Table des matières
- Mon chat a une boule sous la peau
- Les causes d’une boule sous la peau du chat
- Les traitements du fibrosarcome du chat
- 1. Vous sentez une boule sous sa peau
- 2. Il présente des symptômes inhabituels
- 3. Vous sentez une boule au niveau de ses muqueuses
- Définition : qu’est-ce qu’un lipome ?
- Symptômes et douleurs d’un lipome
- Causes d’un lipome
- Diagnostic
- Traitement : comment enlever un gros lipome ?
- Opération du lipome : est-elle remboursée ?
- Comment perdre l’intérieur des cuisses rapidement ?
- Soignez votre alimentation pour perdre du gras des cuisses
- Les exercices pour perdre l’intérieur des cuisses : une affaire de sportives
- Cellulite et amas graisseux : comment s’en débarasser sans chirurgie esthétique ?
Mon chat a une boule sous la peau
La découverte d’une grosseur sous la peau de votre chat peut, certes, vous inquiéter. Néanmoins, avant toute inquiétude, mieux vaut consulter votre vétérinaire afin d’en connaître les causes et les traitements adaptés.
Il peut arriver de découvrir une boule sous la peau de votre chat lors de sa toilette ou d’une séance de câlins. Sans paniquer, renseignez-vous auprès de votre vétérinaire afin de déterminer la cause de cette boule pour la traiter efficacement.
Les causes d’une boule sous la peau du chat
Les causes bénignes d’une boule sous la peau
En caressant votre chat ou en le coiffant, il se peut que vous trouviez une boule assez dure sous la peau de votre chat. Si celle-ci peut vous alerter, elle peut n’être que bénigne. Parmi ces boules dont les causes peuvent être bénignes, on retrouve :
- Les abcès
- Les kystes sébacés
- Une réaction à une injection
Les abcès apparaissent chez le chat en cas de blessures non traitées. Le chat peut alors avoir un gonflement sous la peau, signe d’une infection liée à cette blessure. Celle-ci doit alors être désinfectée et surveillée afin que le gonflement disparaisse. Les kystes sébacés, quant à eux, sont des petites boules qui apparaissent chez les chats déjà âgés, signes de leur vieillissement. Il se peut également qu’une boule se forme entre les omoplates de votre chat suite à une injection, par exemple un vaccin. Il s’agit d’une petite réaction inflammatoire qui se rétablira rapidement en général.
Le fibrosarcome chez le chat
Dans le cas où cette boule persiste voire grossit, il peut s’agir d’un fibrosarcome du chat, autrement dit, d’une tumeur cancéreuse. En général, cette tumeur maligne se présente sous la forme d’une petite boule située entre les épaules, au-dessus du cou, qui va rapidement grossir si elle n’est pas prise en charge. Elle est très adhérente aux tissus sous-cutanés. Comme tout cancer, le fibrosarcome met la vie de votre chat en danger ; il est donc primordial d’intervenir au plus vite afin d’enlever les cellules cancéreuses.
Les traitements du fibrosarcome du chat
Une fois le diagnostic de fibrosarcome posé, à la suite de l’analyse de la boule, votre vétérinaire vous proposera les traitements adaptés et procédera à une chirurgie afin d’enlever les cellules cancéreuses ainsi que les cellules saines environnantes. Celles-ci seront alors analysées afin de déterminer si elles ont été touchées ou si le cancer ne s’étend pas. Quand bien même le fibrosarcome serait traité, votre chat n’est pas à l’abri d’une récidive, ce cancer étant très agressif. Dans ce cas, il peut vous être proposé une radiothérapie : pour cela, on introduit dans la cicatrice de la boule prélevée un produit radioactif, l’iridium, afin de « tuer » les cellules atteintes. Pour faire ce traitement, vous devrez aller dans une clinique équipée de ce matériel.
Est-ce qu’une désinfection locale suffit à traiter un abcès ?
Après que votre chat ait été mordu, vous pouvez désinfecter la plaie avec un antiseptique. Cela peut suffire mais souvent un abcès se développe : on sent une grosse boule molle. Parfois, l’abcès se vide seul. Mais, dans la majorité des cas, il est nécessaire d’intervenir chirurgicalement pour effectuer un débridement. En effet, si l’abcès n’est pas nettoyé et désinfecté en profondeur, il y a risque de récidive.
Dr Elisabeth Tané, vétérinaire.
Ecrit par:
La rédaction de Doctissimo
Relecture et validation : Dr Jesus Cardenas, Directeur médical de Doctissimo, 27 janvier 2017
Créé le 19 août 2015
Malheureusement, votre chat aussi peut être victime d’un cancer. Dans ce cas, les signes peuvent varier, mais le plus souvent une tumeur apparaît. Mais attention, une tumeur n’est pas forcément un cancer, c’est d’abord une excroissance qui peut avoir plusieurs origines (ça peut aussi être une verrue par exemple). Toutefois, mieux vaut consulter immédiatement un vétérinaire afin de pouvoir la traiter au plus vite et ne prendre aucun risque. Voici les principaux signes d’une tumeur chez le chat.
Sommaire
1. Vous sentez une boule sous sa peau
Si, en palpant votre chat, vous sentez sur sa peau une grosseur anormale, il convient de s’inquiéter. Même si vous pensez qu’il s’agit simplement d’un gros bouton, une visite chez le vétérinaire est tout de même vivement recommandée. En effet, les tumeurs de la peau peuvent être particulièrement agressives, mieux vaut donc les retirer rapidement.
Et surtout, n’essayez pas de triturer la boule de peau dans tous les sens, cela pourrait avoir pour effet d’aggraver le problème. Seul un oeil expérimenté, tel que celui d’un vétérinaire pourra vous informer du niveau de gravité de cette boule.
2. Il présente des symptômes inhabituels
Les tumeurs sous-cutanées peuvent se situer au niveau du cou de votre chat, de son abdomen ou encore de ses mamelles. Le plus souvent, le chat présente également d’autres symptômes tels que des vomissements, une toux récurrente, une difficulté à se déplacer ou à respirer, une perte de poids, des saignements ou encore un changement de comportement (isolement, miaulement anormal…). Dans ce cas, il faut réagir vite !
Si vous tardez à emmener votre chat chez le vétérinaire, cela pourrait provoquer des dommages irréversibles sur sa santé, voire même causer sa mort.
Crédits : iStock
3. Vous sentez une boule au niveau de ses muqueuses
Les tumeurs peuvent également se développer au niveau des muqueuses de votre chat, c’est-à-dire dans la bouche, au niveau de la vulve ou encore de l’anus. L’animal aura alors bien souvent du mal à manger, à uriner ou à déféquer.
Dans ce cas, n’hésitez pas une seule seconde à consulter un vétérinaire. En effet, en plus du risque que ce soit bel et bien une tumeur cancéreuse, votre chat pourrait présenter des carences, faute de pouvoir se nourrir, ou endommager sérieusement son appareil urinaire.
Définition : qu’est-ce qu’un lipome ?
Les lipomes sont des boules de graisse de 5 à 7 cm de diamètre qui se forment sous l’épiderme par l’agglomération de globules graisseux. Cela arrive quand certaines cellules du tissu adipeux prolifèrent tellement qu’elles finissent par constituer une nodosité, appelée lipome. « Il s’agit donc d’une tumeur, bénigne dans la très grande majorité des cas », explique le Dr Marie Estelle Roux, dermatologue. On n’en connaît pas vraiment l’origine, ils apparaissent sur différentes parties du corps, notamment sur les bras, le cou, le torse ou le sein. Il existe trois principaux types de lipomes :
- le lipome circonscrit (apparaissant sous la peau ou dans un muscle),
- le lipome diffus (beaucoup plus rare, s’apparentant à une tumeur bénigne),
- l’adéno-lipomatose (qui désigne un lipome associé à une adénopathie sous-jacente, localisée dans un ganglion lymphatique).
Ces tumeurs affectent principalement les adultes entre 40 et 60 ans. On parle parfois à tort de « kyste graisseux » pour désigner le lipome. Or « le terme « Kyste graisseux » n’est pas un terme médical, quand c’est graisseux, on ne parle donc pas de kyste, mais d’un lipome « , explique la dermatologue.
Symptômes et douleurs d’un lipome
Le lipome est souvent localisé au niveau de la ceinture scapulaire (les deux omoplates et les deux clavicules) et des bras, mais il peut aussi se situer au niveau des seins, du visage ou des jambes. Le lipome n’entraîne pas de symptômes. Ils peuvent rester un moment avant qu’on détecte leur existence, sauf s’ils se trouvent dans un endroit inesthétique. Ils se diagnostiquent donc par palpation. Ils peuvent parfois provoquer une douleur s’ils se développent à proximité d’un nerf, ou si, dans de très rares cas, la tumeur devient cancéreuse.
© Serdar çorbacı – 123RF
Causes d’un lipome
« Leur origine est souvent inexpliquée », explique le Dr Marie Estelle Roux, il peut y avoir des prédispositions génétiques, ou ils peuvent apparaître à la suite d’un choc, par exemple au front quand un patient s’est cogné ». S’ils sont souvent béguins, ils peuvent inquiéter certains patients qui les confondent avec une tumeur maligne.
Diagnostic
Les lipomes n’entraînent en général aucune complication, ils sont dans la très grande majorité des cas bénins. « Si le médecin à un doute, un examen clinique pourra dire s’il s’agit d’une tumeur bénigne ou cancéreuse », précise le Dr Marie Estelle Roux. « C’est la consistance et la mobilité du lipome qui indiquent sa nature. Si le lipome change d’aspect, grossit, devient dur ou douloureux, il peut être cancéreux et il faut donc consulter, mais c’est une situation très rare ».
Traitement : comment enlever un gros lipome ?
Il est possible de retirer les lipomes par liposuccion (aspiration de la graisse) ou par ablation chirurgicale. La résection du lipome est indiquée seulement lorsque sa situation est gênante pour l’individu : à savoir « lorsqu’il entraîne une douleur, une gêne fonctionnelle ou esthétique, mais aussi lorsque le médecin à un doute sur la nature bénigne », détaille Marie Estelle Roux. Alors, comment choisir entre liposuccion et chirurgie ? « C’est au cas par cas », explique la dermatologue. « La liposuccion permet une opération rapide et sans cicatrice. » Elle est donc recommandée pour les petits lipomes. Quant à la chirurgie, « elle seule garantie qu’il n’y aura pas de récidive, car il n’y a qu’en opérant qu’on peut être totalement sûr de retirer toute la tumeur. Mais elle engendre une cicatrice aussi large que la taille du lipome ».
A noter qu’il n’y a une seule situation dans laquelle on est sûr qu’il faut opérer : les lipomes cancéreux, afin de s’assurer d’enlever tout risque.
Opération du lipome : est-elle remboursée ?
Quant au remboursement de l’opération, cela dépend de sa raison d’être. Si c’est uniquement esthétique, elle n’est pas prise en charge. En revanche, si c’est une nécessité médicale, la Sécurité sociale rembourse une partie de son coût, et la mutuelle complète le remboursement en fonction du taux souscrit.
Merci au Dr Marie Estelle Roux, dermatologue.
Comment perdre l’intérieur des cuisses rapidement ?
Non satisfaite de l’image que vous renvoie chaque matin votre miroir, vous cherchez désespérément comment perdre l’intérieur des cuisses rapidement. Fort heureusement, les cuisses qui se touchent ne sont pas une fatalité. Il existe différentes méthodes pour déloger la graisse présente sur vos adducteurs, les muscles internes de vos cuisses, et muscler l’intérieur des cuisses.
Soignez votre alimentation pour perdre du gras des cuisses
Perdre l’intérieur des cuisses rapidement revient déjà à perdre du poids sur l’ensemble du corps. Pour cela, vous devez impérativement bannir les aliments riches en graisses, en sucres ou en sel. Inutile de vous préciser que les sodas, les fast-foods ou encore les pizzas sont à limiter autant que possible.
À l’inverse, consommez sans modération des fruits et légumes, des viandes blanches maigres ou des produits laitiers allégés en acides gras, les alliés minceur par excellence. Enfin, buvez de l’eau en grande quantité, soit 1,5 litre minimum par jour. En plus de vous hydrater, cela vous évitera les petites fringales en cours de journée.
Les exercices pour perdre l’intérieur des cuisses : une affaire de sportives
Oubliez le miracle qui vous fera perdre des cuisses comme par magie et foncez enfiler vos baskets ! La pratique régulière d’un sport est la seule méthode, en complément d’une alimentation saine, qui vous permettra de perdre du gras et de muscler l’intérieur des cuisses.
Pour cela, mieux vaut privilégier des sports visant le travail du bas du corps, tels que la marche à pieds, le jogging ou encore le vélo. Ces derniers vous aideront à muscler l’intérieur des cuisses en douceur, tout en mobilisant l’ensemble de votre corps.
Perdre l’intérieur des cuisses rapidement nécessite des exercices ciblés, dont nous vous livrons toutes les clés. Pratiqué quotidiennement, ces derniers visent un travail en profondeur des adducteurs, afin d’en déloger la mauvaise graisse et que vous retrouviez une silhouette de jeune fille.
Les fentes latérales
L’exercice des fentes latérales est particulièrement efficace pour affiner ses cuisses. Pour les pratiquer, mettez-vous en position debout. Gardez le dos bien droit et avancez l’une de vos jambes comme si vous faisiez un grand pas, distant d’environ 90 ° de l’autre jambe. Pliez alors le genou de la jambe de devant. Descendez jusqu’à ce que le genou de la jambe arrière soit à quelques centimètres du sol, puis remontez lentement en gardant les fesses et les cuisses contractées. Enchainez une jambe puis l’autre.
Pour muscler l’intérieur des cuisses, nous vous conseillons d’effectuer 4 séries de 10 fentes de chaque côté pour débuter. Pour corser cet exercice, vous pouvez accélérer le rythme en faisant les fentes en sautant, d’un côté puis de l’autre, en faisant 3 séries de 30 secondes chacune.
Les squats sumo
Parfaits pour muscler l’intérieur des cuisses, les squats sumo, également appelés squats ouverts, le sont également pour travailler les fessiers. Pour cela, en position debout, écartez les jambes de façon à qu’elles soient plus écartées que vos épaules pour maximiser les effets. Tournez vos pieds vers l’extérieur puis fléchissez les jambes, et remontez rapidement.
Faites ainsi 3 séries de 30 mouvements. Une fois à l’aise dans cet exercice, rien ne vous empêche d’augmenter la cadence et le nombre de mouvements effectués par série.
Le papillon
Effectué en position assise, ne croyez pas que l’exercice du papillon n’en est pas moins efficace. Pour cela, pliez les jambes afin que vos talons se touchent et rapprochez-les au maximum de vos fesses. Faites alors des battements avec vos jambes, comme si elles étaient des ailes de papillon, en rapprochant vos genoux du sol à chaque battement. Pour maximiser le travail des adducteurs et perdre de l’intérieur des cuisses rapidement, procédez à 2 séries de 1 minute chacune plusieurs fois par semaine.
Les ciseaux
On ne vous parle pas de matériel scolaire, mais bien d’un exercice destiné à affiner ses cuisses. Les ciseaux consistent à s’allonger, les bras positionnés le long du corps, et à lever les jambes tendues à 90 °, tout en les croisant par répétition. Effectuez des séries de 50 répétitions, en vous octroyant une pause hydratation entre chaque série.
Les battements latéraux
Peut-être l’exercice privilégié pour dire adieu aux cuisses qui se touchent, les battements s’effectuent en position allongée. Sur le côté droit, appuyez-vous sur votre bras, en posant la main gauche devant vous. Passez alors la jambe gauche au-dessus de la jambe droite, posez le pied à terre puis relevez et abaissez lentement la jambe droite. Procédez ainsi en 3 séries de 15 mouvements, avant de changer de côté.
Cellulite et amas graisseux : comment s’en débarasser sans chirurgie esthétique ?
La cellulite est la résultante de deux phénomènes. En premier lieu, la cellulite peut être causée par une mauvaise alimentation qui a apporté un excès de graisse. Mais, en second lieu, la cellulite est très fréquemment due à un mauvais drainage lymphatique. De fait, lorsque l’on commence à réfléchir sur la prise en charge d’amas graisseux très localisés, il va falloir différencier la responsabilité alimentaire et la responsabilité morphologique. Généralement, les deux sont responsables à parts égales.
C’est d’ailleurs pour cela que je considère qu’il ne faut pas s’arrêter sur une seule technique. Je prône plus une prise en charge globale qui va associer à la fois hygiène alimentaire, activité sportive, et une multitude d’actes localisés pour traiter cette cellulite.
Quelles différences avec l’amas graisseux ?
L’amas graisseux, est le stade supérieur de la cellulite : la graisse est vraiment venue se loger dans un endroit très localisé où elle s’est fibrosée et s’est durcie. De fait, la prise en charge pour un amas graisseux va être différente de celle mise en place pour une cellulite diffuse sur tout le corps.
Quelles techniques pour traiter les amas graisseux ?
Pour traiter les amas graisseux localisés, on utilise principalement :
- la lipocryothérapie, en première technique en terme d’efficacité
- l’endermologie, c’est-à-dire des techniques de prises en charge plus globales comme le palper-rouler, qui va travailler à la fois sur le drainage lymphatique et sur le malaxage de cette graisse
- la mésothérapie, qui a plus de 50 ans d’existence. Cette technique consiste à faire de petites injections de produit à visée drainant et à visée amincissant
La vidéo du jour :
Existe-t-il des contre-indications ?
Les contre-indications à toutes ces techniques sont principalement la grossesse, les maladies chroniques et les maladies vasculaires. Par exemple, on ne va pas traiter quelqu’un qui a un défaut de coagulation avec telle ou telle technique. De fait, la prise en charge d’une patiente sur le plan esthétique et sur le plan nutritionnel, devra s’accompagner d’un bilan complet réalisé au préalable. Cela est indispensable afin d’être sûr qu’il n’y ait pas de pathologie sous-jacente qui pourrait contre-indiquer la pratique de toutes ces techniques sur la patiente.
Quelle est la principale demande de vos patientes ?
Aujourd’hui, la principale demande de mes patientes est la prise en charge globale de la cellulite. C’est pour cela que nous avons décidé de nous équiper de différentes techniques qui vont permettre de travailler sur plusieurs points, du raffermissement à la graisse localisée en passant par le défaut de drainage lymphatique.