Table des matières
- Boule derrière l’oreille : que faire ?
- Une boule derrière l’oreille avec du liquide : un kyste !
- Une boule derrière l’oreille pendant une infection : un ganglion enflammé
- Faut-il s’inquiéter ?
- En bref
- Ganglion oreille : causes et symptômes
- Ganglion oreille : un examen du visage et cuir chevelu
- Ganglion oreille : causes
- Taches ou boutons sur la peau : quelle maladie infantile ?
- Forum
- Ganglion gonflé sous l’oreille : les principales causes
- Gonflement des ganglions sous l’oreille: à surveiller
- Ganglion sous l’oreille gonflé: une cause tumorale
Boule derrière l’oreille : que faire ?
Mis à jour le : 27 décembre 2019
“J’ai une petite boule derrière l’oreille ? C’est grave ?”
Simple kyste, ganglion enflammé ou symptôme d’une tumeur… ?
OSDT vous aide à y voir plus clair.
Une boule derrière l’oreille avec du liquide : un kyste !
Vous sentez une petite boule remplie de liquide derrière votre oreille ? Il s’agit probablement d’un kyste.
Excroissances se formant sur la peau (ou sur les muqueuses), les kystes contiennent le plus souvent de l’eau (et parfois du sang ou du gaz). Ils apparaissent à la suite d’une infection ou d’un trouble hormonal, mais sont souvent sans gravité s’ils sont traités à temps.
N’attendez pas avant de soigner un kyste car certains peuvent s’infecter. Pour un kyste derrière l’oreille, celui-ci est majoritairement bénin, mais une fois détecté, ne tardez pas à vous faire ausculter. Même si vous avez l’impression de pouvoir le percer vous-même, le kyste doit être bien désinfecté afin d’éviter les récidives.
À lire aussi : les différentes maladies.
Cliquez sur les images pour agrandir.
Image de kyste derrière l’oreille Bosse derrière l’oreille Kyste derrière l’oreille
Une boule derrière l’oreille pendant une infection : un ganglion enflammé
Une boule derrière l’oreille peut également témoigner d’une adénopathie, c’est à dire l’atteinte d’un ganglion lymphatique. En effet, le ganglion lymphatique joue un rôle fondamental dans la défense immunitaire. Il suffit parfois d’une simple angine, de la rubéole ou d’une mononucléose, mais aussi parfois d’une tumeur, pour que le ganglion s’enflamme. ll gonfle alors et devient douloureux…
Si vous êtes malade, pas de panique donc : cette boule derrière l’oreille est normale. En effet, elle témoigne que votre corps se défend contre une infection. Elle disparaîtra au bout de quelques jours, soit naturellement, soit grâce à la prise de médicaments liés à votre maladie. En revanche, si vous détectez une boule qui grossit derrière votre oreille alors que vous n’êtes pas malade, il convient d’aller consulter un médecin.
Faut-il s’inquiéter ?
Dans quelques rares cas, il arrive que certaines boules derrière l’oreille ne soient ni des kystes ni des ganglions enflammés.
Si vous remplissez l’une des conditions suivantes :
- La boule derrière l’oreille apparaît et gonfle alors qu’aucune infection (maladie) n’est en cours.
- Elle est dure, ferme et ne roule pas sous les doigts.
- Elle ne fait pas mal.
- Enfin, elle persiste depuis plus de trois semaines (ou augmente de taille chaque semaine).
Alors, il convient d’aller consulter rapidement un médecin. Ce dernier réalisera des examens complémentaires. Il pourra poser un diagnostic et proposer un traitement adapté.
En bref
En définitive, si une boule derrière l’oreille n’est généralement pas inquiétante, il est néanmoins préférable de consulter son médecin. A minima pour la faire disparaître et ne plus y penser !
Cette fiche médicale vous a été utile ? Votre avis nous intéresse, OSDT vous invite à partager vos propres expériences dans les commentaires, surtout si vous avez déjà rencontré un kyste ou une inflammation d’un ganglion causant cette fameuse boule dernière l’oreille.
Par ailleurs, n’hésitez pas à poursuivre votre lecture sur notre site, découvrez-en davantage sur les maladies, ou peut-être seriez-vous aussi intéressé par notre rubrique consacrée à la nutrition.
Ganglion oreille : causes et symptômes
- Les ganglions sont en fait toujours présents sous la peau. Petits organes ronds, ils ont pour principale fonction de contribuer à la défense immunitaire de votre corps.
- L’apparition de protubérances ne trahit donc pas la formation d’un ganglion, mais l’inflammation de ceux-ci.
- Il peut en effet arriver, lorsque vous contractez certaines maladies, que les ganglions gonflent anormalement et deviennent visibles, voire douloureux et durs.
- Dans ce cas, on parle d’adénopathie (hypertrophie des ganglions).
- Si vous constatez une telle grosseur près de votre oreille, ou partout ailleurs, il vous faut obligatoirement demander l’avis de votre médecin pour :
- déterminer les causes de son apparition, qui peuvent être multiples ;
- éviter les complications (notamment les infections).
Ganglion oreille : un examen du visage et cuir chevelu
Si vous constatez l’inflammation d’un ganglion près de votre oreille, le médecin devra prendre le temps de palper ce ganglion pour connaître :
- sa taille ;
- sa consistance.
Il devra aussi examiner toute la zone autour de votre oreille pour essayer de détecter :
- la présence éventuelle d’autres ganglions gonflés ;
- la présence éventuelle d’une plaie ou d’une lésion à proximité des grosseurs.
Cependant, les ganglions situés au niveau des oreilles ont d’autres particularités que ceux situés au niveau des aisselles ou de l’aine :
- Un ganglion gonflé situé en avant du lobe de l’oreille est le signe d’une agression : des glandes salivaires ou des paupières.
- Un ganglion situé derrière l’oreille est le signe d’une agression : du cuir chevelu, de la nuque, du pavillon de l’oreille ou du conduit auditif.
Ganglion oreille : causes
Le gonflement d’un ganglion au niveau de l’oreille peut simplement être le signe d’une inflammation bénigne :
- Toutefois, gardez à l’esprit que l’inflammation d’un ganglion signale, le plus souvent, un autre dysfonctionnement quelque part autour de ce ganglion.
- Ainsi, les ganglions irrités situés au niveau de l’oreille peuvent signaler des troubles plus ou moins graves :
- mononucléose infectieuse ;
- rubéole ;
- oreillons ;
- parotidite virale (infection des glandes salivaires) ;
- tumeur de la bouche ;
- tumeur du pharynx ;
- leucémie.
Il est donc impératif de prendre au sérieux l’apparition de ces grosseurs, et de consulter systématiquement un médecin.
Pour approfondir le sujet :
Taches ou boutons sur la peau : quelle maladie infantile ?
Dernière mise à jour: mai 2018 | 70482 visites
news Les éruptions cutanées sont fréquentes chez le jeune enfant. Souvent, elles sont causées par une maladie infantile, comme la rougeole, la rubéole ou la scarlatine. Que faut-il savoir à propos des taches et des boutons rouges sur la peau et comment les distinguer en fonction de la maladie ?
La varicelle
Elle survient habituellement en hiver ou au début du printemps. Chez un enfant, les symptômes sont généralement assez légers : fièvre, maux de tête et éruption cutanée qui s’étend au visage et au cuir chevelu. Les taches se développent en vésicules clairement visibles, qui sèchent ensuite et forment des croûtes. Pendant les premiers jours, la peau est ainsi attaquée en trois ou quatre » vagues « . Les cloques peuvent démanger très fort, mais si l’enfant ne les gratte pas, les croûtes tomberont sans laisser de cicatrice. Chez un enfant par ailleurs en bonne santé, il faut surtout soulager contre les démangeaisons. C’est important pour empêcher les cicatrices. Gardez ses ongles propres et courts et empêchez-le de se gratter.
La varicelle est particulièrement dangereuse pour le nouveau-né si sa mère développe la maladie au moment de l’accouchement. Un traitement urgent est impératif.
Il existe un vaccin contre la varicelle.
La rubéole
La rubéole commence souvent par une sorte de rhume. Les symptômes qui surviennent deux à trois semaines après l’infection comprennent des éruptions cutanées qui apparaissent soudainement, d’abord sur le visage, ensuite sur tout le corps. Les taches ont une couleur rose pâle et ne démangent pas. Elles peuvent s’accompagner de fièvre, de ganglions enflés, de douleurs, de gonflement des articulations et de conjonctivite.
Les taches disparaissent spontanément après quelques jours et on observe rarement une forte fièvre.
La rubéole n’est généralement pas grave pour les enfants, mais elle peut être dangereuse pour les adultes. Les femmes qui sont infectées par la rubéole dans les premiers mois de leur grossesse courent un risque élevé de fausse couche, alors qu’une anomalie congénitale peut affecter le bébé.
Il existe un vaccin contre la rubéole, associé à un vaccin contre la rougeole et les oreillons. Le calendrier de vaccination comprend une dose de vaccin triple à l’âge de 12 mois. Une deuxième dose de vaccin doit être administrée à l’âge de 10 ans.
Les femmes dans la première moitié de la grossesse qui n’ont pas été vaccinées contre la rubéole et n’ont pas eu la maladie sont invitées à contacter leur généraliste en cas de soupçon d’infection.
La rougeole
Les symptômes ressemblent à ceux d’un mauvais rhume : écoulement nasal, toux, éternuements, yeux enflés, mal de gorge et forte fièvre (jusqu’à 40 °C). Vers le troisième jour, la température de l’enfant baisse et des petites taches blanches comme des grains de sel apparaissent dans la bouche.
La première éruption cutanée survient le quatrième ou le cinquième jour. D’abord sous la forme de petites taches rouges sur le front et derrière les oreilles. Ces taches s’étendent progressivement sur le reste du corps, sauf sur les bras et les jambes. Au fur et à mesure qu’elles se propagent, les taches s’élargissent et se fondent les unes dans les autres. Vers le sixième jour, elles commencent à diminuer. Après une semaine, tous les symptômes disparaissent généralement.
En Belgique, tous les bébés sont en principe vaccinés à l’âge de 12 mois contre la rougeole (avec la rubéole et les oreillons). Une deuxième dose de vaccin doit être administrée à l’âge de 10 ans. Malgré cela, des petites épidémies surviennent encore régulièrement, infectant principalement des enfants non vaccinés.
La cinquième maladie
La cinquième maladie (érythème infectieux) survient principalement chez les enfants âgés de 4 à 10 ans, généralement au printemps ou au début de l’été. L’enfant a les joues rouges avec des taches erratiques de couleur rouge pâle, qui s’étendent au tronc, aux fesses, aux bras et aux jambes. Les taches grandissent. L’enfant peut avoir de la fièvre et des démangeaisons, mais ne se sent pas vraiment malade. Les symptômes disparaissent après environ dix jours. Les taches peuvent revenir temporairement en cas de chaleur, de froid, d’effort ou de stress.
Il n’existe pas de traitement ou de vaccin. Une poudre anti-démangeaisons peut éventuellement être appliquée sur la peau.
Si la cinquième maladie affecte une femme enceinte, cela peut être dangereux pour le foetus.
La sixième maladie
La sixième maladie (ou roséole) ne survient que chez les enfants âgés de 6 mois à 3 ans. L’enfant a soudainement une forte fièvre (jusqu’à 40 °C). Parfois, les ganglions dans le cou et derrière les oreilles sont gonflés. La température baisse rapidement après trois à cinq jours. Des petites taches rouges apparaissent sur le visage et le cou, et plus tard sur le tronc. Les taches ne démangent pas et disparaîtront en un à deux jours. La maladie passera d’elle-même en quelques jours.
La scarlatine
La scarlatine peut survenir à tout âge, mais surtout chez les nourrissons. Cela commence par une fièvre soudaine et élevée et un mal de gorge. Les amygdales sont enflées et enflammées. Il y a souvent aussi des maux de tête et parfois des vomissements. Après quelques jours, des petits points rouges apparaissent dans le cou et aux aisselles et s’étendent progressivement sur tout le corps. Un symptôme très typique est l’aspect rouge fraise et épais de la langue. Après 1 à 3 semaines, la peau des paumes des mains et de la plante des pieds pèle.
La maladie guérit spontanément après quelques jours sans laisser de trace. Le médecin peut prescrire des antibiotiques.
Il n’y a pas de vaccin contre cette maladie.
La méningococcémie
Les bactéries appelées méningocoques provoquent une intoxication du sang (elles peuvent aussi causer la méningite). Les enfants sont très malades, avec une forte fièvre, des vomissements et des frissons. La peau peut devenir pâle et froide. Des petites taches bleu-rouge à rouge foncé peuvent apparaître en peu de temps n’importe où sur la peau. Typiquement, quand vous les pressez, elles ne pâlissent pas. À l’apparition de ces taches, il faut absolument consulter un médecin.
Que faire en cas de » maladie à taches » ?
• Vous n’êtes pas obligé de garder votre enfant au lit s’il ne se sent pas très malade.
• Malgré les taches, votre enfant peut prendre un bain ou une douche comme d’habitude.
• Sauf si elle est très élevée, il n’est pas nécessaire de traiter la fièvre. L’enfant doit boire régulièrement et à suffisance.
• Les enfants malades n’ont souvent pas d’appétit, mais cela n’a pas d’importance.
• Si l’enfant se sent très mal, vous pouvez lui donner du paracétamol.
• En cas de démangeaisons, essayez d’empêcher l’enfant de se gratter. Pour le soulager, demandez l’avis d’une médecin ou d’un pharmacien.
Quand consulter un médecin ?
• si l’enfant a moins de 3 mois
• s’il est apathique ou somnolent
• s’il ne veut pas boire
• s’il a des taches rouges ou des points sur la peau de la poitrine, du dos, des bras ou des jambes ou sur la muqueuse oculaire, et dont la couleur ne s’estompe pas lorsque vous appuyez dessus (attention à la méningite)
• si vous pensez que votre enfant a la scarlatine
• si vous êtes enceinte et que avez été en contact avec un enfant atteint d’une maladie infantile que vous n’avez pas développée pendant l’enfance (ou vous ne le savez pas)
publié le : 17/05/2018 , mis à jour le 16/05/2018
Nous le savons, notre peau est un organe, mais pas n’importe quel organe, en plus d’être une barrière, une protection contre les agressions extérieures c’est aussi un Émonctoire, c’est à dire: Un filtre, une station d’épuration en gros.
Son rôle est simple: Évacuer les toxines, déchets, surplus présents dans l’organisme en plus ou moins grande quantité selon votre équilibre de vie (alimentation, exercice physique, stress etc…).
En d’autres termes votre peau est le reflet de votre santé intérieure, elle est également un EXCELLENT indicateur de l’état de vos organes vitaux (cœur, poumons, foie, reins etc..).
La médecine chinoise a pour coutume de dire que la beauté (comprenez une belle peau, la beauté est subjective) c’est: La santé qui se voit!
Dis moi Où tu bourgeonnes, Je te dirai ce qui déconne!
Les Zones 1 et 2: Correspondent à l’Appareil digestif: Les boutons qui apparaissent dans cette zone trahissent 2 Problématiques:
– La Première est un déséquilibre alimentaire: Une alimentation trop grasse, trop riche en graisses animales (beurre, laitages, fromages, charcuterie, viandes grasses etc..)
Mais également un déséquilibre glycémique: Une alimentation trop riche en Sucres (avec un S) et oui nous parlons des
– Sucres Rapides: les gâteaux, les patisseries, les boissons sucrées etc..
-Et des Sucres lents: Les pâtes, le riz, la farine, le pain etc..
– La Deuxième problématique est un déséquilibre de la Flore Intestinale, en effet: Les milliards de bactéries qui peuplent vos intestins sont Extrêmement importantes, elles régulent(entre autre: votre digestion, assimilation, élimination, et représentent aussi 80% de vos défenses immunitaires. Autant vous dire que votre Flore intestinale est HYPER importante et qu’il faut lui accorder toute votre attention!
Comment traiter le problème?
Dans les 2 cas il faut réorganiser l’alimentation! Pour cela allez jeter un œil sur l’article: Le régime Crétois (Un peu plus bas sur ce blog) donne une bonne base, qu’il faudra ensuite adapter à chaque personne et cela grâce au Bilan Vital ou bilan Naturopathique, effectué par un Naturopathe.
Pour le déséquilibre de la flore: il suffit de faire une bonne détox (avec du jus d’herbe d’orge par exemple, en poudre de préférence) puis de mettre en place une cure de probiotiques, Là encore, on ne prend pas de probiotiques à l’aveugle, en fonction de vos symptômes et de votre bilan vital les souches (de bactéries) seront différentes.
La Zone 3: Le foie!
Là clairement, il est temps de lever la pédale sur l’alcool! Si vous n’en consommez pas, alors il faut réguler son alimentation et surtout les Mauvaises Graisses: Les fast-food, les pâtisseries, le beurre, le fromage, la charcuterie, les frites etc…
Et dans un Deuxième temps: faire une bonne détox du foie! Une VRAIE détox, c’est 3 semaines et une seule détox par saison et par organe!
Pour nettoyer le foie:
Radis, Artichaut, Desmodium, Chardon marie, Jus de bouleau etc…
C’est à prendre le soir après le repas! Le foie se régénère et se nettoie la nuit!
Les Zones 4 – 5 – 7 – 8: Les Reins!
La zone située autour des yeux (y compris les cernes) font référence aux Reins, cela trahit dans un premier temps une déshydratation.
BUVEZ!! Mais pas juste 1 verre d’eau au repas, minimum 1.5Litre d’eau par jour!
Nous sommes constitués à 60% d’eau, ne l’oubliez pas.
Vous pouvez également boire une décoction d’aubier de tilleul tous les soirs au coucher durant 3 semaines pour relancer l’activité des reins et drainer l’organisme.
La Zone 6: Le coeur mais aussi l’état de vos artères.
Encore une fois c’est l’alimentation qui est en cause, Appliquez les fondements du Régime Crétois (cf article plus bas sur ce blog).
Faites de l’éxercice: natation, marche nordique, jogging…
Régulez votre stress: Yoga, méditation, technique de réspiration, massages…
Mais aussi:
-Griffonia en gélule ou comprimés: source de L-tryptophane, précurseur des Hormones du Bonheur (sérotonine et endorphine notamment) régulateur du système nerveux!
– Huiles essentielles de: petit grain Bigaradier, lavande, ylang-ylang, basilic sacré…
En massage (quelques gouttes d’huiles essentielles à diluer dans un peu d’huile végatale et masser: Nuque et Trapèzes – Plexus Solaire – et bas du dos (dans cet ordre) le soir au coucher.
Les Zones 9 et 10: Les poumons
Si vous fumez, il est temps d’arrêter!
Si vous ne fumez pas, il faut prendre l’air (l’air frais hein! la forêt, les parcs..)
Il est impératif de décrasser ses poumons: Pour cela pas de secret, il faut transpirer!
Et les exercices les plus éfficaces seront ceux d’endurance.
Vous pouvez également faciliter l’expéctoration du mucus et des déchets à l’aide de décoction de feuilles de thym et d’eucalyptus ainsi qu’avec des huiles essentielles, notamment l’eucalyptus radiata et le niaouli.
Pour les fumeurs; le sirop des fumeurs du laboratoire HerbalGem est particulièrement indiqué, mais ce n’est pas une pas une excuse pour continuer à fumer!
Autre raison: l’allergie! et bien souvent ce sont les produits laitiers et/où le gluten qui sont mis en cause, faites un test d’intolérance ou supprimez ces allergènes de votre alimentation durant 30 Jours et observez les réactions de votre corps!
Les Zones 11 et 12: Les Hormones!
C’est l’acné la plus difficile à traiter! Surtout chez les femmes, nos hormones fluctuent durant les diffréntes phases de notre vie: croissance, adolescence, procréation, ménopause …
A cela s’ajoute les déréglements éxtérieurs:
Les changements de pilule, de stérilet, de contraception, le stress, les régimes et j’en passe!
Le meilleur moyen de réguler ses hormones c’est d’abord, faire un bilan endocrinologique (hormonal quoi!) afin de trouver la cause du dérèglement et de le traiter soit Naturellement chez un naturopathe ou un homéopathe ou de façon conventionnelle (mais bien souvent de synthèse) chez votre gynéco!
Le Zinc et la vitamine C permettent également de réguler l’activité hormonale, consommez des aliments qui en contiennent ou supplémentez-vous.
(Zinc: 10mg/ Jour – Vit C: 80mg/Jour)
Aliments riches en zinc: Germes de blé, pain complet, jaune d’oeuf, crustacés, céréales et légumineuses
Aliments riches en Vitamine C: Acérola, cynorhodon, Persil, poivron rouge cru, fraise, papaye, kiwi, chou fleur, brocoli …
Afin de réguler vos hormones il existe des plantes dites Hormon-like c’est à dire qui agissent comme une hormone dans l’organisme.
Ces plantes sont à utiliser avec la plus grande prudence et jamais sans l’avis d’un thérapeute. Un naturopathe saura vous conseiller.
Elles sont également interdites chez les femmes ayant des antécédents de cancer du sein ou une grande prédisposition aux cancers hormono-dépendants.
Il s’agit de:
– l’onagre (huile)
– Sauge (feuille)
– Soja (graines)
– Lin (huile)
– Cyprès de provence (huile essentielle)
– Romarin à verbénone (huile essentielle)
– Gattilier (graines)
– Fenugrec (graines)
La Zone 13: L’estomac
Pacifiez votre sac d’acide!
Réduisez les aliments: pimentés, les épices fortes, la nourriture grasse, la viande et les produits laitiers.
Faites des repas copieux à midi et léger le soir.
Augmentez la part de fibre: Haricots rouges-verts-blancs, Lentilles, cérales complètes, artichauts, salsifis, asperges, pomme, poire etc…
Buvez du jus de citron avec de l’eau tiède le matin à jeûn, et buvez de l’aloe vera le soir au coucher durant 3 semaines, renouvelable tous les mois durant 3 mois!
La zone 14: L’immunité
Le signe que votre organisme se défend!
Il est donc intéressant dans ce cas de renforcer son système immunitaire tout en apportant une touche d’antimicrobien: L’aloe vera!
Elle va purifier l’organisme grâce à ses pouvoirs anti-oxydants mais également enrayer les infections fongiques, bactériennes ou virales.
L’aloe permettra de réguler l’équilibre Acido-Basique et ainsi d’empêcher l’infection de proliférer!
Si le problème est récurrent: Consultez un professionnel! Cela peut être les premiers symptômes d’une maladie auto immune.
Voilà vous êtes incolables désormais sur les boutons et les messages que votre corps vous envoie, je rappelle que tous ces conseils aussi judicieux soient-ils ne se soustraient pas à un vrai bilan vital chez un naturopathe ou une consultation chez votre Dermato!
Contact:
Mon site WEB: https://amandineberoudiaux.webnode.fr/
Forum
bonjour,
je crée ce sujet car je me retrouve confronté à un mélanome depuis quelques mois.
j’ai 50 ans
j’ai repéré une petite boule derrière l’oreille gauche il y a un an.
j’ai consulté.
le médecin m’a envoyé faire une échographie.
Ras
elle a grossi et me faisait mal.
nouvelle écho et le radiologue a fait une cytoponction sous échographie.
retour du labo, ce n’est rien.
de plus la boule s’est nécrosée.
en décembre apparition d’une adénopathie dans le cou.
je revois le généraliste.
nouvelle écho, rien d’anormal.
certainement une infection me dit-on.
j’ai réussi a avoir un rdv chez un orl.
quand je le vois, je suis sous antibiotique.
il m’annonce que si elle est toujours là d’ici 15, opération en ambulatoire? pour la retirer avec cette boule derrière l’oreille.
Après 3 semaines, je reviens au rdv post opératoire
le diagnostic tombe, mélanome!
l’adénopathie est un ganglion méthastasique.
le primaire est certainement la boule mais rien de certain.
du coup, les choses s’enchainent.
*scanner qui révèle quelque chose dans le cervelet.
*curage ganglionnaire de toute la chaine du cou.
5 ganglions supplémentaires de touchés.
sans rupture capsulaire
*petscan du corps entier qui fixe en un point unique dans le pectoral droit.
irm cérébrale pour confirmer
pas de métastase cérébrale, c’est un simple kyste.
opération de la métastase dans le muscle.
l’analyse confirme le mélanome.
3 anesthésies générales en quelques semaines, mais bien supportées
mon coordinateur local organise une rcp
contrôle chez lui tous les 3 mois et imagerie tous les 6 mois.
il conseille une radiothérapie adjuvante de la zone du primitif pour être certain de nettoyer le foyer primaire qui n’a pas été clairement identifié.
classifié en III
je me rend chez le radiothérapeuthe, confiant.
et là, la douche froide.
en effet, on diminue le risque de récidive locale mais pas à distance.
en plus l’irradiation va avoir des effets indésirables conséquents.
25 séances de programmées.
et à l’entendre, ça ne sert à rien, je ferai une récidive de toutes façons.
il y a certainement des petites cellules cancéreuses non encore détectées qui circulent dans le sang ou le système lymphatique.
en sortant de chez lui, je suis anéanti avec un pied dans la tombe.
pris de panique j’envoie mon dossier à l’IGR (gustave roussy) à villjuif.
mon cas est classifié en IV (métastase à distance)
aucun traitement adjuvant (ni immuno, non validée car tout a été retiré, ni radiothérapie).
a la lecture de la rcp locale, il mette un commentaire sur la radiothérapie.
en effet, réduirait le risque local mais pas à distance.
à rediscuter avec l’équipe sur place mais le radiothérapeute n’est pas chaud
contrôle par échographie des gangloins et scanner ou petscan du corps entier tous les 3 mois.
on garderai l’immunothérapie en cas de récidive non opérable.
physiquement, je me sens bien.
moralement c’est plus compliqué.
je ne sais plus quoi penser ni sur la radiothérapie ni sur la suite de ce qui peut m’arriver.
ai-je une chance de m’en sortir ou suis-je condamné à plus ou moins brève échéance.
une récidive consisterait en un nouveau mélanome ou des cellules de celui là pourraient envahir d’autres organes?
un seul, plusieurs simultanément?
merci de vos avis et de vos expériences
eric
Ganglion gonflé sous l’oreille : les principales causes
Gonflement des ganglions sous l’oreille: à surveiller
Quand les ganglions lymphatiques situés sous chaque oreille se mettent à gonfler, on parle d’adénopathie. Ce phénomène peut faire suspecter une infection. Le gonflement correspond au processus de défense de l’organisme par le système lymphatique. Il s’agit d’une réaction à ne pas négliger. Elle peut faire suite à une vaccination, ou être due à une piqûre d’insecte, une plaie récente, une mononucléose, ou encore aux oreillons, à la rubéole, voire à une infection ORL. Dans ce dernier cas, le gonflement peut faire suite à une otite, une angine ou une rhinopharyngite. Se référer au carnet de santé peut être utile pour faire le point.
A lire aussi : 50% des prescriptions d’antibiotiques sont inutiles !
Ganglion sous l’oreille gonflé: une cause tumorale
Lorsque l’on perçoit une modification d’un ganglion sous l’oreille, il est important de ne rien négliger. Dans certains cas, un gonflement des ganglions du cou peut faire suspecter une grave maladie comme une tumeur maligne ou un lymphome, c’est-à-dire un cancer des ganglions lymphatiques. Lorsqu’un ganglion grossit et devient dur, il est indispensable de consulter un médecin sans attendre, que la zone sous l’oreille soit douloureuse ou non. Des examens complémentaires permettront au praticien d’en diagnostiquer la cause exacte et de prescrire le traitement qui s’impose.