Table des matières
- Faites connaissance avec Garfield, le chien star de Belle et Sébastien
- « Je ne le croyais pas capable de tout ce qu’il montre à l’écran »
- « Il s’est comporté comme s’il n’était jamais parti »
- Patou
- Belle et Sébastien 2
- Qui sont les chiens sauveteurs ?
- Les chiens d’avalanche
- Les chiens d’intervention sur catastrophe
- Les chiens de sauvetage aquatique
- Chiens et maitres une relation déterminante
- Le Patou ou chien de montagne des Pyrénées, qui protège des loups
- Descriptif et caractéristiques du Patou
- Origine du Chien de montagne des Pyrénées
- Caractère et comportement du Patou – À qui s’adresse-t-il ?
- Comment prendre soin de son Chien de montagne des Pyrénées : ses besoins
- L’alimentation du Patou
- La santé du Chien de montagne des Pyrénées
- Prix d’un chiot Chien de montagne des Pyrénées
Faites connaissance avec Garfield, le chien star de Belle et Sébastien
Garfield, c’est le nom d’un célèbre chat de la bande-dessinée bien sûr, mais c’est aussi celui d’un toutou en passe de devenir une véritable star. Héros de l’adaptation de Belle et Sébastien réalisée par Nicolas Vanier, il impressionne autant par sa taille que par sa beauté et ses talents d’acteur.
Du haut de ses 3 ans et de ses 75 kilos, le superbe chien de montagne des Pyrénées a été sélectionné parmi une centaine d’autres chiens, après de longues heures de tests.
« Je ne le croyais pas capable de tout ce qu’il montre à l’écran »
Puis l’aventure a commencé. Garfield a passé 10 mois loin de ses maîtres pour devenir Belle. Il a délaissé sa mission de gardien de moutons pour rejoindre le tournage du film en Savoie, auprès de deux autres chiens auxquels il a très vite volé la vedette. 3 chiens ont en effet été utilisés par Nicolas Vanier et son équipe, mais le réalisateur a jeté son dévolu sur Garfield, qui a tourné la majorité des scènes.
« Durant les trois premiers mois il a subi une longue séance de dressage sous la direction du Canadien Andrew Simpson le dresseur en chef du tournage. Garfield devait notamment intégrer les ordres en anglais. Andrew qui était venu à la maison pour le casting et les tests a fait un travail remarquable avec lui. Je ne le croyais pas capable de tout ce qu’il montre à l’écran », raconte avec fierté Jean Marc Charneau, le maître de Garfield, dans les colonnes de la Dépêche.
« Il s’est comporté comme s’il n’était jamais parti »
Naturellement, les propriétaires de Garfield appréhendaient le retour de leur bon gros toutou à la maison, à Lunel-Viel dans l’Hérault. Après 10 mois loin d’eux, comment allait-il se comporter ?
Mais ils furent très vite rassurés. « Au moment de son retour à la maison nous étions inquiets. Comment allait-il réagir notamment avec les autres chiens ? Et bien il s’est comporté comme s’il n’était jamais parti. Il leur a fait la fête et il a repris sa place » affirme sa maîtresse Valérie Charneau, qui élève des Huskies.
Devenu chien acteur et chien star, Garfield est et reste avant tout un gardien et protecteur hors-pair, « particulièrement pertinent et prévenant ».
Découvrez le reportage que France TV Info a consacré au magnifique chien de berger :
La bande-annonce de Belle et Sébastien :
Patou
Standard FCI N°137 (04/02/2001)
ORIGINE : France.
DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D’ORIGINE EN VIGUEUR : 13.03.2001.
UTILISATION : Chien de protection du troupeau en montagne.
CLASSIFICATION F.C.I. :
Groupe 2 – Chiens de type Pinscher et Schnauzer – Molossoïdes – Chiens de montagne et de bouvier suisses et autres races.
Section 2.2 – Molossoïdes, type montagne.
Sans épreuve de travail.
ASPECT GENERAL :
Chien de grande taille, imposant et fortement charpenté, mais non dépourvu d’une certaine élégance.
PROPORTIONS IMPORTANTES :
– La largeur maximale du crâne est égale à sa longueur.
– Le museau est légèrement plus court que le crâne.
– La longueur du corps de la pointe de l’épaule à la pointe de la fesse est légèrement supérieure à la hauteur du chien au garrot.
– La hauteur de la poitrine est égale à la moitié de la hauteur au garrot ou légèrement inférieure.
COMPORTEMENT/CARACTERE :
Utilisé pour assurer seul la protection des troupeaux contre les attaques des prédateurs, sa sélection a reposé sur ses aptitudes à la garde et à la dissuasion, autant que sur son attachement au troupeau. Les principales qualités qui en résultent sont la force et l’agilité ainsi que la douceur et l’attachement à ceux qu’il protège. Ce chien de protection a une propension à l’indépendance et un sens de l’initiative qui requièrent de la part de son maître une certaine autorité.
TETE :
Pas trop forte en comparaison de la taille. Ses côtés sont assez plats.
REGION CRANIENNE :
– Crâne : La largeur maximale du crâne est égale à sa longueur. Il est légèrement bombé du fait de la crête sagittale perceptible au toucher. La protubérance occipitale étant apparente, le crâne en sa partie postérieure a une forme ogivale. Les arcades sourcilières ne sont pas marquées, le sillon médian est à peine perceptible au toucher entre les yeux.
– Stop : Il est en pente douce.
REGION FACIALE :
– Truffe : Elle est entièrement noire.
– Museau : Il est large, légèrement plus court que le crâne, s’amenuisant progressivement vers son extrémité. Vu de dessus il a la forme d’un V à la pointe tronquée. Il est bien rempli sous les yeux.
– Lèvres : Elles sont peu tombantes et recouvrent juste la mâchoire inférieure. Elles sont noires ou très fortement marquées de noir, ainsi que le palais.
– Mâchoires/dents : La denture doit être complète, les dents saines et blanches. L’articulé est en ciseaux (les incisives supérieures recouvrent les incisives inférieures sans perte de contact). L’articulé en tenaille ainsi que les deux pinces inférieures basculées vers l’avant sont admis.
– Yeux : Il sont plutôt petits, en amande, légèrement obliques, d’expression intelligente et contemplative et de couleur brun ambré. Les paupières ne sont jamais lâches, elles sont bordées de noir. Le regard est doux et rêveur.
– Oreilles : Elles sont placées à hauteur de l’œil, assez petites, de forme triangulaire, et s’arrondissent à leur extrémité. Elles tombent à plat contre la tête, et sont portées un peu plus haut lorsque le chien est en éveil.
COU :
Il est fort, assez court, avec des fanons peu développés.
CORPS :
La longueur du corps de la pointe de l’épaule à la pointe de la fesse est légèrement supérieure à la hauteur du chien au garrot. La hauteur du sternum au sol est à peu près égale à la moitié de la hauteur au garrot mais jamais inférieure.
– Dessus : Il est bien soutenu.
– Garrot : Il est large.
– Dos : Il est de bonne longueur, solide.
– Rein : Il est de longueur moyenne.
– Croupe : Elle est légèrement oblique avec des hanches assez saillantes.
– Flanc : Il est peu descendu.
– Poitrine : Elle n’est pas trop descendue, mais large et profonde. Elle descend au niveau du coude, pas plus bas, sa hauteur est égale ou légèrement inférieure à la moitié de la hauteur du chien au garrot. Les côtes sont légèrement arrondies.
QUEUE :
Elle descend au moins à la pointe du jarret. Elle est touffue et forme panache, elle est portée basse au repos, avec son extrémité formant crochet de préférence. Elle se relève sur le dos en s’arrondissant fortement, seule son extrémité touchant le rein (en faisant la roue, « arroundera » selon l’expression des Montagnards Pyrénéens) quand le chien est en éveil.
MEMBRES :
MEMBRES ANTERIEURS :
Ils sont d’aplomb, forts.
– Epaule : Elle est moyennement oblique.
– Bras : Il est musclé, de longueur moyenne.
– Avant-bras : Il est droit, fort et bien frangé.
– Carpe : Le poignet est dans le prolongement de l’avant-bras.
– Métacarpe : Il est légèrement oblique.
– Pied : Il est peu allongé, compact, avec les doigts un peu cambrés.
MEMBRES POSTERIEURS :
Les postérieurs présentent des franges plus longues et plus fournies que les antérieurs. Vus de derrière ils sont perpendiculaires au sol.
– Cuisse : Elle est bien musclée, pas très longue et moyennement oblique, » gigotée « .
– Grasset (genou) : Il est moyennement angulé et dans l’axe du corps.
– Jambe : Elle est de longueur moyenne et forte.
– Jarret : Il est large, sec, moyennement coudé.
– Pied : Il est peu allongé, compact, avec les doigts un peu cambrés.
– Ergots : Les membres postérieurs portent chacun des ergots doubles et bien constitués. Les membres antérieurs portent parfois des ergots simples ou doubles.
ALLURES :
La démarche du Chien de Montagne des Pyrénées est puissante et aisée, jamais empreinte de lourdeur, le mouvement est plus ample que rapide, et non dénué d’une certaine souplesse, ni d’une certaine élégance. Les angulations de ce chien lui permettent des allures soutenues.
ROBE :
POIL :
Il est bien fourni, plat, assez long et souple, assez crissant sur les épaules et le dos, plus long à la queue et autour du cou où il peut onduler légèrement. Le poil de la culotte, plus fin et plus laineux est très fourni. Le sous-poil est également bien fourni.
COULEUR :
Elle est blanche ou blanche avec des taches d’apparence grise (poil de blaireau ou louvet) ou jaune pâle, ou orange ( » arrouye « ) en tête, aux oreilles et à la naissance de la queue et parfois sur le corps. Les taches poil de blaireau sont les plus appréciées.
TAILLE :
Mâles : 70 à 80 cm,
Femelles : 65 à 75 cm.
Une tolérance de 2 cm au-dessus est admise pour les sujets parfaitement typés.
DEFAUTS :
Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.
Aspect général :
– Aspect général donnant une impression de lourdeur, sans distinction. Chien gras, mou, lymphatique.
Tête :
– Trop lourde, de forme rectangulaire.
– Crâne trop large, front bombé.
– Stop trop marqué ou inexistant.
– Lèvres trop descendues formant babine.
– Pigmentation insuffisante de la truffe, du bord des paupières et des lèvres.
Yeux :
– Ronds, clairs, enfoncés ou proéminents, trop grands ou trop petits, trop rapprochés ou trop écartés. Troisième paupière visible. Expression dure.
Oreilles :
– Larges, longues, papillotées, plissées, portées rejetées en arrière, attachées haut.
Cou :
– Grêle, un peu long, ou, au contraire, trop court, donnant l’impression que la tête est dans les épaules. Fanon trop prononcé.
Corps :
– Dessus ensellé ou voussé, plongeant, ventre levretté ou tombant.
Poitrine :
– Poitrail trop large ou trop étroit, côte plate ou, au contraire, en tonneau.
Queue :
– Peu fournie ou mal portée, trop courte ou trop longue, sans panache, ne faisant pas la roue en action, ou la faisant continuellement, même au repos.
Membres antérieurs :
– Panards ou cagneux.
– Angle scapulo-huméral trop ouvert.
Membres postérieurs:
– Panards ou cagneux.
– Jarret droit, ou excessivement angulé.
Pieds :
– Longs, plats.
Poil :
– Court ou frisé, soyeux, mou, absence de sous-poil.
DEFAUTS ELIMINATOIRES :
– Chien agressif ou chien peureux.
Couleur : Autres couleurs que celles indiquées dans le standard.
Truffe : D’une couleur autre qu’absolument noire
Mâchoires : Prognathisme supérieur ou inférieur, ou toute malformation des mâchoires.
Yeux : Ladre aux paupières, œil jaune.
Ergots : Absence d’ergots, ergot simple ou ergot double atrophié aux postérieurs.
Taille : En dehors des limites.
Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d’ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d’aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
Belle et Sébastien 2
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Publié le 23/08/2017 | Catégorie : Coup de coeur
Coup de coeur pour les chiens sauveteurs
Belle et Sébastien on bien grandi depuis leur première aventure cinématographique. Dans le second volet le binôme inséparable, Sébastien et son chien sauveteur, bravent de nombreuses péripéties avant de retrouver Angélina, une jeune fille disparu dans la montagne et d’affronter un secret qui changera leur vies à tout jamais.
Pour célébrer la sortie de ce film qui met au cœur de son histoire les chiens sauveteur, Fidanimo vous a concocté un article dédié à ces animaux dont le métier et de sauver des vies.
Qui sont les chiens sauveteurs ?
Etre chien sauveteur c’est formé un binôme avec son maitre et ensemble être amenés à intervenir auprès des victimes.
Leur métier est d’aider les chercheurs, plus rapide et plus efficace que les hommes ils ont la possibilité de retrouver des personnes disparues en quelques minutes lorsqu’un pisteur mettra quelques heures.
Leur présence est donc complémentaire et irremplaçable. Formés dès leurs plus jeunes âges et éduqués tout au long de leurs vies, ces animaux ont appris à avoir un rôle précis dans les missions afin de répondre aux besoins du sauvetage.
Ils sont donc complémentaires avec leurs maitres et doivent créer entre eux un lien unique et incassable. La plupart du temps les pisteurs adoptent leurs chiens à la fin de leurs carrières.
Ces chiens font partie de la grande famille des chiens d’utilité, qui comprend les chiens d’avalanche, les chiens d’intervention sur catastrophe et les chiens de sauvetage aquatique.
Les chiens d’avalanche
Ces chiens grâce à leur flair très développé ont pour mission de trouver les victimes d’avalanche, coincées sous la neige. Doté d’un odorat exceptionnel ils sont entrainés pour déterminer plusieurs odeurs de sélectionner celle qui la concerne et ainsi trouver des personnes pouvant être enfouie sous 4 mètres de neige. Ils sont aujourd’hui indissociable des secours de montagne.
Grâce à leur physique et à leur odorat les bergers Allemands, les labradors et les golden retriever sont les races prédisposées pour être chiens d’avalanche.
Du fait de leur poids trop lourd pour la neige les Saint Bernard sont de moins en moins utilisés pour les recherches en montagne.
Les chiens d’intervention sur catastrophe
C’est également grâce à leur incroyable odorat que les chiens d’intervention sont capables de trouver des personnes ensevelies par les décombres. Souvent produits à la suite de catastrophe naturelle, tel que le séisme qui a frappé Haïti en 2010. Obéissants et doté d’une grande intelligence les bergers allemands sont prédisposé pour être chiens d’intervention sur catastrophe sans oublier les boxers, le doberman, le malinois…
Les chiens de sauvetage aquatique
Ces chiens sont de très bons nageurs mais pas seulement, ils doivent également être dotés d’une grande force physique puisqu’ils tirent derrière eux leurs victimes noyés. La race prédisposée pour être sauveteur aquatique est le terre neuve faisant partie de la catégorie des chiens de mer, leur pelage imperméable augmente leurs résistance au froid et leurs pieds palmés améliorent leur flottabilité.
Chiens et maitres une relation déterminante
L’entente entre le chien et son maitre est primordiale pour le bon déroulement des opérations de sauvetage. Lorsque l’animal a trouvé la victime, il avertit son maitre qui directement prend le relais. Il faut donc qu’il soit constamment à l’écoute de son coéquipier.
Le propriétaire le forme et l’éduque dès son plus jeune âge afin qu’il devienne un équipier utile aux recherches, son odorat est régulièrement mis à l’épreuve. Selon sa spécialité, il est habitué à rechercher dans différents types de situations (feu, eau, montagne…).
Chez Fidanimo, les chiens sauveteurs sont assurés y compris dans leurs activités !
Le Patou ou chien de montagne des Pyrénées, qui protège des loups
Le Patou, ou Chien de montagne des Pyrénées, est un chien de montagne imposant et très reconnaissable avec sa fourrure blanche et épaisse. Courageux, intelligent et protecteur, il est un excellent chien de compagnie, même s’il possède un fort caractère.
- Taille : 65 cm à 80 cm
- Poids : 50 kg à 64 kg
- Poil : long
- Couleur : blanc, jaune pâle
- Espérance de vie : 11 ans
- Durée de gestation : 63 jours
Descriptif et caractéristiques du Patou
Le Patou fait immédiatement penser à « Belle », chien de la célèbre série des années soixante « Belle et Sébastien ». C’est surtout sa forte corpulence et sa robe blanche, même si d’autres couleurs sont acceptées pour cette race, qui en font un chien très reconnaissable. Le Patou est un chien de grande taille majestueux et élégant. Sa fourrure, très épaisse, lui permet de résister à des conditions climatiques et des températures extrêmes. Il possède un museau large et long et des yeux sombres très expressifs.
Origine du Chien de montagne des Pyrénées
Le Patou est un chien très ancien puisqu’il est apparu au Moyen-Âge. Originaire des Pyrénées centrales, Il a toujours vécu en altitude. En raison de sa carrure imposante, il était utilisé, jusqu’à la fin du 19ème siècle, pour chasser l’ours et protéger les troupeaux de leurs prédateurs. On le trouve d’ailleurs toujours aujourd’hui dans son rôle de chien de berger, notamment dans les Alpes avec le retour du loup et dans les Pyrénées à la suite de la réintroduction de l’ours. Le Patou a été reconnu officiellement en 1923.
Caractère et comportement du Patou – À qui s’adresse-t-il ?
Le Patou est assez solitaire et se méfie des personnes qu’il ne connaît pas ainsi que des autres animaux. Il est un excellent chien de garde. Cependant, ce n’est pas un chien agressif à partir du moment où il a été éduqué de manière stricte. Il est en revanche très attaché à son maître et très affectueux envers lui. C’est un chien courageux qui ne recule devant aucun danger. En raison de sa carrure imposante, le Patou s’adresse à des maîtres capables de lui donner une éducation ferme, de le contrôler et ayant déjà une expérience avec les chiens. Un maître sportif lui convient également bien compte tenu de son besoin d’exercice. À savoir : le Patou aboie beaucoup, caractéristique qu’il tient de son origine de chien de garde.
Comment prendre soin de son Chien de montagne des Pyrénées : ses besoins
Le Patou est destiné à vivre le plus possible en extérieur, à la campagne, voire mieux, à la montagne, son milieu d’origine. L’environnement urbain ne lui convient pas. Il faut surtout lui permettre de disposer d’un espace où il pourra se dépenser physiquement et pouvoir lui proposer de longues sorties quotidiennes. Côté entretien, c’est un chien qui nécessite des soins réguliers et plus particulièrement pendant sa période de mue à la fin du printemps, notamment.
L’alimentation du Patou
Le Patou nécessite une alimentation de qualité comme tous les chiens de grande taille notamment. S’il a un gros appétit, les apports en calories et en graisses de son alimentation doivent être bien dosés pour qu’il puisse rester en bonne santé. Sa nourriture doit être adaptée à son âge, à son état de santé et à son exercice physique.
La santé du Chien de montagne des Pyrénées
Le Patou est un chien robuste qui ne connaît pas de problèmes de santé particuliers. Il convient cependant de bien surveiller la croissance de ses os quand il est petit. Comme tous les chiens de grande taille, il peut en effet être sujet aux problèmes de hanches et d’articulations.
Prix d’un chiot Chien de montagne des Pyrénées
Le prix d’un chiot Chien de montagne des Pyrénées va dépendre du sexe, du pedigree des parents, de la conformité aux standards de la race, etc.
- Prix d’un mâle Chien de montagne des Pyrénées : 500 à 1 200€
- Prix d’une femelle Chien de montagne des Pyrénées : 500 à 1 200€