Table des matières
- Boule, grosseur – Tout savoir
- Quelles sont les causes possibles ?
- Comment diagnostiquer une grosseur ?
- Chondrome rodens
- Sommaire
- Chondrome rodensÀ propos d’un cas clinique
- Examens complémentaires
- Traitement
- Suivi post-opératoire
- Discussion
- ICI Radio-Canada
- Gonflement, grosseur, boule dans le cou : quelles causes ?
Boule, grosseur – Tout savoir
Une petite boule, une grosseur peut apparaître dans n’importe quelle partie du corps. Le plus souvent, elle se forme au niveau du cou, des seins, des testicules, de l’aine et des aisselles. Il s’agit d’un problème fréquent, qui, selon la nature de la grosseur, peut être parfaitement bénin ou très alarmant. Il est toujours préférable de consulter en médecin.
Quelles sont les causes possibles ?
Les causes de grosseurs sont multiples. Il peut tout simplement s’agir d’un très gros hématome suite à un choc. L’obstruction d’un follicule pileux peut former un kyste sébacé sur la peau, voire d’un abcès. Une accumulation de graisse sous la peau peut former des lipomes. La bosse peut aussi être provoquée par le déplacement d’un organe hors de sa cavité naturelle, en d’autres termes d’une hernie. Un dérèglement hormonal peut provoquer l’hypertrophie d’une glande. C’est souvent le cas de la glande thyroïdienne, qui forme alors un goitre. Les boules peuvent aussi être des ganglions gonflés à cause d’une infection, le plus souvent virale. Enfin, la grosseur peut aussi être une tumeur bénigne ou d’origine cancéreuse.
Comment diagnostiquer une grosseur ?
La localisation de la ou des grosseurs donne déjà une orientation au diagnostic. Des nodules présents dans les deux seins sont ainsi généralement liés à un problème hormonal sans gravité. Il s’agit alors généralement de mastoses. Une grosseur à un seul sein a plus de risques de révéler un cancer des seins. Le médecin étudiera aussi les autres caractéristiques de la boule: volume, forme, douloureuse ou non au toucher, fixe ou mobile sous les doigts… Des symptômes accompagnateurs peuvent aussi aiguiller le médecin : fièvre, asthénie, perte de poids… Selon les cas, il peut demander des examens complémentaires pour confirmer son diagnostic. Il s’agit le plus souvent d’une biopsie et/ou d’une radiographie de la zone touchée.
Chondrome rodens
Sommaire
- Le chondrome rodens est une tumeur rare chez le Chien, atteignant plus volontiers les os du crâne.
- Nous décrivons ici le diagnostic et le traitement chirurgical d’un chondrome rodens survenu chez un berger malinois de 9 ans.
- Il est important d’intervenir rapidement sur ces tumeurs afin de pouvoir réaliser une exérèse aussi complète que possible.
Auteurs : Drs. A. Gautherot et S. Etchepareborde 19-06-2013
Centre Hospitalier Vétérinaire des Cordeliers, 29 avenue du Maréchal Joffre, 77100 Meaux.
E-mail : [email protected]
Cet article a été publié dans : L’Essentiel (2013) : p 86-88
Chondrome rodens
À propos d’un cas clinique
Un chien malinois mâle de 9 ans est référé en consultation pour l’exploration d’une masse ferme sur le haut du crâne (photo 1).
Présente depuis des mois, elle a subitement grossi en 3 semaines. Une biopsie réalisée la semaine avant la consultation par le vétérinaire traitant a mis en évidence un chondrome multilobulaire. L’examen général est par ailleurs normal. La palpation de la masse n’est pas douloureuse.
Photo 1 : Aspect macroscopique de la tumeur. L’animal a été tondu pour l’intervention chirurgicale.
Examens complémentaires
Un bilan sanguin complet est réalisé (NFS, biochimie, ionogramme, temps de coagulation) et ne montre aucune anomalie.
Un bilan tomodensitométrique est entrepris.
Le crâne et le thorax sont examinés pour déterminer respectivement l’envahissement local du calvarium et la présence de métastases pulmonaires.
- Rostralement, la masse recouvre les sinus frontaux dorsalement et les envahit (photo 2).
- Caudalement, le tissu hyperdense après l’injection de produit de contraste s’étend jusqu’au milieu de la crête occipitale.
- Latéralement, la masse déborde de façon plus importante du côté gauche avec un envahissement du processus zygomatique de l’os frontal et s’étend 1 cm en arrière de l’œil (photo 3).
Photo 2 : Aspect tomodensitométrique de la masse : notez l’envahissement des sinus frontaux (étoiles) et la latéralisation à gauche (flèche).
Aucune compression du cerveau n’est visible au scanner.
Les images thoraciques ne mettent pas en évidence de métastase à distance.
Photo 3 : Aspect tomodensitométrique de la masse en vue sagittale : la masse s’étend très caudalement (flèche).
Traitement
Un traitement chirurgical est considéré compte tenu de la vitesse d’accroissement de la tumeur et du risque de compression cérébrale.
L’animal est préparé pour la chirurgie et positionné en décubitus sternal (photo 4).
Photo 4 : Vue peropératoire : l’animal est positionné en décubitus ventral.
Une crâniotomie est réalisée en prenant des marges de 5 à 10 mm autour de la masse (photo 5).
Photo 5 : Délimitation de la craniotomie (en rouge) sur la vue tomodensitométrique préopératoire.
Les sinus frontaux sont ouverts puis les os frontaux, pariétaux et occipital sont coupés pour permettre la résection de la tumeur (photos 6a et 6b).
Photos 6a et 6b : Les sinus frontaux et os frontaux, pariétaux et occipital ont été découpés à la fraise et à la scie oscillante (a), permettant la résection en bloc de la tumeur (b).
Afin de prétendre à des marges saines, le processus zygomatique de l’os frontal gauche est retiré. Le cerveau est alors exposé (photo 7).
Photo 7 : L’encéphale est exposé ; L’hémisphère droit est ici recouvert des méninges (étoile) ; elles seront réséquées pour analyse anatomo-pathologiques (marges profondes).
L’hémostase est réalisée grâce à des compresses de collagène (photo 8).
Photo 8 : Le cerveau est temporairement couvert par une compresse de collagène (Pangen®) afin d’assurer l’hémostase.
Une greffe de fascia temporal est utilisée pour recouvrir le cerveau et fixée aux méninges des bords de la crâniotomie (photo 9).
Les muscles temporaux sont refermés puis le tissu sous-cutané et la peau sont suturés classiquement.
Photos 9a—c : Le fascia temporal (étoile) est disséqué (a), isolé (b) puis suturé pour recouvrir l’encéphale, sa face superficielle étant placée contre le cerveau (c)
Une acquisition scanner est réalisée avant de placer l’animal en réveil (photo 10).
Photos 10a et 10b : Images tomodensitométriques en post-opératoire immédiat en vue sagittale (a) et en vue frontale (b)
L’animal est gardé sous sédation pendant 6 heures avec une perfusion de chlorhydrate de Fentanyl (dose de charge à 2 μg / kg / h IV) pour permettre un réveil progressif et calme.
Suivi post-opératoire
L’intervention n’a » malheureusement » pas modifié le caractère agressif du chien qui montrait déjà les dents quelques heures après la chirurgie (photo 11).
Le comportement de l’animal en hospitalisation ne permet pas de réaliser de soin sans anesthésie générale.
Compte-tenu de son agressivité et d’une très bonne récupération, l’animal est sorti après 24 heures d’hospitalisation, en marchant.
Une antibiothérapie est instaurée (amoxicilline/acide clavulanique 20 mg / kg BID) pour 3 semaines.
L’antalgie est assurée par du carprofène (4 mg / kg PO SID), du tramadol (5 mg / kg PO TID) et de la gabapentine (2 mg / kg TID).
Au contrôle téléphonique à 1 mois, les propriétaires décrivent un retour à une activité normale sans trouble neurologique rapporté.
L’examen histopathologique de la tumeur confirme le chondrome rodens et souligne la présence d’éléments en faveur d’une transformation maligne vers un chondrosarcome multilobulaire (perte focale d’organisation lobulaire, plages hémorragiques, index mitotique modéré à élevé). Les marges profondes sont saines mais la tumeur est en contact étroit avec les marges latérales. Le risque de récidive locale n’est donc pas négligeable.
Discussion
Tableau de grades histologiques basé sur le système établit par Straw, et al1
Également nommé chondrome -, ostéome -, ostéochondrome -, ou ostéochondrosarcome multilobulaire, le chondrome rodens est une tumeur primaire rare des os plats, principalement du crâne (calvarium, mandibule, maxillaire)1.
Bien que des cas aient été rapportés sur des chiens jeunes ou de race de petit format2, ce type de tumeur est plus fréquent chez des chiens d’âge moyen à vieux et de taille moyenne à grande comme dans le cas décrit ici. En revanche, aucune prédisposition raciale ou sexuelle n’est mise en évidence1.
Classiquement, le motif de consultation est la présence d’une masse ferme et adhérente au crâne. Selon la localisation ou le degré d’envahissement de la tumeur, des symptômes neurologiques3 ou oculaires4 peuvent également être observés.
De croissance lente, la tumeur est localement très invasive et présente un haut degré de récidive locale (près de 50 %)1 avec un potentiel métastatique modéré, pulmonaire en général.
L’examen tomodensitométrique permet d’obtenir des images typiques (photos 2 et 3) d’une masse granuleuse et non homogène envahissant le calvarium5.
L’analyse histopathologique permet d’établir le diagnostic de chondrome rodens, le différentiel incluant l’ostéosarcome, l’hémangiosarcome, le fibrosarcome et le chondrosarcome.
Dans notre cas, une biopsie a d’abord été réalisée puis un examen tomodensitométrique a permis de déterminer l’envahissement de la masse (pour en définir les marges d’exérèse) et de réaliser le bilan d’extension à distance. Le grade histologique (sur base du système établit par Straw, et al.1 (tableau)) constitue un facteur de pronostic. Il permet notamment de déterminer les médianes de survie et du temps avant récidive locale.
Dans notre cas particulier, la tumeur est de grade II. La médiane de survie attendue est donc de 520 jours1.
Une résection chirurgicale agressive constitue le traitement de choix. L’obtention de marges saines, compliquée par la présence des structures vitales risquant d’être lésées, réduit drastiquement les risques de récidives locales. Dans le cas décrit plus haut, les marges latérales de la pièce d’exérèse sont en étroit contact avec la tumeur, augmentant significativement le risque de récidive.
La cranioplastie reconstructrice est souhaitable lorsque le défect osseux est important mais la présence d’un volumineux implant est corrélé à un risque infectieux, en particulier lorsque le sinus frontal est exposé4. Plusieurs techniques sont décrites pour refermer le calvarium4.
Dans notre cas, le choix s’est porté sur une greffe du fascia du muscle temporal. L’utilisation d’allogreffe osseuse2, de prothèse en polyméthyl-méthacrylate2, 6 ou de greffe de sous-muqueuse
intestinale de porc7 sont également rapportées.
Les chondromes multilobulaires sont donc principalement des tumeurs malignes d’agressivité locale. Le diagnostic précoce est important puisqu’il améliore les chances de pouvoir complètement retirer la masse chirurgicalement.
La chirurgie comporte un risque hémorragique important et les animaux nécessitent dans la majorité des cas des soins intensifs pendant plusieurs jours.
ICI Radio-Canada
Les médecins croient maintenant qu’elle était atteinte d’une rare forme du sarcome des tissus.
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La masse derrière la tête de Rachael Sawka a grossi en quelques mois.
Photo : Rachael Sawka
À quelques reprises pendant les traitements, la masse s’est mise à saigner abondamment et la jeune patiente a dû recevoir cinq transfusions de sang.
» Je ne pouvais plus vivre avec ça, c’était hors de contrôle et ça faisait mal, explique Mme Sawka. C’était comme du tissu, ça ressemblait à un cerveau qui sortait de l’arrière de ma tête. C’était puant, noir et dégoutant… Comme de la peau morte. «
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L’opération pour enlever la masse a duré 10 heures et il n’y aura plus jamais de cheveux qui vont pousser à cet endroit derrière la tête de Rachael Sawka
Photo : Rachael Sawka
En juillet, les traitements ont assez réduit la masse pour que les chirurgiens puissent l’enlever. L’opération a duré 10 heures. En plus de la tumeur, les chirurgiens ont retiré une partie de son crâne, de la peau et du tissu musculaire.
Les chirurgiens ont transplanté des muscles de son épaule à son cou, et ont fait une greffe de peau de sa jambe vers la région touchée derrière sa tête.
» Je sens qu’il y a eu beaucoup de fautes, et cela n’aurait jamais dû se passer, explique Mme Sawka. Je ne sais pas comment j’ai pu vivre à travers tout ça. C’était horrible. Je ne serai jamais plus pareil, mais je suis en vie, c’est ce qui compte. «
Mme Sawka a dépensé 8000 $ pour faire congeler ses ovules avant de commencer six mois de chimiothérapie le 24 octobre.
La jeune femme dit avoir un très bon réseau de soutien de famille et d’amis qui l’aident à travers cette épreuve.
Une révision en cours
Un porte-parole de l’Office régional de la santé de Winnipeg dit que l’organime est entré en contact avec Rachael Sawka et q’une révision de son dossier est en cours.
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Rachael Sawka ne savait pas si elle était pour survivre son cancer. Elle a eu son chien Paisley pour l’aider à lui remonter le moral durant cette période difficile de sa vie.
Photo : Erin Brohman/CBC
La patiente soutient qu’on lui a affirmé qu’il y avait 50 % de chance que son cancer s’étende et forme des métastases.
Selon les informations recueillies par Erin Brohman, CBC
Gonflement, grosseur, boule dans le cou : quelles causes ?
Dernière mise à jour: novembre 2018 | 136679 visites
news Un gonflement ou une grosseur dans le cou peuvent avoir différentes causes, bénignes ou beaucoup plus graves. Dans tous les cas, il est fortement conseillé de consulter un médecin. A quoi ce symptôme peut-il être dû ?
• Les ganglions. Chez les enfants et les jeunes adultes, les ganglions lymphatiques enflés et douloureux sont généralement le résultat d’une infection de la gorge ou des oreilles, d’un abcès dentaire… Les ganglions gonflés sont souvent douloureux et d’autres symptômes sont présents : fièvre, fatigue, perte d’appétit, déglutition douloureuse… Le gonflement est une réaction normale à une infection et il disparaît dès que l’infection est terminée.
Chez les personnes plus âgées, lorsque le gonflement des ganglions lymphatiques ne disparaît pas spontanément après quelques semaines, des examens complémentaires sont nécessaires. Parfois, cela peut être le signe d’une tumeur maligne (cancer), avec des ganglions nettement élargis et durs, souvent peu douloureux et qui croissent progressivement.
• Les glandes salivaires. Une inflammation peut toucher les glandes salivaires, ce qui se traduit par un gonflement à l’angle de la mâchoire, au-dessous de l’oreille ou au bas de la bouche. Ceci peut être accompagné de douleur et d’autres symptômes, comme de la fièvre.
Chez les enfants et les adolescents, la cause est généralement une infection. Chez les personnes d’âge moyen, il s’agit davantage de calculs glandulaires salivaires, d’infection chronique ou d’une tumeur (généralement) bénigne ou (parfois) maligne. Plus on est âgé, plus le risque de développer une tumeur maligne s’élève.
Un gonflement des glandes salivaires peut également survenir avec une modification du métabolisme associée au diabète, à une maladie du foie ou encore à un trouble de la thyroïde.
• Le kyste. Un gonflement du cou est parfois causé par un kyste qui augmente de volume à un moment donné. Un kyste est une cavité en forme de ballon remplie de liquide. Il est tendu, mais il cède lorsqu’on appuie dessus. Un kyste du cou peut être congénital et se manifester par un gonflement plus tard dans la vie. Un kyste est généralement enlevé chirurgicalement.
• La thyroïde. Un gonflement dans le cou peut aussi être causé par un gonflement de la thyroïde. Le goitre est une augmentation tangible et visible du volume de la thyroïde au bas et au centre du cou. Il peut aussi prendre la forme de nodules, des petites masses arrondies.
Souvent, il n’y a aucun symptôme. Parfois, la bosse appuie sur l’œsophage et vous avez du mal à avaler, ou sur la trachée et vous avez une respiration sifflante. Généralement, il s’agit d’un phénomène relativement inoffensif et la thyroïde elle-même fonctionne toujours normalement. Mais parfois, la thyroïde travaille trop énergiquement (hyperthyroïdie) ou trop passivement (hypothyroïdie).
• Le lipome. Un lipome est une tumeur (presque toujours) bénigne qui pénètre souvent dans le cou. Les lipomes mesurent entre deux et dix centimètres de large, mais ils deviennent parfois encore plus grands. Ils sont généralement clairement ressentis comme des nodules souples et faciles à déplacer. Parfois, ils sont douloureux parce qu’ils sont positionnés contre un nerf. Les lipomes ne nécessitent généralement pas de traitement sauf s’ils sont clairement visibles ou douloureux.
• Le paragangliome. Il s’agit d’une tumeur bénigne rare, parfois héréditaire, qui survient généralement entre 20 et 40 ans. En règle générale, le cou gonfle lentement ou des acouphènes vous font mal. Chez certains patients, les nerfs peuvent rester coincés, entraînant un enrouement, une déglutition difficile ou une paralysie du visage.
• Le cancer. Les tumeurs sont rares chez les enfants et les adolescents, mais si elles se produisent, elles sont plus souvent malignes que bénignes.
Chez les personnes âgées de plus de 40 ans, une tumeur au cou peut indiquer un cancer. Par exemple, il peut s’agir d’un premier signe de lymphome (maladie de Hodgkin, lymphome non hodgkinien…). Dans de très rares cas, le gonflement des ganglions lymphatiques est une expression du cancer du sang (leucémie lymphocytaire). Il peut aussi être le premier signe d’un cancer de la glande salivaire ou de la thyroïde, et parfois d’un cancer de la tête ou du cou.
Une tumeur maligne est généralement de forme irrégulière, grossit, est indolore et dure.
Quand faut-il consulter un médecin ?
Consultez toujours un médecin pour une investigation plus poussée dans les circonstances suivantes.
• Le gonflement persiste pendant plus de 2 à 4 semaines.
• Un ou plusieurs ganglions lymphatiques sont gonflés, alors que l’état général est bon (pas d’infection).
• Le gonflement est accompagné d’autres symptômes.
– perte de poids inexpliquée
– transpiration abondante la nuit
– fièvre pendant plus de 5 jours
– plaies dans la bouche qui ne guérissent pas
– grande fatigue
• Le gonflement est dur et / ou ne fait pas mal au toucher.
• Le gonflement prend de l’ampleur.
• En cas de tabagisme et / ou de consommation excessive d’alcool.
publié le : 28/11/2018 , mis à jour le 28/11/2018