- Couleur : noir, blanc, marron, roux, gris, multicolore
- Usage : plein air, intérieur
- Caractère : sociable, affectueux, joueur
- Espérance de vie : 20 ans
- Classification : chat à poil long
Table des matières
- Origine du Maine Coon
- Caractère du chat Maine Coon
- Santé du Maine Coon
- Alimentation du chat Maine Coon
- Reproduction du chat du Maine Coon
- Maine Coon
- Les origines du chat Maine Coon
- Le chat idéal
- La couleur du poil
- Le caractère
- Comportement
- Compatibilité
- Prix
- Entretien
- Santé
- Bon à savoir
- Prix d’un Maine Coon | tarif
- Comprendre le prix d’un Maine Coon
- Combien coûte un chat Maine Coon ?
- Pourquoi pouvez-vous constater des écarts qui peuvent paraître importants sur les tarifs de vente d’une annonce à une autre ?
- La réalité par le calcul
- L’une des conséquences importante à ce phénomène
- Ces informations sont purement informatives. Il faut avoir conscience que chaque chat est unique et que des variations de tempérament peuvent apparaître.
- Son Histoire
- Apparence
- Soins
Origine du Maine Coon
Originaire de l’Etat du Maine aux Etats-Unis, le Maine Coon semble être une des races naturelles (c’est-à-dire sans l’intervention de l’homme) les plus anciennes en Amérique du Nord. Plusieurs théories expliquent les origines de cette race. La première repose sur la croyance qu’il serait issu d’un croisement entre des chats domestiques et des ratons laveurs (racoons en anglais, ce qui explique le nom de la race), cependant cette explication reste biologiquement impossible. Une deuxième raconterait que Marie-Antoinette aurait envoyé ses chats Angoras dans l’Etat du Maine pour qu’ils échappent à la Révolution française et que ceux-ci se seraient accouplés avec des chats locaux pour former la race Maine Coon. Le Maine Coon ne serait apparu en France qu’en 1981.
Caractère du chat Maine Coon
Malgré sa taille imposante, le Maine Coon a la réputation d’avoir un très bon caractère. Il est très sociable, affectueux, extraverti et très joueur avec notamment les enfants et les autres animaux.
Santé du Maine Coon
La croissance du Maine Coon est lente et peut durer jusqu’à 3 ou 4 ans pour développer pleinement sa taille et sa stature. Suite à d’importantes consanguinités, cette race serait sensible à de nombreuses maladies telles que la cardiomyopathie hypertrophique et obstructive (épaississement de la paroi du cœur), une dysplasie des hanches (anomalies de forme, de taille ou de fonctionnement), la polykystose rénale, l’atrophie musculaire spinale (dégénérescence des neurones dirigeant les muscles) et une monorchidie et une cryptorchidie (absence d’un ou deux testicules).
Alimentation du chat Maine Coon
Reflet de la santé et de l’apparence du chat, l’alimentation est très importante et le régime alimentaire doit être complet et équilibré. Qu’ils soient frais, déjà préparés ou en conserve, les aliments nécessaires sont la viande, le poisson, les légumes, les graisses (pas en quantité trop importante), les aliments secs, etc. Il est important qu’il ait toujours à sa disposition de l’eau.
Reproduction du chat du Maine Coon
Les chats peuvent se reproduire à partir de 8 mois. La gestation peut durer entre 56 et 71 jours. Une portée comporte en moyenne 3 à 5 chatons et peut se produire deux fois par an. Cependant, les chats de grande taille ont souvent plus de petits. La chatte allaite ses petits pendant six semaines environ.
Maine Coon
Le géant, le plus grand, le chef : dans le monde félin, le chat Maine Coon est le chat le plus imposant qui soit. Il peut atteindre tranquillement, sans être obèse, 10 kg et, malgré son aspect impressionnant, il donne une rassurante impression de grande confiance.
Autonome parce qu’en mesure de prendre soin de lui-même dans n’importe quelle circonstance, c’est donc un grand chasseur, en réalité un bon mélange de douceur et de sauvagerie ; c’est un chat » de travail « , justement à cause de cet instinct prédateur bien développé ; cela en fait un chat de campagne idéal ; avec lui, les greniers et les granges sont parfaitement en sécurité.
Mais tout en étant très dynamique et aimant la vie en plein air – il aime même l’eau – il s’adapte aux personnes dotées d’un caractère équilibré, qui ne dépassent jamais les bornes en envahissant son espace vital car elles respectent son instinct de liberté, auquel elles n’opposent pas de limites trop sévères.
Les origines du chat Maine Coon
Le Maine Coon est certainement le résultat de croisements entre les chats autochtones et à demi sauvages des forêts du nord-est des États-Unis et les Angoras importés par les premiers colons anglais. C’est justement la raison pour laquelle il a été le premier chat défini en tant que race dans ce pays, inscrit à une exposition dès 1860.
Mais, même s’il y rencontra un grand succès, il fut alors éclipsé par les races à la mode (Persans, Siamois et chats d’autres races pures). Il fallut attendre le début des années cinquante, lorsque fut fondé un club lui étant consacré, pour que le Maine Coon retrouve tout son prestige, même s’il ne fut reconnu en tant que race qu’en 1967.
Le chat idéal
Le Maine Coon est un chat de taille vraiment grande ; sa tête est grosse, plus longue que large, de proportion moyenne par rapport au corps.
Le museau est carré, avec un stop assez marqué à l’attache de la tête, et le menton est fort. Vu de profil, il forme une ligne verticale avec la lèvre supérieure et la pointe du nez, c’est-à-dire qu’il n’a pas les habituels coussinets formant un renflement à la base des moustaches.
Les pommettes sont hautes et proéminentes ; le nez droit se joint au front légèrement arrondi. Les oreilles sont très grandes, longues, ouvertes à la base, légèrement arrondies et avec une petite ouverture vers l’extérieur. Les poils internes sont si fournis qu’ils s’étalent à l’extérieur, et les pointes sont pourvues de touffes abondantes.
Les yeux sont grands et bien écartés, légèrement obliques et ovales, ils paraissent ronds lorsqu’ils sont écarquillés ; leur couleur balaie toutes les tonalités de vert et/ou or, sans aucun rapport avec la couleur de la robe ; chez la variété blanche, on accepte le bleu et les yeux impairs. Le corps a des proportions rectangulaires, il est massif et lourd, solide, robuste, long mais pas fin.
L’ossature est lourde et la musculature solide et puissante. Les femelles sont sensiblement plus fines que les mâles. Les pattes robustes sont de longueur moyenne par rapport au corps ; les pieds sont très grands et ronds, avec un long poil abondant interdigital, qui joue parfaitement son rôle de raquette dans la neige et de palme dans l’eau.
Dotés de doigts d’une longueur exceptionnelle et bien écartés entre eux, ce sont presque des mains et ils ont une extraordinaire capacité de prise. La queue est au moins aussi longue que la distance qui la sépare de l’épaule, et elle s’affine graduellement en allant vers la pointe ; le poil est plein, long et fluide.
Le poil est mi-long mais pas uniforme ; court sur les épaules, il s’allonge au fur et à mesure sur les flancs et il est plutôt long et compact sur le ventre. Le long du corps, le poil est adhérent et a une certaine épaisseur due au sous-poil, mais il conserve une bonne fluidité et tombe doucement. La texture est souple et douce, jamais laineuse ; sa structure est adaptée à la vie à l’extérieur et il a une bonne imperméabilité à l’eau.
La couleur du poil
Les couleurs sont presque toutes admises, excepté le mink et les colourpoints ; les plus appréciées sont le tabby et le tabby avec du blanc.
Le caractère
Authentique mélange de rusticité et d’élégance, de sauvagerie et de douceur, le chat Maine Coon est aussi un chat doté de grandes qualités : sûreté, gentillesse et fidélité. Malgré sa taille, c’est un gros chat pacifique, sa gentillesse apparaissant dans son regard très doux, et on peut dire qu’il est aussi bon que grand.
Il est sociable avec tout le monde, y compris les étrangers, et absolument pas lunatique. Malgré ce qu’on a dit plus haut, il peut vivre en appartement, un peu à contrecoeur bien sûr, à condition qu’il y ait été habitué dès sa plus tendre enfance.
Câlin :
La plupart des American Longhair sont affectueux et apprécient la proximité chaleureuse des humains.
Joueur :
Il est essentiel de jouer avec le Maine Coon tous les jours pour lui procurer suffisamment d’activités physiques et de stimulation afin de préserver sa bonne santé.
Calme :
Il sait équilibrer les moments de relaxation et les moments d’action.
Intelligent :
Perspicace, ses capacités cognitives impressionnent.
Craintif / méfiant avec les inconnus :
Plusieurs facteurs peuvent influer sur la méfiance auprès des étrangers, mais le Maine Coon possède souvent une bonne capacité d’adaptation.
Indépendant :
De nombreux American Longhair peuvent s’occuper de façon entièrement autonome lorsque leurs besoins sont remplis.
Comportement
Bavard :
La plupart de ces chats ne sont pas de grands bavards, mais la tendance à vocaliser peut varier d’un individu à l’autre. Des témoignages anecdotiques rapportent de doux roucoulements.
Gourmand / glouton :
Dans tous les cas, une alimentation adéquate pour combler ses besoins énergétiques élevés est essentielle. En proposant de la nourriture dans des bols interactifs, on offre une activité dynamique à son American Longhair en même temps qu’on le nourrit. On peut ainsi limiter les tendances gloutonnes, s’il y a lieu.
Besoin d’exercice :
Il est primordial de maintenir une routine quotidienne comprenant des activités physiques variées.
Fugueur :
Ce grand félin peut parfois se montrer explorateur. Apprendre à son chat le port de la laisse et du harnais peut s’avérer utile pour des sorties extérieures.
Compatibilité
Le Maine Coon et les Chiens :
La façon dont le chat a été mis en contact avec des chiens alors qu’il était chaton a une grande influence sur sa sociabilité subséquente auprès des canins. La cohabitation peut être tout-à-fait paisible, en autant que l’introduction ait été progressive. Un milieu de vie comprenant de multiples aires de repos en hauteur et inaccessibles au chien permet au chat de fuir les contacts non désirés.
Le Maine Coon et les Autres Chats :
Plusieurs facteurs influencent la bonne entente entre les chats d’une maison, tels que la façon dont ils ont été présentés les uns aux autres et leur milieu de vie. Il est suggéré d’aménager un environnement avec de nombreuses cachettes et des postes d’observation en hauteur.
Le Maine Coon et les Enfants :
Voilà un chat qui est grand, avec un humain qui est petit ! Il est donc important de présenter l’un à l’autre graduellement et avec douceur. Ne jamais forcer des contacts non souhaités. Il est bénéfique de prendre le temps qu’il faut pour bien superviser les rencontres, enseigner aux enfants une approche respectueuse et veiller à la bonne entente de tous. Cela fait, la relation entre le Maine Coon et les enfants promet d’être dynamique et enrichissante !
Le Maine Coon et les Personnes âgées :
Ce gros matou et une personne plutôt calme peuvent cohabiter agréablement, en autant que cette dernière puisse assumer les besoins d’activités de son chat.
Prix
Pour l’achat d’un Maine Coon chaton en élevage, il faut compter en moyenne entre 900 € et 1200 €. Ce prix peut cependant varier selon plusieurs facteurs comme la lignée, l’élevage, l’âge ou même le sexe. Dans son budget mensuel, il faut prévoir environ 40 €/mois pour subvenir à ses besoins, en lui proposant une alimentation de qualité et des soins médicaux pour le maintenir en bonne santé.
Entretien
Toilettage :
Le sous-poil de l’American Longhair étant fin et soyeux, un entretien régulier est important pour prévenir la formation de nœuds.
Perte de poils :
La perte de poil est plus importante durant certaines saisons, de sorte que la longueur et l’épaisseur du pelage peuvent varier en fonction du temps.
Ce chat de grande taille doit avoir une alimentation qui satisfait ses besoins énergétiques élevés. Des bilans médicaux permettent d’ajuster l’alimentation selon l’âge de l’individu, sa masse et ses impératifs physiologiques.
Santé
Espérance de vie :
L’espérance de vie moyenne du Maine Coon est de 11 à 13 ans, mais certains chats peuvent dépasser le cap des 15 ans.
Résistant / robuste :
Son poil long et son sous-poil dense lui confèrent une certaine résistance face aux variations de thermiques et aux températures extrêmes. De plus, le pelage est souvent imperméable.
Tendance à grossir :
Parmi les facteurs de risque à l’obésité féline, on compte : l’âge, l’environnement, l’alimentation et l’activité du chat. Les risques de développement de surcharge pondérale diminuent considérablement lorsque les besoins en activités physiques du chat sont comblés. Offrir de la nourriture dans des bols interactifs peut aussi faciliter le rationnement des portions.
Maladies fréquentes :
Un bilan médical annuel est suggéré pour assurer son bien-être. En effet, il peut souffrir des mêmes maladies que les chats domestiques, notamment des pathologies bucco-dentaires. On lui connaît certaines pathologies héréditaires, étant donné une potentielle consanguinité, dont :
L’atrophie musculaire spinale est une maladie héréditaire typique du Maine Coon. Elle apparaît chez le chaton de 13 à 17 semaines et se manifeste par une faiblesse musculaire caractéristique
La cardiomyopathie hypertrophique féline est une maladie qui touche à la fois les chats de race et les chats sans pedigree. À terme, elle provoque une insuffisance cardiaque.
Reproduction :
Seuls les mariages entre Maine Coons sont autorisés.
En moyenne, les portées sont de 3 chatons.
Bon à savoir
Prix d’un Maine Coon | tarif
Notre premier maine coon de compagnie
Beaucoup d’entre vous, en tant qu’adoptant potentiel, pensent “abusif” le prix d’un Maine Coon.
Les questions qui reviennent le plus souvent :
– Comment évaluez-vous la valeur de vos chatons ?
– Comment se calcule le prix d’un chat de race ?
Souvent, beaucoup de personnes pensent que le tarif de vente de l’animal est un bénéfice total pour la chatterie.
Comprendre le prix d’un Maine Coon
En réalité, il faut que vous preniez en compte l’investissement financier avancé par l’éleveur et le coût de revient des chatons :
- Construction et/ou aménagement des locaux de la chatterie
- Acquisition d’au moins une reproductrice
- Saillie extérieure ( avec ce que cela engendre : frais de déplacement, logement sur 2 ou 3 jours en général )
- Tests de dépistage de maladies
- Vaccins
- Identifications
- Stérilisations
- Les frais de déclaration naissance et pedigree au LOOF
- Entretien des locaux
- L’alimentation de qualité
- La TVA sur les ventes qui est de 20%. ( Chiffre non négligeable… Du moins pour les éleveurs honnêtes et déclarés… )
- L’imposition sur les revenus
- Les cotisations MSA
Gayna, (maine coon de fondation F3)
Combien coûte un chat Maine Coon ?
Et évidemment, n’oubliez pas non plus d’inclure le temps passé en soins et recherches en tout genre. L’ affection et les compétences, elles, n’ont pas de prix.
Le prix d’un Maine Coon est différent si le chat est vendu pour compagnie ( et/ ou pour exposition ), ou pour reproduction ( selon si il s’agit d’un mâle ou d’une femelle ) ( Pour un chaton destiné à la compagnie : Les chatons partent stérilisés )
C’est pour toutes ces raisons, et selon les chatteries que le prix d’un maine coon varie environ entre 950€ et 2000€ .
À la chatterie ArmoniCat, un chaton Maine Coon destiné à la compagnie est vendu 1100€.
“en mode surveillance”
Réflexion : Il est évident et normal qu’un chat dont les géniteurs ont été dépistés et sont exempts de toutes les maladies génétiques propre à la race vous soit proposé à un coût plus élevé qu’un autre dont les parents n’ont pas subi un suivi vétérinaire rigoureux !
Pareil, pour un chat présentant des défauts, aussi mineurs soient-ils ( ou autres tares génétiques… ) qui devraient ( en théorie… ) l’ exclure de tout programme de reproduction et/ ou de la compétition, en comparaison avec un autre chat dont on est sûr que les lignées sont suivies.
( Exigez les copies des dépistages !! . Un “Oui, ça a été fait.” ne suffit pas. Ne survolez pas les documents, il en va de la qualité de vie de VOTRE animal de compagnie ! ( et de votre porte feuille… )
mise bas imminente
Pourquoi pouvez-vous constater des écarts qui peuvent paraître importants sur les tarifs de vente d’une annonce à une autre ?
Exemple : Certains élevages “braderont” les chatons ( disons autour de 700€ ) en vous expliquant, que les autres éleveurs exagèrent sur les tarifs, que chacun est libre de faire reproduire son chat et donc qu’ un chat entier à ce prix là : “C’ est un cadeau…”
Observation : À ce moment là, peu de gens se posent des questions sur le comportement d’un chat entier: marquage urinaire, agressivité, fugues ( pour bagarre ou “appel de la nature” ) .
Ce qui multiplie les risques d’ accidents et de contamination par des maladies virales graves.
Et si, il n’ a pas accès à l’extérieur, c’est souvent l’ habitat et le mobilier qui en fera les frais.
❤ Hiya en mode “féroce” !!
Conclusion : En réalité, en vous vendant un chat non stérilisé en dessous du “prix du marché,” et souvent en limite de 2e injection primo-vaccination ( puisque le chaton est disponible à partir de 3 mois ) : L’élevage économise le prix de la stérilisation ( entre 70 et 120€ ) et de la 2e injection primo-vaccin ( environ 60€ ).
Qui sait ce qui a été “oublié” ( vermifuge, anti-parasitaire… ) ??…
Prends mon semi-profil ! C’est le meilleur !
La réalité par le calcul
Un exemple pour imager : Prenons l’exemple d’une femelle maine coon vendue à 700€ non neutrée. ( Les économies de rappel primo-vaccin et de la stérilisation ) 180 € + disons: un “oubli” d’écho HCM cette année là ( puisque à refaire tous les 12 à 18 mois ) 100€ = 280€
Au final, cet élevage fera exactement la même marge qu’ un éleveur ( responsable et consciencieux qui aura effectué un vrai travail de sélection et dont les reproducteurs sont à jour dans leurs tests et autres… ) qui affichera le prix d’un Maine Coon de compagnie entre 1000 et 1100€.
Les différences entre les deux types de chatterie prises pour exemple sont : Les “méthodes de travail ” et probablement le choix des lignées utilisées.
Aucune, pour vous ( d’ un point de vue financier ) puisque vous devrez payer la deuxième injection primo-vaccin et vous finirez généralement par stériliser votre chat(te) par “ras le bol”. ( Ceci au meilleur des cas… )
L’une des conséquences importante à ce phénomène
De plus, d’une certaine manière, ces types d’ élevage peu scrupuleux qui “bradent” des chatons non stérilisés participent aux phénomènes d’ abandon et de surpopulation dans les refuges et SPA.
On sait que tous les particuliers n’ont pas forcément la structure ou les moyens financiers d’ avancer les frais coûteux liés à l’ élevage de chats de race, ni forcément le temps de s’ y consacrer.
C’ est la raison principale pour laquelle on trouve autant de “chat d’ apparence”.
Ce qui n’est absolument pas un gage de qualité, aussi beau soit-il, puisque, aucun moyen de retracer les ascendants ni bien sûr leur tares génétiques ou autres…
Cela implique que vous n’aurez aucune indication sur son état de santé !
Au passage, remercions tous les éleveurs qui se déplacent très loin ( dans le Maine ou ailleurs… ).
Ils s’investissent afin de ramener des chats outcross ou des chats de fondation.
Leur objectif est de participer à l’ amélioration du patrimoine génétique de la race par la dilution.
Cela est très onéreux et PRIMORDIAL, il est donc important que leur travail ne soit pas bradé.
Ces informations sont purement informatives. Il faut avoir conscience que chaque chat est unique et que des variations de tempérament peuvent apparaître.
Son Histoire
Il s’agit de l’une des plus vieilles races naturelles d’Amérique du Nord. Le Maine Coon est généralement perçu comme natif de l’Etat du Maine aux Etats-Unis (il s’agit d’ailleurs du chat » officiel » de l’Etat du Maine). De nombreuses légendes entourent son origine. La plus répandue (bien que biologiquement impossible) est qu’il s’agirait d’un croisement entre un chat semi-sauvage et un raton laveur. Ce mythe, bien aidé par la queue fournie des Maine Coon rappelant celle des raton laveurs, a participé à son nom.
Une autre théorie très populaire est que le Maine Coon proviendrait d’un des 6 chatons envoyés par Marie-Antoinette à Wiscasset (ville du Maine) lorsqu’elle prévoyait de s’enfuir de France au cours de la Révolution Française.
Aujourd’hui nous pensons qu’il s’agit d’un croisement entre des chats domestiques à poils courts et à poils longs (peut-être de type Angora introduit par les marins de la Nouvelle Angleterre ou par des chats introduits en Amériques par les Vikings). Il est référencé dans la littérature pour la première fois en 1861 avec la mention d’un chat noir et blanc appelé » Captain Jenks of the Horse Marines « . Les Maine Coon sont également très présents dans les expositions félines et remportent de nombreux prix.
Apparence
Les Maine Coon sont parmi les chats les plus grands du monde. Les males pèsent entre 7 et 11 kg et les femelles pèsent entre 4.5 à 8 kg. La hauteur des adultes peut varier entre 25 et 41 cm et ils peuvent atteindre une longueur de 100 cm, queue comprise (qui peut atteindre 36 cm). Cette dernière ressemble d’ailleurs à la queue d’un raton laveur.
Leur corps est solidement bâti, notamment pour pouvoir soutenir leur poids. Ils possèdent un corps rectangulaire. Leur taille adulte est généralement atteinte entre 3 et 5 ans, contrairement à la majorité des chats qui atteignent leur taille adulte dès leur 1 an. Leurs poils sont très doux et particulièrement denses et fournis, notamment pour affronter les températures froides, mais également pour lutter contre la chaleur.
Ils ne nécessitent pas autant d’entretien que d’autres chats possédant des poils longs du fait de leur texture particulière et de leur sous-poil particulièrement fourni. Ce sous-poil leur permet également une très bonne imperméabilité à l’eau.
Les Maine Coon sont très proches de leurs propriétaires. Ils sont d’ailleurs souvent appelés » chats-chiens » du fait de leur tempérament toujours présent. Ils ne sont pas pour autant totalement dépendants de leurs propriétaires et ne demandent pas constamment de l’attention de leur part, mais ils sont là, présents près de vous.
La plupart n’aiment pas forcément être sur vos genoux et préfèrent se placer tout près de vous ou sur le dossier de votre fauteuil et vous suivent lorsque vous vous déplacez. Ce sera votre compagnon, votre » pote » mais pas votre » bébé « .
Ils présentent un tempérament calme et posé en toutes circonstances. Ils s’entendent généralement très bien avec les autres chats et les chiens mais également avec les enfants, notamment grâce à leur grande patience.
Ils préfèrent la chasse à terre et ne sont pas d’excellents sauteurs. Ils vont d’ailleurs, comme les chiens, apprécier tout particulièrement les jeux de » balles » en vous la rapportant pour que vous la lanciez de nouveau. Idem avec les » cannes à pêche » dont ils sont très friands.
Ils ne miaulent pas très souvent par rapport à d’autres races mais ils vont très souvent communiquer par de petits » roucoulements » typique du Maine Coon.
Soins
Des données provenant de Suède présentent l’espérance de vie du Maine Coon de 12.5 ans. Il s’agit d’une race solide et robuste, très résistante au froid et ne présentant pas de problèmes majeurs si ce n’est des problèmes cardiaques, notamment dû à leur grande taille, mais qui sont également présents chez de très nombreuses races.
Il ne nécessite pas de brossage très régulier, la texture de ses poils permet que ceux-ci restent lisses et ne s’emmêlent pas trop. C’est un chat demandant peu d’entretien par rapport aux autres races à poils long.
Sue and Dick Wye of Wallerawang breed a very peculiar kind of feline. The Maine Coon breed of cat bury their food like dogs, drink water with their paws and are speculated to be descendants of Marie Antoinette’s cats or even related to raccoons (unlikely). Maine Coons also grow to a formidable 120 cm in length. Sue and Dick Wye know the habits, likes and mythology surrounding the Maine Coon by heart. The pair have operated a cattery dedicated to the feline since 2002. In this time their cattery ‘Wyecoon’ has been certified by the peak national body of cat clubs, ANCATS, as a ‘Cattery of Excellence’. Sue and Dick have gained accreditation as judges of all breeds of cat at an international level. But 2017 saw the Wyes gain the highest recognition for their felines so far: their cattery, run out of their home in Wallerawang, was awarded the ANCATS breeder of the year. “We’ve been runner up for a few years but this year to be best of Australia, we’re chuffed about it actually,” Sue said. To win the award requires the greatest amount of cats from a specific breeder being awarded ‘Cat of the Year’ at cat shows held across the country. The Wyes estimate more than twenty of their Maine Coons, originally raised and bought from the Wallerawang cattery, have won that title in 2017. “When you breed you breed to a standard, so every cat has got 100 points which includes things like their profile, the shape of the eyes, colour, coat, bone placement but we also breed for temperament,” Dick said. As a judge for the World Cat Federation, Dick can explain the desired attributes of all cat breeds, even the mixed ‘moggy’. But he hasn’t always been that way inclined. “I wasn’t into cats,” Dick said. Meeting Sue through their work as governors of NSW prisons turned him around. “When we got into Maine Coons I made the biggest mistake of my life, which was when we went with some of our friends to see the Maine Coons and our friend asked if I was going to get one I said, ‘I don’t care what it costs if it will make Sue happy.’” “I meant that about the one cat but Sue’s taken that to be true for the rest of her life!” The couple imported their first Maine Coon from Canada in 2002. The pair take a very active role in raising the cattery’s kittens, which means toilet training them, introducing them into the home environment and even taking showers with them. “It’s all about getting them used to human company,” Sue said. Their current litter will be sent to owners in destinations as far flung as Singapore, Russia, Tasmania and New Zealand. “We get the future owners to send us a t-shirt they have worn so we can familiarise the kittens with their smell before they take them home.” While many of the Wyes’ cats will end up on the show bench, Dick said Maine Coons are much more than a pretty face. “The breed developed in Maine in America. They were a barn cat that co-existed with farmers, hunting the rodents in their sheds but they weren’t pets. “When they were first shown in the 1800s the best cat was the one that could kill the most vermin. Now we’ve got to a beauty contest and that’s what a cat show is. As my wife says, all those working cats from America, now they’re unemployed.” Unemployed they may be but the Maine Coons of Wallerawang definitely know how to work a camera.