Il existe principalement six types d’agression chez le chat :
– deux ont été expliquées plus haut : agression par jeu et par peur.
– la troisième est celle dûe à un état pathologique (douleur, prise d’une substance toxique, etc…).
– la quatrième est l’agression territoriale (bagarres entre mâles, femelle qui refuse le mâle, etc…). Dans ce cas la castration/stérilisation dès 6 mois est la meilleure solution.
– la cinquième est l’agression par réorientation : par exemple, un chat voit une souris à l’extérieur par la fenêtre, il ne sait pas l’attraper et donc s’énerve jusqu’à aller griffer les jambes de son propriétaire. Dans un cas comme celui-là, il faut laisser le chat se calmer et essayer d’éviter l’apparition du stimulus déclencheur. Si ça ne fonctionne pas il reste l’utilisation possible d’un médicament.
– la dernière est celle par irritation : le chaton va accepter la caresse un certain temps puis il va se défendre en considérant qu’il est victime d’une contrainte de la part du propriétaire. Elle vient soit d’un chat qui a un caractère bien « trempé » ou d’une mauvaise sociabilisation. Les moyens pour résoudre cette situation sont identiques à ceux développés pour l’agression par peur. Pour déterminer si le chat est importuné, vérifier la dilatation de la pupille et le mouvement de la queue. Comment faire pour qu’un chaton devienne propre ? Voir à ce sujet la page : Comment apprendre la propreté à un chaton et à un chiot ? Comment mettre en contact deux chats ? L’idéal est de réserver une pièce au nouveau venu et de l’y laisser quelques jours. Ensuite, il faudra faire venir le chat résidant dans la pièce du nouveau en son absence et mettre pendant ce temps le nouveau dans les lieux communs. Ainsi, les deux chats vont apprendre à se découvrir à distance. Finalement, les mettre ensemble. Ne pas s’inquiéter s’il y a quelques signes d' »agressivité » (feule, crache, etc…). Par contre, il faudra intervenir s’il y a des griffures ou des morsures non inhibées répétées (spray à eau, etc… (voir plus haut)). Une fois, le contact établi et l’entente obtenue, il faut caresser les chats pour indiquer que c’est le bon comportement. Une variante parfois utilisée consiste à placer le nouveau venu dans une cage pour « faciliter » le contact mais cette méthode est moins bonne.
L’idéal est bien évidemment que le nouveau chat soit introduit vers 2 mois (âge optimal pour le sevrage).
Table des matières
Les limites lors d’un câlin : on ne doit pas mordre ou griffer. Les limites du jeu : on ne doit pas faire mal. Les limites de la chasse : on doit honorer sa proie en la faisant souffrir. Les limites de la bagarre : le respect de la hiérarchie, mais le fait aussi qu’il n’y a pas de limites quand on a un adversaire qui empiète sur notre territoire !
Là encore, la chatte se met en scène, et reprend les chatons dès qu’une chose n’est pas faite correctement. Elle va aussi apprendre aux petits à faire face à toutes les situations possibles et envisageables. Selon l’éducation de la chatte faite par sa mère, le savoir de la chatte et les situations qu’elle a pu rencontrer, elle va pouvoir apprendre plus ou moins de choses à ses petits. Une chatte de rue a plus à apprendre à ses chatons qu’une chatte de race vivant en intérieur. Malgré tout, l’instinct est là et permet à la chatte d’apprendre des choses auxquelles elle n’a jamais été confrontée.
Quand la chatte rejette ses petits
Suivant le nombre de chatons, leur facilité d’apprentissage, les méthodes de la chatte, cette période prend fin entre 11 et 14 semaines. En général, on estime à 13 semaines cette fin de » scolarisation » obligatoire.
La chatte ayant tout appris à ses chatons, veut reprendre le cours de sa vie, elle va donc repousser (plus ou moins violement) ses chatons. A partir de ce moment, la chatte ne reconnaît plus les chatons comme étant ses petits, mais elle les considère comme des » intrus » dans sa vie. Ceci explique la difficulté de faire cohabiter sur le long terme une chatte et un de ses petits.
C’est cette phase qui est appelée sevrage psychosocial.
Un sevrage indispensable
Il faut savoir que sans cette phase, le chaton reste puéril toute sa vie, n’ayant pas eu le top départ de sa mère. Et un chat même âgé de 18 ans attend encore ce moment ! Il ne s’estimera jamais prêt à vivre en adulte sinon. Il peut aussi mordre quand on le caresse ou encore griffer. Faire pipi, à cause d’une mauvaise gestion face à un stress peut être couramment observé.
Il peut aussi y avoir des complications côté maman : mammites, infections diverses et variées, et autres joyeusetés, mais aussi déprime, voir dépression face à la perte de ses petits. Et un chat en dépression est un chat condamné, on peut sauver un chat stressé, angoissé ou en pré dépression, mais en dépression, c’est impossible : aucun médicament, aucune thérapie ne peut plus agir. Le chat se laisse mourir de faim, et refuse de faire sa toilette.
Il va de soi que le chaton aussi peut se laisser mourir, voir déclencher des maladies auto-immunes prématurément (je pense à la PIF, le stress est un élément déclencheur connu).
Bien sûr, il y a toujours les exceptions qui confirment la règle : un chat de 2 mois qui se comporte parfaitement toute sa vie sans souffrir de ce manque (enfin, en apparence !) Mais ils sont rares, et cela concerne surtout les chatons séparés vers 10 semaines, ceux qui ont eu un début d’apprentissage.
Toutefois, une thérapie comportementale permet de pallier ce sevrage. Il faut juste que les maîtres tiennent bon, c’est une phase difficile à vivre pour les parents humains.
Il est donc indispensable que la chatte garde ses petits 13 semaines afin de finir leur éducation.
Marie-Hélène Bonnet
Comportementaliste du chat
La période du sevrage est essentielle pour le développement du chaton et la construction de son capital santé.
Sevrage chaton: comment réussir le sevrage de mon chaton ?
Quand débuter le sevrage de votre chaton ?
Le sevrage du chaton débute dès la fin de la troisième semaine d’allaitement maternel ou d’alimentation par lait maternisé pour chaton, quand les dents de lait commencent à apparaître. C’est le moment de commencer à donner un aliment pour chaton d’abord réhydraté puis sec, surtout si la portée est nombreuse afin de soulager la mère. Il se prolongera jusqu’à la 8ème semaine du chaton.
Le sevrage du chaton dans le temps
- Dès la fin de la 3ème semaine: les dents de lait commencent à apparaître. C’est le moment de donner un aliment pour chaton réhydraté.
- Vers 4 à 5 semaines: on observe une baisse de la vitesse de croissance, correspondant à une baisse de la lactation associée à une sous-consommation transitoire d’aliments.
- Vers 7 semaines: le chaton consomme assez d’aliments solides pour permettre une reprise de sa croissance.
- A partir de 8 semaines: la période d’autonomie du chaton débute. Il se nourrit seul et à volonté, et grandit jusqu’à son format adulte définitif.
Au début, la consommation des chatons sera minime, mais elle augmentera progressivement. Vers la 5ème semaine, le comportement de la mère se modifie : elle délaisse de plus en plus sa portée, ne lui consacrant que 20 % de son temps.
L’aliment pour chaton devient alors la source principale d’approvisionnement énergétique pour les chatons.
Les principales qualités d’un bon aliment de sevrage pour chaton
Protéines, minéraux, vitamines… La nourriture pour chaton doit être riche en énergie et suffisamment appétente pour stimuler la consommation spontanée du chaton. C’est pendant son plus jeune âge que se développe le goût du chat.
L’aliment peut être aussi bien donné à la chatte allaitante qu’aux chatons. En effet, leurs exigences nutritionnelles sont semblables et les chatons ont tendance à imiter le comportement de leur mère.
Il est également recommandé pendant la gestation de nourrir la chatte avec le même aliment qui sera donné aux chatons en période de sevrage.
Comment nourrir mon chaton ?
Si l’aliment choisi est complet, équilibré et adapté à la croissance du chaton, vous n’avez pas besoin d’en changer pour varier les goûts ou les apports nutritionnels.
Ce qui compte, c’est que l’aliment lui-même soit composé d’ingrédients de haute qualité, apportant l’ensemble des nutriments dont le chaton a besoin.
Plusieurs repas par jour et de l’eau toujours à disposition
Afin de contrôler la régularité de la croissance, les chatons sevrés doivent être pesés au moins une fois par semaine. Si la prise de poids se ralentit nettement ou s’arrête, cela est le signe d’un problème nutritionnel ou pathologique.
En tout, 3 à 5 repas doivent être distribués au cours de la journée. Mieux vaut laisser l’aliment à disposition du ou des chatons pendant un temps limité, puis enlever les restes et ne rien proposer avant le repas suivant.
De l’eau claire et fraîche doit parallèlement être mise à leur disposition. Plus le chat boit, plus ses urines seront diluées et moins il a de risque de développer d’éventuels calculs urinaires. Cet apprentissage se fait d’autant mieux qu’il est commencé très tôt.
Sevrage du chaton : le point sur les troubles possibles
Au cours du sevrage, les capacités digestives du chaton évoluent : il digère de moins en moins le sucre du lait (le lactose), en revanche il devient progressivement capable de digérer l’amidon.
Attention tout de même : cette capacité à digérer l’amidon se développe très lentement et jusqu’à l’âge de 2 mois, le risque de diarrhée par mal-digestion est très présent.
Tous droits réservés pour tout support. Reproduction interdite.
« De leur mère, les chatons apprennent le grand secret : les chats sont les maîtres du monde ».
Odile Dormeuil
On peut donner un ordre à un chien. A un chat, on peut à la rigueur faire une proposition raisonnable.
Michael Stevens
L’education du chaton se fait autour de trois axes principaux : l’acquisitions des autocontroles (morsures et griffures), la propreté, et éviter les destructions par griffades. Elle est moins complexe que chez le chien.
L’ACQUISITION DES AUTO-CONTRÔLES :
Dans la nature, cette acquisition se fait au contact de la mère et des frères et soeurs : Chaton apprend à ne pas mordre et à ne pas griffer trop fort au cours du jeu, sinon maman intervient, et recadre d’un coup de patte (ou autre), le petit délinquant (vidéo ci-dessous). Ces limites à ne pas dépasser, si elles ont bien été acquises, sont intégrées dans le cerveau à l’issue des deux premiers mois de vie. Il ne s’agit donc pas pour le chaton d’une simple éducation par sa mère, mais d’une véritable structuration du cerveau intégrant le contrôle de ses mouvements, les limites à ne pas dépasser, même en présence de stimuli très excitants dans l’environnement. Une fois arrivé à la maison, il s’agit de maintenir cet apprentissage, ou dans certains cas, de le faire acquérir – ce qui n’est pas simple ! il s’agit notamment des chatons sevrés trop tôt ou abandonnés, et qui n’ont donc jamais été éduqués par leur mère (photo de droite).
Pour cela, il faut éviter les montées en excitation au cours des jeux, celles-ci ayant tendance à favoriser la perte de controle. Dès que l’excitation atteint un certain stade on interrompt le jeu, pour le reprendre quand le chaton se sera calmé.
Si la montée en excitation se fait très vite, on peut dire « non » d’une voix ferme, et eventuellement donner une petite tape sur le nez du chaton avec un doigt (comme le ferait la mère avec sa patte). Mais attention aux punitions violentes, aux cris, à l’agitation, qui ne feraient qu’augmenter l’excitation du chat, en y ajoutant de l’anxiété, ce qui ne simplifierait pas le problème !
Lorsque l’on a affaire à un chaton difficile, qui a une fâcheuse tendance à attraper fermement la main avec ses quatre pattes et à y planter ses dents, il ne faudra jouer avec lui que par l’intermédiaire d’objets, et jamais directement avec les mains. Ainsi, dès que l’on verra Chaton commencer à regarder fixement vos doigts avec les poils du dos qui se hérissent, on détournera son attention en direction d’un objet plus acceptable, comme une boule de papier, une ficelle que l’on agite, ou une souris en peluche. Le but étant qu’après quelques semaines, le chaton fasse la distinction entre les jouets avec lesquels il a le droit de se défouler, et la main dont il doit accepter les caresses sans essayer de l’attraper. Une autre solution, comme indiqué plus haut, consiste à arrêter tout ccontact quand l’animal monte en excitation, à tourner le dos, et à quitter la pièce. On ne reviendra vers lui pour des contacts aussi zen que possible, qu’une fois que le chaton se sera calmé.
Exemple de bonne acquisition des auto-contrôles chez ce chaton : quoique très excité par les mouvements de la queue de sa mère, on voit qu’il n’attrape jamais celle-ci avec ses quatre pattes, et n’y plante ni ses griffes (pourtant bien sorties), ni ses dents. Quand on voit le regard de la mère, on peut d’ailleurs supposer que si Chaton s’avisait de lui griffer ou mordre la queue un peu trop fort, Maman lui en mettrait une sur le champ !
L’ACQUISITION DE LA PROPRETÉ :
Elle se fait souvent rapidement et facilement, voire spontanément, chez le chaton. Quelques conseils, malgré tout, pour eviter les ratés :
– Le bac à litière doit être facilement accessible (pas au fond de la troisième pièce à gauche, au bout du couloir de l’étage). Si nécessaire, pour que le chaton prenne plus facilement ses marques, on peut le cantonner dans un premier temps à une seule pièce (celle où se trouve le bac), avant de lui ouvrir progressivement l’accès à toute la maison.
– Facilement accessible ne veut pas dire dans la buanderie à côté de la machine à laver, ou au milieu du couloir ! Le bac doit se trouver dans une endroit calme, ou Minou pourra faire ses besoins sans être dérangé, et sans avoir l’impression que toute la famille le regarde. Il y a certains chats que ça ne dérange pas… mais d’autres que ça dérange !
Il vaut mieux, également, que le bac ne soit pas juste à côté de la gamelle de croquettes.
– Certains chats s’accomodent très bien des bacs couverts, mais il y en a d’autres que ça angoisse ! Donc plutôt commencer avec un bac non couvert, rajouter le couvercle une fois que l’animal est bien habitué au bac, et voir ce qui se passe.
– De la même manière, certains ne supportent pas la litière parfumée, ou tel ou tel type de litière. Donc plutôt commencer avec une litière non parfumée, et qui ne soit pas irritante pour les pattes.
– Le chat est un animal propre et méticuleux, limite maniaque : si vous ne lui nettoyez pas sa litière assez souvent, il ira faire ses besoins à un endroit propre (les coussins du canapé, par exemple). Donc enlever les crottes au moins une fois par jour, et changer la litière très régulièrement, sans attendre que ça déborde ! (comme sur la photo ci-contre…)
– Si on est dans une maison à plusieurs chats, ill faut théoriquement autant de bacs que de chats, voire un bac de plus que de chats, ainsi qu’un bac (au moins) par étage. Evidemment, si tout le monde va faire ses besoins dans le jardin et que les bacs restent obstinément vides, vous pourrez supprimer quelques-uns des dix bacs que vous aviez prévus pour vos neuf chats !
– Le chat est très stimulé par l’odeur de l’eau de javel : au départ, vous pourrez donc en mettre quelques gouttes dans la litière, pour attirer le chaton.
Ce qui veut dire, a contrario, que si votre chat commence à faire ses besoins à côté de sa caisse, il vaudra mieux éviter de nettoyer le carrelage à l’eau de javel, sous peine de voir revenir Minou avec une belle constance, éliminer au même endroit ! Le nettoyage se fera plutôt avec un mélange 50 % vinaigre blanc, 50 % eau gazeuse (Perrier ou Quézac, si l’on veut soutenir les produits régionaux), très efficace pour éliminer les protéines odorantes présentes dans l’urine du chat.
– Et surtout, surtout… en cas de malpropreté, eviter les punitions (comme lui mettre le nez dedans en criant bien fort, avant de lui mettre une rouste), très anxiogènes chez le chat. Quand on sait que l’anxiété est à l’origine de la plupart des problèmes de malpropreté féline…
… ET LES GRIFFADES !
Si Chaton s’attaque aux rideaux du salon ou à la tapisserie du couloir, vous pourrez lui
acheter un griffoir et le positionner bien en vue à proximité de l’objet griffé. A chaque fois que cet animal commencera à faire ses griffes ailleurs, il faudra le rediriger vers le griffoir. On pourra rendre ce dernier plus attractif en frottant un noyau d’olive dessus. (C’est une odeur qui plaît beaucoup aux chats). Inversement, si vous avez l’intention de vivre avec des chats, évitez les rideaux ou les tapisseries à fines rayures verticales… parce que ça s’appelle tenter le diable !
Et comme pour les problèmes de malpropreté, évitez les punitions en cas de griffade intempestive ! c’est plus qu’inutile, contre-productif. Votre chat vous fuira, vous n’aurez plus aucune relation avec lui, et punition après punition, il fera de plus en plus de marquage urinaire, fécal, et par griffades.
ET AUSSI…
…quelques règles à respecter pour votre chat se sente bien chez vous :
– Croquettes à volonté sauf en cas de problème de poids. Explications ici.
– Ménager un endroit calme, de préférence en hauteur, où le chat puisse reposer en toute tranquilité. Plus d’infos ici.
– Faire en sorte que le milieu de vie de votre chat soit le plus proche possible de celui dans lequel il a passé ses premières semaines : en gros, ne pas séquestrer dans une pièce fermée un chaton né semi-sauvage dans la nature, et inversement ne pas larguer dans un jardin, à côté de la cour d’une école, un chaton né en appartement, d’une mère ayant toujours vécu en appartement ; certains s’adaptent, d’autres non.
– Si le chats ne sort pas (photo de droite), surtout si, comme on vient de le dire, il est né à l’extérieur, enrichir au maximum son environnement : jouets, mobiles qui tournent au plafond, arbre à chat, fontaine à eau… (très important, la fontaine à eau).
– Eviter de changer la tapisserie, les rideaux et la disposition des meubles chaque quinze jours : le chat est un animal territorial, et il a déposé ses phéromones un peu partout. S’il ne les retrouve plus, ça va le stresser ! Plus d’explications ici.
– Eviter les punitions – on l’a dit et répété.
– Bien se renseigner avant de prendre un autre chat ou un chien. En effet, le chat étant un animal territoirial plutot solitaire, toute introduction d’un nouvel animal, qui vient désorganiser son territoire, peut être très perturbante.
Pour plus d’information n’hésitez pas à nous demander conseil !
Plus vous maintiendrez votre chat isolé, sans contact avec le milieu extérieur, et plus il risque de devenir peureux et craintif, voire agressif.
Attention toutefois à ne pas en faire trop : le chaton doit pouvoir dormir autant qu’il le souhaite et ne pas être dérangé quand il mange. De même, s’il effraye d’un objet ou d’une situation, n’insistez pas, vous renouvellerez l’expérience plus tard, progressivement.
Un peu d’autorité
La mère du chaton lui apprend rapidement les » autocontrôles » : les morsures douloureuses des chatons, leurs coups de griffe ou leurs jeux un peu violents sont sanctionnés, par un coup de patte sur la truffe ou une prise par la peau du cou, pour leur apprendre à contrôler leurs gestes.
Si votre chaton semble avoir oublié ces limites, rappelez-lui les règles : une petite tape sur le nez si le chaton vous griffe ou vous mord au cours du jeu. Vous pouvez aussi le prendre par la peau du cou et le secouer légèrement.
Soyez attentif au comportement de votre chaton et ne le poussez pas à la faute : dès qu’il commence à s’énerver ou se montre agressif au cours d’un jeu, arrêtez immédiatement et quittez la pièce.