Tous les propriétaires de chats vivant en appartement se sont un jour posés cette question : mon chat ne serait-il pas plus heureux s’il pouvait sortir se promener au grand air de temps en temps ? Après tout, ce sont des animaux qui ont conservé un fort instinct sauvage et qui adorent chasser ! On vous rassure tout de suite, nos petits félins ne sont pas tous accrocs aux arbres et aux souris…
Table des matières
- De quoi un chat a-t-il-besoin pour être heureux ?
- Les dangers sont à l’extérieur de nos maisons
- Préparer votre chat d’intérieur aux visites à l’extérieur
- Le territoire du chat
- Acclimater votre chat à son nouveau territoire
- Gérer la première sortie de votre chat
- Habituer votre chat à revenir
- Un chat d’appartement est-il heureux ?
- Que faire d’autre pour garder votre chat d’appartement heureux ?
De quoi un chat a-t-il-besoin pour être heureux ?
Pour être heureux, nos matous n’ont pas besoin de grand-chose. Les félins sont des animaux, certes difficiles lorsqu’il s’agit du choix de la nourriture ou de la litière, mais minimalistes. Des jouets, un arbre à chat, des croquettes et de l’eau à volonté, une litière propre, des caresses et une attention suffisante de la part de leur humain suffisent à combler toutes leurs attentes.
Après, tout dépend évidemment de la personnalité du chat. Si c’est un paresseux né qui aime passer son temps à roupiller au coin du feu, la vie en appartement sera idéale. En revanche, si c’est un chat téméraire et aventurier qui se prend pour Indiana Jones, il vaudra mieux lui aménager un espace de jeux suffisamment vaste et varié dans la maison ainsi que lui accorder assez de temps pour éviter qu’il ne s’ennuie.
En revanche, si le chat a été habitué dès son plus jeune âge à être libre de sortir dans le jardin à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, et qu’il se retrouve subitement en appartement, la transition risque bien d’être particulièrement difficile à accepter.
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Les dangers sont à l’extérieur de nos maisons
Vous ne le saviez peut-être pas, mais l’espérance de vie moyenne d’un chat d’appartement est de 19 ans. Pour un chat ayant accès à l’extérieur, elle est de seulement 4 ans… Cette différence impressionnante prouve que les chats d’extérieur, même s’ils sont heureux de sentir la chaleur du soleil sur leur pelage, sont avant tout des chats en danger.
Que ce soit les risques d’accidents de la route, d’accidents de chasse, les pièges, les enfermements involontaires (dans un garage par exemple), les plantes toxiques, les piqûres d’insectes, de serpents ou encore les maladies transmises par les chats errants, les chats d’extérieur sont particulièrement exposés au danger. Tout dépend donc du point de vue où l’on se place : mieux vaut-il avoir une vie » cocooning » mais heureuse pendant 19 ans ou une vie stimulante de découvertes et d’aventures pendant 4 ans ?
D’autant plus qu’il est tout à fait possible de laisser sortir son chat en toute sécurité. Pour cela, il suffit de lui apprendre la tenue en laisse. Un apprentissage difficile, mais pas impossible !
Préparer votre chat d’intérieur aux visites à l’extérieur
Les sorties du chat d’intérieur à l’extérieur ne sont pas sans danger : fugue, perte de repères, accident de la route, rencontre et bagarre avec d’autres chats, ou encore piqûres et intoxications. Il peut être parfois difficile voire angoissant d’imaginer laisser son chat que l’on sait habitué au confort douillet de son appartement se promener à l’extérieur.
Le territoire du chat
Le chat a une vision extensible de son territoire, il se créé des espaces pour chaque activité (alimentation, repos, jeu). Selon la liberté que vous lui accordez et son caractère votre chat étirera son territoire à votre jardin, votre quartier, voir votre ville. Il faut donc surveiller l’espace qu’il s’attribue mais également tenir compte de sa curiosité et de son envie de découvrir son nouvel espace.Nikita explore son nouveau territoire
Acclimater votre chat à son nouveau territoire
Aidez votre chat à se sentir en sécurité dans son nouveau logis en propageant son odeur dans la maison. Pensez à vaporiser du Feliway et à diffuser ses propres phéromones, pour cela prenez un linge doux en coton et frottez doucement ses joues et sa tête afin d’absorber l’odeur émises par les glandes autour de son visage. Frottez ce linge ou ce gant sur les coins des portes, murs et meubles afin de l’aider à s’habituer à son nouveau territoire rapidement.
Gérer la première sortie de votre chat
– Assurez vous que votre compagnon soit bien identifiable (puce électronique ou tatouage)
– N’hésitez pas à l’équiper également d’un collier avec son nom et votre numéro de téléphone. Soit grâce à un pendentif porte adresse soit à l’aide d’une médaille personnalisable. Nikita a choisi pour cela une très jolie médaille personnalisée parmi les nombreuses disponibles chez Wanimo.
Nikita et sa médaille avec son nom et numéro
– Veillez à ce que les vaccins de votre chat soient bien à jour.
– Éloignez tout autre chat que vous croisez dans le jardin, votre chat aura besoin d’aide pour consolider son territoire en tant que nouveau venu dans le quartier.
– Sortez votre chat progressivement, en ouvrant la porte et en l’accompagnant dans le jardin
– S’il est habitué à un harnais, promenez le dans le jardin avec une laisse
– Ne le portez pas lorsque vous êtes à l’extérieur, laissez le décider de ses envies d’exploration
– Laissez toujours la porte de la maison ouverte pour qu’il puisse rentrer s’il a peur ou si quelque chose l’effraie.
Ne laissez pas votre chat sortir la nuit, même s’il en ressent l’envie. Il est préférable de le garder à l’intérieur lorsqu’il fait noir car c’est à ce moment là que vous risquez le plus de le perdre.
Habituer votre chat à revenir
Au début, laissez le sortir à sa guise en veillant à l’appeler toutes les 15 à 30 min. S’il ne vient pas, gardez-le enfermé dès que vous le voyez. Il va alors comprendre qu’il doit répondre à vos appels s’il veut espérer une sortie. Ainsi vous pourrez ensuite le faire sortir seulement 1 heure par jour, puis 2 heures, puis 3 heures, jusqu’à ce qu’il soit bien habitué, mais pensez à bien toujours le garder la nuit à la maison, pour cela, prenez l’habitude de lui offrir sa nourriture ou ses friandises préférées en début de soirée. Avec le temps, Nikita s’est habituée à partir régulièrement quelques week-ends par mois dans sa maison de campagne. Ainsi, elle a pu marquer petit à petit son territoire, et même si les débuts ont été délicats, restant cachée des heures dans certaines pièces, elle n’appréhende désormais plus l’arrivée dans la maison et profite à fond des ses quelques heure de liberté.
Nikita à l’aise dans sa maison de campagne !
Contrairement à ce que j’avais pu penser, elle se laisse facilement attraper au moment du départ, et donne le sentiment d’être plutôt contente de rentrer à l’appartement (aucune manifestation de colère ou de miaulement durant le trajet de retour) et dort généralement de longues heures d’affilées après un tel séjour à la campagne.
Un chat d’appartement est-il heureux ?
Ce territoire vertical pourrait être constitué d’arbres à chat ou d’étagères – un endroit qui peut servir de jungle – salle de gym pour votre animal de compagnie! Si vous avez plus d’un chat, Krieger vous conseille de vous assurer que vous avez suffisamment de ressources disponibles pour chacun d’eux, afin que vous » ne placiez pas de trop de chats dans un trop petit espace. » En faisant cela, vous pouvez vous assurer que vos animaux auront suffisamment de place pour escalader, gratter, sauter et jouer tout en étant à l’intérieur.
Pour vous assurer davantage que votre chat soit engagé sur une base quotidienne, Reynolds suggère que vous créiez un temps de jeu de routine désigné avec lui. Elle vous recommande d’utiliser des jouets interactifs qui pourraient être assimilés à des proies naturelles, comme un oiseau ou encore une souris. Mais une autre façon amusante d’occuper votre chat est la chasse au laser! Votre chat appréciera vraiment que vous planifiez cela dans la journée pour jouer, car ces animaux » aiment la routine et la cohérence », dit Reynolds.
Que faire d’autre pour garder votre chat d’appartement heureux ?
Si votre plan de logement le permet, essayez de fournir à votre chat un perchoir sur une fenêtre. Cela lui permettra de profiter du soleil en toute sécurité, tout en restant à l’intérieur. Vous pouvez également donner à votre animal un goût des grands espaces en installant un peu d’l’herbe dans un coin spécifique où seulement votre chat pourra jouer.
Dans un effort pour garder votre chat engagé, vous devriez également lui permettre d’interagir avec autant de personnes que possible. Si votre chat est à l’aise lors des rencontres avec de nouvelles personnes, assurez-vous de le présenter à toute personne venant dans la maison. Vous pouvez même demander la visite d’un cat-sitter de temps en temps.
Votre chat serait certainement heureux avec d’autres animaux. Pourquoi ne pas choisir un nouveau chaton ? Même si avoir un autre animal pourrait garder votre chat occupé et diverti, vous devriez considérer attentivement cette décision. Pour éviter les combats, vous devriez » introduire de nouveaux chats progressivement « , prévient Krieger .
Avez-vous des chats d’appartement ? Quels sont vos conseils pour les garder actifs ?
Voici ci-dessous un texte qui pose un questionnement très intéressant : faut-il laisser “son” chat aller dehors ou non?
Quand on vit avec des chats, c’est une question inévitable à laquelle il n’y a pas de réponse toute prête et tranchée.
Comme l’article le précise, les dangers extérieurs sont nombreux : voitures, chiens errants, empoisonnements, vols, animal qui se perd etc…
Tout dépend aussi de la personnalité de l’animal, certains chats s’accommodent parfaitement d’une vie en intérieur sans sortie, d’autres seront malheureux de ne pouvoir mettre le nez dehors.
Le contenu de l’article adopte une tournure parano-dramatique qui prend les chats pour des êtres stupides, inconscients, qui ne feraient que des conneries, et incapables de sentir le moindre danger. Il est donc évident que cet article est clairement contre le fait de laisser des chats aller dehors. Ce qui ce comprend, au vu des multiples dangers qu’ils encourent dehors… Mais de là à affirmer que :
Un chat n’a besoin de sortir que s’il n’a pas ce qui lui est nécessaire chez lui : une litière propre, un espace de jeu suffisant et ludique, une gamelle d’eau et à manger à volonté. Ajoutez-y une dose de caresses et d’amour et il sera heureux comme tout.
C’est clairement prendre les chats pour des êtres primaires ! Qui n’a jamais vu un chat heureux d’humer l’air ? Qui n’a jamais vu un chat heureux de découvrir de nouvelles senteurs dehors ? De sentir le vent ? De découvrir la neige ? De prendre la chaleur du soleil ? De regarder les oiseaux et les insectes ? De rencontrer d’autres chats?
Une très bonne solution est de pouvoir profiter d’un jardin, ou un petit bout de terrain, mais tout le monde n’a pas cette possibilité, loin de là. Une autre alternative serait d’habituer le chat à se promener en harnais, il en existe pour chats, alors certes, le chat ne peut pas faire ce qu’il veut, quand il veut, mais tant que l’humanité ne sera pas vegan, on sera obligé d’imposer des contraintes à nos amiEs. Pour leur sécurité…
Cette question n’est pas évidente du tout, tout est une question d’environnement et du tempérament du chat, de son vécu.
Contrairement à la tournure anthropocentriste de l’article qui joue sur les sentiments avec “Préfère-t-on vivre 4 ans avec Minou qui n’est jamais là ou 18 voir 19 ans avec Minou sur les genoux qui ronronne ?” la question doit se poser en fonction DE L’ANIMAL, au cas par cas.
D’un côté, il y a le fait de faire sortir un chat, qui sera content d’être dehors, mais ce sera dangereux pour lui ; de l’autre côté il a le fait de garder un chat enfermé, de ne pas savoir comment il ressent cet enfermement et prendre le risque de le faire sortir dehors sans surveillance.
C’est un acte tellement délicat et difficile qu’on le ne règle certainement pas à coups de propos transformant les matous en » braves bonnes petites peluches » qui ronronnent pendant 18 ans sur ses genoux.
Le chat d’extérieur plus heureux que le chat d’intérieur ?
Un chat d’intérieur est-il malheureux ? Cette question, nombre de propriétaires de matous se la posent… Comportementaliste du chat, Marie-Hélène Bonnet tente d’y répondre, et revient sur les nombreux dangers qui menacent nos petits félins.
Les croyances populaires sont tenaces, et bien souvent elles sont fausses ou basées sur des époques tellement lointaines que les choses ont changé radicalement.
Quelle espérance de vie pour un chat d’extérieur ?
Celle qui veut qu’un chat heureux doit être un chat qui sort librement en extérieur est tenace mais fausse, voir dangereuse pour nos petits félins domestiques.
Nous savons tous qu’un chat peut se faire écraser, c’est d’ailleurs la principale chose à laquelle nous pensons quand on envisage de laisser sortir Minou.
Mais on ignore la plupart du temps que l’espérance de vie chez le chat est actuellement de 19 ans pour un chat d’intérieur, et seulement 4 ans pour un chat qui sort en liberté. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Un chat n’a besoin de sortir que s’il n’a pas ce qui lui est nécessaire chez lui : une litière propre, un espace de jeu suffisant et ludique, une gamelle d’eau et à manger à volonté. Ajoutez-y une dose de caresses et d’amour et il sera heureux comme tout.
Éventuellement une sortie en laisse dans un endroit calme et sans danger pour vous faire plaisir, à lui et à vous.
Quels dangers menacent les chats d’extérieur ?
Dangers, dangers mais quels sont ces fameux dangers qui guettent nos chats dehors ?
D’abord la route, mais aussi les pièges, les chasseurs en campagne qui de loin ont tôt fait de confondre lapin et chat. Mais nous oublions le vol pur et simple, l’enfermement involontaire, surtout en période de vacances : Minou a peur et se réfugie dans le garage d’un voisin. Le voisin part pour 4 semaines camper et ne voit pas Minou caché sous une bâche, il ferme la porte et voilà Minou sans eau, et sans nourriture en pleine chaleur…
Parlons aussi des poisons pour le chat : un peu de goudron frais rebouche un nid de poule, Minou marche dessus, il a plein de goudron sur la patte, il se cache dans un buisson et nettoie sa patte souillée. Quelques minutes plus tard il titube, il perd connaissance et il est déjà trop tard. Une abeille se trouve dérangé par Minou qui veut jouer avec, elle le pique à la gorge…
Un oiseau vient de se nourrir de quelques baies de gui, Minou réussi à l’attraper, il avale le petit oiseau repu, et Minou commence à montrer des signes de faiblesse. On court chez le vétérinaire qui ne sait pas ce qui se passe, et Minou ne s’en remet pas… La piqûre d’une vipère peut aussi lui être fatale.
Des risques de maladies<
Et les maladies transmissibles par les bagarres et les rapports sexuels du chat, tel que le FIV ou le FeLV (leucose féline) qui sont mortelles et inguérissables.
Mais aussi le coryza, le typhus, et autres saletés que les chats errants se transmettent à qui mieux-mieux, et les vaccins ne suffisent pas toujours à les protéger… Sans omettre les blessures plus ou moins graves qui peuvent être provoquées par d’autres chats, mais aussi chiens ou animaux divers, y compris bipèdes…
Je vous passerai le passage sur les trafics de fourrures et les ramassages d’animaux errants qui finissent euthanasiés dans un refuge dans le meilleur des cas.
Alors, reprenons notre réflexion, est-il vraiment nécessaire de laisser Minou sortir ? Ne serait-il pas plus prudent de le sortir en laisse s’il le demande vraiment ? N’est ce pas plutôt pour soulager notre conscience parce qu’on le croit plus heureux qu’on veut le faire sortir ? Préfère-t-on vivre 4 ans avec Minou qui n’est jamais là ou 18 voir 19 ans avec Minou sur les genoux qui ronronne ?
A vous de choisir en connaissance de cause !
Par Brunilde Ract-Madoux, éthologue et consultante en comportement
Un balcon, une terrasse, un toit ou un jardin, quand l’extérieur est accessible au chat, c’est idéal. Mais cette liberté surveillée impose quelques règles pour ne pas exposer son chat à des dangers ou le perdre.
Tous les chats ne sont pas bâtis sur le même modèle. Si certains n’ont pas un besoin vital d’avoir un accès à l’extérieur parce que leur environnement est riche et sécurisant, ou parce qu’ils sont âgés, malades ou peureux, pour d’autres, un coin de nature est propice à l’aventure et à l’épanouissement. On ne force pas un chat à sortir, mais on ne le force pas non plus à rester enfermé !
Le chercheur Jeff Horn et ses collègues de l’Université de L’Illinois aux Etats-Unis ont mis en évidence que les chats de compagnie présentent en général une baisse d’activité pendant les mois les plus froids et que durant cette période, ils sont moins enclins à sortir systématiquement. Sans doute parce qu’ils sont logés et nourris et que le confort paraît primer sur le besoin exploratoire qui diminue. Mais pour beaucoup d’autres, la tentation de l’extérieur est forte. Dehors, les odeurs et les stimuli en tous genres ont une puissance attractive sans bornes. Pour le chat qui aime explorer, observer, faire ses griffes, chasser, le laisser sortir permet de mettre ses sens en éveil et d’assouvir ses besoins les plus importants.
L’idéal, quand c’est possible, est d’autoriser au chat des sorties libres, sans horaires et sans contraintes mais cela n’est pas toujours réalisable notamment en ville où des alternatives existent. La chatière, équipée ou non d’un lecteur de puce pour distinguer le chat de la maison des » visiteurs sans gêne « , favorise ces sorties libres et les chats en comprennent facilement le mode de fonctionnement. Mais que ce soit sur un jardin, une terrasse ou un balcon, l’accès à l’extérieur expose l’animal à certains dangers. Accidents de la route, bagarres entre chats, maladies, perte, vol… Il faut bien peser le pour et le contre entre le bien-être qu’on procure à son animal et le risque qu’on lui fait courir. Pour les maîtres craintifs et les chats vagabonds, les colliers avec une puce GPS connectée à un Smartphone sont une sécurité très efficace. En plus, ils renseignent très précisément sur le parcours emprunté par le chat, la distance parcourue et ses habitudes de vagabondage. Un collier espion en quelque sorte ! Sécuriser son balcon avec un filet de protection est une bonne idée si on habite en étage haut, ou moins haut… La chute sera évitée même en cas de passage d’oiseaux au ras du museau du chat. Si vous ne voulez pas qu’il sorte du jardin, il y a la possibilité d’installer une clôture avec des retours. De nombreuses solutions existent.
Certains propriétaires prennent le temps d’habituer leur chat au harnais pour l’emmener en promenade quand le secteur ne peut pas être sécurisé. C’est quelque chose qui peut être fait avec un chat habitué jeune, en l’entrainant de manière positive et sans contraintes.
Par Brunilde Ract-Madoux, éthologue et consultante en comportement