de son nez, il est capable de déjouer les ruses d’un lièvre.
– Au bois : Avec ses incontestables qualités de chasseur, dans les futaies claires et bien percées, il conduit à merveille un chevreuil.
– Au fourré : Son intrépidité et sa bravoure font qu’il peut débusquer un sanglier même récalcitrant.
– De plus : C’est un animal rustique, doté d’une merveilleuse gorge entraînante, d’une voix haute qui se fait entendre de loin.
Six à huit Chiens d’Artois tricolores, bien uniformes, constituent un petit équipage susceptible de faire plaisir à un maître d’équipage des plus exigeants.
CLASSIFICATION F.C.I. :
Groupe 6 – Chiens courants de recherche au sang et races apparentées.
Section 1.2 – Chiens courants de moyenne taille.
Avec épreuve de travail.
ASPECT GENERAL :
Chien bien charpenté, musclé et pas trop long, donnant une impression de force et d’énergie.
PROPORTIONS IMPORTANTES :
– Taille / Longueur du corps entre 10 :10 et 10 :11
– Hauteur de la poitrine / Taille env. 1 :2
– Largeur du crâne / Longueur de la tête env. 5 :9
– Longueur du chanfrein / Longueur du crâne env. 8 :10
COMPORTEMENT / CARACTERE :
Chien vigoureux et rustique, très fin de nez, ralliant bien la meute, équilibré et affectueux.
TETE :
REGION CRANIENNE :
– Crâne : Fort, large, assez court, arrondi et aplati à sa partie supérieure mais avec la protubérance occipitale peu prononcée.
– Stop : Accentué.
REGION FACIALE :
– Truffe : Noire, forte, aux narines bien ouvertes.
– Museau : Chanfrein droit et, vu de profil, modérément allongé.
– Lèvres : La lèvre supérieure recouvre largement la lèvre inférieure et doit être assez importante pour donner une forme carrée à l’extrémité du museau, vu de profil.
– Mâchoires/dents : Denture en ciseaux, les incisives supérieures recouvrent les inférieures dans un contact étroit et sont implantées bien d’équerre par rapport aux mâchoires.
– Joues : Sèches.
– Yeux : Par rapport à la largeur du front, les yeux ne sont pas très rapprochés; ils sont ronds, à fleur de tête, l’air mélancolique et doux; de couleur brun foncé. Les muqueuses des paupières inférieures ne doivent pas être apparentes.
– Oreilles : Attachées à la hauteur de la ligne de l’œil, un peu épaisses, larges, à l’extrémité ronde, presque plates et assez longues, atteignant la naissance de la truffe.
COU :
Moyennement long, puissant; très peu de fanon.
CORPS :
– Dos : Large et bien soutenu.
– Rein : Légèrement harpé.
– Croupe : Les hanches donnent une légère inclinaison à la croupe, qui est bien musclée.
– Poitrine : Large et longue, assez descendue pour que la ligne sternale arrive au niveau des coudes. Côtes bien cintrées.
– Ventre : Flancs pleins.
QUEUE :
Forte, assez longue, épiée (ou espièe) et portée en faucille, ne retombant jamais vers l’avant.
MEMBRES :
MEMBRES ANTERIEURS :
Vue d’ensemble : Les membres antérieurs sont forts et d’aplomb.
– Epaules : Obliques et musclées.
– Coudes : Bien dans l’axe du corps.
– Métacarpes : Légèrement obliques.
MEMBRES POSTERIEURS :
Vue d’ensemble : Vue de derrière, la pointe de la fesse, le milieu de la jambe, le jarret, le métatarse et le pied se retrouvent sur la même ligne verticale.
– Cuisses : Descendues et bien musclées.
– Jarrets : Forts et modérément coudés.
– Métatarses : Courts et forts.
PIEDS :
Légèrement allongés, forts mais suffisamment serrés; les coussinets sont noirs, résistants et compacts.
ALLURES :
Régulières et faciles.
PEAU :
Assez épaisse.
ROBE :
POIL : Court, épais et assez plat.
COULEUR : Tricolore fauve foncé, tirant sur le poil de lièvre ou de blaireau, avec manteau ou grandes taches, la tête habituellement fauve, quelquefois charbonnée.
TAILLE ET POIDS :
Hauteur au garrot : Mâles et femelles 53 à 58 cm.
Avec tolérance de 1 cm.
Poids : en moyenne, 28 à 30 kg.
DEFAUTS :
Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.
Tête :
– Crâne étroit, en forme de dôme.
– Museau trop pointu.
– Lèvre supérieure insuffisamment descendue et serrée.
– Oeil légèrement clair, conjonctive apparente.
– Oreilles attachées sous la ligne de l’œil, courtes, pas assez plates.
Cou :
– Encolure longue, légère.
Corps :
– Région dorsale trop longue, ligne du dessus molle, creuse.
– Côtes plates.
– Flanc levretté.
Queue :
– Trop longue, déviée.
Membres antérieurs :
– Epaule droite.
– Coudes en dehors.
– Métacarpes étroits.
– Pieds affaissés.
– Doigts écartés, trop longs.
Membres postérieurs :
– Cuisses plates.
– Jarrets droits, clos ou trop ouverts.
Couleur :
– Mouchetures.
Comportement :
– Sujet craintif.
DEFAUTS ELIMINATOIRES :
– Sujet peureux ou agressif.
– Manque de type (l’animal, dans son ensemble, ne ressemble pas suffisamment à ses congénères de la même race).
– Anomalie anatomique.
– Tare héréditaire invalidante repérable.
– Prognathisme supérieur ou inférieur.
– Oeil très clair.
– Membres frêles.
– Couleur autre que celle précisée dans le standard.
– Mouchetures envahissantes.
– Hauteur au garrot autre que celle indiquée dans le standard.
Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d’ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d’aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
Les races du 6ème groupe
- La définition du Chien Courant selon Marcel Voillot
- La notion de race
- Naissance des races utilisées aujourd’hui
- Les races du 6ème groupe les plus utilisées en France
- Les autres races du 6ème groupe reconnues par la SCC
1. La définition du Chien Courant selon Marcel VOILLOT
2. La notion de race
On entend volontiers dire que la notion de race est totalement artificielle, inventée par l’homme, lequel en fabriquerait et en ferait disparaître à volonté. Une telle opinion traduit une ignorance de ce qu’est la race.
C’est au départ une notion zoologique : toute espèce à vaste répartition géographique se scinde, sous l’effet des particularités du milieu et des mutations, en un certain nombre de sous-espèces (ou races) géographiques, qui se distinguent par quelques caractères visibles. Ainsi les zoologistes distinguent une trentaine de sous-espèces de Loup, et il est probable que beaucoup d’entre elles étaient déjà constituées au moment de la domestication du Chien.
Trois sous-espèces de Loup seulement auraient été soumises à domestication, dont sont dérivées peu à peu, sous l’action du milieu et celle, ténue, de l’Homme dans le contrôle de la reproduction, un nombre limité de grands ensembles ayant valeur de races primaires, dites encore races fondamentales ou grand ‘races. L’identité de ces dernières est discutée chez le Chien. Sans doute approche-t-on de près la réalité en empruntant les qualificatifs morphologiques de Pierre MEGNIN et l’on aurait alors les races primaires suivantes : lupoïde, braccoïde, molossoïde, graioïde (= lévriers), auxquelles il conviendrait probablement d’ajouter une race primitive (Dingos, chiens africains etc…).
Tout au long de l’histoire, les grands ensembles que constituent les races primaires n’ont pas cessé de se différencier géographiquement, éclatant en une multitude de races dérivées (secondaires, tertiaires etc…, du moins en théorie). Dans le même temps, des croisements pouvaient survenir, avec des chiens les plus divers. Il ne faut toutefois pas conclure que les croisements avaient été tels que tout était mélangé : lorsque, au XIXème siècle, il s’est agi d’identifier les races, avant de définir un standard et d’ouvrir un livre généalogique, il n’y a guère eu de difficulté à identifier les animaux qui, spontanément, étaient reconnus comme appartenant à la race de telle région (bleu de Gascogne, griffon vendéen, ariègeois).
Si elles naissent officiellement au XIXème siècle, avec la définition d’un standard et l’ouverture d’un livre généalogique, la plupart des races ont donc une longue histoire derrière elles, faite, dans une région donnée, de l’action du milieu, de la reproduction avec des congénères proches géographiquement, d’un minimum de sélection de la part de l’homme et de croisements divers, dont les effets finissent par se diluer.
Que penser alors des nombreux exemples de races dont on dit qu’elles ont été créées par croisement de plusieurs populations et qui portent, parfois, le nom du créateur ? Même si on leur en reconnaît le statut, elles ne constituent pas des races à proprement parler. Parce que, souvent, l’une des populations mères domine sur les autres, l’idéal serait de les considérer comme des variétés de ces dernières. Ce n’est toutefois pas possible dans les rares cas où l’on a réussi à bâtir un véritable type intermédiaire et l’on est alors en présence d’une véritable race d’origine métisse ou race synthétique.
A partir du moment où une race dispose d’un standard et d’un livre généalogique, le contrôle de la reproduction par l’Homme est en principe total, mis au service d’une sélection qui vise à l’améliorer et l’homogénéiser. Telle est la situation que nous connaissons depuis un siècle.
Formation génétique des races
Les définitions de la race sont innombrables. Retenons en deux :
- pour le législateur français (Décret relatif à l’amélioration génétique du 14 juin 1969) : une race doit recouvrir un ensemble d’animaux d’une même espèce présentant entre eux suffisamment de caractères héréditaires communs. Le modèle de la race est défini par l’énumération de ces caractères héréditaires avec indication de leur intensité moyenne d’expression dans l’ensemble considéré » ;
- pour THÉRET (1981), la race est une « population animale prise au sein d’une espèce, caractérisée par un génotype moyen particulier conduisant à la manifestation d’un phénotype intéressant la morphologie (conformation), la robe et une certaine tendance d’aptitude (physiologie et psychologie) pouvant varier en fonction des conditions de milieu dans lequel sont exploités les animaux ».
Ces définitions sont prudentes. Elles mettent en évidence deux faits importants : les animaux ne se ressemblent pas pour la totalité des caractères mais pour certains seulement et, globalement, il subsiste une variabilité suffisante au sein de la race.
Tout cela peut surprendre car l’idée vient spontanément que des animaux de la même race se ressemblent nécessairement beaucoup…. En réalité, la race réalise au plan génétique un compromis entre homogénéité et hétérogénéité : l’homogénéité augmente nécessairement sous l’effet de la sélection, mais il importe de ne pas aller trop loin et de laisser subsister une variabilité génétique suffisante. En effet, à un moment donné, il peut arriver que les utilisateurs de la race recherchent des types variés d’animaux. Surtout, l’examen de l’iconographie disponible depuis un siècle incite à l’humilité : ce que l’on considère comme le beau chien aujourd’hui ne l’aurait peut-être pas été il y a 50 ans et ne le sera peut-être pas dans 50 ans. Il importe donc qu’une race conserve les possibilités d’évoluer par elle-même dans une autre direction. Devenue trop homogène, la race est figée dans un modèle dont elle ne peut plus se sortir, sauf à recourir au croisement. Le recours à ce dernier, s’il n’est en soi pas répréhensible dès lors qu’il n’y a plus d’autre solution et qu’il se fait d’un commun accord entre les éleveurs, concrétise toutefois un échec de la sélection.
Au total, l’idée que les animaux d’une même race soient, plus ou moins, des « copies conformes » les uns des autres est étrangère à la notion même de race mais caractérise plutôt les lignées consanguines. Le maintien d’une diversité génétique acceptable par les éleveurs, mais aussi suffisante est, au contraire, inscrit dans la notion de race.
Cette diversité génétique intra-race peut être répartie exclusivement au hasard sur l’ensemble des animaux. Elle peut aussi, en partie, résulter du fractionnement de la race en un certain nombre de sous-unités.
L’idée que se font les éleveurs de la notion de race est souvent très éloignée de ce qu’en disent les scientifiques. Ces derniers conviennent certes que l’essentiel est que les éleveurs sélectionnent convenablement la population de chiens dont ils s’occupent : peu importe à la limite qu’elle soit appelée race, variété ou souche. Mais il faut remarquer qu’augmenter artificiellement le nombre de races suppose le plus souvent une réduction des effectifs de chacune d’entre elles ce qui, ajouté à la pratique quasi-systématique d’une consanguinité large, conduit à une réduction importante de la variation génétique. C’est alors la survie à long terme de la population qui est en cause et, du même coup, le travail de sélection effectué risque d’aboutir à un échec.
3. Naissance des races utilisées aujourd’hui
En construction…
4. Les races du 6ème groupe les plus utilisées en France
ANGLO FRANCAIS DE PETITE VENERIE
Standard de la race
Club de la race
ARIEGEOIS
Fiche SCC Standard de la race Club de la race |
BASSET ARTESIEN NORMAND
Standard de la race
Club de la race
BASSET BLEU DE GASCOGNE
Standard de la race
Club de la race
BASSET FAUVE DE BRETAGNE
Standard de la race
Club de la race
BASSET HOUND
Standard de la race
Club de la race
BEAGLE
Standard de la race
Club de la race
BEAGLE HARRIER
Standard de la race
Club de la race
BERNOIS
Fiche SCC Petit Bernois : |
BILLY
Standard de la race
Club de la race
BRIQUET DE PROVENCE
Standard de la race
BRIQUET GRIFFON VENDEEN
Standard de la race
Club de la race
BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS
Standard de la race
Club de la race
BRUNO DU JURA
Fiche SCC
Standard de la race
Petit Bruno du Jura :
Fiche SCC
Standard de la race
Club de la race
CHIEN D’ARTOIS
Fiche SCC Standard de la race Club de la race |
CHIEN DE SAINT HUBERT
Fiche SCC Standard de la race Club de la race |
FOXHOUND ANGLAIS
Fiche SCC Standard de la race Club de la race |
FOXHOUND AMERICAIN
Fiche SCC Standard de la race Club de la race |
FRANCAIS BLANC ET NOIR
Fiche SCC Standard de la race Club de la race |
FRANCAIS BLANC ET ORANGE
Standard de la race
Club de la race
FRANCAIS TRICOLORE
Standard de la race
Club de la race
GASCON SAINTONGEOIS
Standard de la race
Club de la race
GRAND ANGLO FRANCAIS BLANC ET NOIR
Standard de la race
Club de la race
GRAND ANGLO FRANCAIS BLANC ET ORANGE
Standard de la race
Club de la race
GRAND ANGLO FRANCAIS TRICOLORE
Standard de la race
Club de la race
GRAND BASSET GRIFFON VENDEEN
Standard de la race
Club de la race
GRAND BLEU DE GASCOGNE
Standard de la race
Club de la race
GRAND GRIFFON VENDEEN
Standard de la race
Club de la race
GRIFFON BLEU DE GASCOGNE
Standard de la race
Club de la race
GRIFFON FAUVE DE BRETAGNE
Standard de la race
Club de la race
GRIFFON NIVERNAIS
Standard de la race
Club de la race
HARRIER
Standard de la race
Club de la race
LUCERNOIS
Fiche SCC
Standard de la race
Club de la race
Petit Lucernois :
Fiche SCC
Standard de la race
Club de la race
PETIT BASSET GRIFFON VENDEEN
Standard de la race
Club de la race
PETIT BLEU DE GASCOGNE
Standard de la race
Club de la race
POITEVIN
Standard de la race
Club de la race
PORCELAINE
Standard de la race
Club de la race
SCHWYTZOIS
Fiche SCCStandard de la race
Club de la race
Petit Schwytzois :
Fiche SCCStandard de la race
Club de la race
5. Les autres races du 6ème groupe reconnues par la SCC
BASSET DE WESTPHALIE
Standard de la race
BASSET DES ALPES
Fiche SCC
Standard de la race
Club de la race
BASSET SUEDOIS
Standard de la race
BRACHET ALLEMAND
Standard de la race
BRACHET DE STYRIE A POIL DUR
Standard de la race
BRACHET NOIR ET FEU
Standard de la race
BRACHET POLONAIS
Standard de la race
BRACHET TYROLIEN
Standard de la race
CHIEN A LOUTRE
Standard de la race
CHIEN COURANT D’ISTRIE A POIL DUR
Standard de la race
CHIEN COURANT D’ISTRIE A POIL RAS
Standard de la race
CHIEN COURANT DE BOSNIE A POIL DUR
Standard de la race
CHIEN COURANT DE HALDEN
Standard de la race
CHIEN COURANT DE HAMILTON
Standard de la race
CHIEN COURANT DE HYGEN
Standard de la race
CHIEN COURANT DE LA VALLEE DE LA SAVE
Standard de la race
CHIEN COURANT DE MONTAGNE DU MONTENEGRO
Standard de la race
CHIEN COURANT DE SCHILLER
Standard de la race
CHIEN COURANT DE TRANSYLVANIE
Standard de la race
Club de la race
CHIEN COURANT DU SMALAND
Standard de la race
CHIEN COURANT ESPAGNOL
Standard de la race
CHIEN COURANT FINLANDAIS
Standard de la race
CHIEN COURANT GREC
Standard de la race
CHIEN COURANT ITALIEN A POIL DUR
Standard de la race
CHIEN COURANT ITALIEN A POIL RAS
Standard de la race
CHIEN COURANT NORVEGIEN
Standard de la race
CHIEN COURANT POLONAIS
Standard de la race
Club de la race
CHIEN COURANT SERBE
Standard de la race
CHIEN COURANT SLOVAQUE
Standard de la race
Club de la race
CHIEN COURANT TRICOLORE SERBE
Standard de la race
CHIEN N. ET F. POUR LA CHASSE AU RATON
Standard de la race