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PAS SANS TOIT
Bonjour,
Je participe depuis plusieurs au soutien et partage de Pas sans Toit. Je soutiens également d’autres associations de sauvetage pour chiens’ chats et chevaux.
J’ai découvert l’association via Mme Rose Petit et son merveilleux investissement.
J’ai également des contacts amicaux avec l’un de vos parrains, M Didier Gay pour Rose Petit et sa meute. Je ne sais s’il est inscrit.
J’aimerai pouvoir faire mieux que des partages.
Je suis invalide et n’ai que peu de moyens pecuniers d’autant que j …voir plus. ‘ai un Bouvier des Flandres, un Siamois et un cheval. Nous vivons avec moins de 800€ par mois.
Je peux cependant en région Drôme, Loire, Ardèche et Isère faire des previsites et suites d’adoption.
J’ai également rencontrer ces jours derniers une famille propriétaire d’une chienne border colley de 4 ans: Hindie qui sera euthanasiee prochainement car elle a mordu une personne alors que l’on venait de lui supprimer ses chiots nouveaux nés. Actuellement, elle est sous contrôle vétérinaire pour 15 jours encore puis euthanasie à regret par décision des propriétaires.
Le maître de Hindi est décédé à l’automne passé, la maîtresse d’Hindi souffre de la maladie d’Alzheimer. Le fils et la fille de cette famille sont sous le choc du décès de leur père et ont de la difficulté à s’occuper de la chienne dans le quotidien en plus de leur maman malade.
Hindi sait travailler aux troupeaux et surveille « ses veaux » stockés dans la grange où elle a mis bat ses petits, juste à côté de l’entrée de la maison de sa famille humaine, le tout sur le bord de la route qui traverse la ferme comme bien souvent en Ardèche.
Je la connais depuis deux semaines, habituée aux animaux, je la salue chaque jour, à présent elle vient volontiers vers moi moi tout en rampant. Elle accepte les caresses et me donne son ventre tout en regardant bien dans les yeux, sa queue remue, elle semble apaisée en ma présence.
Elle cohabite avec les autres chiens du quartier, avec les chats, moutons, vaches, chevaux, ne se sauvé jamais. Elle aime faire de la voiture et du tracteur.
Si j’avais les moyens financiers et la santé, je l’adoptera moi même. C’est impossible, j’ai trop de charges et de contraintes.
Aussi ai-je pensé à demander à Rose Petit qui me redire vers vous, j’ai aussi votre numéro de portable. Le mien est 0685178660.
La famille de Hindi se dit soulagée d’un possible placement et me fait confiance, peut au besoin repousser un tout petit temps le choix de l’euthanasie.
La chienne n’est pas pucee ou tatouée, pas vaccinée et pas stérilisée.
Aussi, je me tourne vers vous pour demander de l’aide pour cette chienne qui me semble adorable et malheureuse, pour son actuelle famille elle même dans de grandes difficultés de vie et d’organisation.
Hindi peut-elle être prise en charge par Pas sans Toit?
Dans quelles conditions ?
M Didier Gay se propose pour un parrainage via une aide financière.
De mon côté, même si matériellement démunie, je ne peux imaginer un seul instant la laisser mourir parce-qu’elle a été traumatisée par des disparition successives d’êtres qu’elle aimait.
Elle serait une excellente assistante de vie dans une famille où elle aurait des caresses et le droit d’avoir un paillasson dans la maison comme c’était le cas avant de décès de son maître et la disparition de ses bébés.
Je ne porte pas de jugement négatif sur le choix premier de sa famille actuelle, pour eux tous, un placement d’Hindi les soulagerai beaucoup. Cette famille est épuisée par le décès du père âgé et la maladie de la mère âgée de 90 ans…
Pouvons-nous, vous Pas sans Toit, Didier Gay et,moi-même apporter une solution durable à Hindi et sa famille qu’elle doit quitter?
Par avance, merci de votre réponse
Françoise Pajot
Profil Facebook : Claude Pajot 07240 Vernoux-en-vivarais
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Collectif Sans Toit, Pas Sans Nous
Contexte
Entre mars et fin juin 2018, 2816 personnes hébergées sur Paris voient leur centre d’accueil fermer sans propositions sérieuses d’hébergement suite à la fin du plan hivernal mais aussi une baisse de subventions pour les centres pérennes obligés de réduire leur capacité d’accueil. Ce-ci est vrai dans toute la France.
Les coupes budgétaires atteignent 38 millions d’euros (9% du budget) pour la seule Île-de-France dans le secteur de l’hébergement d’urgence sur l’année 2018. Les centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS), qui accueillent 43 000 personnes sans domicile pour des périodes de plusieurs mois ou années, sont priés de faire 53 millions d’euros d’économie en 4 ans, dont 20 millions dès 2018.
Ces coupes budgétaires ont pour conséquence directe de menacer la qualité de l’accueil et de l’accompagnement. Dans le même temps, le gouvernement n’engage aucune action permettant l’utilisation des multiples bâtiments publics vacants (hôpitaux désaffectés, caserne, etc) dans la région.
L’inquiétude est très vive avec la fermeture de centres d’hébergement pérennisés pour des publics en grande difficulté. C’est le cas aux Grands Voisins , cette expérience sociale inédite qui a permis de transformer un hôpital abandonné en un lieu de vie et de mixité sociale, où trois centres d’hébergement vont devoir fermer d’ici au 30 juin. Aujourd’hui, une partie des résidents se retrouvent sans proposition sérieuse de relogement, ce qui pourrait conduire à un retour à la rue pour nombre d’entre eux.
Objectifs
- Garantir le respect de la loi : Le collectif réclame le respect du code de l’action sociale et des familles (articles L345-2-2 et L345-2-3) qui oblige les pouvoirs publics à » proposer des solutions d’hébergement adaptées à la situation de chacun » dans les meilleurs délais. Ce-ci est la responsabilité de Jacques Mézard, Ministre de la Cohésion des territoires et de Julien Denormandie, secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, mais aussi de Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, dont les préfets peuvent faire ouvrir des bâtiments publics inoccupés.
- Revenir à un niveau de financement des centres d’hébergement acceptable : Les coupes budgétaires annoncées réduisent les chances de réinsertion sociale et professionnelle des personnes les plus fragiles. Le collectif demande de revaloriser en urgence le financement des centres d’hébergement et CHRS afin d’assurer la pérennité de leurs missions de mise à l’abri et d’accompagnement vers l’insertion sociale.
- Faciliter l’accès aux espaces vacants : Pour rappel, l’Atelier Parisien d’Urbanisme recense en 2017, 205000 logements inoccupés à Paris – sans compter les bureaux, équipements, hôpitaux, casernes…
Besoins énoncés par le partenaire
Le collectif Sans Toit, Pas Sans Nous souhaite que VoxPublic l’aide à :
Renforcer sa stratégie de plaidoyer
- Identifier les cibles adéquates
- Améliorer la visibilité de la pétition qui sert d’outil d’alerte du public
- Augmenter son impact médiatique
La mission de VoxPublic
VoxPublic s’engage aux côtés du collectif pour remplir les besoins énoncés par le partenaire, notamment en :
- Aidant à la clarification des objectifs et des demandes du collectif
- Aidant à la rédaction et à la diffusion de documents d’information et de synthèse aux décideurs
- Facilitant le ciblage et en fournissant des annuaires de contacts décideurs
- Renforçant l’impact de la pétition en échangeant sur les bonnes pratiques avec les conseils de Change.org pour obtenir un maximum de signatures
- Relisant et facilitant la diffusion de communiqués de presse à destination des journalistes, et en fournissant des contacts adéquat si nécessaire
- Participant à la bonne coordination d’une campagne de communication multi-canaux et supports.
Avec ou sans toit : quand les femmes s’engagent pour les réfugiés
Laura consultait de temps en temps la page Facebook d' »On est du pays de Nantes, et on agit ». Le groupe de soutien informait de la situation des adolescents étrangers arrivés à Nantes et mettait ceux qui souhaitaient aider en relation avec des associations. Elle se contentait de suivre les discussions. Et puis, un jour, à la minute où elle se connecte, elle apprend que quatre adolescents doivent quitter l’hôtel dans lequel ils dorment. Il est 20 heures, elle envoie un message pour dire qu’elle peut héberger. Immédiatement, elle est contactée par le Collectif des hébergeurs solidaires, qui lui propose d’accueillir pour le week-end un jeune homme de 16 ans venu de Guinée-Conakry. Elle demande à sa fille de 6 ans si elle accepte.
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Trente minutes après, la mère célibataire se retrouve à la gare pour rencontrer Mathias. « Il était affaibli, fatigué, et j’ai eu confiance avant même de lui parler », raconte la trentenaire, qui a aménagé un espace dans le salon pour lui. Mathias est là depuis un an maintenant. Il est bénévole au Secours populaire, joue au foot, va à l’église, aide à la vaisselle et au ménage. « Des rencontres comme celle-ci sont rares, estime Laura, qui a « trouvé un soutien avec qui discuter et relativiser. » Elle dîne avec lui quand elle rentre assez tôt, elle lui a présenté des amis, a rencontré son avocate pour faire reconnaître sa minorité afin qu’il puisse être pris en charge par l’Etat, logé et scolarisé. En vain. « Ça devient dur. J’ai moins d’énergie en ce moment, moins de capacité à gérer des dossiers. Et puis, je vis dans un petit appartement, je travaille énormément… », confie la jeune femme. Ils en ont parlé, Mathias va devoir déménager. Les Hébergeurs solidaires recherchent une autre famille.
Laura a 37 ans, elle vit seule une semaine sur deux et ne s’est jamais « engagée dans des associations ». Ce profil est nouveau dans le bénévolat, constate Evangeline Masson-Diez, doctorante en sociologie. Pour sa thèse, elle a envoyé un questionnaire aux plus de 300 hébergeurs de Paris d’Exil, une autre structure citoyenne, elle aussi composée de bénévoles qui se mobilisent pour « venir en aide aux personnes exilées ». Près de la moitié a répondu. Premier constat : 80 % sont des femmes. Ce n’est pas totalement une surprise, puisque les questions d’hébergement et d’alimentation sont généralement prises en charge par des femmes dans le bénévolat, rappelle la chercheuse de l’université de Strasbourg, mais habituellement il s’agit plutôt d’étudiantes et de retraitées.
« Un nouveau type de bénévoles émerge, remarque l’universitaire, celui de femmes qui sont en pleine vie active, entre 30 et 45 ans et qui ne se sont pas engagées dans l’associatif auparavant. Elles ont toujours eu une sensibilité sociale et, pour la première fois, elles passent à l’acte. » Sans le faire n’importe quand : « Souvent, elles le font quand elles vivent seules, poursuit la chercheuse, certaines ont un enfant en garde alternée et essaient d’héberger quand celui-ci n’est pas là. »
« Comme une tante, une figure maternelle »
Qu’elles aient 30 ou 45 ans, ce qui a déclenché leur geste, c’est l’âge des étrangers. « Imaginer un môme seul dehors rend dingue », explique Camille. « Le fait que ce soit des jeunes est particulièrement insupportable », confirme aussi Pauline. Les hébergeuses parlent de « minots », de « petits », de « gamins », remarque la chercheuse Evangeline Masson-Diez. Cindy se considère ainsi « comme une tante, une figure maternelle » pour un jeune Afghan. Ils n’ont que douze ans d’écart, mais elle se sent « une autorité morale » sur lui. Elle l’aide financièrement, elle cuisine.
Pauline, elle, a fait découvrir Paris au jeune homme qu’elle hébergeait. Tandis que Camille l’a emmené en vacances. Un investissement dans la relation qui amène la doctorante en sociologie à parler de « conflit entre l’hébergeur qui cherche à vivre une rencontre et l’hébergé qui cherche à quitter la rue dans l’urgence ». Au moins au début. Les attentes peuvent ensuite évoluer. Mais ce qui pose difficulté, c’est l’installation dans la durée. « L’hébergement devait être temporaire, explique Charlotte, de Paris d’Exil. Notre but est de faire évoluer les politiques, pas de laisser la situation s’installer. Malheureusement, la tendance est au durcissement des lois. »
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Dans le sud de l’Oise, pas de SPA ! Le seul refuge pour animaux a été fermé en 2011 après 49 ans d’activité. Cinq cents chiens et chats transitaient chaque année dans cette structure de Bury qui desservait plus de 100 communes du Creillois, du Clermontois et du Liancourtois. Depuis… plus rien. Reste Nadia.Cette amoureuse des animaux souhaite ouvrir un nouveau lieu d’accueil. Mais, son projet est bloqué. En attendant, avec sa petite association » Animaux sans toit « , basée à Mogneville, elle tente, difficilement, de pallier le manque. » Je fais une douzaine de sauvetages par semaine sur mon temps libre et mon argent personnel. Concrètement, ce mois d’août par exemple, j’ai récupéré un chien blessé. J’ai dépensé 1 000 â?¬ pour le soigner avant de lui chercher une famille, avec succès, se félicite-t-elle. Il a été adopté à Creil ! « Bien souvent, quand un animal erre dans le secteur, c’est elle qui se déplace avec son lecteur de puce pour tenter de retrouver le propriétaire. En cas d’échec, elle travaille avec des » familles d’accueil « , membres de l’association, qui hébergent l’animal en attendant une adoption. Sur sa page Facebook, des dizaines d’annonces sont postées tous les mois. Elle ne compte pas ses heures, » mais c’est loin d’être assez face à la demande, constate Nadia. Ã?a me fait mal au cÅ?ur… « L’association fonctionne avec des donateurs et des collectes. Mais là non plus, ce n’est pas suffisant. » J’ai lancé une campagne de dons car je croule notamment sous les frais vétérinaires, explique-t-elle. Je peux continuer seulement parce que je suis soutenue par les Dr Saudubray à Creil et Recoquillay à Domont (Val-d’Oise). Ils s’occupent des animaux même si j’ai des dettes ! « Pour toutes ces raisons, elle veut en finir avec le système D et créer un établissement à la taille des besoins. » J’ai le financement, mais le problème, c’est le terrain. Il me faut au moins 1 ha, et j’ai beau écumer les petites annonces, je ne trouve pas. J’ai aussi contacté une quinzaine de mairies pour m’aider dans mes recherches. Je n’ai eu aucun retour !, s’agace-t-elle. Il y a un décalage ! Les gendarmes de Liancourt, par exemple, sont prêts à me faire un appui par écrit car ils ont conscience du problème, mais les élus se voilent les yeux. Ce n’est pas leur priorité. Pourtant, je gère des dizaines d’animaux errants sur les communes dont ils sont légalement responsables. « Nadia mise aussi sur la mobilisation des habitants. Début août, elle a été contactée par la police municipale de Creil pour récupérer une chienne morte étouffée de chaleur dans la voiture où elle avait été abandonnée plusieurs jours. Son témoignage, publié sur Facebook, a indigné des milliers d’internautes. » De mon côté, j’ai reçu des centaines d’appels, détaille-t-elle. Près de 70 personnes m’ont écrit pour intégrer notre association. Mais sans structure, cela ne sert à rien. J’espère que la situation va se débloquer grâce à cette mobilisation, sinon moi, je ne peux plus, j’arrête tout ! « Contactez l’association sur Facebook » Animaux sans toit « . Pour donner : www.leetchi.com/c/association-de-nadia-damien.
L a saison des chatons, c’est ma hantise. Les gens pensent bien faire en attrapant les bébés qu’ils voient dans la rue. Mais sans stérilisation de la maman, c’est sans fin… » Présidente d’Animaux sans toit, Nadia Djellali doit faire face actuellement, comme toutes les associations de protection animale, à une arrivée massive de chatons. » Vingt-neuf, rien que la semaine dernière… « , comptabilise-t-elle.
Des bébés, issus de chattes errantes, » que les gens trouvent dans les champs, au bord de la route ou dans leur jardin « . Mais pas seulement. » Il y a aussi ceux qui possèdent une chatte non stérilisée, qui me disent que c’est la nature, mais qui ensuite ne savent pas quoi faire des petits et se tournent vers les associations pour qu’elles les en débarrassent. »
Malgré sa colère, Nadia ne fait pas la leçon à ces propriétaires irresponsables. » Parce que je sais combien une stérilisation peut être coûteuse (ndlr : 120 à 130 euros pour une chatte) pour quelqu’un qui vit du SMIC et n’arrive pas à boucler ses fins de mois. » En revanche, elle leur propose de passer par l’association pour faire opérer leur animal. » Ainsi, ils bénéficient d’une remise de 50 % en allant chez l’un des deux vétérinaires qui travaillent avec moi. L’un est à Creil et l’autre à Breuil-le-Vert. »
D’autant que la situation vire, depuis deux ans, au cauchemar. » La saison des amours chez le chat est liée à la météo. Plus il fait beau de bonne heure et plus les chaleurs démarrent tôt. Cette année, comme l’an passé, nous n’avons eu quasiment pas d’hiver… » Et une chatte peut faire jusqu’à six chatons lors de chacune de ses trois chaleurs… » Généralement, nous prenons en charge une centaine de chatons par an. »
Ouvrir un dispensaire pour faire stériliser à petits prix les animaux
Des bébés souvent très jeunes que l’association ne peut mettre à l’adoption immédiatement. » L’âge minimal de cession est de 2 mois et ils doivent être assez gros pour pouvoir être pucés. »
Nadia doit donc pouvoir placer ces bébés dans des familles d’accueil qui en prendront soin jusqu’à leur adoption. » J’en ai une dizaine mais il m’en faut impérativement de nouvelles, autour de Creil, Clermont et Liancourt. »
La prise en charge vétérinaire est assurée par l’association, tout comme le lait si les petits ne sont pas encore sevrés. » Nous pouvons également fournir des croquettes si la famille d’accueil est juste financièrement. En revanche, si celle-ci possède déjà des chats, ces derniers doivent être à jour de leurs vaccins et elle doit pouvoir isoler les chatons pour faire une quarantaine. »
Le rêve de Nadia serait de voir s’ouvrir un dispensaire dans le secteur, où les propriétaires pourraient faire stériliser leur animal à petits prix. » Actuellement, il faut aller à Paris, c’est trop loin. Et il faudrait obliger les communes à stériliser les chats errants qui se trouvent sur leur territoire. Il en va aussi de leur responsabilité. »
Renseignements : 06 58 54 81 68.
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Une clôture pour le terrain
Nadia n’a qu’une idée en tête : donner un toit aux animaux qui n’en ont pas ou plus. Errants, abandonnés par leur famille, chiens et chats finissent toujours par trouver refuge auprès de celle dont le plus grand rêve serait de rencontrer Brigitte Bardot, son modèle.
Si, depuis des années, elle recueille chiens et chats, leur trouve des familles d’accueil avant qu’ils ne puissent rejoindre une famille définitive, Nadia a envie aujourd’hui de créer un vrai refuge afin de pouvoir en sauver plus. Débrouillarde, courageuse, elle a trouvé un terrain d’un hectare sur lequel, avec l’aide de son mari, qui travaille dans le bâtiment, elle va construire un abri en dur. » Il me soutient et sait tout faire « , confie celle qui ne pourrait pas tout porter sans son accord. Il lui manque juste de quoi clôturer l’espace afin que les animaux puissent se sentir en sécurité et elle certaine que personne ne viendra les embêter.
Pour cela, il faut creuser une tranchée, couler du béton et planter un grillage suffisamment solide. Le coût de l’opération est estimé à 5000 euros.
Vous pouvez aider Nadia à réaliser son projet en contribuant à la cagnotte ou en envoyant vos dons à
Animaux sans toit
21 rue du château d’eau,
60140 Mogneville
Tel : 0658548168
Mail : [email protected]