Table des matières
- Qu’est-ce que le Bravecto pour chien ?
- Comment agit le Bravecto, médicament antiparasitaires ?
- Le Bravecto est-il sans danger pour votre chien ?
- Quels antiparasitaires pour chien sans ordonnance choisir ?
- Les contraintes du traitement naturel contre les puces et les tiques
- Quand ne pas utiliser les traitements naturels ?
- Par voie orale, c’est mieux
- Puces, tiques… de nouveaux traitements pour chien et chat
- Comprimé antiparasitaire pour chien
Qu’est-ce que le Bravecto pour chien ?
Comment agit le Bravecto, médicament antiparasitaires ?
Le Bravecto est un médicament soumis à ordonnance qui ne peut être prescrit que par un vétérinaire. Pour qu’il soit pleinement efficace, il est conseillé de l’administrer tous les trois mois à votre chien pour une lutte efficace contre les tiques (malgré une efficacité théorique de 8 semaines, les tiques ne réapparaissent pas avec une administration tous les 3 mois) et les puces. La prise s’effectue par voie orale puisqu’il s’agit d’un cachet à mâcher.
Pour être pleinement efficient, le Bravecto doit être donné lorsque votre chien présente déjà des parasites. Le principe actif du médicament, le fluranaler, passe dans le sang de votre animal. En le piquant, la puce ou la tique ingère ce composé qui va bloquer le système nerveux du parasite et entraîner sa mort.
Le Bravecto est-il sans danger pour votre chien ?
Depuis février 2014 et la mise sur le marché du Bravecto, plusieurs collectifs de propriétaires de chiens se sont élevés contre la possible dangerosité du produit. Certains animaux en seraient même morts, d’autres présenteraient des effets secondaires graves. Etat des lieux.
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Quels sont les effets indésirables du Bravecto ?
Médicament prescrit sur ordonnance, le Bravecto peut avoir des effets secondaires sur certains chiens. Ces effets sont précisés sur la notice du remède antiparasitaire et ont été révélés par des essais cliniques indépendants, préalables à la mise sur le marché du Bravecto. 1,6% des chiens seraient concernés par ces désagréments, ce qui constitue une très infime proportion des animaux traités. Il s’agit d’effets gastro-intestinaux légers et passagers tels que diarrhées, vomissements, perte d’appétit ou ptyalisme, une sécrétion excessive de salive.
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Existe-t-il des interactions de Bravecto avec d’autres médicaments ?
Lors des essais cliniques de terrain, antérieurs à la mise sur le marché du Bravecto, aucune interaction médicamenteuse n’a été constatée entre le médicament antiparasitaires et d’autres traitements quotidiens administrés aux chiens. Si vous avez un doute ou si votre chien suit déjà un traitement au long cours, pour une maladie chronique par exemple, demandez conseil à votre vétérinaire.
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Existe-t-il d’autres remèdes anti-parasitaires que Bravecto pour votre chien ?
Si Bravecto est facile à administrer à votre chien et a prouvé son efficacité, il existe d’autres remèdes antiparasitaires que vous pouvez acheter sans ordonnance. Les antiparasitaires topiques, dont les principes actifs ne pénètrent pas dans le sang de votre animal, s’appliquent sur la peau de votre chien. Ils sont aussi efficaces en mode préventif et sont répulsifs contre les tiques et les puces. Le seul inconvénient réside dans le fait de ne pas trop donner de bain ou d’autre traitement cutané à votre chien, sous peine d’annuler l’effet de l’antiparasitaire.
Les antiparasitaires systémiques – dont fait partie le Bravecto – possèdent un principe actif qui passe directement dans le sang. Le grand avantage ? Leur efficacité n’est pas amoindrie par la toilette de votre animal. Ils permettent aussi de neutraliser très rapidement puces et tiques. Le principal inconvénient : il faut attendre que le parasite ait commencé à coloniser votre chien et à se nourrir pour que le remède fasse véritablement effet.
Quels antiparasitaires pour chien sans ordonnance choisir ?
Les remèdes antiparasitaires pour chien sans ordonnance sont nombreux et particulièrement efficaces. On peut citer :
- Les pipettes anti-puces et anti-tiques comme Frontline Combo ou Advantix.
- Les spray anti-parasitaires comme le spray anti-puces et anti-tiques Virbac.
- Les shampoings contre les puces et les tiques comme le shampoing Pulvex ou le shampoing insectifuge Greenvet.
- Les colliers antiparasitaires comme le collier Seresto pour petit ou grand chien.
- Enfin, les traitements anti-puces et anti-tiques pour la maison sont indispensables pour préserver l’hygiène de votre intérieur et empêcher les parasites de revenir. Le diffuseur Tiquanis Habitat, le spray insecticide et acaricide Frontline Pet Care ou le pulvérisateur Parastop vous aideront à protéger votre logement et à l’assainir.
Avec les produits naturels, le résultat n’est pas aussi immédiat et radical qu’avec les produits de synthèse.
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« Quand on veut tester des produits naturels, on doit le faire dans une démarche globale sur le long terme. Il faut se montrer persévérant, patient et ne pas se contenter d’une application épisodique en pensant que ça va marcher à 100 % », prévient Marie-Anne Person-Bernis, formatrice en animalerie chez Botanic.
Les contraintes du traitement naturel contre les puces et les tiques
L’utilisation de soins naturels présente des contraintes. Il faut :
- additionner plusieurs produtis à usage local pour un effet maximal : une poudre, un collier, des pipettes, un shampooing insectifuge…
- renouveler les traitements tout au long de l’année; toutesles trois semaines contre une fois par mois pour les produits de synthèse, plus souvent si le chien se baigne ;
- tolérer que le poil de n’animal reste « gras » quelques jours après le traitement, car les produits sont à base d’huiles essentielles (géranium, lavande, margousier…) ;
- accepter que son chien ou son chat continue à vivre avec 2 ou 3 puces dans ses poils.
Quand ne pas utiliser les traitements naturels ?
Le choix de ces traitements répond à un état d’esprit du propriétaire qui souvent achère déjà des produits naturels ou bio pour sa propre consommation. Il fait attention à sa santé et à celle de ses proches. Il veut adopter la même démarche pour ses animaux.
Menés en préventif sur le long terme, ces traitements peuvent être bénéfiques, avec toutefois quelques limites à leur efficacité :
- si la pression parasitaire est trop importante, si l’animal est souvent au contact d’autres animaux, les produits naturels ne suffisent pas ;
- si l’animal est allergique aux piqûres de puces (DAPP – dermite allergique par piqûre de puce), il lui faut un traitement à effet plus radical et immédiat et de se gratter jusqu’à s’arracher la peau.
Si l’animal doit vraiment être traité avec des produits conventionnels, vous pouvez les alterner avec des traitements naturels afin de limiter l’impact sur l’environnement.
Par voie orale, c’est mieux
La solution pourrait venir d’une nouvelle génération de produits de synthèse administrés par voie orale. Ceux qui existent déjà contiennent un inhibiteur de croissance des puces. En piquant l’animal, la puce ingère le composé et devient stérile. De plus, l’animal traité ne permet pas le développement des larves de puces présentes dans son environnmement.
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« Les nouveaux produits pourront non seulement limiter la multiplication des puces dans l’environnement et en plus tuer les puces présentes sur l’animal, immédiatemment et durant un mois », explique Nicolas Massal, vétérinaire, qui prône lui aussi une utilisation raisonnée des antiparasitaires.
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Puces, tiques… de nouveaux traitements pour chien et chat
Le printemps arrive, les puces et les tiques aussi. Toujours en plus grand nombre en cette saison, qui constitue un pic. Présentes tout au long de l’année, il est essentiel de protéger son chien ou son chat contre les démangeaisons qu’occasionnent les puces. Mais aussi les allergies et maladies qu’elles peuvent transmettre, tout comme les tiques. Pour cela, de nouveaux produits innovants sont disponibles chez le vétérinaire. Et qui vont faciliter la vie des maîtres !
Chaque année, c’est le même refrain, direz-vous ! Et vous avez raison : puces et tiques, présentes tout au long de l’année, reviennent en force.
Ce pic (phénomène également constaté en automne) correspond à l’arrivée des beaux jours. Et une météo clémente somme toute propice à leur prolifération.
A l’extérieur, mais aussi dans les habitats où les puces aiment à se loger (moquettes, tapis, parquet, endroits de couchage des animaux, etc.).
Les puces responsables de démangeaisons, d’allergies et vectrices de maladie
Les puces sont responsables de démangeaisons (prurit). Le chien va se gratter, se mordiller. Alors que le chat a davantage tendance à se lécher de manière excessive.
Mais un animal qui ne se gratte pas n’est pas forcément un animal qui n’a pas de puce (voir encadré) !
Certains chiens peuvent être allergiques aux piqûres de puces. Ils déclenchent alors ce que l’on appelle une DAPP : dermatite par allergie aux piqûres de puce. Le chat peut aussi avoir à en souffrir, de manière plus modérée que le chien.
Les puces peuvent aussi transmettre le ténia (Dipylidium caninum) au chien ou au chat. Il s’agit d’un vers intestinal plat. D’où l’intérêt dans la lutte contre les puces de ne pas sous-estimer le traitement contre les parasites internes en utilisant un vermifuge que conseillera le vétérinaire.
Le ténia s’apparente à de petits grains de riz blancs qu’il est parfois possible de remarquer dans les selles émises par les animaux. Ou bien autour de l’anus.
Ce vers, outre les démangeaisons dans cette zone, peut obstruer le canal permettant la vidange naturelle des glandes anales.
Les humains – particulièrement les enfants – peuvent être concernés par Dipylidium caninum, surtout en se laissant lécher par l’animal.
Enfin, chez le chat, la puce peut transmettre une maladie bactérienne : la maladie des griffes du chat. Maladie que le chat peut à son tour transmettre à l’homme.
Les tiques : des parasites dangereux pour les animaux domestiques
Les tiques sont elles aussi responsables de nombreuses maladies. Dont certaines graves.
Chez le chien, citons entre autres : la piroplasmose (babésiose) -contre laquelle un vaccin existe mais dont l’efficacité n’atteint pas les 100% -, la maladie de Lyme (borréliose) ou encore l’ehrlichiose.
Chez le chat, une maladie peut être transmise par les tiques : l’hémobartonellose (on parle également de mycoplasmose, c’est ainsi qu’elle a été rebaptisée), mais qui demeure toutefois peu fréquente.
La littérature vétérinaire évoque aussi, à des degrés d’atteinte divers pour le chat, des cas d’hépatozoonose (transmise non pas par piqûre de tique mais par son ingestion), ehrlichiose, ou encore anaplasmose. La babésiose, également évoquée chez le chat, demeure très rare.
Chiens et chats, qu’ils vivent à la campagne ou en ville, doivent donc être protégés. Car les tiques s’accommodent elles aussi d’une vie citadine (parcs, jardins, etc.)
De nouvelles armes pour lutter contre les puces, tiques et autres parasites… mais aussi les vers !
Quel antiparasitaire utiliser pour lutter contre les puces et les tiques ? Il en existe un grand nombre et qui sont très efficaces.
Le choix de ce produit se fera sur les recommandations du vétérinaire.
Les plus utilisés de nos jours sont les antiparasitaires sous forme de spray ou de pipette (spot-on). Le choix peut être guidé par la facilité à administrer le traitement.
Il existe aussi des cachets, mais un comprimé anti-puces chat ou chien ne traite pas à la fois puces et tiques. Les poudres, utilisées par le passé, ne sont plus vraiment d’actualité.
Il faut reconnaître que dans le domaine des antiparasitaires, la médecine vétérinaire a fait d’énormes progrès. De nouveaux traitements ont fait dernièrement leur apparition. Des traitements innovants grâce à de nouvelles molécules qui les composent.
Vous pouvez demander conseil à votre vétérinaire. Pour les produits étant sous prescription vétérinaire, il n’est pas possible d’indiquer leur nom. Mais votre vétérinaire les connaît.
De plus, ils peuvent ne concerner qu’une des deux espèces (chien ou chat). D’où l’importance de demander conseil au professionnel de la santé animale.
L’intérêt des nouveaux antiparasitaires qui ont fait leur apparition sur le marché est la facilité d’emploi (cachets appètents), leur durée d’action contre les puces et les tiques plus longue.
La possibilité pour les formes sous cachets de laver l’animal sans délai ou bien qu’il puisse aller se baigner. Par ailleurs, si vos enfants ne peuvent pas s’empêcher de caresser votre animal, ou s’il dort avec vous, vous pouvez aussi privilégier la forme orale. Un comprimé anti-puces chat ou chien limite les risques de diffusion du principe actif dans l’environnement.
La nouveauté réside aussi dans l’effet répulsif de certains de ces nouveaux produits sur les parasites permettant de limiter la réinfestation au contact de l’environnement.
Et surtout le fait que certains produits (pipettes ou cachets) luttent à la fois contre les parasites externes… mais également contre un certain nombre de parasites internes (vers).
Puces et tiques ne sont pas non plus les seuls parasites externes contre lesquels ces » nouveaux » traitements agissent. La lutte concerne également les poux ou la gale des oreilles, par exemple (comme avec les » anciens » traitements), mais aussi dorénavant les phlébotomes et d’autres parasites indésirables.
Une meilleure observance grâce aux nouveaux traitements antiparasitaires
Ces nouveaux traitements permettent donc, tout en facilitant la prise ou l’application, une bonne observance.
Elle est la clé d’une bonne prévention et d’une bonne protection pour le chien et le chat.
Quel que soit le choix du maître, l’achat de l’antiparasitaire et du vermifuge peut bénéficier du forfait prévention.
Le forfait prévention est contenu dans certaines formules d’assurance santé animale pour le propriétaire ayant souscrit une mutuelle chien ou une mutuelle chat.
Nul doute qu’à l’avenir les maîtres opteront de plus en plus pour ces antiparasitaires à la fois internes et externes.
Mon chien ou mon chat ne se gratte pas, il n’a donc pas de puce. Faux !
Cela peut arriver. Suivant le nombre de puces présentes sur le corps de l’animal mais aussi sa sensibilité, ce n’est pas parce qu’il ne se gratte pas qu’il n’a pas de puces.
Les puces peuvent occasionner un prurit chez le chien et le chat. Les démangeaisons résultent alors de l’effet des piqûres, voire de l’allergie qu’elle peut occasionner chez certains animaux.
Mais, à l’inverse, un animal peut se gratter sans que la cause en soit la présence de puces.
Il peut en effet s’agir d’un problème dermatologique.
Si vous observez une attitude de » grattage » et dans le doute, mieux vaut consulter le vétérinaire afin de prendre en charge tout problème de cet ordre le plus rapidement possible.
Comment détecter la présence de puces ou de tique et les éliminer ?
Au retour de promenade avec le chien ou bien lorsque le chat ayant accès à l’extérieur rentre au bercail, l’inspection est de mise. Cela doit devenir une habitude.
La palpation de tout le corps, y compris derrière les oreilles, permettra de s’assurer de l’absence de tiques.
Celles-ci sont assez facilement repérables. Il faut en cas de présence avérée retirer une tique au plus vite. On peut pour cela utiliser un crochet. Il permet l’extraction sans douleur et sans avoir recours à aucun produit. Ce genre d’accessoire à, placer dans la trousse de soins de son animal, est très peu onéreux. Et vraiment très pratique
Concernant les puces, et étant donné qu’elles peuvent passer inaperçues, une inspection s’impose là aussi de manière régulière.
Pas toujours visibles à l’œil nu sur la peau de l’animal (d’autant plus difficile à repérer suivant la nature de son poil), on peut s’aider d’un peigne très fin, spécialement élaboré.
Son utilisation permettra de repérer la présence de puces voire des crottes de puce.
Un shampoing spécial permettra d’éliminer les puces. Mais n’empêchera pas une nouvelle infestation.
Le recours à un antiparasitaire recommandé par le vétérinaire permettra de lutter contre les puces et éviter toute nouvelle infestation.
Son application ou son administration devra être régulière, tout au long de l’année.
Des antiparasitaires pour chien très dangereux pour le chat
Le vétérinaire recommandera l’antiparasitaire le plus facile à administrer pour le maître (comprimé, pipette, etc.). Mais il s’intéressera aussi à l’âge et poids de l’animal ainsi qu’à son mode de vie.
Et surtout son espèce (chien ou chat). Car certains antiparasitaires utilisés chez le chien ne doivent en aucun cas être utilisés chez le chat. Ils peuvent présenter des risques de toxicité pour ce dernier.
Soyez donc très vigilant : une pipette ou un comprimé anti-puces chat ne doit pas être administré à un chien, et inversement.
Vous pouvez aussi utiliser un comprimé anti-puces : chat et chien ne risquent plus de se lécher et de se contaminer mutuellement
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a rappelé dès juin 2013 aux propriétaires de chats de ne pas traiter leur animal avec les médicaments vétérinaires contenant de la perméthrine.
Un logo apposé sur les emballages des produits en question les met en garde.
En cas d’exposition accidentelle, si des effets indésirables surviennent, il est recommandé de laver le chat avec du shampooing ou du savon et de demander rapidement conseil à un vétérinaire (en cas d’intoxication, il y a prise en charge par la mutuelle pour animaux).
Pour éviter que les chats ne soient exposés accidentellement au produit dans les foyers où plusieurs animaux sont présents, il convient de tenir les chiens traités à l’écart des chats jusqu’à ce que le site d’application du traitement antiparasitaire sur le chien soit sec.
Et de s’assurer que les chats ne puissent pas lécher le site d’application d’un chien traité.
Comprimé antiparasitaire pour chien
Peut-on lutter contre les parasites avec un complément alimentaire naturel ?
Traiter son chien et le protéger des parasites externes à l’aide de compléments alimentaires est une pratique minoritaire et alternative, mais elle peut être intéressante notamment pour les maîtres ne souhaitant pas appliquer des produits chimiques parfois controversés sur leur animal.
Contre les parasites tels que les tiques ou les puces, vous pouvez administrer à votre chien un antiparasitaire sous forme de comprimé, comme des granulés à l’ail ou des médicaments à l’ail, entièrement naturels. L’ail forme un film naturel sur la peau de votre animal contribuant à éloigner les parasites de manière naturelle.
Les comprimés à base de plantes et d’ail à mêler à la nourriture habituelle du chien sont également intéressants afin de lutter naturellement contre les parasites intestinaux et améliorer la digestion.
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